Terma 99: En vacances à quatre, en pension et chambre communes (1) - histoire érotique

Pour nos vacances d’été, ma femme Malika (22 ans) et moi Tahar (25 ans), j’avais contacté une pension au bord de la mer, pas très loin de l’eau et ils m’avaient réservé une chambre à grand lit, télé avec internet et salle de bain intégrée ainsi que la restauration en option. Ainsi nous sommes partis, mais arrivés à la réception de l’hôtel, il se trouve que la même chambre avait aussi été, par erreur, réservée à un autre couple, un homme Amar, 40 ans et sa femme Feriel, 35 ans. Et comme aucune autre chambre n’était libre, on nous a demandé de partager la chambre entre nous quatre, en y ajoutant deux autres petits lits d’une place et à nous de gérer l’usage. Ne pouvant rien faire d’autre, nous avons accepté, décidant de donner le grand lit aux femmes et les petits lits pour nous leurs époux. Au cas où l’un d’entre nous voudrait coucher un moment avec sa femme, pour faire l’amour, il faut le faire dans la journée et après accord de l’autre couple.
Nus nous sommes installés vers 19h, puis nous sommes allés diner ensemble au restaurant de la pension. Ensuite, nous sommes allés au bord de la mer. Une grande plage, bien animée et beaucoup qui se baignaient même en ce début de nuit. Ensuite, assez fatigués, nous sommes revenus à la pension, puis nous nous sommes préparés pour la nuit. En pyjama, je me suis installé sur le lit de droite, et l’homme sur le lit de gauche, de l’autre coté du grand lit. Nos femmes se sont installées sur le grand lit, chacune face à son époux, il y avait juste dix à vingt centimètres entre les lits. Nous avons laissé la lumière dans la salle de bain au cas où quelqu’un se réveillerait pour ses besoins. L’homme Amar semble tout de suite endormi car il ronflait très doucement et les deux femmes semblaient aussi assoupies. J’ai un peu visionné la télé (infos) puis j’ai tout éteint. Fatigué, je me suis assoupi en un quart d’heure environ. Au bout d’une heure ou deux, des chuchotements m’ont réveillé. Redressé sur les coudes, la pénombre m’a permis de constater que Feriel avait rejoint son mari et ils étaient en train de baiser et avec chuchotements et gémissements. Ils semblaient être nus, du moins pour Amar dont je voyais nettement le corps à poil, au dessus de sa femme. Il se redressait, et cela m’a permis de voir sa grosse queue tendue, puis il s’enfonçait dans sa femme allongée et les jambes écartées et levées assez haut. Ces vas et viens dont j’entendais aussi les bruits mouillés érotiques se faisaient de plus en plus accélérés et l’homme haletait fort, tandis que sa femme essayait d’étouffer ses gémissements. En face de moi, ma femme, tournée vers moi, semblait, heureusement, plongée dans son sommeil. Mais à un moment, Feriel lança presque un cri qui a réveillé ma femme, je voyais qu’elle me regardait, étonnée. Feriel a du avoir un orgasme fort. Puis ma femme s’est tourné du coté d’où venait le bruit et elle a eu, pas très loin d’elle, le même tableau que moi. Amar baisait sa femme avec énergie, presque sans se soucier de nous. Les vas et viens de sa queue dans la chatte de sa femme étaient larges et amples. Ce qui nous permettait de bien voir une bonne partie de sa longue queue qui émergeait de la chatte de sa femme, puis il la pénétrait avec puissance et ça recommençait avec accélérations. Dans la pénombre et peut-être à cause de la mouille de la chatte de Feriel, la queue émergeait brillante, énorme et excitante pour moi. Cela a du avoir le même effet sur ma femme, je voyais sa main descendre vers son pyjama, certainement vers sa chatte qui a du être aussi