Titre de l'histoire érotique : COLLECTION LESBIENNES. Un regard a suffi. (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-06-2017 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Titre de l'histoire érotique : COLLECTION LESBIENNES. Un regard a suffi. (1/1)
• Merci mon chéri pour ce merveilleux repas de la Saint Valentin.
Cinq ans que Nicolas m’a épousés et qu’il m’offre le restaurant chaque année.
Cinq ans que la vieille femme va venir vendre ses roses, elle va m’en présenter une et qu’il va lui donner les 10 € qu’il a dans sa poche pour me l’offrir.
Cinq ans où il me prendra la main, me la retournera et posera l'éternel baisé sur mon poignet.
Cinq ans qu’il m’offrira une boîte avec un bijou au moment du dessert comme il l’avait fait le jour ou en plus de la bague il s’était agenouillé sous les applaudissements des autres clients.
J’avais pris la bague et l’année suivante j’avais une alliance en diamant m’épousant en Juillet.
Le soir de mes noces, j’ai connu le loup m’étant gardé pour cette nuit exceptionnelle, c’est du moins ce que maman a cru, sa fille ne pouvant se marier que pure.
Elle s’est mis le doigt dans l’œil, dès que j’ai été en âge de m’occuper des sexes des garçons surtout dans les booms, j’étais l’une des premières à rejoindre une des chambres avec le plus beau gosse de la soirée.
• Monsieur, une rose pour votre compagne, c’est la Saint Valentin.
Il doit y avoir des années que personne lui souhaite la Saint Valentin, il y a combien de temps que contrairement à moi le loup est resté à la porte de sa chambre.
• Combien vous en reste-t-il madame ?
• 13 un chiffre porte chance.
• Nicolas donne 150 € à cette dame qu’elle puisse aller dormir.
• Tu es folle.
• Pourquoi il y a cinq ans où je la voie tous les ans et que j’ai envie de faire ce que nous allons faire ?
• Pourquoi 150 € à 10 €, elle en a 13 à vendre ?
• Pour mon bon plaisir, paye où je pars.
Il paye, je prends le bouquet, me lève, fait le tour des tables et j’offre, une rose à chacune des femmes présentent.
Sur une table voisine une femme aussi jolie que moi prend la rose et notre regard se croise.
• Merci pour cette vieille femme, avec mon compagnon cela fait deux ans que nous venons ici pour la Saint Valentin, j’ai eu la même idée que vous envers cette pauvre femme sans jamais le faire.
Nos mains se touchent au moment où elle prend la rose me chamboulant.
Le reste du repas chaque fois que nous le pouvons nos regards se croise, ma culotte doit être trempée.
Je me lève, repasse près d’elle, une nouvelle fois nos regards se rencontrent et je descends vers les sanitaires.
J’entre chez les femmes, ce qui est normal et je fais pipi, là encore c’est normal, je remonte ma culotte qui est trop mouillée, je l’enlève et je la mets dans mon baise-en-ville.
J'actionne la chasse, je ressors, je me place devant le lavabo ou je prends mon rouge à lèvres.
Je suis déçu, la porte reste close, non elle s’ouvre, je vois dans la glace celle que j’espérais voir.
On va croire que les femmes m’intéressent ce qui est faux, c’est la première fois que je suis troublé par l’une d’elles.
S’approchant, elle plaque son corps le long du mien et son bras enlace ma poitrine se glissant dans l’échancrure de mon corsage.
• Sens-tu comme nous sommes folles, j’ignore ce qu’il m’arrive, tu m’as touché pour m’offrir ta rose et tout a éclaté en moi, tes seins sont magnifiques, 95 C ?
• Exact.
• Comme moi, c’est drôle, tu as un soutien pigeonnant comme le mien, fais voir.
Elle se dégage me retourne et ouvre mon corsage.
• Mince, Henriette ?
• Non, Jennifer.
Elle éclate de rire et ouvre son corsage.
• Henriette, la boutique de lingerie, nous avons les deux mêmes, toi en rose moi en violet, ton string est comme le mien de même couleur, je trouve que ce modèle met nos seins en valeur.
• Puis-je les toucher ?
