Titre de l'histoire érotique : COLLECTION HISTOIRE COURTE. Le prof de collège. (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-05-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Titre de l'histoire érotique : COLLECTION HISTOIRE COURTE. Le prof de collège. (1/1)
« Monsieur le surveillant des classes secondaires était un peu efféminé ».
C’est par cette chanson qui revient en boucle dans ma tête depuis mon adolescence que cette chanson de Sardou a failli chamboulé ma vie.
Tout a commencé quand j’étais, moi aussi au collège dans une petite ville au confluent de deux rivières dans l’est de la France.
À ma puberté comme tous les garçons ma voix a mué, mais la montée dans les aigus à continuer à me poser problème.
Alain, mon co-locataire dans notre petit deux-pièces à Lyon où je suis venu faire mes études désirant devenir prof de math a eu la riche idée de me suggérer que cet inconvénient disparaisse dès que j’aurais « trempé mon poireau dans la chatte d’une fille ».
Je suis timide, il m’est difficile de trouver une jeune fille qui accepterait de coucher avec le garçon boutonneux que je suis, c’est là qu’Alain me dit que la solution, ce sont les pros qui vont me débarrasser de mes boutons et de ma voix éraillée après quelques passages dans leur chambre.
Mes parents m’aident principalement pour payer ma chambre en complétant la bourse que j’ai obtenue.
Ce temps de mes études je suis devenu le client attitré de prostitués trouvé sur un site internet, je perds mon pucelage et mes boutons, mais ma voix elle reste celle qu’elle était avant la première fois.
Pour pouvoir aller baiser, je me prive de nourriture pour aller « tremper mon poireau » dans la chatte de ces filles, « dite de joie, » ce qui me permet d’avoir une taille de guêpe et me donne une silhouette comme le dit la chanson « un peu efféminée ».
Le médecin de famille me suggère d’aller voir un orthophoniste pour maîtriser le ton de ma voix, c’est une femme que je vais voir sans savoir si cela marchera.
Je réussis à avoir mon diplôme et c’est dans cette petite ville que je viens prendre mon poste dès cette rentrée, je fais la connaissance de Susy prof de français qui comme le dit Sardou « avait une croupe incendiaire ».
Il faut que je dise la vérité, elle a une chute de rein qui me fait envie, mais si je suis débarrassé de mon pucelage, il en est tout autrement de ma timidité et chaque fois que je suis seul avec elle dans la salle des profs, je recule à l’invité après les cours.
Elle a une jolie courbe des reins et des seins si jolis, mais comme moi elle est timide et malgré nos regards pouvant me faire penser que je suis à son goût pendant quelques semaines rien, ne se passe pas entre nous.
Aldo, le prof de gym du collège avec ses gros bras et ses tatouages qu’il dissimule, mais que j’ai vu un jour dans les douches du gymnase où j’étais allé faire quelques paniers après mes cours et où il finissait sa journée avant d'entrer chez lui.
Aldo qui m’a regardé comme je pouvais regarder Susy et s’est avancé vers moi.
• Alors pédé, ramasse-moi ma savonnette ?
Il la lâche à mes pieds, je suis mal à l’aise, j’essaye d’avoir la repartie que je lui assène de ma voix cassée.
• Aldo, pas pédé, surtout dans un collège, un pédéraste s’en prend à des enfants, homo si tu veux, même si c’est loin d’être le cas.
• Il nous fait sa chochotte ce grand puceau.
J’ai eu envie de lui dire que j’étais allé aux putes, mais j’ai eu peur qu’il ne se moque de moi me disant que j’étais incapable de draguer une nana.
Les putes, dans la ville voisine il y en a, mais j’ai eu peur que l’on ne remarque les draguer du côté de la gare, de plus les lois changent et l’on parle de taxer les clients, je me vois mal devant la maréchaussée répondre à la question « quel est votre profession » répondre professeur de math dans le collège de ma nouvelle petite ville.
À mon âge, le sexe a de l’importance et entre deux copies que je corrige, j’éjacule en me masturbant un œil sur un porno trouvé sur mon ordinateur.
Je suis dans la salle des profs, Susy arrive, elle me fait la bise comme il est fréquent dans les milieux professionnels et va vers le percolateur.
Aldo arrive au même moment, oubliant de nous saluer et vient se frotter à Susy.
• Alors poupée tu viens prendre un verre ce soir, tu sais que ton petit cul me fait envie.
Je suis sur le point de me lever afin de le remette à sa place, mais c’est Susy qui me devance.
