Terma 78 : Anissa la passionnée et son mari impuissant (2) :
Récit érotique écrit par Noura [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-05-2020 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Terma 78 : Anissa la passionnée et son mari impuissant (2) :
Mais le destin avait d’autres projets pour moi.
En effet, un jour que j’étais en visite chez mes parents, j’ai rencontré mon neveu Allal qui avait comme je l’ai dit un grave problème de sexe et ne pouvait se marier. Mais c’était un homme ouvert sur le monde et connaissait pas mal de choses. Sachant que j’étais en fac, on a beaucoup discuté de tout et de rien mais il m’a avoué que ma sœur Zizi lui avait parlé de moi. Je n’avais pas bien saisi mais il m’a invité à venir en discuter chez lui dans sa grande maison où il vivait en solitaire, juste la femme de ménage pour la journée. Et le lendemain, je suis allé le voir chez lui. Ce fut un éblouissement pour moi que cette grande et belle maison totalement équipée de neuf.
J’ai visité toutes les pièces et le jardins y attenant. La seule chose qui m’avait désolé ce fut la chambre à coucher. C’était une grande pièce mais avec une petit lit à une place. Malgré ses armoires, à moitié vides et sa belle coiffeuse inutile, la pièce était sinistre, juste à cause de ce petit lit une pièce. Je lui ai fait la remarque durant la visite avant qu’il me parle de son projet et il m’a répondu que c’était cela son problème. Je lui ai dit qu’il avait beaucoup d’argent et qu’il pouvait le changer par un grand et large lit deux pièces puis le remplir avec une épouse à la hauteur. C’est alors qu’il me proposa de m’épouser. Je lui ai parlé de la différence d’âge et que j’avais des projets et des choses personnelle. Alors, il m’a dit que ma sœur lui avait expliqué mon problème, les désirs inassouvis de ma chatte et mes fréquentations multiples et mon amour pour l’argent. J’étais choquée que ma sœur ai parlé à l’un de notre famille de mes secrets sexuels. J’ai cru qu’il voulait seulement me baiser comme les autres mais il a continué me disant qu’il avait lui aussi un gros problème sexuel. Je me suis tu en prêtant l’oreille, attendant ses secrets et il m’a fait promettre de n’en parler à personne et j’ai juré de tout garder pour moi. Et ainsi il m’a avoué son infirmité sexuelle suite à son accident depuis 4 ans. Mais je lui ai dit comment pouvait-il m’épouser, s’il ne peut pas coucher avec moi. Il m’a dit que nous serons mariés devant les gens et la famille et vivrons ensemble dans cette maison et que j’avais la liberté de l’arranger et meubler comme je veux. Et que de son coté il fermera les yeux sur mes frasques sexuelles avec des hommes, à conditions de prendre le maximum de précautions. J’étais éberluée mais je réfléchissais en vitesse car ce n’était pas une mauvaise idée, pas du tout. Je pouvais baiser des hommes autant que je veux, peut-être même dans cette maison et en présence de mon mari, et tout le monde me considèrerait comme épouse normale. Et comme il était riche, la vie serait facile et aisée et je pourrais même aider ma famille. J’ai répondu qu’il fallait que je consulte ma grande sœur qui a été toujours ma confidente, sans lui avouer ma complice.