• Tu peux, j’ai de l’avance sur toi, j’ai eu du mal à empommer celui que j’avais saisi dans ma petite main.
Impensable, Nicolas attend mon retour et je caresse la poitrine d’une femme dans les toilettes, de plus elle avance ses lèvres et nous échangeons un long baisé.
• Es-tu capable d’être folle ?
• Oui, je te l’ai prouvé avec les roses.
• Déshabille-toi ?
C’est comme un ordre et contre toute attente, j’enlève la veste de mon tailleur, elle m’aide à défaire son chemisier, nous en faisons de même pour ses vêtements ainsi que nos soutiens-gorge.
• Je te demandais si tu étais folle, c’est le cas, mais tu es surtout une belle salope, sortir sans culotte, il faudra que j’aie la même audace.
Je me garde bien de lui dire qu’elle m’a fait mouiller et que je l’ai mis dans mon petit sac posé sur le lavabo.
• Il y a bien longtemps que l’on est descendues, ils vont avoir des soupçons, je te propose de mettre mes vêtements et toi les miens, je parie qu’ils n’y verront que du feu, je suis devenue un bel objet qu’il aime promener à son bras sans plus.
Il m’a emmené au restaurant ce soir pour la Saint Valentin dans l’espoir de nous rabibocher, mais c’est fini, mon cœur est sec, coup de chance, il s’est réveillé quand nous nous sommes touché les mains.
Dans mon sac, il y a un petit répertoire, à la lettre A comme Anabelle, il y a mon adresse, demain 14 heures, dernière chose, interdiction que ton mec te baise ce soir ou demain matin, à partir de maintenant tu es seulement à moi.
Elle m’embrasse et me caresse le sexe, j’ai envie qu’elle me mette sa main, mais le temps presse, je mets ses affaires même son string et nous remontons moi la première elle me suivant quelques minutes plus tard avec en main le sac de l’autre.
Comme elle le supputait, ils ne voient que du feu, par chance nos tailleurs sont de coupe classique et les teintes approchantes, un dernier regard quand il se lève et retour à la maison.
• Laisse-moi Nicolas, demain je vais aller voir notre médecin, j’ai encore un début de cystite.
• Non, pas le jour de la Saint-Valentin, il y en a marre de tes problèmes de chatte, masturbe-moi.
• Je souffre et tu penses à la gaudriole, je vais me coucher.
Correct le coup de la cystite, il y a bien longtemps que j’ai compris que pour les hommes, ils confondaient, petits problèmes féminins avec maladie vénérienne.
À 14 heures je monte au quatrième comme le dit les boîtes aux lettres, sur le palier deux valises.
Je sonne, elle ouvre et nous tombons dans les bras l’une l’autre.
• Vas-tu en voyage ?
• Non, c’est mon mec, il va rentrer et savoir qu’il n’a plus sa place ici, tu le remplaces, viens dans ma chambre, à partir de maintenant c’est la tienne.
Elle commande, j’exécute, elle me déshabille et j’ouvre son peignoir, ses seins sont à moi les miens à elle, sa caresse est douce et je sens que je coule le long de mes jambes, qui m’auraient dit que j’étais capable de la prendre dans mes bras pour la faire chuter sur ce que je présume déjà être définitivement notre lit.
Je sens la jouissance monter dans mon corps simplement en nous caressant sans aucune pénétration de nos mains, juste des caresses superficielles et nos bouches soudées, nos langues tourbillonnantes à l’intérieur.
• Nous aurons tout le temps d’aller plus loin dans la découverte de nos corps Jennifer, voyons ce qu’il y a dans ton sac à main, tient une petite culotte, elle est toute mouillée.
Je sais ce que tu penses, depuis que tu l’as enlevée, elle aurait dû sécher, je suis curieuse et j’ai voulu connaître celle qui avait miraculeusement fait battre mon cœur par une simple rose.
• C’est vrai quand je suis descendu faire pipi, j’espérais secrètement que tu me rejoindrais et j’étais trempée, je l’ai mis dans mon sac et tu m’as rejointe pour mon plus grand bonheur, pourquoi est-elle encore trempée ?
