Terma 96 : Pourquoi ma femme faisait du bénévolat chez les familles démunies (2) :
Récit érotique écrit par Noura [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-08-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Terma 96 : Pourquoi ma femme faisait du bénévolat chez les familles démunies (2) :
Ce soir là, ma femme était inquiète mais moi j’étais assez calme. Je lui souriais et lui faisais des caresses avec gentillesse. Et elle avait accepté, avec surprise, mes avances, puis nous avons fait l’amour pendant un long moment. Elle a réagis normalement et sans commentaire à ma baise et à mon éjaculation habituelle. Puis, encouragé par son infidélité et assuré qu’elle était en position de faiblesse, je voulais savoir si je pouvais aller encore loin et en profiter. En vérité, j’avais toujours eu envie de sa belle et large Terma que j’admirais quant elle était couchée sur le ventre ou revenait de la douche. Mais jamais je n’aurais osé m’avancer sur ce terrain. Ce soir, j’ai donc décidé de voir sa réaction puisqu’elle a déjà eu son initiation à la sodomie. J’ai d’abord caressé ses fesses et son anus avec mes doigts indiscrets et elle a accepté sans un mot, elle m’a seulement jeté un regard étonné. Puis, à genoux sur le lit, elle a même tendu sa Terma, et d’un geste osé, elle a écarté ses fesses, d’elle-même, avec ses mains. J’avais compris qu’elle ne faisait que répéter ce que l’homme lui avait appris de faire pour bien offrir sa Terma. Alors, je n’ai pas hésité et tenant mon zeb gonflé, je l’ai enfoncé avec énergie dans son cul. Puis, tenant ses hanches avec force, je l’ai sodomisée par une vingtaine de vas et viens. Mon zeb semblait avoir une excitation inhabituelle et se gonflait à fond par cette nouvelle expérience. A la fin et contrairement à mes habitudes, je suis arrivé à éjaculer une seconde fois. Il est vrai aussi que c’était la première fois que j’enculais une Terma, et celle de ma femme en valait le coup. Maintenant que je la possédais, j’ai eu la confirmation qu’elle était fameuse, sa Terma, large et ronde, douce et profonde et pouvait me donner autant de plaisir et de jouissances sexuelles. J’avais toujours vu et considéré ma femme seulement comme épouse et mère et que seules nos relations sexuelles par devant, dans sa chatte, étaient normales. L’homme qui a abusé d’elle, avait plus d’expérience et de liberté que moi, et il vient de nous ouvrir la porte de cet espace sexuel formidable. La Terma de ma femme était bandante et mon zeb s’était automatiquement gonflé à sa vue et à son toucher délicieux. Quant je l’ai enfoncé, il l’a pénétrée avec facilité et j’ai gouté cette sensation follement agréable d’aller jusqu’au fond car elle était chaude et profonde. Je gémissais et haletais de plaisir beaucoup plus que tout à l’heure, avec sa chatte. Maintenant, je m’accrochais à ses hanches et le tableau devant mes yeux amplifiait mon désir et ma bite gonflait encore à me faire presque mal. Je possédais un tel trésor que j’ai négligé, par aveuglement traditionnel, pendant plus de vingt ans. Je la sodomisais, hypnotisé mais actif, en haletant et gémissant, désirant que ça ne finisse jamais. Et ce fut seulement l’arrivée surprise de mon éjaculation, qui m’a ramené à la réalité pour en jouir totalement. Ma femme aussi était heureuse et me souriait. Elle m’a traité de cachotier d’avoir plongé sur sa Terma, comme si elle ne savait pas que c’est son infidélité qui m’a rendu ainsi. J’étais un nouveau mari avec une nouvelle femme, non seulement épouse mais aussi amante sexuelle. Ensuite, elle a fait un geste comme pour celer notre entente. Elle a pris son slip et s’est essuyé le sperme qui coulait de sa chatte, du moins ce qu’il en restait, puis celui qui suintait de son anus et entre ses fesses. Ensuite, elle me donna son slip en me disant que ce sperme était notre victoire sur ces hommes qui ont abusé de moi.
