Terma 80 : Zouina, nouvelle jeune épouse vierge du vieux Said et son beau fils Slimane:

- Par l'auteur HDS Noura -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Terma 80 : Zouina, nouvelle jeune épouse vierge du vieux Said et son beau fils Slimane: Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-08-2020 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Terma 80 : Zouina, nouvelle jeune épouse vierge du vieux Said et son beau fils Slimane:
Le vieux Said, 75 ans maintenant, a perdu sa campagne de 40 ans y a deux ans. Tous ses enfants âgés et/ou mariés ont organisés leurs vies et familles dans plusieurs villes, loin de la ferme. Ne pouvant rester seul, le vieux s’est remarié depuis un an, avec Zouina, la fille de 22 ans d’un autre fermier de la même région. Le père de la fille voyait surtout l’héritage à la mort du vieux Said. Le problème c’est que Said, depuis quelques années, ne bandait pas bien et son sperme était faible. Ce qui fait qu’après une année, non seulement il n’a pas eu d’enfant mais son secret est qu’il n’a pas réussi à déflorer normalement sa jeune épouse qui a gardé leur secret, ayant toujours en vue l’héritage. Sur les documents officiels, ils sont mari et femme, sans problème. Au début, sa femme l’a obligé à prendre des produits aphrodisiaques et qui font bander, comme viagra et autres. Sa bite que la femme suçait et branlait à fond, s’allongeait certes mais restait molle et n’arrivait pas à percer l’hymen solide de la jeune épouse. Après quelques mois, ils ont abandonné leurs tentatives sexuelles. Mais ils s’occupaient bien de la ferme.
Sa ferme comportait plusieurs hectares de terres labourables, une grande maison de campagne avec plusieurs chambres et tout le nécessaire (eau, électricité, cuisine vaste, salon paysan) et un vaste jardin accolé à la maison et polyvalent, avec des espaces pour légumes et des dizaines d’arbres fruitiers. Ils ont même un puits fonctionnel avec pompe et l’eau circule partout. Il possède aussi une vache pour le lait et plusieurs petits animaux de bassecour (poulets, oies, lapins et autres). C’est donc bien un héritage tentant pour sa femme même vierge. Il se lève à 6h, prend son petit déjeuner préparé à partir de 5h30 par Zouina et travaille aux champs et jardin. Vers 13h Zouina lui apporte un lunch qu’ils prennent ensemble dans le jardin, puis il fait une sieste de 1h30 à 2h sous les arbres. Il continue ensuite son travail et rentre vers 19h à la tombée de la nuit. Rapidement, entre 19h et 20h, il prend son diner et se couche rapidement avant 21h comme une souche jusqu’à son réveil par Zouina à 6h. Et toutes les journées et nuits se ressemblent. Zouina, en plus de la préparation à manger, doit nourrir les animaux de la ferme (basse cour et vache) . Le reste du temps, elle fait du ménage, des lavages et dort. Elle a accepté sa situation sur ordre du père et elle sait que dans la région, elle n’était pas la seule. Elle connaissait au moins trois filles, très jeunes, mariée à des vieux séniles ou malades et par quelques confidences, certaines étaient encore vierges. C’est devenu une chose classique dans cette région ou il y avait plusieurs veufs très âgés et remariés ainsi , car leurs enfants, refusant le travail en campagne les ont abandonnés. Il y a aussi quelques veuves qui ont pris seules en gestion les fermes de leurs défunts époux. Certaines se sont remariées avec de jeunes fermiers et vivent bien leur situation, quelques unes ont même acceptées d’avoir un ou deux enfants par la suite. Mais plusieurs veuves prennent des ouvriers payés au travail mais elles restent célibataires. Pour leurs besoins sexuels, certaines couchent de temps en temps et sous certaines précautions, discrètement, avec l’un ou l’autre de leurs ouvriers agricoles non permanents.