Dès le lendemain j’en ai discuté avec Zina et ce qu’elle m’a dit fut une autre surprise pour moi. Mon cousin avait déjà fait sa proposition à Zina, lui avouant son problème et le secret. Mais comme elle tenait à son copain, sa liberté et ses études, elle avait refusé mais elle lui avait proposé sa jeune sœur, en l’occurrence moi-même en lui avouant aussi mes secrets. Une vraie trahison de ma sœur mais au lieu de l’engueuler, je l’ai embrassée. Et rapidement mon neveu a prit contact avec mes parents pour m’épouser. Comme mon père avait de gros problèmes avec sa trop nombreuse progéniture et que Allal était riche et avait une rente solide et une grande propriété, mon père a accepté immédiatement. J’ai fait semblant de refuser comme quoi ce neveu était trop vieux mais ils m’ont répondu que justement je serais peut-être rapidement veuve et tout a été bouclé. Trois mois plus tard nous étions mariés et habitions la grande maison dont j’ai changé pas mal d’équipements, à commencer par le petit lit de la chambre à coucher. Et j’ai rempli les armoires et utilisé la coiffeuse et j’ai gardé la femme de ménage et j’ai même proposé qu’on recrutera certainement une deuxième plus jeune à cause des fêtes et invitations que nous ferons. Et tout marchait à merveille pendant ces 3 mois de fiançailles, où j’ai été très sage de la chatte. Pendant la première semaine, notre famille faisait la fête dans notre grande maison jusqu’au petit matin puis on s’endormait tus jusqu’à 13 ou 14h. Puis la maisonnée reprenait vie et fête jusqu’au lendemain à l’aube et ça durait depuis une semaine. Bien entendu, dès l’aube, j’allais, avec mon mari, coucher dans notre chambre dans le même lit et j’ai vu le zob de mon neveu. Il était presque normal mais totalement mou et recroquevillé et malgré mes tentatives il ne réagissait pas. Mon mari m’a expliqué que son ancienne campagne étrangère a fait beaucoup et même avec des tas de produits, sans résultats et les médecins ont expliqué que c’était impossible. Comme j’étais chagrinée et même fâché, selon lui, il m’a proposé de satisfaire ma chatte avec sa langue et ses doigts mais ce n’était mon genre, il me fallait un bon gros zob solide, dur et bien gonflé pour me pénétrer et me pilonner la chatte à fond et jusqu’aux couilles puis éjaculer sinon c’était pas la peine. Alors, il m’a proposé un ami, un intime qui avait environ 50 ans et qui était avec lui à l’étranger pendant des années. Il connaissait son problème et il pouvait me satisfaire en gardant le secret. J’ai accepté tout de suite et dès la troisième nuit de mariage, il est allé le chercher avant l’aube pour le cacher dans notre chambre. Et quant, après la fête, à l’aube et que tout le monde est allé se coucher, mon mari et moi avons rejoint notre chambre. Et son ami était la, normalement habillé et il me l’a présenté comme nommé Arezki. De grande taille et les cheveux gris, il avait de belles moustaches et semblait être sportif. Sachant ce qu’on allait faire, et pour le début, mon mari s’est réfugié dans la grande salle de bain attenante à la chambre. Alors Arezki m’a enlacé et embrassé et tout de suite j’ai senti contre mon ventre son sexe qui semblait bandé et dur, en tout cas il me provoquait le bas ventre. C’était un bon début. Il m’a félicité de ma beauté et de mon corps formidable. Ses paroles ne m’interessaient pas et quant il a commencé à me déshabiller je l’ai aidé et rapidement je fut nue devant ses yeux qui brillaient de désir. Lui aussi s’est débarrassé de ses vêtement en extrême vitesses et m’apparut à poil, le zob déjà gonflé et pointant à l’horizontale et avec une tête énorme comme celle des zobs des noirs. J’étais satisfaite du choix de mon mari.