Les nuits suivantes furent identiques et nous avons, tous deux, gouté des plaisirs par devant et par derrière. Elle m’a aussi sucé, léché et branlé le zeb sans hésiter, comme elle a du l’apprendre par ses amants. J’étais étonné qu’elle passe facilement au-delà des anciennes appréhensions sexuelles et s’offre sans hésiter, toutes les positions sexuelles possibles et jouissantes, comme si c’étaient normalement dans ses habitudes. Elle semble avoir oublié son infidélité et jouissait des moments présents, et heureusement, j’étais encore capable de satisfaire une partie de ses désirs. Mais, sincèrement je ressentais mes limites, je me fatiguais rapidement et si mon zeb se gonflait assez vite, ça ne durait pas trop longtemps. Alors que, contrairement à moi, ma femme semble avoir découvert plus d’énergie sexuelle qu’auparavant et devenait insatiable dans certains cas. Elle m’invitait souvent à baiser une seconde fois, puis à la sodomiser pour éjaculer encore. Je savais que cela ne durerait pas longtemps. Cela fait maintenant presque un mois qu’elle avait quitté l’association et ne se consacrait qu’à sa famille, et le soir, à satisfaire sa chatte et sa Terma. J’ai ouvert quelque chose que je ne maitrisais plus. La solution est simple, il fallait d’autres zeb pour satisfaire ma femme. J’y ai réfléchi plusieurs fois en tenant compte de ce que cela impliquait pour moi. Il fallait que j’accepte que ma femme couche avec d’autres hommes pour calmer ses désirs sexuels, et avec mon consentement. Bien sur, il fallait que ça soit bien en cachette pour ne pas créer des problèmes dans notre famille. Et la seule solution qui s’offre à nous était toute trouvée, c’était le retour au point de départ, le retour de ma femme à l’association, et avec ses compléments sexuels. Elle devra reprendre ses relations sexuelles avec le chauffeur et le ou les hommes qu’il choisira pour elle dans la discrétion.
Ma femme ayant pris conscience de mes limites sexuels, a du réfléchir et avoir eu la même idée que moi. Quant elle me sentait fatigué, elle a même osé me murmurer, discrètement, qu’avec l’association, on pourrait régler le problème. Et un soir, j’ai accepté et nous avons décidé qu’elle rejoigne l’association dès le lendemain. Et dès le lendemain, elle téléphona au responsable et à la cheffe de l’association, pour leur expliquer qu’elle avait reçu de la famille de son mari chez nous et que cela l’a retenue durant toute cette absence pour s’en occuper, et que maintenant elle était plus libre. Et soir même, le chauffeur, très heureux de l’aubaine, cela se voyait à son large sourire, est venu pour l’amener d’abord à l’association, puis chez une famille démunie et ensuite, ils appliquèrent leur programme habituel. Il la baisa d’abord dans le fourgon, avec force tant il avait envie d’elle durant son absence, puis il l’amena chez son premier client qu’elle connaissait déjà puis dans leur hangar. Plus tard, dans notre lit où elle me racontait tout cela, elle me détailla ses retrouvailles avec son ancien amant. Dès que l’homme s’était déshabillé, elle a été excitée, affolée sexuellement par ses poils partout, surtout autour de son gros zeb. Et dès qu’il s’est approché d’elle, étendue toute nue, jambes et cuisses écartées sur le lit, et avant même qu’il la pénètre, sa chatte a explosé par un premier orgasme mouillé et hurlé. L’homme a apprécié ce début et lui a présenté son gros zeb gonflé. Elle l’a empoigné pour le sucer, le lécher jusqu’aux couilles et le branler. Mais il était déjà très dure et gonflé, alors elle a soulevé son bassin, impatiente de l’accueillir en elle. Et quant il l’a enfoncé doucement dans sa chatte, elle m’a dit qu’elle avait hurlé une seconde fois avec l’explosion d’un second orgasme abondant de mouille. Elle m’avoua qu’elle attendait le contact de ce gros zeb depuis qu’elle avait quitté l’association. Ensuite ce fut le paradis pendant plus d’une heure. Il l’a baisée deux fois dans sa chatte et éjaculé deux fois, presque en continuité, pendant qu’elle a eu, elle aussi au moins quatre autres orgasmes en continue et presque perdu conscience sur le temps et le lieu. Elle n’avait conscience que de son corps et du gros zeb qui labourait sa chatte et lui procurait des jouissances continues. Quant il a éjaculé, il a retiré son zeb pour l’essuyer avec le slip de ma femme. Puis il a replongé dans sa chatte, son zeb restait long, dur et gonflé. Il lui a donné une seconde baise et une seconde éjaculation. Puis ils se sont reposés un instant, assez court car elle lui avait tourné le dos et offert sa belle et ronde Terma affolante.