• Nicolas n’oublie pas que ce soir, nous allons au restaurant, j’ai réservé.
• Putain, tu sors avec ce pédé, tu dois être une gouine qui s’ignore.
Je me lève, mais une nouvelle fois Susy est plus rapide, en se retournant elle balance une baffe au malotru, dans le mouvement qu’il est obligé de faire, je lui envoie un marron le touchant à la pointe du menton qui le fait tomber sur ses fesses.
Sur ce nous sortons de la salle.
• Tu étais sérieuse pour ce soir, parce que je le suis et c’est moi qui t’invite.
On pourrait en rester là, je pourrais finir par, "ils ont vécu heureux et on eux beaucoup d’enfants" même si c’est en partie vrai, toute cette histoire a eu un rebondissement.
Le soir je la récupère devant chez elle non loin du logement que j’ai trouvé chez une petite mémé qui grâce à mon loyer améliore son ordinaire.
Elle descend d’un appartement dans une tenue la mettant en valeur, je suis honoré malgré ma voix de crécelle bien que j’aie réussi à l’améliorer en parlant avec cette orthophoniste pendant que j’étais à Lyon.
À la sortie du restaurant et je la raccompagne au pied de son immeuble, toute la soirée nous apprenons à nous connaître et une grande partie de la glace qui se trouvait entre nous a fondu, fini la timidité, je la regarde droit dans les yeux et elle en fait de même pour moi.
• Tu viens prendre un dernier verre.
• Je suis choqué madame, pour qui me prenez-vous, il est hors de question que je couche le premier soir.
• J’adore ta façon d’inverser les rôles Nicolas, tu sais, je suis vieille France, mes parents m’ont inculqué des principes et je coucherais pour la première fois avec l’homme qui aura su séduire mon cœur et aura été patient jusqu’à mon grand jour, pardon notre grande nuit.
Je suis prévenu, nous montons prendre un café et heureusement que demain le collège est fermé, je là quitte au matin ayant confronté l’osmose de nos pensées.
Dans les jours qui suivent, au collège nous gardons nos sentiments, Aldo nous évite, je suis content ce gros bras semble être un pleutre.
Je sais que je vais la demander en mariage, mais je veux trouver la façon de la surprendre, je vois qu’à la Saint Valentin même si je mets les petits plats dans les grands au restaurant qu’elle est dessus qu’au moment du dessert je reste scotché sur ma chaise.
C’est lors du voyage de fin d’année qu’au repas du midi je m’avance auprès de Susy alors qu’Aldo est du voyage, je m’agenouille et devant tous les jeunes je sors un écrin que j’ouvre.
• Le baiser, le baiser.
Ce sont ces jeunes fleurs bleues qui scandent ces mots, je m’exécute quand elle accepte ma bague.
Avec Susy hors du collège, nous prenons l’habitude de sortir comme si nous étions mariés, bref même si nous vivons chacun chez soi et que nous dormions chacun dans nos lits.
Un soir nous prenons sa voiture étant un piéton de longue date pour nous rendre dans la grande ville voisine dîner chez Antoinette la copine de Susy, elle a été son témoin de mariage l’an dernier à la fin de leur étude.
Nous tournons pour nous garer et nous trouvons une place face à un bar, au moment de descendre, je vois un couple arriver se tenant par la taille.
Au départ, j’ai du mal à en croire mes yeux.
• Susy regarde, on dirait Aldo avec ce marcel et cette casquette, il est avec un garçon et ils vont rentrer dans ce bar, tu vois comme moi les deux garçons qui viennent de sortir, c’est un bar homo, incroyable ?
• Tu comprends à ce que tu as échappé mon chéri, quand tu m’as rapporté l’épisode de la savonnette dans les douches du gymnase.
Depuis que nous avons passé cette soirée chez les amis de Susy, j’ai épousé ma dulcinée qui fait fi de mon problème de voix même si comme je l’ai dit, j’ai réussi à l’atténuer.
Le soir de nos noces comme elle me l’a demandé, je l’honore après que nous avons mis une bague à notre annulaire gauche, je suis un homme pudique comme elle l’est aussi, je garde pour moi les galipettes que nous faisons après avoir fermés la porte de notre chambre.
J’ai la preuve outre le sang qui est sur le drap et que je vois en fin de matinée que j’ai accompli mon devoir conjugal, neuf mois plus tard Gabriel est né, suivi douze mois plus tard d’Alice.
