Terma 75 : Retour au pays de Si Ali et sa nouvelle femme Layla(5)

- Par l'auteur HDS Noura -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Terma 75 : Retour au pays de Si Ali et sa nouvelle femme Layla(5) Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-04-2020 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Terma 75 : Retour au pays de Si Ali et sa nouvelle femme Layla(5)
Le reste du séjour de Si Ali et de sa femme Layla à Paris fut sans histoire spéciale. Chaque soir, Si Ali jouait au Chach Bach avec son hôte Marcel durant deux heures ou plus. Et Layla jouissait, durant ces heures, de la grosse queue noire, épaisse, longue et dure de l’employé noir Moussa dans la chambre du 4em étage. Rebecca, la vieille épouse de Marcel les accompagnait dans leur ripaille sexuelle et Moussa avait suffisamment de ressources pour satisfaire les deux femmes, mais il préférait la chair fraiche et souple de la chatte et du cul de Layla qu’il honorait chaque nuit par deux fois, une par devant dans sa chatte et l’autre par derrière dans le cul ou il aimait éjaculer en abondance. Quant Rebecca ne participait pas, Moussa ajoutait une deuxième baise ou une seconde sodomie avec Layla accroupie puis assise sur son zob vertical. Si Ali, le mari de Layla, quant il revenait de son jeu, tard la nuit et trouvait sa femme endormie, n’osait pas la réveiller. Et si le besoin de sa queue le prenait au vue de sa femme, couchée, nue, il préférait se masturber et quant le plaisir arrivait, il allait éjaculer dans la petite salle de bain et se nettoyer puis se couchait de son coté. Layla qui faisait semblant de dormir, le regardait discrètement se branler puis aller éjaculer. Elle était rassasiée par la grosse queue noire et dure de Moussa et celle, chétive de son mari ne lui disait rien.
Les jours et les nuits passèrent et la fin du séjour arriva et le couple fut obligé de repartir au pays, promettant de revenir le plus tôt possible, pour un autre séjour aussi enrichissant. Durant leur première semaine au pays, Si Ali et Layla semblaient revenir à leurs vieilles habitudes. Si Ali prenait sa ration de plaisir sexuel avec sa femme une fois par semaine. Mais Layla n’y trouvait aucun plaisir et fit tout pour écourter les séances, car elle avait besoin d’un zob nettement plus long et plus gros et qui la comblait chaque nuit, deux fois plutôt qu’une. Sa chatte et son cul la démangeaient presque en permanence, même la journée, alors elle demanda conseil à sa plus vieille amie et confidente Zohra, infirmière de métier et toujours célibataire. Elle savait que son amie avait souvent des aventures sexuelles et qu’elle racontait parfois, avec détails à Layla. C’est pourquoi, dès que Zohra lui rendit visite après son retour de Paris, Layla, impatiente, ne put s’empêcher de tout lui raconter, sur David et comment il l’a dragué au ciné et baisé en cachette dans la pension, puis sur Rebecca la femme infidèle du patron et surtout sur Moussa. Elle lui détailla ses baises et sodomies avec cet étalon noir qui possédait un gros et long zob infatigable avec des qualités dignes de ce qu’on racontait sur les hommes de couleur. Et que maintenant, elle ne pouvait plus se satisfaire de la queue moyenne et faible de Si Ali, son mari. Zohra écoutait son amie tout en se caressant la chatte sous sa robe et félicita Layla d’avoir sauté la barrière de la fidélité et qu’elle allait l’aider à continuer, au pays. Mais Zohra avait beaucoup d’expérience et savait faire des choix et des rencontres bien calculés avec des amants discrets et à la hauteur de ses désirs sexuels. Mais, sachant que Layla est encore novice et à la merci de ses envies sexuelles, elle risquait de faire de mauvais choix et créer des scandales avec son mari et sa famille, alors elle décida de l’aider autrement. Et, au lieu de lui chercher tout de suite un amant, elle préféra d’abors une solution plus simple pour aider Layla dans les envies urgentes de sa chatte, le cas échéant. Elle lui procura trois gones, des modèles de queues en plastique, l’une blanche moyenne, une autre noire moyenne et une troisième assez longue et épaisse comme le zob de Moussa que Layla a décrit à Zohra. Layla refusa d’abord et supplia son amie de lui chercher un homme de couleur avec un gros zob au lieu d’une queue de plastic. Mais Zohra lui expliqua doucement que pour une femme mariée, avoir un amant sans prendre beaucoup de précaution, c’était très dangereux et qu’elle doit se satisfaire maintenant avec ces trois gones, surtout le troisième, et plus tard, elle l’invitera avec elle en compagnie d’un bel étalon noir et ils prendront leur plaisir à trois, ensemble. Alléché par cette perceptive, Layla accepta les gones.