Revenons au vieux Said et sa femme Zouina. Après une année de mariage, le vieux se sentant de plus en plus faible, essaya de reprendre contact avec quelques uns de ses fils en ville et ailleurs pour venir l’aider mais tous refusèrent, sauf Slimane. Celui-ci, âgé maintenant de 35ans, était parti travailler et vivre à l’étranger depuis l’âge de 12 ans. Il faisait quelques boulots mais jamais permanents, et vivait difficilement. Cependant, son dernier poste qu’il tient depuis plus de 2 ans était factotum et réceptionniste dans un petit hôtel. Très beau et solide gaillard, rapidement il est devenu l’amant de Suzanne, 50ans, la veuve propriétaire de l’hôtel, mais il supportait mal le caractère colérique de sa maitresse, au sens propre du terme. Quant il reçut l’offre de son vieux père Said, il sauta sur l’aubaine mais sous certaines conditions. Il s’occupera de la ferme avec et sous les ordres de son père, propriétaire, jusqu’à la mort du vieux. Puis il prendra en charge et en permanence la veuve du père et lui donnera sa part d’héritage. De son coté, il héritera, à la mort de son père, de tout ce que possédait ce dernier (terres, maison, jardins et contenus). Alors, trois jours plus tard, il revint au pays et se retrouva, en ville avec son père, chez un notaire où les documents furent officiellement écrits et chacun a eu un exemplaire. Le soir même, il monta avec son père à la ferme. Il prit connaissance de Zouina et on lui aménagea une des chambres de la grande maison.
Il faisait encore assez jour, alors son père lui fit visiter la ferme, terres, jardin et autres dépendances et lui expliqua dans chaque cas, ce qu’il y avait à faire. En réalité, Slimane avait vécu en ferme dans son enfance et un peu sa jeunesses et jusqu’à son départ à l’étranger à 12 ans, il avait vu et même aidé un peu aux travaux de la ferme. Il était parti sous les pleurs de sa mère et la colère du père, mais aujourd’hui, alléché par l’héritage, il était prêt à faire le nécessaire de ce qu’il considère déjà comme sa propriété. Juste après le diner, son père est allé se coucher. Et Slimane s’attardait dans la cuisine et pu ainsi discuter avec Zouina, l’épouse. Il trouva qu’elle était assez jeune mais très jolie et surtout appétissante, au vu de sa croupe ronde et agile. Ses yeux étaient suffisamment éloquents et Zouina le remarqua et cela lui était agréable. Elle l’observa elle aussi et trouva qu’il semblait être un homme dans la force de l’âge, solide, vigoureux. La seule chose qui lui paru bizarre, c’est qu’il n’avait ni barbe ni moustache et ses cheveux trop longs jusqu’au cou. Mais Zouina l’adopta immédiatement et accepta de discuter avec lui. Il lui raconta ce qu’il faisait en France et comme elle lui demandait s’il était marié, il répondit franchement que non mais qu’il vivait avec une femme Suzanne comme un mari. De son coté, il lui demanda la raison d’avoir épousé, si jeune, son vieux père depuis un an et aussi pourquoi elle n’a pas d’enfant. Elle rougit mais répondit que c’était la volonté de son père à elle et que pour les enfants, c’est le vieux Said qui ne veut pas. Elle n’allait pas lui avouer leur secret et qu’elle était encore vierge. Ensuite, il rejoignit sa chambre et s’endormit rapidement, fatigué. Zouina finit, comme d’habitude sa vaisselle puis rejoignit la chambre de son mari pour se coucher. Le sommeil tarda un peu car Zouina pensait à ce Slimane, homme véritable, maintenant sous le même toit qu’elle et cela l’excitait avec un léger sentiment de désir et de honte. Elle pensa à sa virginité et à l’impossibilité d’avoir des enfants, mais avec un gars comme ce grand fils, s’il le voulait, elle pourra lui offrir de la déflorer en faisant attention au vieux. Et elle s’endormit sous ces pensées osées et agréablement honteuses.