Aldo a quitté notre collège, nous avons appris qu’il avait fait son coming-out et qu’il vivait dans le pécher avec un copain prof de sport comme lui qu’il avait rencontré pendant ses études pour devenir prof de sport.
C’est par cette chanson qui revient en boucle dans ma tête depuis mon adolescence que cette chanson de Sardou a failli chamboulé ma vie.
Tout a commencé quand j’étais, moi aussi au collège dans une petite ville au confluent de deux rivières dans l’est de la France.
À ma puberté comme tous les garçons ma voix a mué, mais la montée dans les aigus à continuer à me poser problème.
Alain, mon co-locataire dans notre petit deux-pièces à Lyon où je suis venu faire mes études désirant devenir prof de math a eu la riche idée de me suggérer que cet inconvénient disparaisse dès que j’aurais « trempé mon poireau dans la chatte d’une fille ».
Je suis timide, il m’est difficile de trouver une jeune fille qui accepterait de coucher avec le garçon boutonneux que je suis, c’est là qu’Alain me dit que la solution, ce sont les pros qui vont me débarrasser de mes boutons et de ma voix éraillée après quelques passages dans leur chambre.
Mes parents m’aident principalement pour payer ma chambre en complétant la bourse que j’ai obtenue.
Ce temps de mes études je suis devenu le client attitré de prostitués trouvé sur un site internet, je perds mon pucelage et mes boutons, mais ma voix elle reste celle qu’elle était avant la première fois.
Pour pouvoir aller baiser, je me prive de nourriture pour aller « tremper mon poireau » dans la chatte de ces filles, « dite de joie, » ce qui me permet d’avoir une taille de guêpe et me donne une silhouette comme le dit la chanson « un peu efféminée ».
Le médecin de famille me suggère d’aller voir un orthophoniste pour maîtriser le ton de ma voix, c’est une femme que je vais voir sans savoir si cela marchera.
Je réussis à avoir mon diplôme et c’est dans cette petite ville que je viens prendre mon poste dès cette rentrée, je fais la connaissance de Susy prof de français qui comme le dit Sardou « avait une croupe incendiaire ».
Il faut que je dise la vérité, elle a une chute de rein qui me fait envie, mais si je suis débarrassé de mon pucelage, il en est tout autrement de ma timidité et chaque fois que je suis seul avec elle dans la salle des profs, je recule à l’invité après les cours.
Elle a une jolie courbe des reins et des seins si jolis, mais comme moi elle est timide et malgré nos regards pouvant me faire penser que je suis à son goût pendant quelques semaines rien, ne se passe pas entre nous.
Aldo, le prof de gym du collège avec ses gros bras et ses tatouages qu’il dissimule, mais que j’ai vu un jour dans les douches du gymnase où j’étais allé faire quelques paniers après mes cours et où il finissait sa journée avant d'entrer chez lui.
Aldo qui m’a regardé comme je pouvais regarder Susy et s’est avancé vers moi.
• Alors pédé, ramasse-moi ma savonnette ?
Il la lâche à mes pieds, je suis mal à l’aise, j’essaye d’avoir la repartie que je lui assène de ma voix cassée.
• Aldo, pas pédé, surtout dans un collège, un pédéraste s’en prend à des enfants, homo si tu veux, même si c’est loin d’être le cas.
• Il nous fait sa chochotte ce grand puceau.
J’ai eu envie de lui dire que j’étais allé aux putes, mais j’ai eu peur qu’il ne se moque de moi me disant que j’étais incapable de draguer une nana.
Les putes, dans la ville voisine il y en a, mais j’ai eu peur que l’on ne remarque les draguer du côté de la gare, de plus les lois changent et l’on parle de taxer les clients, je me vois mal devant la maréchaussée répondre à la question « quel est votre profession » répondre professeur de math dans le collège de ma nouvelle petite ville.
À mon âge, le sexe a de l’importance et entre deux copies que je corrige, j’éjacule en me masturbant un œil sur un porno trouvé sur mon ordinateur.
Je suis dans la salle des profs, Susy arrive, elle me fait la bise comme il est fréquent dans les milieux professionnels et va vers le percolateur.
Aldo arrive au même moment, oubliant de nous saluer et vient se frotter à Susy.
• Alors poupée tu viens prendre un verre ce soir, tu sais que ton petit cul me fait envie.
Je suis sur le point de me lever afin de le remette à sa place, mais c’est Susy qui me devance.
• Nicolas n’oublie pas que ce soir, nous allons au restaurant, j’ai réservé.
• Putain, tu sors avec ce pédé, tu dois être une gouine qui s’ignore.