Et le même après midi, sachant que Si Ali ne rentre que vers 20h, elle essaya les trois engins. Le premier fut très facile à la pénétrer et surtout dans le cul. Le second a vite été refusé mais c’est le troisième qui retint toute son attention. Elle l’essaya dans sa chatte et ce fut tellement excitant qu’il l’échauffa et elle s’allongea sur le lit et ferma les yeux en manipulant le gone tout en pensant à Moussa et à son zob. Et au bout d’un quart d’heure ou plus, elle arriva à obtenir un bel orgasme qui la fit hurler de jouissance et inonda ses draps. Elle l’essaya ensuite dans son cul et le résultat fut aussi positif. Alors elle donna le nom de Moussa à ce formidable gone qui ressemblait à son zob. Elle décida que ce sera son compagnon pour les longues soirées et laisser les autres juste pour calmer sa chatte ou son cul quant ils la démangeraient un peu. Bien sur, le gone n’était pas à la hauteur du zob de Moussa mais, prudence fait loi, elle l’acceptait même si, souvent elle rêvait de Moussa et de son zob réel et se réveillait souvent, toute haletante et le slip mouillée à fond de désir. Elle avait espoir que Zohra lui trouve un vrai amant, un vrai zob en chair, assez long et épais pour sa chatte et son cul. Et le destin, souvent complice des espoirs sincères, allait lui procurer l’occasion.
En effet, quelques temps plus tard, Si Ali et sa femme ont été invités, au bled, pour le grand mariage de son neveu Hassan. La famille de Si Ali est très riche et puissante, possédant presque la moitié du village et des terres environnantes avec plusieurs fermes, maisons et villas, des jardins, des terres de labour et même propriétaire d’un grand bois de la région formant presque une forêt moyenne. Ainsi, tout le village, famille et alliés, était mobilisé pour les préparatifs puis les fêtes de ce mariage qui doit durer presque un mois. Si Ali, détaché avec les autres hommes de la famille était occupé, jour et nuit, pendant toute la durée du mariage. Layla fut détaché avec les femmes s’occupant des cuisines et des utilités de la mariée et de sa famille. On la logé pour ses besoins et ses nuits, avec deux autres femmes de la famille, dans une des maisons chargée des cuisines et nettoyage des vaisselles. Par traditions, les hommes faisaient leur fête, jusqu’à l’aube, sur la place du village préparée à cet effet, et les femmes faisaient leur fête, entre elles, dans les maisons et villas, jour ou nuit. Ainsi, pendant presque un mois, la plupart des femmes étaient séparés de leurs maris, c’était la tradition et Layla fut enchantée de cette séparation avec Si Ali. Elle avait apporté avec elle ses pseudo queues et se promettait de les utiliser la nuit, dehors, dans l’ombre des arbres de la petite forêt. Comme Si Ali, plutôt assez pauvre, n’avait pas beaucoup d’importance dans la famille, on a confié à sa femme considérée comme étrangère, le gros du travail de nettoyage de la vaisselle et rapidement, on la laissait presque seule vers une ou deux heures de la nuit. Elle a reçu cependant l’aide d’une autre jeune femme de la famille, Mebarka, mais juste une partie de la nuit. Effectivement, Layla remarqua, durant les deux premières nuits, que Mebarka la quittait brusquement, toujours au même moment. C’était juste après qu’on entendait des sortes de légers tocs sur l’extérieur de la vitre arrière de la cuisine où elles travaillaient. Et Mebarka partait en courant comme pressée par un besoin naturel. Deux nuits de suite ont donné des soupçons à Layla qui décida, la seconde fois d’aller voir par la vitre dès la sortie de Mebarka. Et elle a eu la surprise de voir que la jeune femme rejoignait un homme, dehors, dans la semi obscurité, et tous les deux s’éloignaient, presque courbés. Mais au lieu d’aller en direction des bâtiments d’habitations, ils s’en allaient en direction opposée, vers la zone des jardins et des arbres, à l’orée des bois pas très loin. Elle