Alors, il l’a enculée avec force, s’accrochant à ses larges hanches, et son zeb l’a limée une bonne vingtaine de fois avec halètements de l’homme et gémissements de ma femme. Et enfin, il a éjaculé une troisième fois dans le cul, avec trois jets puissants et abondants de son sperme si chaud et si jouissants. Elle m’avoua qu’auparavant, il avait d’abord donné des dizaines de baisers et de lècheries à ses fesses et à son anus, des caresses et des massages appuyés, mais c’est elle qui l’a suppliée d’enfoncer enfin son gros zeb dans sa Terma. Et quant il l’a sodomisait, sa Terma couinait de plaisir et ma femme gémissait parfois et hurlait quant il donnait un coup de rein plu vigoureux et s’enfoncer en faisant claquer son pubis sur les fesses et battre avec ses grosses couilles son entre cuisses. Ce fut un long moment de paradis, et il a éjaculé en abondance comme d’habitude. Elle retrouva tous ses gestes appris, s’ouvrir les fesses avec les mains, s’essuyer la chatte, les cuisses, les reins et les fesses avec son slip pour bien tâcher au maximum. Elle savait que maintenant, elle allait le fournir à son mari comme flambeau de a victoire sur lui. Ensuite ils se sont reposés un moment, mais elle continuait à sucer et branler le zeb qui refusait de se courber totalement. Au contraire, à mesure qu’elle l’enfonçait profondément dans sa bouche chaude et douce, le zeb se regonflait et se rallongeait jusqu’à redevenir dur comme un pieu. Elle le supplia de la sodomiser encore une fois, qu’elle ne voulait pas retenir chez son mari avec le cul sec de sperme, et il obéit avec plaisir. Cette fois, il la sodomisa par devant, les jambes et cuisses levés sur les épaules de l’homme, le bassin soulevé au mieux et le cul bien en face de son zeb. Il s’enfonça en elle et ses vas et viens furent aussi puissants que tout à l’heure. Puis il eu une autre idée. Il se retira, et changea de position en se courant le dos sur le lit et demanda à la femme de s’assoir le cul sur son zeb. Et elle obéit à cette nouvelle expérience. C’était elle maintenant qui s’enculait la Terma sur le gros zeb vertical de l’homme. C’est ainsi qu’elle pouvait danser sur le zeb en roulant les reins, en ondulant sa Terma, en faisant des vrilles avec ses fesses. La sensation du zeb dans ses entrailles était nettement plus profonde que dans les autres positions. Elle m’a promis de faire l’expérience avec moi si mon zeb tenait la position raide et verticale.