Le lendemain, à 6h, Zouina avait déjà le petit déjeuner sur la grande table de la cuisine, et elle réveilla son mari, qui, rapidement se débarbouilla dans la vaste salle de bain et rejoignit la cuisine. Slimane n’était pas encore réveillé et Said donna l’ordre à sa femme d’aller le secouer. Elle alla toquer à sa chambre et, ne recevant pas de réponse, elle ouvrit doucement la porte et regarda à l’intérieur. Slimane dormait, dos au lit, bras et jambes écartées. Il était en slip seulement et Zouina observa son torse puissant et poilu, ainsi que ses cuisses, aussi velues. Elle temporisa un peu pour mieux admirer ce corps d’homme véritable, le comparant avec celui de son vieux mari chétif à l’extrême. Et cela l’excita et son corps s’agita et frissonna de désirs. Sa main alla directement s’agiter contre son bas ventre et sa chatte. Comme elle n’avait que sa robe de maison, assez fine, elle avait l’impression que sa main touchait directement la chair de sa chatte. Par sa main, sa robe s’enfonça visiblement dans sa chatte. Elle ne s’aperçut pas que Slimane était réveillé et l’observait sans bouger. Il voyait cette robe enfoncé dans le creux des cuisses et cette main qui frottait la chatte. Il comprit immédiatement que cette jeune femme était en excitation sexuelle et qu’il avait donc une possibilité de la conquérir. Zouina se rendit compte que Slimane l’observait, alors elle retira sa main et lui dit que son père l’attend pour le petit déjeuner et elle s’enfuit prestement. Elle passa dans la chambre de son mari, à deux ou trois mètres plus loin et constata qu’elle mouillait dans sa chatte et humidifiait sa robe. Elle s’allongea sur le lit comme si elle était épuisée et sa main est encore parti vers sa chatte. Elle constata que son sexe était mouillé et une tache humide s’élargissait sur sa robe de chambre. Elle mit un grand et long châle sur ses épaules et jeta un coup d’œil dans la cuisine. Elle était vide donc les deux hommes sont parti au travail, alors elle retourna vers la salle de bain et enleva sa robe de nuit. Elle vérifia sa chatte et vu sa mouille qui faisait briller ses cuisses. Elle se frotta un peu le sexe et immédiatement le désir lui monta à la tête. Elle courut se doucher pour éteindre le feu qui la brulait. Puis elle s’habilla normalement et retourna à la cuisine pour prendre son petit déjeuner et laver la vaisselle. Ensuite elle sortit pour nourrir les animaux de la basse cour et contrôler la vache. Puis elle retourna à la cuisine pour préparer le déjeuner frugal des deux hommes, qu’elle devra leur apporter au jardin vers 13h. Elle fit un peu de ménage puis elle alla arranger le lit de son mari, ensuite elle pénétra dans la chambre de Slimane. Mais au lieu d’arranger le lit, elle s’assit dessus et prit les drap pour les sentir en fermant les yeux. Elle crut sentir la sueur et l’odeur du mâle, alors elle se coucha sur le lit à plat ventre pour mieux ressentir ses effets. Elle rêva un moment qu’elle se couchait sur le corps de l’homme et elle écarta ses jambes et cuisses à fond, en enfonçant son bas ventre à fond comme à la recherche du sexe de Slimane. Comme ce matin, elle commença à s’exciter et ressentir des frissons dans son sexe et tout son corps. Elle eu l’audace de retrousser ses vêtement pour mettre en contact direct ses cuisses, son bas ventre et sa chatte nue sur les draps de Slimane et se frotta plusieurs fois dessus. Puis elle se retourna et se coucha sur le dos, et se frotta les fesses nues sur les draps pour ressentir d’autres plaisirs. Et c’est ainsi qu’elle passa plus d’une heure à se trémousser et à se frotter, puis elle se dégagea et arrangea le lit de Slimane et retourna à la