a d’abord pensé que c’était le mari de Mebarka qui venait la chercher à cette heure tardive de la nuit. Mais le lendemain, Layla, curieuse en parla à sa copine Zohra qui figurait parmi les invitées. Zohra, qui connaissait presque tout le mon depuis longtemps, informa Layla que Mebarka était une veuve depuis quelques temps et que c’était, peut-être, un de ses frères. Mais les deux compères se regardèrent avec des yeux soupçonneux et avec le sourire déjà excitant, pensaient à la même chose. Cette jeune veuve Mebarka avait le feu à la chatte et sortait la nuit avec un amant dans pour baiser sous les arbres des jardins et qu’il fallait s’en assurer dès ce soir. Et c’est alors que, le soir, dès que Mebarka quitta la cuisine, Layla la suivit discrètement vers les arbres.
Quelques mètres plus loin, le couple s’arrêta dans un endroit assez bien protégé mais que Layla put bien observer discrètement sans faire e bruit. Le couple était certainement sûr d’eux, alors l’homme posa quelque chose, une couverture bien sur, par terre et sur laquelle Mebarka s’étendit et souleva sa large robe en écartant ses jambes et cuisses. Et Layla vit nettement que Mebarka était nue, sans slip sous la robe et s’offrait complètement à l’homme. L’homme ne perdait pas de temps, il avait déjà descendu son pantalon et comme il n’avait pas de slip lui non plus, Layla vit distinctement le long profil de sa queue allongée devant lui et qu’il tenait à la main bien horizontale. Puis il s’accroupit entre les cuisses de Mebarka et d’un geste décidé et violent, il enfonça sa queue gonflée, dans la chatte de la femme qui poussa malgré elle un long gémissement de plaisir qu’elle essayait étouffer. La pénétration brutale du zob a secoué aussi Layla qui plongea sa main sous sa robe et dans son slip pour apaiser le feu qui venait de flamber dans sa chatte. Et le couple commença sa séance de plaisir et Layla voyait nettement les fesses de l’homme qui se soulevaient puis s’enfonçaient dans la femme et brillaient un peu dans la semi obscurité du lieu. Elle voyait la queue partiellement entrer et sortir de la femme mais elle distinguait nettement les mouvements des fesses de l’homme. Elle commençait à les désirer, ces fesses qu’elle devinait très puissantes et ses reins qui enfonçaient le zob dans la femme. Elle ressentait presque ces enfoncements et les suivait avec sa main sur son clitoris. A cet instant elle pensait que c’est elle que l’homme baisait avec son zob et ses reins puissants et non Mebarka. Elle s’enfonça dans ses fantasmes et ses jouissances. Très rapidement, les souffles du couple en action se firent plus bruyants et plus accéléres. Cela ne dura pas longtemps et Layla vit l’homme se figer et donner quelques coups de reins accompagnés de ses souffles raiques et des gémissements plus bruyants de la femme. Layla comprit qu’il venait d’ »éjaculer dans la chatte de Mebarka, mais elle continuait à manipuler sa chatte. Ils restèrent collés un moment et Layla, excitée, se manipulait la chatte sous son slip et ne pouvait détacher ses yeux du couple. Puis le couple bougea et Layla vit que la femme se mettait à genoux et l’homme restait derrière, puis souleva la robe sur le dos de Mebarka. Layla vit nettement les fesses de la femme que l’homme fouilla d’une main. C’était par le haut dons il cherchait l’anus et semble l’avoir trouvé car en enfonçant son doigt, la femme gémit encore plus. Alors, de son autre main, l’homme enfonça son zob dans le cul de la femme. Layla a vu ce zob toujours long, bandé et gonflé malgré l’éjaculation. Elle pensa que ce zob pouvait lui convenir et continua à se branler la chatte en s’imaginant à la place de Mebarka. Avant que l’homme n’atteigne son second, alors que la femme gémissait en continue, Layla arriva à son orgasme et ne put retenir un long gémissement étouffé. Elle s’écroula sur l’herbe et resta ainsi, les yeux fermés, presque étourdie.