Lorsque le chauffeur vint pour la chercher, il la trouva en train de danser sur le zeb, de s’enculer. Il demanda de se presser, alors, l’homme remit son zeb dans la chatte de ma femme, donna une dizaine de coups de reins accélérés et puissants. Enfin, ressentant l’arrivée de son jus, il replaça son zeb dans la Terma de ma femme qui reprit sa danse. Et rapidement, après quelques vas en viens, hauts et bas, elle amena le zeb de l’homme à éjaculer en force dans son cul. Elle serra les reins pour garder le sperme chaud à l’intérieur, se détacha de l’homme, tout en se bouchant le cul avec son slip assez tâché. Puis ma femme se rhabilla sans se laver mais en gardant son slip bien enfoncé dans son cul. Et tout de suite, le chauffeur la ramena chez nous. Elle couru dans notre chambre et je l’ai rejointe pour savoir et l’empêcher de se doucher. Il était presque minuit et nos fils dormaient déjà. On avait certes faim et notre diner était dans la cuisine, mais je voulais d’abord sentir l’odeur de cet homme sur ma femme et voir et toucher son sperme directement sur le corps et le cul de ma femme. Elle se déshabilla et me montra tout ce que je voulais voir et toucher. Mes doigts dans son cul sortaient pleines de sperme visqueux et encore chaud et je l’ai gouté pendant qu’elle me regardait avec passion et riait doucement. Elle me dit qu’elle était heureuse de me faire partager avec elle ce sperme de l’homme et ce slip abondamment pollué, pour mieux me faire comprendre la virilité affolante de cet homme et de son gros zeb et de ses couilles. Elle me détaillait son corps poilu et ce qu’elle ressentait, puis la forme et les dimensions de son zeb et de ses couilles et riait de me voir compulser son cul, sa chatte et son slip. Ensuite, elle voulait aller se doucher mais comme j’étais excité et que mon zeb était visiblement gonflé, elle m’a proposé une baise ou une sodomie telle qu’était, pleine des odeurs et du sperme de son amant, et j’ai accepté. Elle se coucha sur le dos et j’ai enfoncé mon zeb dans sa chatte. Il s’enfonça directement jusqu’au fond, tellement elle était ouverte et contenant encore un peu de sperme. C’était pendant que je la baisais qu’elle me raconta ce que je viens de vous conter. Une bonne trentaine de vas et viens mais l’éjaculation ne venait pas, alors elle m’a suggéré d’enfoncer mon zeb dans sa Terma par-dessous sa chatte. Elle souleva un peu ses reins et je pus m’enfoncer dans son cul, lui aussi assez ouvert et contenant encore beaucoup de sperme. Dans la fournaise de son cul, mon zeb se réveilla mieux et rapidement mes couilles réagirent. Il faut dire aussi que le récit détaillé de ma femme sur ce qu’elle a fait avec l’homme et de ce qu’elle avait ressenti, m’avait aidé en excitation. De plus elle racontait sans tenir compte qu’elle était avec son mari qu’elle avait rendu cocu avec son consentement. Et l’éjaculation arriva mêlant mon sperme avec celui de l’homme dans les entrailles de ma femme. J’ai quant même hurlé de jouissances en me collant à elle pour déverser tout le contenu de mes couilles. Ensuite, je me suis séparé d’elle pour aller me doucher le premier. Quant elle revint de la douche, presque une heure après, j’étais déjà assez endormi et je n’ai pas répondu et ses paroles, alors elle s’endormit rapidement. Elle devait être très fatiguée de ses joutes sexuelles, avec le chauffeur, puis l’homme plusieurs fois e longuement, et avec moi plus rapidement. Le lendemain, en fin de journée, elle reprit encore sa route vers l’association. Cela dure depuis, maintenant six mois et ma femme ne s’est jamais fatiguée de passer cinq soirées chaque semaine avec ses deux amants. De temps en temps je prenais ma part quant je me sentais à la hauteur car pour elle, elle était toujours prête, par devant ou par derrière. Et tout se fait dans la discrétion et la paix familiale. C’était le prix d’accepter d’être cocu consentant. Elle m’a ensuite raconté d’autres aventures, non plus avec son homme habituel, mais avec d’autres que le chauffeur lui procurait sans problème. Il y avait des hommes mariées mais aussi des célibataires et certains de ces derniers l’ont invitée certains weekend chez eux. Et j’étais obligé d’accepter en trouvant des excuses pour ses absences dominicales. Et parfois, le chauffeur l’amenait à passer le weekend dans la demeure d’un client, non pas avec cet amant seulement mais avec deux ou trois, ensemble, une vraie orgie qu’elle me détaillait sans hésitation.Je suis devenu un cocu consentant et ma femme une pute de la chatte et de la Terma.