réveillée. Maintenant ma femme était complètement tournée vers le couple et s’est même rapprochée sur la place de Feriel pour mieux apprécier la scène. J’aurais préféré qu’elle me rejoigne pour baiser comme les autres. Le couple continuait pendant encore cinq bonnes minutes, avec énergie et bruits chuchotés, Feriel a eu encore un autre orgasme. Enfin, l’homme éjacula par trois fois dans sa femme, avec à chaque jet, un coup de rein féroce et un « ahhhh » de gorge, prolongé et qui m’a excité. J’avais constaté que je tenais ma queue et je n’avais même pas remarqué à quel instant je l’avais retirée du pyjama et je me branlais. Ma femme n’était pas de reste, elle avait rejeté le drap et je voyais son pyjama descendu en partie sur sa croupe et elle se branlait la chatte par devant, face au couple. Je l’entendais haleter fortement, mais moi aussi j’étais dans la même situation. Le couple, la bas s’est séparé et l’homme a chuchoté quelque chose à sa femme qui s’est levée et à rejoint la salle de bain. L’homme s’est allongé sur le lit, mais son zeb restait bien debout et il le branlait lentement. Ma femme qui était maintenant sur l’autre partie du lit continuait à se masturber et son halètement était très peu camouflé. L’homme s’est tourné vers elle et constant ce qu’elle faisait, se tourna franchement vers elle et lui tendait son zeb debout et gonflé. Il n’était qu’à quelques centimètres de ma femme qui le voyait totalement. Il le branlait doucement et le secouait érotiquement et ma femme excitée, affolée a accéléré sa masturbation et soudain elle a réussi à avoir un orgasme non pas crié mais presque hurlé. Puis elle s’étendit sur le lit, complètement étourdie. Son pyjama était totalement descendu, ce qui fait qu’elle était nue de la ceinture aux cuisses devant moi et devant l’homme qui continuait à se branler lentement. Moi, je ne voulais qu’ils sachent que j’avais tout vu, surtout pour ma femme, alors j’ai fait semblant de dormir. Sa femme Feriel revint de la salle de bain et a vu la scène de son mari qui offrait son zeb à ma femme qui était étendue presque devant lui. L’homme se leva et sa femme s’agenouilla sur le lit de son mari en soulevant son derrière offert à l’homme. Celui-ci se mit derrière elle, entre ses cuisses écartées. Il positionna d’une main la croupe de sa femme et avec son autre main, il enfonça son zeb dans le cul bien offert. J’ai bien vu qu’il avait d’abord enfoncé sa queue dans la chatte, plus bas, puis il a remonté son zeb vers le cul dans lequel il s’enfonça profondément avec un long soupir assez bruyant auquel sa femme répondit aussi par un long gémissement. Ensuite, les mains sur les hanches et la croupe, il commença ses vas et viens en enculant sa femme. Ma femme ayant repris conscience après son orgasme manuel, et constatant sa tenue, a remonté brusquement son pyjama pour se couvrir et à reculé vers sa place sur le grand lit. Mais elle jeta un coup d’œil vers le couple, elle constata la nouvelle situation. Alors, elle reprit la place de Feriel, se rapprochant du couple pour mieux voir. J’ai vu sa main courir pour soulever son pyjama par devant et se branler encore la chatte. Ainsi, et durant de longues minutes, pendant que l’homme enculait sa femme qui gémissait, la mienne se branlait encore une fois en gémissant aussi. Elle devait être encore excitée et chaude du premier orgasme car elle arriva avant eux à un fort gémissement de son second orgasme assez remarqué par le couple. L’homme se tourna vers elle tout en continuant ses vas et viens dans le cul de sa femme. Il leva la main et le pouce comme pour féliciter ma femme, qui n’était qu’à quelques centimètres du