Il me demanda si son zob me convenait et j’ai plongé dessus. Je l’ai avalé dans ma bouche et commencé à le sucer, le lécher jusqu’aux couilles gonflées et le branler durement. Il était dur et assez épais pour me convenir. Ma réponse a du lui plaisir et il gémissait déjà de plaisir. Soudain j’ai vu mon mari qui entrait lentement dans la pièce et s'essayait dans un grand fauteuil en face du lit. J’ai pensé que ça ne me gênait pas, au contraire et j’ai augmenté mes sussions bruyants et mouillés qui commençaient à m’exciter la chatte. Arezki me poussa légèrement sur le coté et sa main se projeta vers mes fesses qu’il caressa et ses doigts glissèrent plus bas vers ma chatte. Je me suis positionnée pour lui permettre d’atteindre ma chatte et me caresser. On s’est donc caressé un moment, puis il me poussa, dos sur le lit. Il s’installa entre mes jambes et cuisses écartées et tenant son zob il le dirigea vers ma chatte. Dès qu’il toucha les lèvres de mon sexe, j’ai eu un choc et un orgasme bruyant et mouillé. J’ai gueulé un bon coup et il resta un instant à la porte de ma chatte et laissa ma cyprine couler puis il plongea et enfonça en force son zob dans ma chatte. J’étais plus que chaude et ouverte et le zob s’enfonça en vitesse jusqu’aux couilles et jusqu’au fond de ma chatte. La aussi, j’ai crié mon plaisir car ma chatte était à jeun de zobs depuis plusieurs jours. Arezki hurla aussi sa victoire en plongeant au fond de ma chatte en appelant son zob à satisfaire cette femelle si chaude qui l’avait avalé si facilement.
Et il commença ses vas et viens parfois accélérés et parfois ralentis. Ce sont ces mouvements ralentis en reculant puis en s’enfonçant de force qui me donnaient le plus de jouissance et à lui aussi semble t-il car il hurlait autant que moi. J’ai pensé lui demander de ne pas crier mais j’ai tout de suite réfléchi que ceux qui peuvent nous entendre penseraient que c’était mon mari qui m'amenait ainsi au septième ciel du sexe. Alors, autant gueuler au maximum, me libérant totalement aux plaisirs et aux jouissances. Mon mari était et j’avais son autorisation de me faire niquer à fond par le zob de son ami Arezki. Et nus avons baisé ainsi pendant des heures, ralentissant parfois et même nous arrêtant parfois mais toujours reprenant. Il avait un zob dur et plein de ressources ainsi que ses grosses couilles. En effet, moi j’ai joui plusieurs fois, ayant plusieurs orgasmes bruyants et pleins de mouilles et lui a éjaculé par quatre fois. Deux fois me baisant en face et chaque éjaculation de trois jets puissants sur mon bas ventre et ma poitrine. J’ai léché et essayer de bouffer son sperme. Puis il m’a baisé par derrière dans ma chatte, aussi par deux fois en éjaculant chaque fois sur mes fesses et mon dos. Puis il s’est couché à coté de moi. Mon mari s’était endormi dans le fauteuil en face. Le zob de Arezki s’était fatigué et se courbait sur ses cuisses. Alors je me suis agenouillé sur le lit et je l’ai sucé encore et encore, léché ses couilles et branlé d’abord doucement puis rapidement et le zob s’est réveillé et s’est gonflé et durci. Je voyais qu’il était suffisant pour me défoncer, alors je me suis agenouillé sur les cuisses de Arezki , les cuisses de part et d’autres de son corps et j’ai enfoncé son zob dans ma chatte. Assise sur son zob j’ai commencé mes vas et viens et mes mouvements droite et gauche pour me fouiller la chatte de partout. Le plaisir m’inondait le corps et ma chatte jouissait à fond et j’ai presque perdu conscience mais je me retenais pour mieux profiter de ce zob puissant. J’ai obtenu par deux fois un orgasme et j’ai mouillé le bas ventre et les cuisses de mon amant et j’ai continué. Je voulais qu’il jouisse, qu’il éjacule et j’hésitais si je le laissais s’épancher dans ma chatte ou au dehors. Il semble assez puissant pour me remplir la chatte et me faire un enfant car j’ai fait l’erreur de ne pas prendre de pilule. Mais la prochaine fois je prendrais mes précautions car je