Terma 95 : Pourquoi ma femme faisait du bénévolat chez les familles démunies(1)

- Par l'auteur HDS Noura -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Terma 95 : Pourquoi ma femme faisait du bénévolat chez les familles démunies(1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-07-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Terma 95 : Pourquoi ma femme faisait du bénévolat chez les familles démunies(1)
Depuis quelques temps, ma femme sortait de la maison de 19h à 23h pour aller faire du bénévolat fans une association caritative. Elle nous préparait le diner, aux enfants et à moi puis elle partait. Ma femme a 45 ans actuellement et nous sommes mariés depuis plus de 20 ans et nos enfants sont au lycée préparant le bac. La première fois, j’ai été avec elle. Avec sa cheffe responsable, elles m’ont fait visiter les locaux, cuisine, bureau et magasin, salle de réunions. Puis le personnel, la cuisinière, la laveuse de vaisselle et trois femmes qui visitent les familles pauvres ou démunies et comme ma femme, elles sont mères de famille et âgées environ de 40/45 ans. Elles collectent aussi les dons le cas échéant. Ils ont aussi, un homme d’environ 50 ans, responsable de l’association dans son bureau et au téléphone, deux autres assez jeunes pour chercher les dons et un chauffeur accompagnateur des femmes chez les familles démunies. L’association possède une camionnette pour distribuer les dons et ramener le personnel chez eux à la sortie de 23h. J’ai été satisfait et je les ai félicitées et j’étais heureux de l’engagement de ma femme, surtout que nos deux fils, le soir ont besoin de moi et non de leur mère.
Cela fait deux semaines que ma femme revient vers 23h. Si au début, nous faisons l’amour la nuit, alors qu’elle disait être fatiguée, à partir de la 7em nuit, elle prend une douche dès son arrivée et se couche rapidement sans moi. J’ai patienté quelques jours mais un soir, on s’est un peu chamaillé et j’ai préféré aller me coucher au salon. Les enfants avaient leur chambre à part. Je n’arrivais pas à dormir, alors j’ai décidé d’une douche chaude vers 2h du matin. Dans la salle de bain, après la douche, j’ai changé de pyjama et j’allais le ranger dans le panier à linges, quant j’y ai remarqué le petit slip noir de ma femme. Par curiosité je l’ai pris et, à ma grande surprise, j’ai constaté qu’il était en grande partie, maculé de tâches blanches, séchées par devant et par derrière. En examinant mieux j’ai découvert, par surprise que ce n’était pas le liquide féminin fluide de ma femme, mais que c’était du sperme blanchâtre séché. Ce fut un choc pour moi. Et il y en avait une bonne quantité. Il n’y avait aucun doute que ma femme me trompait. Elle doit certainement baiser avec un homme et se séchait la chatte pleine de son sperme avec son petit slip noir sur lequel les tâches blanches. Mais pourquoi elle ne l’avait pas lavé, ce sacré slip. Je l’ai remis dans le panier et je suis retourné me coucher au salon, sana pouvoir me rendormir. Le lendemain, après une matinée au travail, et contrairement à mes habitudes, je suis revenu à la maison pour un prétexte quelconque. Passé ensuite à la salle de bain, j’ai remarqué que le panier à linge sale était toujours plein, mon pyjama y était, mais pas le slip de ma femme. Elle l’avait lavé, bien en retard, et il séchait, là, dehors sur le fil à linge, tout seul, preuve de son infidélité.