Elle ne s’est pas combien de temps, elle resta les yeux fermées mais quant elle les ouvrit, elle eu la peur de sa vie. L’homme était accroupi à coté d’elle et la regardait. Il mit son doigt dans sa bouche pour la faire taire et lui sourit. Elle obéit et resta silencieuse, mais soudain elle constata que sa robe était sur sa poitrine et que son slip nettement abaissé offrait ses cuisses écartées et sa chatte aux yeux de l’homme qui les regardait. Elle voulut se couvrir et se relever mais l’homme lui murmura de rester couchée et de se taire. Elle était effrayée mais aussi bizarrement tranquillisée par le sourire de l’homme. Il lui caressa le bas ventre et descendit au dessous, puis se baissa et colla sa bouche sur la chatte mouillée et chaude de Layla. Son contact fit gémir la femme et l’homme lui colla encore son autre main sur la bouche, mais gentiment juste pour l’inviter à se taire. Puis, il se secoua et se mit entre les cuisses de la femme. Elle put voir son zob qu’il avait à la main et son étonnement de le voir toujours bandé et gonflé lui fit oublié la gravité de la situation. Sans réfléchir, elle tendit le bras et toucha de la main le zob de l’homme. Il comprit ce que la femme voulait et avança un peu mieux son corps vers elle, alors elle put tenir, empoigner complètement la grosse queue gonflée. Elle sentit sa dureté et sa douceur en même temps, elle se rappelait l’avoir vu s’activer dans la chatte et dans le cul de Mebarka et éjaculer par deux fois,et cette performance l’excita au point qu’elle tendit ses reins vers l’homme. Il comprit encore une fois le vœu de la femme et manipulant son zob, il l’approcha des lèvres de la chatte et l’enfonça avec précaution et lenteur. Il dut ressentir la souplesse et l’expérience de cette chatte, alors il donna un grand coup de reins qui enfonça son zob jusqu’aux couilles.
Il gueula presque et Layla en fit autant, Puis ils s’arrêtèrent tous les deux, constatant qu’ils avaient presque hurlé et soupçonnant que quelqu’un les ait entendus. Après un moment de silence complet, constatant qu’il n’y avait pas de danger, ils commencèrent la danse du plaisir. Et pendant un long quart d’heure l’homme la pilonna avec vigueur et souffles haletants de part et d’autres. Layla poussait aussi son bas ventre vers le zob pour la défoncer encore plus, chaque qu’elle pouvait le faire. Maintenant elle goutait à fond les jouissances de sa chatte et ressentait toute la force et les proportions du zob dans ses entrailles et, bizarrement, elle était entièrement consciente. Alors elle pensa à l’éjacula et murmura à l’homme de ne pas se vider en elle, elle était mariée. L’homme ricana et lui chuchota que son plaisir était encore plus grand du fait qu’il baisait une chatte mariée et elle lui conseilla de se vider dans son cul et l’homme rigola encore encore plus et presque avec bruit. Il fut tellement excité et la pilonna si vigoureusement, sans éjaculer mais restant dure comme un pieu, qu’il réussit à donner à Layla trois