voulais ressentir les jets puissants de son sperme dans mon intérieur. A défaut, je vais avaler son sperme et j’ai continué à danser de la chatte sur son zob. Enfin, il m’avertit qu’il allait jouir, alors j’ai retiré le zob de ma chatte et je l’ai branlé vigoureusement face à mon visage. Et quant il a éjaculé par trois fois, j’ai recueilli le maximum dans ma bouche pur l’avaler et j’ai mis le zob dans ma bouche pour le sucer et extraire le reste de sperme de ses couilles. Il me semblait que Arezki me regardait avec surprise et quant j’ai terminé je me suis allongé à coté de lui. Il a regardé vers mon mari qui dormait toujours avec un léger ronflement. Alors il m’a demandé comment une femme comme moi a pu épouser son ami diminué et je lui chuchoté à l’oreille que la condition c’était justement qu’il me permettait de faire ce que je viens de faire avec ton zob. Il ajouta qu’il était content d’avoir été choisi par son vieil ami et que nos secrets seront respectés qu’elle que soit la suite de nos relations. Je crois que Arezki avait deviné qu’il me suffisait pour l’instant et quelques temps pour satisfaire son copain et moi-même, mais il a vu mon tempérament sexuel et devinait qu’il me faudrait bien d’autres zobs pour ma chatte. C’est pourquoi il a parlé de garder le secret malgré la suite peut-être nulle, de nos relations. Puis nous sommes allés à la salle de bain attenante et nous avons pris une douche ensemble en faisant le minimum de bruits. Puis au retour dans la chambre, mon mari était réveillé et nous regardait alors que nous étions encore tous nus, juste nos peignoirs de bain. J’ai jeté le mien et nue je me suis glissée sous les draps et Arezki fut obligé aussi de jeter son peignoir et de se montrer tout nu pour se rhabiller. Ensuite, mon mari et Arezki sortirent de la chambre et quelques minutes plus tard mon mari revint et se recoucha en pyjama à coté de moi, toute nue. Après un moment de silence, il se pencha sur moi et me demanda gentiment si j’avais été heureuse. Je lui ai répondu qu’il avait fait un bon choix d’un ami discret. Il a insisté sur le coté sexuel et j’ai du lui avouer que le zob de son ami a été à la hauteur et qu’il m’avait niquée cinq fois toute la matinée et m’a donné plusieurs orgasmes et qu’il a éjaculé plusieurs fois mais en dehors de ma chatte. Il resta silencieux un moment puis il me dit que je n’étais pas entièrement satisfaite car son ami n’avait pas éjaculé dans ma chatte et que pour une femme, c’est un manque cruel. J’ai été étonné de ces remarques judicieuses, mais c’est vrai qu’avant sa maladie il devait être un grand baiseur et connaissait les femmes. Puis il prolongea son bras et ouvrit le tiroir de ma commode et sortit une boite. Il l’ouvrit et me montra une boite de pilules et me dit que j’avais eu tord de ne pas les avoir utilisés et profiter à fond du zob de son ami. J’étais si heureuse de sa gentillesse que je me suis tournée vers et l’entourant de mon corps, je l’ai embrassé en toute sincérité. Alors il m’a promis que demain matin son ami reviendra pour me faire encore jouir et alors je devrais dès aujourd’hui, prendre les pilules. Je l’ai encore embrassé, promettant de suivre ses conseils, puis nous nous sommes couchés jusqu’à 13 ou 14h.
Nos relations spéciales avec le zob de Arezki ont duré d’abord toute cette première semaine de mariage et la suivante car mon mari lui a prolongé l’invitation avec quelques autres de nos amis. Bien entendu ma chatte, comme promis, a gouté son sperme et son zob la remplissait plusieurs fois par matinée, ainsi que ma bouche. Puis il est parti me promettant d’être présent tout de suite chaque fois que je l’appellerais. Ensuite, nous sommes restés environ quinze jours et la fête a diminué jusqu’à s’éteindre au bout d’un mois. Ensuite nous avons commencé une vie à deux, avec seule la femme de ménage qui suffisait pour l’instant. Mon ami n’arrivait pas à trouver un remplaçant local de Arezki pour ma chatte et ça le chagrinait.