J’ai décidé de ne pas accepter ce fait mais je ne voulais créer un scandale pour elle et les enfants. Alors il fallait qu’on parle franchement pourquoi elle fait cela alors que j’étais encore capable de satisfaire tout seul, ses besoins sexuels. Le lendemain, dès son retour alors que je lisais mon journal au salon, elle s’est précipitée à la douche comme d’habitude. Immédiatement je suis allé à la salle de bain et j’ai récupéré ses vêtements et surtout son fameux slip encore plein de tâches de sperme par devant et par derrière. J’ai remarqué que ses autres vêtements n’avaient aucune tâche. Elle se déshabillait donc, baisait à sa guise, mais se séchait la chatte et peut-être le cul avec son petit slip, facile à cacher et à laver. Et je suis parti, avec mon butin dans notre chambre à coucher. Quant elle avait fini sa douche, elle s’est séchée avec nos grandes serviettes de bain, puis elle a mis son pyjama et rejoint notre chambre pour se coucher. Surprise de m’y trouver déjà, ce n’était pas dans mes habitudes, elle s’inquiéta si j’étais malade. J’ai dis que j’avais plutôt besoin de son avis sur un problème. Elle s’est assise sur le lit, jambes croisées et me regardait sans sourciller. Je voyais son entre cuisses, le pyjama collé à son bas ventre et à sa chatte dont le renflement était visible. Comme mon regard insistait, elle s’en rendit compte et décroisa ses jambes et se couvrit le bas ventre avec un coussin. Elle offrait sa chatte et baisait avec des hommes inconnus dehors et qu’elle avait honte de mon simple regard sur le profil de son sexe.
Alors j’ai sortit son slip noir et montré les tâches séchées en la regardant droit dans les yeux. Dès qu’elle le vit, elle cria « ô mon dieu ! » et mis ses deux mains sur sa bouche. Puis elle baissa les yeux et son corps se recroquevilla vers le bas. Soudain elle éclata en larmes et se couvrit le visage baissé. Je lui ai demandé de baisser le ton pour ne pas réveiller et alarmer les enfants. Elle obéit puis se tait, le tronc toujours courbé vers le lit. Je lui ai demandé ce que sont ces tâches sur son slip. Elle réfléchit un instant, puis, reprenant peut-être espoir, elle allait répondre et certainement me mentir, mais je l’ai devancée pour lui dire que je le savais déjà mais que je voulais seulement une confirmation de sa part, sans cris, puis une explication raisonnable. Nous sommes mariés depuis plus de 20 ans et avons deux beaux fils, donc on peut s’expliquer sur certains écarts, certaines fautes. Elle éclata encore en sanglots, renifla puis essaya de me répondre mais c’était confus. Je lui ai dis que j’allais éteindre la télé et la lumière au salon et me laver les mains aux toilettes, puis je reviendrais et j’espère qu’elle sera calmée pour me répondre clairement. Et je suis sorti, amenant avec moi son slip tâché. Cinq minutes plus tard, je revenais et, fermant la porte de notre chambre, je me suis assis face à elle, sur le lit. Elle tremblait encore et pleurnichait.
Alors j’ai montré le slip et j’ai repris que c’était du sperme séché. Elle ne répondit pas tout de suite et j’ai répété ma question, alors elle me répondit en baissant et en hochant positivement la tête. J’ai ajouté pourquoi il y en a par devant et par derrière. Elle ne répondit pas. Pour placer le sujet dans son vocabulaire réel et l’encourager à parler, j’ai précisé que c’était le sperme qui était dans sa chatte baisée et aussi dans son cul, niqué par un homme. Elle réagissait à mes mots crus en gémissant faiblement et se tordant les mains et, baissant et hochant la tête positivement. J’ai demandé par combien d’hommes elle a été baisée et enculée et elle répondit de la même manière en montrant deux doigts hésitants. J’ajoutais depuis combien de temps elle couche avec ces deux hommes et elle montra timidement cinq doigts, alors que cela fait deux semaines qu’elle sort le soir pour cette mission bénévole. Je demandais si l’association savait ce qui se passait et elle répondit faiblement par un non. J’ajoutais si ces deux hommes font partie de l’association et elle répondit avec un doigt à droite et un autre à gauche. Donc j’ai précisé que l’un était donc le jeune chauffeur et l’autre un homme complice, et elle hocha un oui avec la tête. Alors j’ai demandé de me raconter comment ça se passait et elle essaya de répondre en balbutiant et je n’ai rien compris.