couple. Elle s’allongea encore sur le lit, le pyjama ouvert et assez descendu par devant de façons telles que son bas ventre, sa chatte et le haut de ses cuisses étaient totalement découverts et visibles à l’homme et à moi qui continuait à faire le mort. Elle fermait les yeux et goutait les suites de son orgasme pendant que le couple continuait à baiser. Assez vite, l’homme arriva à son top et éjacula encore une fois par deux ou trois jets de sperme dans le cul de sa femme. Puis il retira son zeb et le tendit devant lui, debout, encore gonflé et brillant de sperme blanc, puis il le pressait de sa main pour en tirer les restes de spermes à essuyer sur la croupe de sa femme. Ma femme se réveilla de sa torpeur et se tourna vers lui. Il se tourna lui aussi vers elle tout en pressant son zeb dressé. Et ma femme, dans un geste de complicité étonnant, leva la main et le pouce vers lui pour le féliciter. Il lui répondit aussi par le pouce levé. Puis il se leva et se dirigea vers la salle de bain. Sa femme le rejoignit une minute plus tard et on les entendait se nettoyer et se laver. Ma femme retourna à sa place de mon coté et jeta, enfin, un coup d’œil vers moi, mais j’ai fait semblant de dormir et même de ronfler un peu. Le couple revint rapidement et chacun reprit sa place, Feriel à coté de ma femme et son mari dans son lit. C’est alors que ma femme se glissa doucement hors du lit et se dirigea en silence vers la salle de bain dans la quelle elle resta quelques minutes, certainement pour se nettoyer la chatte et les cuisses. Elle rejoignit rapidement son lit, alors que l’homme ronflait déjà et j’ai attendu assez longtemps pour l’entendre, elle aussi, enfin s’assoupir et ronfler doucement. Je suis resté longtemps sans m’endormir revoyant dans ma tête tout le film de la soirée mais surtout le comportement de ma femme qui, au lieu de me rejoindre pour baiser, m’a complètement ignorée. Elle a été tout de suite attirée et excitée par les ébats sexuels du couple. Elle a préféré se joindre et s’associer aux plaisirs sexuels et aux jouissances des autres, montrant clairement qu’elle y trouvait du plaisir. J’étais certes très mécontent de son comportement, surtout avec l’homme, s’extasiant sur son zeb qu’il avait plaisir à lui montrer et exposer voyant qu’elle aimait cela car elle aussi, elle lui avait ouvert et découvert totalement sa chatte et son corps en se masturbait franchement face à lui. Ils n’étaient plus, sexuellement étrangers entre eux. Que dois je faire demain avec elle, quoique j’ai déjà fait semblant de dormir et de n’avoir rien vu ou entendu.
Le lendemain ce fut une journée presque normale. Mais pas un mot entre moi et ma femme sur les évènements de la nuit précédente. Je crois que ma femme pense que je n’ai rien vu ni entendu, donc elle n’a rien à me dire, elle est libre de jouir des excitations et plaisirs qu’elle a vu et fait hier soir. Elle doit certainement encore penser au zeb d’Amar et de leurs complicités quant il le lui exposait et qu’elle lui répondait par sa nudité et sa masturbation juste en face de lui. De même, l’homme et sa femme n’ont soufflé mot de leurs ébats de la nuit. Je crois qu’ils pensent eux aussi que j’étais plongé de sommeil, car comment puis-je rester inerte en voyant ce que faisait ma femme. C’était comme si elle m’avait trompé, rendu cocu en ma présence. La journée fut passée en promenades et photos en ville, puis nos repas communs à la pensions et même une partie de l’après midi à la plage mais chacun de son coté et dans des endroits différents. D’ailleurs, il y avait tellement de monde qu’on ne s’est même pas aperçu. On ne s’est retrouvé que