• Je l’ai pris dans mes mains et je l’ai sucé toute la nuit, j’ai regretté qu’elle soit si petite, car j’ai eu peu le temps de sentir ton goût, c’est loin d’être grave, j’ai l’originale à ma disposition, je vais pouvoir la faire couler sans interruption pendant les prochaines heures, jours, mois, années.
• Et ton mari, tu le vires, mais tu vas être obligée de partir.
• N’est aucune crainte, je suis contre le mariage, je suis dans l’appartement que mes parents m’ont donné quand mon père est parti sur la côte méditerranée avec maman pour sa retraite, tu es chez toi après que tu auras fait le geste nécessaire à notre bonheur.
• Lequel ?
• J’ai pris ton téléphone, mais il est bloqué par le code de sécurité, prend le, appelle ton mari et dit lui que tout est fini, tu as trouvé l’amour de ta vie et que tu divorces à tes tords, j’ai de quoi nous faire vivre en restant couché à faire l’amour tout le temps.
As-tu un métier ?
• J’ai fait des études de lettres et je voulais devenir écrivain, mais j’ai rencontré Antoine et j’ai oublié mes envies.
• Nous allons transformer la chambre ou couchait mon ex, nous allons en faire un bureau ou tu auras tout loisir de vaquer à tes fantasmes sur ta feuille vierge, ponds-nous un best-seller.
Apelle-le.
Un baiser pour entretenir notre passion.
• Oui, tu as bien compris Antoine, je te quitte.
• Non, j’en aime une autre.
• Oui, j’ai bien dit une.
Nous roulons dans les bras l’une l’autre, elle pivote et nos bouches viennent en contact de nos bouches intimes démarrant des sensations extraordinaires, nous sommes trempées.
C’est à ce moment que mon téléphone sonne, je tends la main pour le saisir.
• Allo maman, c’est toi ?
Elle me dit que j’ai une drôle de voix et qu’elle m’invite avec Nicolas pour son anniversaire dimanche manger le gigot.
• Je viendrais, maman, mais sans Nicolas, je divorce, je serais avec Annabelle mon amie.
Après un blanc, les deux mots qui sortent de sa bouche, c’est « Mon dieu ».
Cinq ans que Nicolas m’a épousés et qu’il m’offre le restaurant chaque année.
Cinq ans que la vieille femme va venir vendre ses roses, elle va m’en présenter une et qu’il va lui donner les 10 € qu’il a dans sa poche pour me l’offrir.
Cinq ans où il me prendra la main, me la retournera et posera l'éternel baisé sur mon poignet.
Cinq ans qu’il m’offrira une boîte avec un bijou au moment du dessert comme il l’avait fait le jour ou en plus de la bague il s’était agenouillé sous les applaudissements des autres clients.
J’avais pris la bague et l’année suivante j’avais une alliance en diamant m’épousant en Juillet.
Le soir de mes noces, j’ai connu le loup m’étant gardé pour cette nuit exceptionnelle, c’est du moins ce que maman a cru, sa fille ne pouvant se marier que pure.
Elle s’est mis le doigt dans l’œil, dès que j’ai été en âge de m’occuper des sexes des garçons surtout dans les booms, j’étais l’une des premières à rejoindre une des chambres avec le plus beau gosse de la soirée.
• Monsieur, une rose pour votre compagne, c’est la Saint Valentin.
Il doit y avoir des années que personne lui souhaite la Saint Valentin, il y a combien de temps que contrairement à moi le loup est resté à la porte de sa chambre.
• Combien vous en reste-t-il madame ?
• 13 un chiffre porte chance.
• Nicolas donne 150 € à cette dame qu’elle puisse aller dormir.
• Tu es folle.
• Pourquoi il y a cinq ans où je la voie tous les ans et que j’ai envie de faire ce que nous allons faire ?
• Pourquoi 150 € à 10 €, elle en a 13 à vendre ?
• Pour mon bon plaisir, paye où je pars.
Il paye, je prends le bouquet, me lève, fait le tour des tables et j’offre, une rose à chacune des femmes présentent.
Sur une table voisine une femme aussi jolie que moi prend la rose et notre regard se croise.
• Merci pour cette vieille femme, avec mon compagnon cela fait deux ans que nous venons ici pour la Saint Valentin, j’ai eu la même idée que vous envers cette pauvre femme sans jamais le faire.