En effet, un jour que j’étais en visite chez mes parents, j’ai rencontré mon neveu Allal qui avait comme je l’ai dit un grave problème de sexe et ne pouvait se marier. Mais c’était un homme ouvert sur le monde et connaissait pas mal de choses. Sachant que j’étais en fac, on a beaucoup discuté de tout et de rien mais il m’a avoué que ma sœur Zizi lui avait parlé de moi. Je n’avais pas bien saisi mais il m’a invité à venir en discuter chez lui dans sa grande maison où il vivait en solitaire, juste la femme de ménage pour la journée. Et le lendemain, je suis allé le voir chez lui. Ce fut un éblouissement pour moi que cette grande et belle maison totalement équipée de neuf.
J’ai visité toutes les pièces et le jardins y attenant. La seule chose qui m’avait désolé ce fut la chambre à coucher. C’était une grande pièce mais avec une petit lit à une place. Malgré ses armoires, à moitié vides et sa belle coiffeuse inutile, la pièce était sinistre, juste à cause de ce petit lit une pièce. Je lui ai fait la remarque durant la visite avant qu’il me parle de son projet et il m’a répondu que c’était cela son problème. Je lui ai dit qu’il avait beaucoup d’argent et qu’il pouvait le changer par un grand et large lit deux pièces puis le remplir avec une épouse à la hauteur. C’est alors qu’il me proposa de m’épouser. Je lui ai parlé de la différence d’âge et que j’avais des projets et des choses personnelle. Alors, il m’a dit que ma sœur lui avait expliqué mon problème, les désirs inassouvis de ma chatte et mes fréquentations multiples et mon amour pour l’argent. J’étais choquée que ma sœur ai parlé à l’un de notre famille de mes secrets sexuels. J’ai cru qu’il voulait seulement me baiser comme les autres mais il a continué me disant qu’il avait lui aussi un gros problème sexuel. Je me suis tu en prêtant l’oreille, attendant ses secrets et il m’a fait promettre de n’en parler à personne et j’ai juré de tout garder pour moi. Et ainsi il m’a avoué son infirmité sexuelle suite à son accident depuis 4 ans. Mais je lui ai dit comment pouvait-il m’épouser, s’il ne peut pas coucher avec moi. Il m’a dit que nous serons mariés devant les gens et la famille et vivrons ensemble dans cette maison et que j’avais la liberté de l’arranger et meubler comme je veux. Et que de son coté il fermera les yeux sur mes frasques sexuelles avec des hommes, à conditions de prendre le maximum de précautions. J’étais éberluée mais je réfléchissais en vitesse car ce n’était pas une mauvaise idée, pas du tout. Je pouvais baiser des hommes autant que je veux, peut-être même dans cette maison et en présence de mon mari, et tout le monde me considèrerait comme épouse normale. Et comme il était riche, la vie serait facile et aisée et je pourrais même aider ma famille. J’ai répondu qu’il fallait que je consulte ma grande sœur qui a été toujours ma confidente, sans lui avouer ma complice.