cuisine. Vers 13h elle rejoignit le jardin avec le lunch des deux hommes. Et pour la première fois depuis son mariage, elle était sans slip, la chatte libre sous sa grande robe de ménage. Elle mangea avec les homme puis, au lieu de retourner à la cuisine, elle alla cueillir quelques fruits dans le jardin. Dix minutes plus tard, elle revint vers les deux hommes, son mari, à son habitude s’est allongé sous un arbre et dormait, il en avait pour deux heures de sieste, et Slimane travaillait déjà le sillon d’eau sous un arbre. Elle s’assit face à l’homme, tenant ses genoux hauts, et ayant discrètement relevé sa robe. Ainsi, face à elle, Slimane pouvait voir nettement ses cuisses nues par-dessous et l’ombre de sa chatte sans slip. Au début, il fit comme s’il ne voyait rien, mais il ne put résister et il s’assit aussi face à Zouina qui lui offrit un fruit. Zouina allongea ses bras sur le sol de part et d’autre et pencha son corps vers l’arrière en écartant encore plus ses cuisses. Ainsi, et en pleine lumière, Slimane pouvait admirer les cuisses mais surtout la chatte nue de Zouina et même son petit trou de cul par-dessous. Ils restèrent ainsi un bon moment, goutant chacun le plaisir ressenti. La bite de Slimane s’était bondée et gonflait à fond et la grosse bosse au niveau de sa braguette était éloquente. Lui aussi, il avait écarté ses cuisses et un peu en arrière, c’était comme s’il offrait son gros sexe à la chatte. Audacieuse et complètement excitée, ne se maitrisant plus, Zouina lui demanda de faire comme elle. Comme il ne comprenait pas, elle désigna ce qu’elle lui offrait sous sa robe. Sa voix était lasse de désir et Slimane, lui aussi excité comprit ce que voulait la femme de son père. Alors, prenant courage, il ouvrit sa braguette, dégagea sa grosse sa grosse bite déjà debout, verticale car gonflée de désir. Et il resta ainsi assis, le dos un peu en arrière et offrait son zob au regard de la jeune femme. Comme hypnotisée, elle avança lentement vers lui et admira le gros sexe masculin. La différence avec celui de son mari était manifeste, énorme et Zouina eut presque peur devant ce monstre long et large. Slimane s’allongea complètement le dos sur l’herbe et offrit son zob vertical et dégagea aussi ses couilles. Alors Zouina, encouragée, prit la bite en main, la soupesa, la caressa et la pressa pour bien ressentir sa force, sa puissance et aussi sa douceur. Un morceau de chair merveilleusement excitant et qui affola les sens de la jeune femme verge. Slimane, qui fermait les yeux pour libérer et encourager la femme à toucher sa bite, reçut le choc du contact de la main douce, féminine, de Zouina sur son zob. Il eut un léger gémissement de jouissance à ce contact et son zob se gonfla encore plus. Puis il sentit la bouche et la langue de la femme sur son sexe. Zouina, même sans expérience, ne put s’empêcher d’avaler ce fabuleux zob pour le sucer et le lécher d’une langue gourmande. Puis elle commença, naturellement à le caresser et à le branler doucement. Le sexe grossit encore plus et son épaisseur augmenta de volume et Zouina ressentit tout cela. Elle eut un choc de désir dans sa chatte, alors elle ne résista plus. Elle se leva complètement, se plaça debout au dessus de la poitrine de l’homme, puis, jambes de part et d’autre de la poitrine de Slimane, elle souleva sa robe et écarta ses cuisses. Slimane ouvrit les yeux et, complètement conquis, vit la chatte de Zouina entre les cuisses écartées et la robe soulevée. Mais la femme avait d’autres suites dans les idées, elle se baissa et s’assit, nue, sur la poitrine de Slimane qui reçut ainsi le contact direct, sur sa peau, des cuisses et de la chatte de la jeune