Nos mains se touchent au moment où elle prend la rose me chamboulant.
Le reste du repas chaque fois que nous le pouvons nos regards se croise, ma culotte doit être trempée.
Je me lève, repasse près d’elle, une nouvelle fois nos regards se rencontrent et je descends vers les sanitaires.
J’entre chez les femmes, ce qui est normal et je fais pipi, là encore c’est normal, je remonte ma culotte qui est trop mouillée, je l’enlève et je la mets dans mon baise-en-ville.
J'actionne la chasse, je ressors, je me place devant le lavabo ou je prends mon rouge à lèvres.
Je suis déçu, la porte reste close, non elle s’ouvre, je vois dans la glace celle que j’espérais voir.
On va croire que les femmes m’intéressent ce qui est faux, c’est la première fois que je suis troublé par l’une d’elles.
S’approchant, elle plaque son corps le long du mien et son bras enlace ma poitrine se glissant dans l’échancrure de mon corsage.
• Sens-tu comme nous sommes folles, j’ignore ce qu’il m’arrive, tu m’as touché pour m’offrir ta rose et tout a éclaté en moi, tes seins sont magnifiques, 95 C ?
• Exact.
• Comme moi, c’est drôle, tu as un soutien pigeonnant comme le mien, fais voir.
Elle se dégage me retourne et ouvre mon corsage.
• Mince, Henriette ?
• Non, Jennifer.
Elle éclate de rire et ouvre son corsage.
• Henriette, la boutique de lingerie, nous avons les deux mêmes, toi en rose moi en violet, ton string est comme le mien de même couleur, je trouve que ce modèle met nos seins en valeur.
• Puis-je les toucher ?
• Tu peux, j’ai de l’avance sur toi, j’ai eu du mal à empommer celui que j’avais saisi dans ma petite main.
Impensable, Nicolas attend mon retour et je caresse la poitrine d’une femme dans les toilettes, de plus elle avance ses lèvres et nous échangeons un long baisé.
• Es-tu capable d’être folle ?
• Oui, je te l’ai prouvé avec les roses.
• Déshabille-toi ?
C’est comme un ordre et contre toute attente, j’enlève la veste de mon tailleur, elle m’aide à défaire son chemisier, nous en faisons de même pour ses vêtements ainsi que nos soutiens-gorge.
• Je te demandais si tu étais folle, c’est le cas, mais tu es surtout une belle salope, sortir sans culotte, il faudra que j’aie la même audace.
Je me garde bien de lui dire qu’elle m’a fait mouiller et que je l’ai mis dans mon petit sac posé sur le lavabo.
• Il y a bien longtemps que l’on est descendues, ils vont avoir des soupçons, je te propose de mettre mes vêtements et toi les miens, je parie qu’ils n’y verront que du feu, je suis devenue un bel objet qu’il aime promener à son bras sans plus.
Il m’a emmené au restaurant ce soir pour la Saint Valentin dans l’espoir de nous rabibocher, mais c’est fini, mon cœur est sec, coup de chance, il s’est réveillé quand nous nous sommes touché les mains.
Dans mon sac, il y a un petit répertoire, à la lettre A comme Anabelle, il y a mon adresse, demain 14 heures, dernière chose, interdiction que ton mec te baise ce soir ou demain matin, à partir de maintenant tu es seulement à moi.
Elle m’embrasse et me caresse le sexe, j’ai envie qu’elle me mette sa main, mais le temps presse, je mets ses affaires même son string et nous remontons moi la première elle me suivant quelques minutes plus tard avec en main le sac de l’autre.
Comme elle le supputait, ils ne voient que du feu, par chance nos tailleurs sont de coupe classique et les teintes approchantes, un dernier regard quand il se lève et retour à la maison.
• Laisse-moi Nicolas, demain je vais aller voir notre médecin, j’ai encore un début de cystite.
• Non, pas le jour de la Saint-Valentin, il y en a marre de tes problèmes de chatte, masturbe-moi.
• Je souffre et tu penses à la gaudriole, je vais me coucher.