Dès le lendemain j’en ai discuté avec Zina et ce qu’elle m’a dit fut une autre surprise pour moi. Mon cousin avait déjà fait sa proposition à Zina, lui avouant son problème et le secret. Mais comme elle tenait à son copain, sa liberté et ses études, elle avait refusé mais elle lui avait proposé sa jeune sœur, en l’occurrence moi-même en lui avouant aussi mes secrets. Une vraie trahison de ma sœur mais au lieu de l’engueuler, je l’ai embrassée. Et rapidement mon neveu a prit contact avec mes parents pour m’épouser. Comme mon père avait de gros problèmes avec sa trop nombreuse progéniture et que Allal était riche et avait une rente solide et une grande propriété, mon père a accepté immédiatement. J’ai fait semblant de refuser comme quoi ce neveu était trop vieux mais ils m’ont répondu que justement je serais peut-être rapidement veuve et tout a été bouclé. Trois mois plus tard nous étions mariés et habitions la grande maison dont j’ai changé pas mal d’équipements, à commencer par le petit lit de la chambre à coucher. Et j’ai rempli les armoires et utilisé la coiffeuse et j’ai gardé la femme de ménage et j’ai même proposé qu’on recrutera certainement une deuxième plus jeune à cause des fêtes et invitations que nous ferons. Et tout marchait à merveille pendant ces 3 mois de fiançailles, où j’ai été très sage de la chatte. Pendant la première semaine, notre famille faisait la fête dans notre grande maison jusqu’au petit matin puis on s’endormait tus jusqu’à 13 ou 14h. Puis la maisonnée reprenait vie et fête jusqu’au lendemain à l’aube et ça durait depuis une semaine. Bien entendu, dès l’aube, j’allais, avec mon mari, coucher dans notre chambre dans le même lit et j’ai vu le zob de mon neveu. Il était presque normal mais totalement mou et recroquevillé et malgré mes tentatives il ne réagissait pas. Mon mari m’a expliqué que son ancienne campagne étrangère a fait beaucoup et même avec des tas de produits, sans résultats et les médecins ont expliqué que c’était impossible. Comme j’étais chagrinée et même fâché, selon lui, il m’a proposé de satisfaire ma chatte avec sa langue et ses doigts mais ce n’était mon genre, il me fallait un bon gros zob solide, dur et bien gonflé pour me pénétrer et me pilonner la chatte à fond et jusqu’aux couilles puis éjaculer sinon c’était pas la peine. Alors, il m’a proposé un ami, un intime qui avait environ 50 ans et qui était avec lui à l’étranger pendant des années. Il connaissait son problème et il pouvait me satisfaire en gardant le secret. J’ai accepté tout de suite et dès la troisième nuit de mariage, il est allé le chercher avant l’aube pour le cacher dans notre chambre. Et quant, après la fête, à l’aube et que tout le monde est allé se coucher, mon mari et moi avons rejoint notre chambre. Et son ami était la, normalement habillé et il me l’a présenté comme nommé Arezki. De grande taille et les cheveux gris, il avait de belles moustaches et semblait être sportif. Sachant ce qu’on allait faire, et pour le début, mon mari s’est réfugié dans la grande salle de bain attenante à la chambre. Alors Arezki m’a enlacé et embrassé et tout de suite j’ai senti contre mon ventre son sexe qui semblait bandé et dur, en tout cas il me provoquait le bas ventre. C’était un bon début. Il m’a félicité de ma beauté et de mon corps formidable. Ses paroles ne m’interessaient pas et quant il a commencé à me déshabiller je l’ai aidé et rapidement je fut nue devant ses yeux qui brillaient de désir. Lui aussi s’est débarrassé de ses vêtement en extrême vitesses et m’apparut à poil, le zob déjà gonflé et pointant à l’horizontale et avec une tête énorme comme celle des zobs des noirs. J’étais satisfaite du choix de mon mari.
Il me demanda si son zob me convenait et j’ai plongé dessus. Je l’ai avalé dans ma bouche et commencé à le sucer, le lécher jusqu’aux couilles gonflées et le branler durement. Il était dur et assez épais pour me convenir. Ma réponse a du lui plaisir et il gémissait déjà de plaisir. Soudain j’ai vu mon mari qui entrait lentement dans la pièce et s'essayait dans un grand fauteuil en face du lit. J’ai pensé que ça ne me gênait pas, au contraire et j’ai augmenté mes sussions bruyants et mouillés qui commençaient à m’exciter la chatte. Arezki me poussa légèrement sur le coté et sa main se projeta vers mes fesses qu’il caressa et ses doigts glissèrent plus bas vers ma chatte. Je me suis positionnée pour lui permettre d’atteindre ma chatte et me caresser. On s’est donc caressé un moment, puis il me poussa, dos sur le lit. Il s’installa entre mes jambes et cuisses écartées et tenant son zob il le dirigea vers ma chatte. Dès qu’il toucha les lèvres de mon sexe, j’ai eu un choc et un orgasme bruyant et mouillé. J’ai gueulé un bon coup et il resta un instant à la porte de ma chatte et laissa ma cyprine couler puis il plongea et enfonça en force son zob dans ma chatte. J’étais plus que chaude et ouverte et le zob s’enfonça en vitesse jusqu’aux couilles et jusqu’au fond de ma chatte. La aussi, j’ai crié mon plaisir car ma chatte était à jeun de zobs depuis plusieurs jours. Arezki hurla aussi sa victoire en plongeant au fond de ma chatte en appelant son zob à satisfaire cette femelle si chaude qui l’avait avalé si facilement.