femme. Son zob, libre et vertical derrière le dos de Zouina se gonfla encore plus, presque à lui faire mal. Mais il ne fit aucun geste et Zouina recula lentement jusqu'à ressentir le contact du zob contre ses fesses. Encore un choc qui fait gémir et souffler Slimane. Même avec ses maitresses à l’étranger, il n’avait jamais été aussi excité. Zouina, prenant son plaisir en toute liberté, se frotta sa chatte sur le bas ventre de l’homme et ses fesses sur le zob derrière. Ensuite elle laissa tomber sa robe pour recouvrir et cacher ce qui se passait par-dessous. Puis, sous cette tente improvisée, elle se souleva un peu, alla chercher avec sa main, le gros zob sous sa robe et l’empoigna. Puis, doucement, elle le dirigea vers sa chatte ouverte. Rapidement, la tête du zob prit contact avec l’ouverture de la chatte et Zouina s’assit encore mieux. Cela permit au zob de s’enfoncer u peu dans sa chatte et Zouina, levant la tête au ciel, lança un grand et long gémissement de plaisir. Enfin, un vrai zob entrait dans sa chatte encore vierge. Quant elle se confirma qu’une partie du zob l’avait pénétrée, et était bien installé, elle commença de légers mouvements haut et bas qui la firent gémir encore plus. Elle haletait et Slimane était dans la même situation, il ne bougeait certes pas, mais son cœur battait la chamade et il gémissait autant que la jeune femme d’un début de jouissances. Zouina maitrisait par sa main, les enfoncements partiels du zob dans sa chatte, pour calculer et diriger ses premières jouissances. Elle continuait ainsi pendant plus de dix minutes, profitant de ces nouveau plaisirs. Puis elle prit sa décision. Alors, elle se baisse encore plus et enfonça avec sa main le zob dans sa chatte. Il s’enfonça certes, d’autant plus que chatte mouillait, mais rapidement il rencontra le mur de l’hymen. Zouina, voulant vraiment perdre sa virginité, poussa plus fort, mais ne réussit pas dans sa manœuvre. Alors , elle secoua Slimane pour l’aider à mieux pousser. Slimane ouvrit les yeux et le spectacle de Zouina assise sur son zob l’excita encore mieux. Alors il empoigna les fesses de la femme et les poussa vers son ventre. En même temps il souleva son bassin et enfonça son zob par une poussée de reins. Il commença aussi des vas et viens et accéléra, puis il poussa plus fort. Il rencontra le mue de l’hymen et comprit que cette Zouina était vierge. Il se bloqua un instant et regarda la femme qui lui sourit et de la tête et des mains, le poussa à continuer. Alors, il poussa plus fortement ses reins et attira d’un coup puissant les fesses de la femme sur son zob. Ce dernier déchira l’hymen et continua sa route vers le fond de la chatte, jusqu’à faire claquer les deux bas ventres. Zouina, délivrée, hurla de douleur, mais elle était tellement chaude de désirs et voulait ardamment être dépucelée, que rapidement la douleur, comme une brève étincelle diminua et fut remplacée par la douceur du frottement du zob au fond de la chatte. Slimane s’arrêta pour laisser la douleur s’estomper et bougea légèrement pour exciter la chatte et Zouina ressentit un début de plaisir. Levant la tête en l’air puis l’abaissant pour embrasser Slimane, elle éclata d’un grand et long rire, presque hystérique. Heureusement que le vieux qui dormait à quelques arbres plus loin avait le sommeil lourd. Elle venait de perdre sa virginité et Slimane ne s’arrêta pas. Il continuait par des vas et viens lents et légers pour bien lustrer par son zob, l’intérieur doux de la chatte de Zouina. Il voulait habituer ce jeune sexe féminin, à la longueur et épaisseur de son zob. Rapidement Zouina oublia sa douleur qui fut remplacé par des frottements agréables à l’intérieur