Correct le coup de la cystite, il y a bien longtemps que j’ai compris que pour les hommes, ils confondaient, petits problèmes féminins avec maladie vénérienne.
À 14 heures je monte au quatrième comme le dit les boîtes aux lettres, sur le palier deux valises.
Je sonne, elle ouvre et nous tombons dans les bras l’une l’autre.
• Vas-tu en voyage ?
• Non, c’est mon mec, il va rentrer et savoir qu’il n’a plus sa place ici, tu le remplaces, viens dans ma chambre, à partir de maintenant c’est la tienne.
Elle commande, j’exécute, elle me déshabille et j’ouvre son peignoir, ses seins sont à moi les miens à elle, sa caresse est douce et je sens que je coule le long de mes jambes, qui m’auraient dit que j’étais capable de la prendre dans mes bras pour la faire chuter sur ce que je présume déjà être définitivement notre lit.
Je sens la jouissance monter dans mon corps simplement en nous caressant sans aucune pénétration de nos mains, juste des caresses superficielles et nos bouches soudées, nos langues tourbillonnantes à l’intérieur.
• Nous aurons tout le temps d’aller plus loin dans la découverte de nos corps Jennifer, voyons ce qu’il y a dans ton sac à main, tient une petite culotte, elle est toute mouillée.
Je sais ce que tu penses, depuis que tu l’as enlevée, elle aurait dû sécher, je suis curieuse et j’ai voulu connaître celle qui avait miraculeusement fait battre mon cœur par une simple rose.
• C’est vrai quand je suis descendu faire pipi, j’espérais secrètement que tu me rejoindrais et j’étais trempée, je l’ai mis dans mon sac et tu m’as rejointe pour mon plus grand bonheur, pourquoi est-elle encore trempée ?
• Je l’ai pris dans mes mains et je l’ai sucé toute la nuit, j’ai regretté qu’elle soit si petite, car j’ai eu peu le temps de sentir ton goût, c’est loin d’être grave, j’ai l’originale à ma disposition, je vais pouvoir la faire couler sans interruption pendant les prochaines heures, jours, mois, années.
• Et ton mari, tu le vires, mais tu vas être obligée de partir.
• N’est aucune crainte, je suis contre le mariage, je suis dans l’appartement que mes parents m’ont donné quand mon père est parti sur la côte méditerranée avec maman pour sa retraite, tu es chez toi après que tu auras fait le geste nécessaire à notre bonheur.
• Lequel ?
• J’ai pris ton téléphone, mais il est bloqué par le code de sécurité, prend le, appelle ton mari et dit lui que tout est fini, tu as trouvé l’amour de ta vie et que tu divorces à tes tords, j’ai de quoi nous faire vivre en restant couché à faire l’amour tout le temps.
As-tu un métier ?
• J’ai fait des études de lettres et je voulais devenir écrivain, mais j’ai rencontré Antoine et j’ai oublié mes envies.
• Nous allons transformer la chambre ou couchait mon ex, nous allons en faire un bureau ou tu auras tout loisir de vaquer à tes fantasmes sur ta feuille vierge, ponds-nous un best-seller.
Apelle-le.
Un baiser pour entretenir notre passion.
• Oui, tu as bien compris Antoine, je te quitte.
• Non, j’en aime une autre.
• Oui, j’ai bien dit une.
Nous roulons dans les bras l’une l’autre, elle pivote et nos bouches viennent en contact de nos bouches intimes démarrant des sensations extraordinaires, nous sommes trempées.
C’est à ce moment que mon téléphone sonne, je tends la main pour le saisir.
• Allo maman, c’est toi ?
Elle me dit que j’ai une drôle de voix et qu’elle m’invite avec Nicolas pour son anniversaire dimanche manger le gigot.
• Je viendrais, maman, mais sans Nicolas, je divorce, je serais avec Annabelle mon amie.
Après un blanc, les deux mots qui sortent de sa bouche, c’est « Mon dieu ».
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
June 18, 2017. John La Semelle a beaucoup aimé ce récit et est persuadé que bien des épouses ont une idée semblable. pour leur plus grand bonheur.
On va y réfléchir...
J'attends la suite avec la dégustation du gigot (!) chez la maman !!!