Les nuits suivantes furent identiques et nous avons, tous deux, gouté des plaisirs par devant et par derrière. Elle m’a aussi sucé, léché et branlé le zeb sans hésiter, comme elle a du l’apprendre par ses amants. J’étais étonné qu’elle passe facilement au-delà des anciennes appréhensions sexuelles et s’offre sans hésiter, toutes les positions sexuelles possibles et jouissantes, comme si c’étaient normalement dans ses habitudes. Elle semble avoir oublié son infidélité et jouissait des moments présents, et heureusement, j’étais encore capable de satisfaire une partie de ses désirs. Mais, sincèrement je ressentais mes limites, je me fatiguais rapidement et si mon zeb se gonflait assez vite, ça ne durait pas trop longtemps. Alors que, contrairement à moi, ma femme semble avoir découvert plus d’énergie sexuelle qu’auparavant et devenait insatiable dans certains cas. Elle m’invitait souvent à baiser une seconde fois, puis à la sodomiser pour éjaculer encore. Je savais que cela ne durerait pas longtemps. Cela fait maintenant presque un mois qu’elle avait quitté l’association et ne se consacrait qu’à sa famille, et le soir, à satisfaire sa chatte et sa Terma. J’ai ouvert quelque chose que je ne maitrisais plus. La solution est simple, il fallait d’autres zeb pour satisfaire ma femme. J’y ai réfléchi plusieurs fois en tenant compte de ce que cela impliquait pour moi. Il fallait que j’accepte que ma femme couche avec d’autres hommes pour calmer ses désirs sexuels, et avec mon consentement. Bien sur, il fallait que ça soit bien en cachette pour ne pas créer des problèmes dans notre famille. Et la seule solution qui s’offre à nous était toute trouvée, c’était le retour au point de départ, le retour de ma femme à l’association, et avec ses compléments sexuels. Elle devra reprendre ses relations sexuelles avec le chauffeur et le ou les hommes qu’il choisira pour elle dans la discrétion.
Ma femme ayant pris conscience de mes limites sexuels, a du réfléchir et avoir eu la même idée que moi. Quant elle me sentait fatigué, elle a même osé me murmurer, discrètement, qu’avec l’association, on pourrait régler le problème. Et un soir, j’ai accepté et nous avons décidé qu’elle rejoigne l’association dès le lendemain. Et dès le lendemain, elle téléphona au responsable et à la cheffe de l’association, pour leur expliquer qu’elle avait reçu de la famille de son mari chez nous et que cela l’a retenue durant toute cette absence pour s’en occuper, et que maintenant elle était plus libre. Et soir même, le chauffeur, très heureux de l’aubaine, cela se voyait à son large sourire, est venu pour l’amener d’abord à l’association, puis chez une famille démunie et ensuite, ils appliquèrent leur programme habituel. Il la baisa d’abord dans le fourgon, avec force tant il avait envie d’elle durant son absence, puis il l’amena chez son premier client qu’elle connaissait déjà puis dans leur hangar. Plus tard, dans notre lit où elle me racontait tout cela, elle me détailla ses retrouvailles avec son ancien amant. Dès que l’homme s’était déshabillé, elle a été excitée, affolée sexuellement par ses poils partout, surtout autour de son gros zeb. Et dès qu’il s’est approché d’elle, étendue toute nue, jambes et cuisses écartées sur le lit, et avant même qu’il la pénètre, sa chatte a explosé par un premier orgasme mouillé et hurlé. L’homme a apprécié ce début et lui a présenté son gros zeb gonflé. Elle l’a empoigné pour le sucer, le lécher jusqu’aux couilles et le branler. Mais il était déjà très dure et gonflé, alors elle a soulevé son bassin, impatiente de l’accueillir en elle. Et quant il l’a enfoncé doucement dans sa chatte, elle m’a dit qu’elle avait hurlé une seconde fois avec l’explosion d’un second orgasme abondant de mouille. Elle m’avoua qu’elle attendait le contact de ce gros zeb depuis qu’elle avait quitté l’association. Ensuite ce fut le paradis pendant plus d’une heure. Il l’a baisée deux fois dans sa chatte et éjaculé deux fois, presque en continuité, pendant qu’elle a eu, elle aussi au moins quatre autres orgasmes en continue et presque perdu conscience sur le temps et le lieu. Elle n’avait conscience que de son corps et du gros zeb qui labourait sa chatte et lui procurait des jouissances continues. Quant il a éjaculé, il a retiré son zeb pour l’essuyer avec le slip de ma femme. Puis il a replongé dans sa chatte, son zeb restait long, dur et gonflé. Il lui a donné une seconde baise et une seconde éjaculation. Puis ils se sont reposés un instant, assez court car elle lui avait tourné le dos et offert sa belle et ronde Terma affolante.