de sa chatte et désirait plus et que ça continue. Elle essaya même, par des coups de ses reins, d’aider aux vas et viens de Slimane et le poussait à en faire plus. L’homme comprit ses désirs et accéléra un peu sa cadence, sans oublier de caresser et les fesses et provoquer l’anus de la femme. Ces mouvements et contacts amplifièrent les jouissances de Zouina qui hurla presque son premier orgasme, abondant de mouille qui inonda le zob et les cuisses de l’homme. Elle s’effondra sur la poitrine de Slimane, terrassée par les jouissances de son orgasme violent. C’était le premier de sa vie car même ses légers masturbations de vierge n’avaient jamais abouti à un orgasme autant fort et aussi agréable. Slimane resta immobile un bon moment, laissant Zouina se calmer et reprendre ses esprits. Puis, il la poussa doucement et l’allongea à son coté. Il vit son zob rouge du sang et demanda à Zouina de regarder. Elle vit le gros zob toujours gonflé mais en partie rouge de son sang, alors elle écarta sa robe et vit sa chatte. Ses cuisses avaient aussi reçu leur part de filets de sang. Elle était heureuse et Slimane lui demanda d’enfoncer ses doigts dans sa chatte pour vérifier son ymen disparu. Zouina enfonça ses doigts dans sa chatte et ne rencontra plus l’hymène, elle poussa plus loin et ressortit ses doigts entaclés de son sang. Elle se leva et s’agenouilla sur le sillon d’eau qui coulait l’arbre et se lava la chatte et les cuisses. Slimane la rejoignit pour nettoyer son zob.
Ensuite, Zouina se rallongea sur l’herbe et écarta ses cuisses nues, pour montrer au monde entier sa chatte dépucelée et ouverte. Elle se frottait son sexe et gémissait de plaisir et cela redonna de l’excitation à Slimane et à son zob qui s’allongea et se gonfla de nouveau. Zouina le vit, vertical et puissant, alors elle fit signa à Slimane de monter sur elle et de la baiser normalement. Alors l’homme se leva, le zob en drapeau, dégagea le reste de ses sous vêtements et s’allongea sur la fe corps de la femme. Guidant son zob de la main, il trouva rapidement l’entrée de la chatte et il s’y enfonça par un long glissement qui fit hurler de plaisir la jeune femme. Il poussa son zob jusqu’aux fond, jusqu’aux couilles et resta, ainsi planté, un moment pour gouter la douceur le l’intérieur de cette jeune chatte. Cela fit gonfler encore plus son zob, à l’intérieur. Zouina gémissait maintenant, les yeux fermés et les jambes et cuisses entourant les reins de l’homme. Enfin Slimane commença ses vas et viens lentement d’abord puis de plus en accélérés. Zouina gémissait de plus fort et criait presque à chaque coup de reins de Slimane qui fut obligé de lui fermer la bouche à la main. Pendant la trentaine de vas et viens suivants, Zouina eut deux forts orgasmes, puis un troisième plus calme et qui lui semblait rester continue. Elle est arrivé à un stade presque d’inconscience, fermait les yeux et se laissait envahir par les jouissances de sa chatte. Au début, elle aidait par son bassin, à chaque coup de rein de l’homme comme pour enfoncer son das ventre sur celui de l’homme. Visiblement, elle cherchant des pénétrations encore plus profondes du zob pour toucher le fin fond de sa jeune chatte. Sa chatte pissait son plaisir presque en continu et Slimane recommençait chaque sa frénésie de coups de reins puissants. Ses mains étaient sur les seins de Zouina pour les pétrir plus que pour les caresser et les sucer leurs pointes. Enfin, Slimane ressentit le signal que ses couilles allaient expulser leur sperme. Ne voulant engrosser la jeune épouse de son père, il essaya de dégager son zob. Mais Zouina le retint fortement et visiblement de ses jambes et cuisses autour