ou quatre orgasmes de suite. Elle coulait et jouissait presque en continuité et soufflait bruyamment en accéléré. Elle était sevré de vais zob depuis si longtemps qu’elle s’abandonna entièrement au plaisir et ne prit conscience que lorsque l’homme sortit son zob de sa chatte. Il lui murmura que son plaisir allait venir, alors elle se retourna sur le ventre et souleva à fond sa Terma et écarta ses cuisses. Elle lui offrit ses fesses et son cul et l’homme, le zob à la main, brillant du suc de la femme, s’enfonça dans le cul de Layla. Devinant qu’elle avait de l’expérience, il ne prit aucune hésitation et son coup de rein, dès qu’il trouva son anus, envoya la totalité du zob au fond de la Terma de Layla. Comme tout à l’heure dans sa chatte, Layla hurla presque son palsiir quant le zob lui défonça la Terma. L’homme empoignant les larges hanches de la femme se lança dans une frénésie de vas et viens avec passion et vigueur. Il était déjà assez chargé et après seulement une dizaine ou plus de pilonnages, il éjacula dans les entrailles chaudes, et par trois fois accompagnés de coups de rein impusifs et un cri rauque de victoire. Sous le choc des brulantes et délicieuses éjaculations qu’elle mendiait depuis si longtemps, Layla s’écroula sur l’herbe, entrainant sur elle l’homme qui venait de l’ensemencer. Ils restèrent un bon moment collés et couchés, goutant le maximum de plaisir. Layla s’étonnait que l’homme pouvait encore avoir du plaisir et éjaculer autant après ses deux baises avec Mebarka. Puis il se releva et s’allongea à coté. Layla lui posa la question et l’homme lui répondit qu’avec Mebarka c’était si classique et habituel, presque comme sa femme. Mais avec Layla, chair nouvelle et dans des circonstances exceptionnelles, son excitation a été renouvelée complètement et quant elle lui a avoué qu’elle était femme marié et trompait son époux, cela a donné un choc supplémentaire d’excitation et de jouissance et son zob s’était gonflé à fond. Et il le dit crument. Baiser une célibataire, c’est bien mais niquer une femme mariée, jeune et belle, c’était mieux, et il n’était pas prêt à la lâcher. Elle rigola de plaisir de ces paroles de l’homme et lui demanda son nom. Il s’appelait Zoubir et était le jardinier de la famille de Si Ali. S’il savait qu’il venait de baiser et d’enculer la femme du grand Si Ali, peut-être que son attitude serait différente. L’homme lui demanda le nom de son mari mais elle s’esquiva. Pourtant elle lui dit, en lui adressant un très large sourire, qu’il connaissait son mari mais qu’elle refusait de lui donner son nom. Et elle ajouta qu’ainsi, chaque qu’elle les verrait assis ou conversant ensemble, elle s’amuserait à regarder leurs braguettes et penserait à leurs deux zobs et que cette image la ferait mouiller de la chatte. Il répondit en son sourire et lui dit qu’elle était une vraie pute, une qa7ba et lui donna rendez vous pour le lendemain soir après qu’il aura renvoyé Mebarka après un ou deux petits coups de zob.