Je me suis rapproché d’elle et j’ai tenu ses mains qui tremblaient. Et doucement je lui ai dit de ne pas avoir peur et de me raconter doucement. Rassurée de mon calme, elle me répondit que la première fois, c’était le chauffeur qui a abusé d’elle dans le fourgon. Puis on est allé distribuer le don à une famille et après le chauffeur a amené dans le fourgon, un autre homme. Ensuite ils l’ont amenée dans un hangar où il y avait un lit et le chauffeur lui a ordonné de se déshabiller sinon il ira tout raconter à l’association et à son mari. Alors, l’homme a enlevé ses vêtements et a abusé d’elle aussi par force. Puis le chauffeur est parti, la laissant avec l’homme qui a continué à abuser d’elle plusieurs fois. Une heure plus tard, le chauffeur est revenu pour la ramener chez nous. Le lendemain, le chauffeur lui a encore fait du chantage et l’a amené au hangar avec le même homme qui a continué à abuser d’elle, et plus tard, le chauffeur est revenu pour la ramener, toujours à l’heure, chez nous. A ma question, pourquoi il y avait du sperme devant et derrière sur le slip, elle a répondu que c’était la faute de l’homme. Il lui faisait très peur car il était très brun, poilu, très fort et la frappait sur les fesses en lui disant qu’il aimait sa Terma. Et malgré mon refus et mes cris et gémissements, il a abusé de moi par derrière. C’était la seconde fois, il avait tout prévu en apportant une pommade pour enduire son pénis et enduire l’anus de ma femme. Puis, malgré les cris et les douleurs, il a réussi à lui ouvrir la Terma et pénétrer son cul jusqu’au fond. Puis il l’a longuement sodomisé et à la fin, il a éjaculé beaucoup sperme chaud dans son cul. Elle se tu un long moment, se rappelant peut-être ces moments douloureux avec cet homme sadique. Mais j’ai exigé qu’elle continue la suite, le lendemain par exemple. Elle a répondu que le lendemain, l’homme a baisé sa chatte, une fois par devant et une fois par derrière et a éjaculé sur son ventre et s’est essuyé avec son slip. Puis une troisième fois, dans son cul. C’était plus facile, elle n’avait plus mal et son gros pénis rentrait et sortait facilement et éjaculait dans son cul. Il l’obligeait à s’essuyer devant et derrière avec son slip et à le maculer partout de sperme. Il m’a ordonné de garder mon slip pollué de son sperme chez elle, comme souvenir de lui, pour le lendemain. Elle semblait sincèrement être désolée d’avoir été obligée de se plier à ses bourreaux.
Mais pourquoi, dès la première fois, elle n’a pas dénoncé et accusé le chauffeur à ses patrons. Elle hésita un moment mais je l’ai encouragé en pressant sa main que je tenais fermement. Ce contact amical l’aida à continuer sa confession obligée. Elle m’avoua qu’elle n’était pas seule dans la situation et avait peur du chauffeur et de son chantage. Elle expliqua qu’après des confidences avec les autres, il s’était avéré que les deux autres femmes visiteuses étaient dans les mêmes situations qu’elle avec le chauffeur et d’autres hommes. Le chauffeur, après la distribution du don, amenait la première femme chez l’homme choisi pour elle, et repartait, en la laissant seule avec son homme qui allait abuser d’elle et repartait tout de suite pour aller s’occuper de la deuxième femme. Il l’amenait chez la famille pauvre pour offrir le don puis il la dirigeait vers l’autre homme qu’il a choisi pour elle. La laissant avec cet homme pour baiser une heure, il repartait et s’occupait de la troisième de la même façon. Enfin, il revenait pour amener la première chez elle, puis la seconde et enfin la troisième. Le lendemain il refait le même circuit et chacune avait peur de le dénoncer. J’étais sûr qu’il se faisait payer chaque nuit par chacun des hommes choisis. Il a donc créé une petite organisation de baises avec ces trois femmes et des hommes choisis, puis les ramenait sans que l’association soit au courant. Et chaque femme avait peur de le dénoncer. Et en plus, il prenait aussi, chaque première fois seulement peut-être, sa part de plaisir sexuel et se faisait payer par ses clients sur le dos des femmes. Après la fin de ces confidences forcées, ma femme resta silencieuse. Alors j’ai demandé si elle allait continuer et, avec précipitation, elle répondit qu’elle ne retournera plus jamais à l’association. Elle me demanda pardon en pleurnichant un peu et serrait mes mains avec vigueur et sincérité.