de ses reins. Il allait lui expliquer le danger mais elle fit oui de la la tête et des cuisses pour qu’il continue à la baiser et bienvenue à son sperme. Slimane, ne retissant plus accéléra ses coups de reins et rapidement son top arriva. Et son zob, par trois fortes bordées inonda la chatte de Zouina. Son sperme chaud et vivant dans le fin fond de la chatte fit hurler la femme autant que l’homme. Il lançait de long gémissement comme un animal libéré dans sa femelle et à chaque saillie, il ajoutait un fort coup de rein, se tendant à fond. La femme partagea sa folie par ses gémissements et râles de jouissances. Ils restèrent collés un long moment, jouissant en commun de cette première baise, qui dans leurs esprits avait le gout d’une nuit de noces. Puis Slimane se coucha sur la poitrine de la femme, comme un vrai mari. Il était épuisé, non par ses forts vas et viens accélérés, mais par le fait psychologique puissant qu’il venait de dépuceler une jeune chatte et qu’il avait initier aux plaisirs du sexe une jeune femme, privée depuis longtemps de ce droit. Lui avoir donné beaucoup de plaisir, prouvés par plusieurs orgasmes, et enfin de l’avoir remplie, irriguée de ses trois abondantes éjaculations, c’était pour un homme comme Slimane, très poussé sur le sexe, un contentement comme il n’en a jamais eu autant, malgré sa longue expérience. Maintenant les entrailles de Zouina et le zob de Slimane se connaissent bien et s’acceptent pour recommencer encore et encore les jours et nuits à venir.
Enfin, il sortit sa bite, encore, bizarrement assez gonflée, dure et brillante de tâches de sperme blanchâtre et il s’allongea sur l’herbe. Zouina restait encore un moment, presque inconsciente, les yeux fermés et le souffle qui revenait doucement à la normale. Slimane se mit sur un coude et admira la chatte et les cuisses de la femme. C’était tellement beau qu’il se courba pour mettre ses lèvres sur cette peau douce, sur les lèvres de la chatte et lécha un peu toutes ces chairs féminines, douces et merveilleuses pour donner le plaisir à tout amant à la hauteur. Le sperme suintait de la chatte et descendait doucement vers l’anus de Zouina. Slimane suivit le cheminement de ce filet d’amour et le lécha de la chatte à l’anus et le cul de la femme. Ce contact tout nouveau sur son cul, réveilla Zouina qui se souleva, voyant ce que faisait Slimane, elle éclata encore d’un rire discret de contentement. Elle souleva son bassin pour mieux l’offrir à la bouche de l’homme. Au contact des lèvres de l’homme sur son anus, elle demanda, en riant, s’il voulait aussi la dépuceler du cul, et Slimane lui chuchota qu’il le désirait car cela donnera à Zouina d’autres types de sensations et de jouissances, mais ce sera plus tard quant leurs corps et sexes seront totalement intégrés l’in à l’autre. Mais le temps était passé et le vieux commençait à s’agiter dans son coin, plus loin, alors ils se levèrent en urgence et arrangèrent leurs vêtements. Puis Zouina courut rapidement vers la maison et Slimane fit semblant de continuer à bêcher sous l’arbre. Le vieux le rejoignit, se débarbouilla à l’eau du sillon et alla prendre sa part du jardin pour travailler. Le vieux cocu ne s’était pas rendu compte que sa jeune épouse, qu’il n’avait pas été capable de dépuceler en un an, elle venait de perdre sa virginité en quelques secondes, et qu’elle venait de gouter les plaisirs d’un gros zob puissant, pour lui donner plusieurs orgasmes et des jouissances toutes nouvelles. Ce gros zob, elle va l’utiliser à fond car ses jouissances sont affolantes, et dès ce soir, elle compte se faire encore monter par Slimane.

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