Et il commença ses vas et viens parfois accélérés et parfois ralentis. Ce sont ces mouvements ralentis en reculant puis en s’enfonçant de force qui me donnaient le plus de jouissance et à lui aussi semble t-il car il hurlait autant que moi. J’ai pensé lui demander de ne pas crier mais j’ai tout de suite réfléchi que ceux qui peuvent nous entendre penseraient que c’était mon mari qui m'amenait ainsi au septième ciel du sexe. Alors, autant gueuler au maximum, me libérant totalement aux plaisirs et aux jouissances. Mon mari était et j’avais son autorisation de me faire niquer à fond par le zob de son ami Arezki. Et nus avons baisé ainsi pendant des heures, ralentissant parfois et même nous arrêtant parfois mais toujours reprenant. Il avait un zob dur et plein de ressources ainsi que ses grosses couilles. En effet, moi j’ai joui plusieurs fois, ayant plusieurs orgasmes bruyants et pleins de mouilles et lui a éjaculé par quatre fois. Deux fois me baisant en face et chaque éjaculation de trois jets puissants sur mon bas ventre et ma poitrine. J’ai léché et essayer de bouffer son sperme. Puis il m’a baisé par derrière dans ma chatte, aussi par deux fois en éjaculant chaque fois sur mes fesses et mon dos. Puis il s’est couché à coté de moi. Mon mari s’était endormi dans le fauteuil en face. Le zob de Arezki s’était fatigué et se courbait sur ses cuisses. Alors je me suis agenouillé sur le lit et je l’ai sucé encore et encore, léché ses couilles et branlé d’abord doucement puis rapidement et le zob s’est réveillé et s’est gonflé et durci. Je voyais qu’il était suffisant pour me défoncer, alors je me suis agenouillé sur les cuisses de Arezki , les cuisses de part et d’autres de son corps et j’ai enfoncé son zob dans ma chatte. Assise sur son zob j’ai commencé mes vas et viens et mes mouvements droite et gauche pour me fouiller la chatte de partout. Le plaisir m’inondait le corps et ma chatte jouissait à fond et j’ai presque perdu conscience mais je me retenais pour mieux profiter de ce zob puissant. J’ai obtenu par deux fois un orgasme et j’ai mouillé le bas ventre et les cuisses de mon amant et j’ai continué. Je voulais qu’il jouisse, qu’il éjacule et j’hésitais si je le laissais s’épancher dans ma chatte ou au dehors. Il semble assez puissant pour me remplir la chatte et me faire un enfant car j’ai fait l’erreur de ne pas prendre de pilule. Mais la prochaine fois je prendrais mes précautions car je voulais ressentir les jets puissants de son sperme dans mon intérieur. A défaut, je vais avaler son sperme et j’ai continué à danser de la chatte sur son zob. Enfin, il m’avertit qu’il allait jouir, alors j’ai retiré le zob de ma chatte et je l’ai branlé vigoureusement face à mon visage. Et quant il a éjaculé par trois fois, j’ai recueilli le maximum dans ma bouche pur l’avaler et j’ai mis le zob dans ma bouche pour le sucer et extraire le reste de sperme de ses couilles. Il me semblait que Arezki me regardait avec surprise et quant j’ai terminé je me suis allongé à coté de lui. Il a regardé vers mon mari qui dormait toujours avec un léger ronflement. Alors il m’a demandé comment une femme comme moi a pu épouser son ami diminué et je lui chuchoté à l’oreille que la condition c’était justement qu’il me permettait de faire ce que je viens de faire avec ton zob. Il