Alors, il l’a enculée avec force, s’accrochant à ses larges hanches, et son zeb l’a limée une bonne vingtaine de fois avec halètements de l’homme et gémissements de ma femme. Et enfin, il a éjaculé une troisième fois dans le cul, avec trois jets puissants et abondants de son sperme si chaud et si jouissants. Elle m’avoua qu’auparavant, il avait d’abord donné des dizaines de baisers et de lècheries à ses fesses et à son anus, des caresses et des massages appuyés, mais c’est elle qui l’a suppliée d’enfoncer enfin son gros zeb dans sa Terma. Et quant il l’a sodomisait, sa Terma couinait de plaisir et ma femme gémissait parfois et hurlait quant il donnait un coup de rein plu vigoureux et s’enfoncer en faisant claquer son pubis sur les fesses et battre avec ses grosses couilles son entre cuisses. Ce fut un long moment de paradis, et il a éjaculé en abondance comme d’habitude. Elle retrouva tous ses gestes appris, s’ouvrir les fesses avec les mains, s’essuyer la chatte, les cuisses, les reins et les fesses avec son slip pour bien tâcher au maximum. Elle savait que maintenant, elle allait le fournir à son mari comme flambeau de a victoire sur lui. Ensuite ils se sont reposés un moment, mais elle continuait à sucer et branler le zeb qui refusait de se courber totalement. Au contraire, à mesure qu’elle l’enfonçait profondément dans sa bouche chaude et douce, le zeb se regonflait et se rallongeait jusqu’à redevenir dur comme un pieu. Elle le supplia de la sodomiser encore une fois, qu’elle ne voulait pas retenir chez son mari avec le cul sec de sperme, et il obéit avec plaisir. Cette fois, il la sodomisa par devant, les jambes et cuisses levés sur les épaules de l’homme, le bassin soulevé au mieux et le cul bien en face de son zeb. Il s’enfonça en elle et ses vas et viens furent aussi puissants que tout à l’heure. Puis il eu une autre idée. Il se retira, et changea de position en se courant le dos sur le lit et demanda à la femme de s’assoir le cul sur son zeb. Et elle obéit à cette nouvelle expérience. C’était elle maintenant qui s’enculait la Terma sur le gros zeb vertical de l’homme. C’est ainsi qu’elle pouvait danser sur le zeb en roulant les reins, en ondulant sa Terma, en faisant des vrilles avec ses fesses. La sensation du zeb dans ses entrailles était nettement plus profonde que dans les autres positions. Elle m’a promis de faire l’expérience avec moi si mon zeb tenait la position raide et verticale.