vers 22h pour diner puis on est monté dans notre chambre commune. Rapidement, on s’est mis en pyjamas et tenues de nuit, puis l’homme, en short large, et comme la veille a vite trouvé le sommeil avec ronflements légers. Les deux femmes aussi, discutaient dans leur lit commun, seul moi, je regardais des documents à la télé. Rapidement, elles semblaient s’être endormies, alors j’ai tout éteint et je me suis couché. Je n’ai pas trouvé le sommeil mais j’ai fait semblant de dormir en ronflant un peu. Les deux femmes en faisaient autant et quant elles crurent que j’étais endormi, la femme Feriel sortit de son lit et alla réveiller son mari qui dormait réellement. Et la même soirée qu’hier commença. Ma femme aussi était réveillée et s’est installée de l’autre coté du lit pour bien les observer. Ils se sont déshabillés et l’homme commença à baiser sa femme en toute liberté, le zeb bien debout en l’air et multiples gémissements et halètements en cadence. Ma femme, par acquis de prudence, me jeta un coup d’œil et rassurée, elle se débarrassa totalement de son pantalon de pyjama et s’installa à quelques centimètres du couple, la main dans sa chatte. La pénombre était assez faible mais je voyais assez bien le tableau. Le couple a baisé pendant un quart d’heure au moins et enfin l’homme a éjaculé dans la chatte de sa femme. La mienne continuait à se branler bien vue en face d’eux. Feriel fut envoyée dans la salle de bain pour se nettoyer et l’homme s’installa, face à ma femme, le zeb bien en vue et bien tendu et brillant de sperme et se branlant lentement. Ma femme l’admirait directement et continuait à se masturber mais elle n’arrivait pas à avoir un orgasme. L’homme a du s’en rendre compte, alors il se redressa sur ses genoux et, les cuisses écartées, il fit face à ma femme et secoua son zeb haut et bas comme pour le lui offrir. Les mouvements de l’énorme zeb, malgré son gonflage, vers le haut et le bas étaient assez éloquents et tellement érotiques et entrainants que ma femme s’est aussi redressée sur ses genoux, face à l’homme, fixant son zeb vivant, elle accéléra sa masturbation en haletant et réussi en effet à obtenir son premier orgasme mouillé et surtout bruyant. Elle hurla presque, essayant d’étouffer son cri puis s’effondra sur le lit, le cul en l’air. J’avais déjà ses fesses et son cul bien en face de moi, quant elle s’était redressée pour se branler debout et maintenant, couchée sur le ventre, sa main toujours sous elle dans sa chatte, elle nous offrait son beau derrière, sa blanche Terma bien dodue, follement arrondie, bien remplie. Feriel revint de la salle de bain, vit le tableau de ma femme, leva le pouce vers son mari pour apprécier. Puis, comme hier soir, elle se mit à genoux pour recevoir sa sodomie. Ils se mirent en position et rapidement les vas et viens du zeb dans le cul de Feriel firent entendre leurs bruits de glissements mouillés sifflants parfois, assez érotiques. Même les frappes du bas ventre du mari sur les fesses de sa femme ajoutaient un surplus de jouissances sonores. Ma femme, à ces sons, se réveilla de son orgasme et se remis face au couple, son derrière face à moi.. Elle était nue, releva la jambe de dessus et recommença à se chatouiller la chatte. Et comme hier soir, peut-être aussi parce qu’elle était encore sensible de son orgasme, elle s’échauffa rapidement et obtint son second orgasme et s’effondra de nouveau, à plats ventre sur le lit, la tête tournée vers les autres. Le couple continuait à baiser et au bout de quelques instants, l’homme éjacula dans le cul de sa femme. Ensuite, ils allèrent tous les deux à la salle de bain et revinrent très vite.