ajouta qu’il était content d’avoir été choisi par son vieil ami et que nos secrets seront respectés qu’elle que soit la suite de nos relations. Je crois que Arezki avait deviné qu’il me suffisait pour l’instant et quelques temps pour satisfaire son copain et moi-même, mais il a vu mon tempérament sexuel et devinait qu’il me faudrait bien d’autres zobs pour ma chatte. C’est pourquoi il a parlé de garder le secret malgré la suite peut-être nulle, de nos relations. Puis nous sommes allés à la salle de bain attenante et nous avons pris une douche ensemble en faisant le minimum de bruits. Puis au retour dans la chambre, mon mari était réveillé et nous regardait alors que nous étions encore tous nus, juste nos peignoirs de bain. J’ai jeté le mien et nue je me suis glissée sous les draps et Arezki fut obligé aussi de jeter son peignoir et de se montrer tout nu pour se rhabiller. Ensuite, mon mari et Arezki sortirent de la chambre et quelques minutes plus tard mon mari revint et se recoucha en pyjama à coté de moi, toute nue. Après un moment de silence, il se pencha sur moi et me demanda gentiment si j’avais été heureuse. Je lui ai répondu qu’il avait fait un bon choix d’un ami discret. Il a insisté sur le coté sexuel et j’ai du lui avouer que le zob de son ami a été à la hauteur et qu’il m’avait niquée cinq fois toute la matinée et m’a donné plusieurs orgasmes et qu’il a éjaculé plusieurs fois mais en dehors de ma chatte. Il resta silencieux un moment puis il me dit que je n’étais pas entièrement satisfaite car son ami n’avait pas éjaculé dans ma chatte et que pour une femme, c’est un manque cruel. J’ai été étonné de ces remarques judicieuses, mais c’est vrai qu’avant sa maladie il devait être un grand baiseur et connaissait les femmes. Puis il prolongea son bras et ouvrit le tiroir de ma commode et sortit une boite. Il l’ouvrit et me montra une boite de pilules et me dit que j’avais eu tord de ne pas les avoir utilisés et profiter à fond du zob de son ami. J’étais si heureuse de sa gentillesse que je me suis tournée vers et l’entourant de mon corps, je l’ai embrassé en toute sincérité. Alors il m’a promis que demain matin son ami reviendra pour me faire encore jouir et alors je devrais dès aujourd’hui, prendre les pilules. Je l’ai encore embrassé, promettant de suivre ses conseils, puis nous nous sommes couchés jusqu’à 13 ou 14h.
Nos relations spéciales avec le zob de Arezki ont duré d’abord toute cette première semaine de mariage et la suivante car mon mari lui a prolongé l’invitation avec quelques autres de nos amis. Bien entendu ma chatte, comme promis, a gouté son sperme et son zob la remplissait plusieurs fois par matinée, ainsi que ma bouche. Puis il est parti me promettant d’être présent tout de suite chaque fois que je l’appellerais. Ensuite, nous sommes restés environ quinze jours et la fête a diminué jusqu’à s’éteindre au bout d’un mois. Ensuite nous avons commencé une vie à deux, avec seule la femme de ménage qui suffisait pour l’instant. Mon ami n’arrivait pas à trouver un remplaçant local de Arezki pour ma chatte et ça le chagrinait.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Un scénario original, un cadre envoûtant, et la perversion en point d'orgue. Peut-être le récit aurait-il pu être amélioré en incluant la narration du mari