J’ai dit qu’elle aurait pu démissionner tout de suite, et rester à la maison, alors pourquoi elle a continué. C’était bizarre et anormal. Elle a baissé la tête, encore une fois, et resta silencieuse. J’ai réfléchit un long moment et j’ai eu une idée, un pressentiment. Baissant la tête sur elle, j’ai alors murmuré que peut-être, elle avait aimé ce qu’elle faisait, que ses ébats sexuels avec ces hommes lui plaisaient, n’étaient plus forcés mais acceptés par elle. Elle continuait à se taire, alors je l’ai un secoué fortement et je l’ai obligé à répondre. Alors seulement, elle secoua plusieurs fois la tête par des non sincères, mais je l’ai bloquée pour lui demander de bien m’écouter et d’être loyale avec moi et avec elle-même. J’ai dis que la première fois, c’était par surprise et par peur, puis le lendemain, la seconde fois, par curiosité honteuse et plaisir de continuer ces expériences puisque personne d’autre ne le savait, surtout pas son mari. Mais ensuite, je lui criais presque qu’elle n’hésitait plus et n’éprouvait aucune gène, ni honte, mais au contraire, du plaisir et des jouissances sexuelles, par devant et par derrière. J’ai ajouté en la secouant, que sa chatte et sa Terma se sont habitués à ces zeb et surtout à celui, gros et puissant de l’homme brun et poilu et aux éjaculations de sperme chaud et abondant. De plus, l’assurance du secret était même devenue un plaisir honteux mais si agréable. Elle m’écoutait attentivement, mes mots étaient crus et directs, clairs et insistants, avec des pressions sur ses mains que je gardais entre les miennes. Ces pressions amplifiaient les détails de mon langage, je voyais très bien cela, dans son visage. Mes propos et mes gestes lui faisaient de grands effets et elle me fixait d’un regard presque hagard, la bouche ouverte. Il me semblait qu’elle revivait encore, par mes mots, ces instants de plaisirs sexuels entre les bras de deux hommes. Alors, sans lui laisser le temps de réfléchir, je lui ai demandé si mes explications lui semblaient vraies, et, sans quitter mon regard, elle a secoué positivement la tête, plusieurs fois, la bouche toujours ouverte et la respiration haletante. Elle confirmait mes idées et son attitude ressemblait à des transes sexuelles. Je savais maintenant que son aventure n’avait pas été subie mais acceptée et peut-être même souhaitée depuis longtemps. L’occasion s’étant présentée, elle y a sauté à sexes joints.
Mais cela me confirma aussi que j’avais eu un rôle important dans son attitude d’acceptation facile d’amants sexuels. J’avais donc pris conscience qu’il y avait certainement beaucoup de ma faute. Elle vient de connaitre d’autres zeb certainement différents du mien, certainement même meilleur que le mien puisqu’elle en parlait, de sa longueur, son épaisseur et sa puissance en coups de reins et en éjaculations. Je savais aussi que même si je lui pardonnais son infidélité forcée et qu’elle cesse ses relations avec l’association et avec ces amants, elle aura toujours en esprit, les images des comparaisons et ne pourra plus oublier totalement ces zeb qu’elle a vu, peut-être sucé et branlé puis ressenti au fond de sa chatte et de son cul. Non, elle ne peut pas les oublier et ce sera toujours un regret qu’elle ne me pardonnera pas, même si c’était elle la fautive. Et notre avenir conjugal et familial en sera toujours perturbé en souterrain, dans les non dit qui nous empoisonneront l’existence. Non, il fallait être courageux et sincère pour nous assurer une paix pour le futur et c’est à moi que revient maintenant la décision. Je lui ai dit que j’avais très bien compris sa situation et que je vais y réfléchir calmement. Puis, j’ai décidé, pour cette nuit, d’aller me coucher au salon. Le lendemain, au travail, j’ai beaucoup réfléchi et étudié plusieurs solutions et la seule qui me paru d’un moindre mal, c’est de constater que le mal sexuel était présent, qu’il a été gouté et apprécié par ma femme et ne pouvait qu’être consommé encore et encore, par les choix et les désirs de ma femme. Ce n’est qu’ainsi que je peux sauver notre paix dans ma famille, et il y aura un prix que j’étais seul à supporter.

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