Lorsque le chauffeur vint pour la chercher, il la trouva en train de danser sur le zeb, de s’enculer. Il demanda de se presser, alors, l’homme remit son zeb dans la chatte de ma femme, donna une dizaine de coups de reins accélérés et puissants. Enfin, ressentant l’arrivée de son jus, il replaça son zeb dans la Terma de ma femme qui reprit sa danse. Et rapidement, après quelques vas en viens, hauts et bas, elle amena le zeb de l’homme à éjaculer en force dans son cul. Elle serra les reins pour garder le sperme chaud à l’intérieur, se détacha de l’homme, tout en se bouchant le cul avec son slip assez tâché. Puis ma femme se rhabilla sans se laver mais en gardant son slip bien enfoncé dans son cul. Et tout de suite, le chauffeur la ramena chez nous. Elle couru dans notre chambre et je l’ai rejointe pour savoir et l’empêcher de se doucher. Il était presque minuit et nos fils dormaient déjà. On avait certes faim et notre diner était dans la cuisine, mais je voulais d’abord sentir l’odeur de cet homme sur ma femme et voir et toucher son sperme directement sur le corps et le cul de ma femme. Elle se déshabilla et me montra tout ce que je voulais voir et toucher. Mes doigts dans son cul sortaient pleines de sperme visqueux et encore chaud et je l’ai gouté pendant qu’elle me regardait avec passion et riait doucement. Elle me dit qu’elle était heureuse de me faire partager avec elle ce sperme de l’homme et ce slip abondamment pollué, pour mieux me faire comprendre la virilité affolante de cet homme et de son gros zeb et de ses couilles. Elle me détaillait son corps poilu et ce qu’elle ressentait, puis la forme et les dimensions de son zeb et de ses couilles et riait de me voir compulser son cul, sa chatte et son slip. Ensuite, elle voulait aller se doucher mais comme j’étais excité et que mon zeb était visiblement gonflé, elle m’a proposé une baise ou une sodomie telle qu’était, pleine des odeurs et du sperme de son amant, et j’ai accepté. Elle se coucha sur le dos et j’ai enfoncé mon zeb dans sa chatte. Il s’enfonça directement jusqu’au fond, tellement elle était ouverte et contenant encore un peu de sperme. C’était pendant que je la baisais qu’elle me raconta ce que je viens de vous conter. Une bonne trentaine de vas et viens mais l’éjaculation ne venait pas, alors elle m’a suggéré d’enfoncer mon zeb dans sa Terma par-dessous sa chatte. Elle souleva un peu ses reins et je pus m’enfoncer dans son cul, lui aussi assez ouvert et contenant encore beaucoup de sperme. Dans la fournaise de son cul, mon zeb se réveilla mieux et rapidement mes couilles réagirent. Il faut dire aussi que le récit détaillé de ma femme sur ce qu’elle a fait avec l’homme et de ce qu’elle avait ressenti, m’avait aidé en excitation. De plus elle racontait sans tenir compte qu’elle était avec son mari qu’elle avait rendu cocu avec son consentement. Et l’éjaculation arriva mêlant mon sperme avec celui de l’homme dans les entrailles de ma femme. J’ai quant même hurlé de jouissances en me collant à elle pour déverser tout le contenu de mes couilles. Ensuite, je me suis séparé d’elle pour aller me doucher le premier. Quant elle revint de la douche, presque une heure après, j’étais déjà assez endormi et je n’ai pas répondu et ses paroles, alors elle s’endormit rapidement. Elle devait être très fatiguée de ses joutes sexuelles, avec le chauffeur, puis l’homme plusieurs fois e longuement, et avec moi plus rapidement. Le lendemain, en fin de journée, elle reprit encore sa route vers l’association. Cela dure depuis, maintenant six mois et ma femme ne s’est jamais fatiguée de passer cinq soirées chaque semaine avec ses deux amants. De temps en temps je prenais ma part quant je me sentais à la hauteur car pour elle, elle était toujours prête, par devant ou par derrière. Et tout se fait dans la discrétion et la paix familiale. C’était le prix d’accepter d’être cocu consentant. Elle m’a ensuite raconté d’autres aventures, non plus avec son homme habituel, mais avec d’autres que le chauffeur lui procurait sans problème. Il y avait des hommes mariées mais aussi des célibataires et certains de ces derniers l’ont invitée certains weekend chez eux. Et j’étais obligé d’accepter en trouvant des excuses pour ses absences dominicales. Et parfois, le chauffeur l’amenait à passer le weekend dans la demeure d’un client, non pas avec cet amant seulement mais avec deux ou trois, ensemble, une vraie orgie qu’elle me détaillait sans hésitation.Je suis devenu un cocu consentant et ma femme une pute de la chatte et de la Terma.
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