Je me lève, mais une nouvelle fois Susy est plus rapide, en se retournant elle balance une baffe au malotru, dans le mouvement qu’il est obligé de faire, je lui envoie un marron le touchant à la pointe du menton qui le fait tomber sur ses fesses.
Sur ce nous sortons de la salle.
• Tu étais sérieuse pour ce soir, parce que je le suis et c’est moi qui t’invite.
On pourrait en rester là, je pourrais finir par, "ils ont vécu heureux et on eux beaucoup d’enfants" même si c’est en partie vrai, toute cette histoire a eu un rebondissement.
Le soir je la récupère devant chez elle non loin du logement que j’ai trouvé chez une petite mémé qui grâce à mon loyer améliore son ordinaire.
Elle descend d’un appartement dans une tenue la mettant en valeur, je suis honoré malgré ma voix de crécelle bien que j’aie réussi à l’améliorer en parlant avec cette orthophoniste pendant que j’étais à Lyon.
À la sortie du restaurant et je la raccompagne au pied de son immeuble, toute la soirée nous apprenons à nous connaître et une grande partie de la glace qui se trouvait entre nous a fondu, fini la timidité, je la regarde droit dans les yeux et elle en fait de même pour moi.
• Tu viens prendre un dernier verre.
• Je suis choqué madame, pour qui me prenez-vous, il est hors de question que je couche le premier soir.
• J’adore ta façon d’inverser les rôles Nicolas, tu sais, je suis vieille France, mes parents m’ont inculqué des principes et je coucherais pour la première fois avec l’homme qui aura su séduire mon cœur et aura été patient jusqu’à mon grand jour, pardon notre grande nuit.
Je suis prévenu, nous montons prendre un café et heureusement que demain le collège est fermé, je là quitte au matin ayant confronté l’osmose de nos pensées.
Dans les jours qui suivent, au collège nous gardons nos sentiments, Aldo nous évite, je suis content ce gros bras semble être un pleutre.
Je sais que je vais la demander en mariage, mais je veux trouver la façon de la surprendre, je vois qu’à la Saint Valentin même si je mets les petits plats dans les grands au restaurant qu’elle est dessus qu’au moment du dessert je reste scotché sur ma chaise.
C’est lors du voyage de fin d’année qu’au repas du midi je m’avance auprès de Susy alors qu’Aldo est du voyage, je m’agenouille et devant tous les jeunes je sors un écrin que j’ouvre.
• Le baiser, le baiser.
Ce sont ces jeunes fleurs bleues qui scandent ces mots, je m’exécute quand elle accepte ma bague.
Avec Susy hors du collège, nous prenons l’habitude de sortir comme si nous étions mariés, bref même si nous vivons chacun chez soi et que nous dormions chacun dans nos lits.
Un soir nous prenons sa voiture étant un piéton de longue date pour nous rendre dans la grande ville voisine dîner chez Antoinette la copine de Susy, elle a été son témoin de mariage l’an dernier à la fin de leur étude.
Nous tournons pour nous garer et nous trouvons une place face à un bar, au moment de descendre, je vois un couple arriver se tenant par la taille.
Au départ, j’ai du mal à en croire mes yeux.
• Susy regarde, on dirait Aldo avec ce marcel et cette casquette, il est avec un garçon et ils vont rentrer dans ce bar, tu vois comme moi les deux garçons qui viennent de sortir, c’est un bar homo, incroyable ?
• Tu comprends à ce que tu as échappé mon chéri, quand tu m’as rapporté l’épisode de la savonnette dans les douches du gymnase.
Depuis que nous avons passé cette soirée chez les amis de Susy, j’ai épousé ma dulcinée qui fait fi de mon problème de voix même si comme je l’ai dit, j’ai réussi à l’atténuer.
Le soir de nos noces comme elle me l’a demandé, je l’honore après que nous avons mis une bague à notre annulaire gauche, je suis un homme pudique comme elle l’est aussi, je garde pour moi les galipettes que nous faisons après avoir fermés la porte de notre chambre.
J’ai la preuve outre le sang qui est sur le drap et que je vois en fin de matinée que j’ai accompli mon devoir conjugal, neuf mois plus tard Gabriel est né, suivi douze mois plus tard d’Alice.
Aldo a quitté notre collège, nous avons appris qu’il avait fait son coming-out et qu’il vivait dans le pécher avec un copain prof de sport comme lui qu’il avait rencontré pendant ses études pour devenir prof de sport.
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