La femme essaya de pousser ma femme vers sa place mais Malika était tellement étourdie par les ondes de son orgasme qu’elle grogna et ne bougea pas. Alors, Feriel décida de se coucher de mon coté et laissa ma femme face à Amar. Celui-ci, avant de se coucher, s’approcha de ma femme couchée sur le ventre, et il lui caressa longuement les fesses et leur sillon. Ces attouchements poussèrent ma femme à écarter, instinctivement, ses cuisses. Et j’ai vu distinctement, la main de l’homme qui se glissait entre les cuisses de ma femme, vers sa chatte qu’il a du caresser ou même pénétré des doigts car Malika poussa un long gémissement et releva son derrière comme pour s’offrir à l’homme, tout en restant les cuisses largement écartées. L’homme chuchota quelque chose à sa femme qui approuva de la tête. Alors, l’homme s’agenouilla entre les cuisses de la femme, les soulevant un peu plus, puis tenant son zeb à la main, il le frotta plusieurs fois sur les fesses de ma femme qui gémit encore plus. Puis, il poussa son autre main sous les cuisses, dans la chatte et ma femme gémit encore plus et souleva un tantinet son derrière. Enfin, l’homme poussa son zeb sous les cuisses et alla s’enfoncer dans la chatte de ma femme. Elle hurla presque au point de nous réveiller normalement. Mais moi, je restais immobile, faisant le mort. D’ailleurs, l’homme et sa femme me jetèrent un coup d’œil et constatant que je ne réagissais pas, la baise continua. L’homme baisa ma femme un long moment sans ménagement, sas vas et viens étaient assez vigoureux et j’entendais nettement les coups de son bas ventre sur les fesses de Malika. Ils haletaient et gémissaient en cadence. J’étais certain que le zeb s’était enfoncé jusqu’aux couilles dans la chatte de ma femme et lui labourait totalement les entrailles. Il me semblait qu’elle remuait aussi son derrière pour mieux profiter de l’épaisseur et de la longueur de ce zeb qui était nettement plus gros et plus épais que le mien, je l’avais constaté devant mes yeux. Rapidement ma femme très excitée obtint un orgasme bruyant mais un peu étouffé par la main de l’homme, puis il continua et assez rapidement il réussit à lui donner un autre orgasme et un long gémissement aussi faiblement étouffé. Ma femme était maintenant un simple pantin de plaisir entre les mains de l’homme et de son gros zeb qui lui fouillait les entrailles comme jamais elles ne le furent par moi. Et il continua encore et encore et enfin, il s’arrêta, arrivé à son top. Prudent et expérimenté, il préféra sortir son zeb et se branler deux ou trois fois et éjaculer sur les fesses de ma femme. Alors elle se secoua pour se retourner et faire face à l’homme pour s’assoir sur le bord du lit. Il se leva, tenant toujours son zeb, encore assez tendu, à la main. Alors, ma femme empoigna le zeb tendu vers elle et l’avala goulument. L’homme restait debout face à ma femme qui suçait son zeb et le mangeait de désirs. Elle le nettoya de sa bouche et ses lèvres, tout en le branlant doucement. Et le gros zeb, comme pour faire plaisir à ma femme, refusait de coucher, de se courber. La femme Feriel qui restait allongée sur le coude, de mon coté, observait la scène sans bouger. Quant l’homme jugea que son zeb est bien nettoyé et, voulait enfin se coucher, il repoussa ma femme qui tomba le dos sur le lit. Il était le maître et c’est lui qui décide, grâce à son gros zeb. Puis, il se baissa sur ma femme et donna un grand baiser sonore sur sa chatte, puis il se releva et alla directement se coucher sur son lit. Ma femme resta ainsi allongée sur le dos, nue et sans bouger. J’ai entendu des chuchotements entre Feriel et elle, elles échangèrent leurs places pour se coucher comme d’habitude, et comme si de rien n’était. Ma femme s’est ensuite levée et a rejoint la salle de bain, nue, sans gêne ni retenue, normal puisque je dormais à fond, j’étais mort. Elle en est revenue quelques minutes tard, certainement vidée du sperme, nettoyée et lavée, a remit son pyjama juste devant moi, me tournant le dos et m’offrant ainsi sa belle Terma. Puis elle s’est recouchée et très rapidement, j’entendais tout le monde respirer calmement et même ronfler un peu. Ils étaient fatigués de sexe, alors que moi, je restais éveillé, impossible de trouver le sommeil. Je ne sais plus à quelle heure j’ai réussi à m’endormir.