Pendant qu’ils discutaient, Layla ne put s’empêcher de se soulever un peu et de manipuler le zob de l’Homme. Il s’était fléchi mais restait long et lourd de désir. Layla n’était pas rassasiée ce soir. Tout en parlant, elle branlait le zob et se rapprochant encore plus elle l’engloba et le lécha et suça avec expérience. Comme le lui a apprit Moussa et le résultat fut rapide. Le zob se releva, se redressa, s’allongea et se durcit. Et l’homme laissa la femme faire son œuvre et quant elle sentit que le zob était à point, elle se redressa et s’assit sur le bas ventre de l’homme, mettant chaque jambe de part et d’autre du bas ventre masculin. Le zob était debout, prêt à al bataille et Layla, retroussant bien sa robe, elle s’assit sur l’homme en pointant le zob là ou il fallait. La chatte chaude et mouillée avala le gros zob brillant des restes de sperme et la femme s’assit franchement dessus. Elle ressentait nettement la totalité du zob dans ses entrailles, sensation formidable qui lui rappelait les soirées avec Moussa. Elle était excitée à fond et presque aussitôt, avant même de trop bouger, elle eu un autre orgasme explosif et humide. Elle pissa son jus sur le bas ventre et les cuisses de Zoubir qui la regardait avec étonnement et plaisir. Son zob gonflait tellement qu’il avait l’impression qu’il allait exploser. Il le dit à Layla que sa chatte aspirait et serrait son zob qu’il avait doublé de volume et elle lui confirma qu’elle le ressentait très bien dans ses entrailles. Et les deux amants goutèrent cs moments de jouissances sexuelles, dans la semi obscurité des arbres pendant que le reste des familles dormaient d’un sommeil profond. Layla pensa à son mari qui dormait dans l’une des autres demeures, avec les autres hommes de la famille pendant qu’elle, sa belle épouse, se donnait à fond au gros zob d’un inconnu dans les jardins de la propriété. Ensuite, elle se donna le maximum de plaisir en donsant de la chatte sur le zob de l’homme, à fond et de tout coyé avec des mouvements haut et bas, droite et gauche, en roulant le derrière et les reins, ressentant les frottements de jouissances du zob dans son intérieur. Elle choisissait les coins ou le zob devait frotter, glisser, taper et cela lui donna, en définitive, et à volonté, trois autres orgasmes continus ne formant en réalité qu’un seul très prolongé et bien guidé par elle. L’homme subissait jusqu’à l’arrivée de son plaisir et il en avertit Layla qui changea de position. Elle avança un peu son corps et retirant le zob de sa chatte, elle l’enfonça dans son cul et s’assit dessus à fond. Quant elle comprit que les deux organes se sont bien adaptés, elle remua des reins et recommença sa danse, mais cette fois de la Terma et non de la chatte et sur le même zob, le même mâle conquérant et puissant. Enfin, l’homme laissa son plaisir se libérer et ses couilles se vidèrent par trois fois de leur miel chaud, visqueux et merveilleusement affolant pour le couple.
Et Layla s’écroula sur la poitrine l’homme. Ils restèrent encore un long moment ainsi puis l’homme secoua la femme et Layla se réveilla et se souleva et se rallongea à coté. L’homme se souleva et se courba sur elle et posa sa bouche sur la chatte qu’il brouta un peu, ce qui fit glousser Layla et elle se retourna sur le ventre. Alors l’homme, pour lui montrer aussi sa satisfaction, lui écarta les fesses et plongea sa bouche vers l’anus d’où suintait les restes de son sperme. Il lapa un moment l’anus et le sillon des fesses et cela fit aussi glousser Layla. Alors, elle aussi se retourna et attira l’homme vers elle et plongea vers son zob qu’elle engloutit. Elle se suça à fond, le nettoyant mais gardant dans son esprit son volume et son poids malgré qu’il s’était, enfin, couché, vaincu par la chatte et le cul de Layla. Ils se mirent d’accord encore pour le lendemain soir et se quittèrent satisfaits. Layla retourna à la cuisine, encore totalement déserte, et finit rapidement sa vaisselle puis alla se coucher sans même se laver ou se doucher. Elle veut tout garder pendant la nuit et seulement au matin, elle prendra un bain pour enlever, soi disant, la sueur de la cuisine. Dans la journée, rencontrant son amie Zohra, qui voyait l’ai rayonnant de Layla, a deviné que quelque chose se tramait chez sa copine. Elle la poussa dans ses confidences et, comme à leur habitude, Layla ne put cacher son aventure et la suite qu’elle en attendait pour le soir. Zohra était une passionnée du sexe et surtout es aventures plus ou moins dangereuses et le cas d Layla l’excita à fond. Alors, elle décida de l’espionner pour ce soir. Elle n’était pas jalouse de son amie, elle l’aimait trop depuis si longtemps, mais elle s’excitait à l’aventure et voulait voir et, peut-être y participer.

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