Titre de l'histoire érotique : COLLECTION SOUMISE. Fille de… (14/16) - histoire érotique

Le caviar et le saumon dégusté, Mariane et Louana tombent épuisées, après un petit baisé pour l’une suivies d’un gros baisé pour l’autre, une main sur les seins de l’une, main dans la chatte de l’autre, doigts dans une chatte avec doigt dans l’anus, ça c’est pour moi qui le sent, certainement mis par Louana.
N’oublions pas les langues qui viennent pénétrer nos intimités, Louana a mis son doigt dans l’anus, c’est sa langue dans une belle feuille de rose que Mariane me fait entrer.
Elle jouit la première, je parle de Mariane, je la suis de près, notre amie repart quelques secondes avant Louana.
J’ignore quand nous nous écroulons entièrement trempées, la situation ayant été très chaudes.

D’un coup, la sonnerie caractéristique de mon portable me réveille, je l’avais posé sur la table de nuit pour entendre le réveil, je constate qu’il fait jour et qu’il n’est que onze heures, c’est Pierre, je m’extirpe du lit repoussant un bras de l’une, la jambe de l’autre et je vais dans la salle de bains endroit ou je peux m’isoler.

• Où es-tu ma chérie, je roule vers la côte, j’ai appelé sur notre fixe, tu ne répondais pas, je voulais te dire que je serais absent deux jours à moins que tu prennes un avion pour me rejoindre.
• Impossible, je suis chez Mariane, elle a ouvert une galerie de tableaux, ou elle expose ses œuvres, tu verras, elle m’a fait cadeau d'un, je le mettrais chez nous.
• Chez toi mon amour, nous t’avons offert ton appartement pour service rendu, c’est elle qui t’empêche de me rejoindre.
• Non, à ce vernissage, j’ai rencontré Marie, ta femme, à oui, elle m’a dit que tu l’emmenais au restaurant, après l’as-tu baisé ?
• Pourquoi crois-tu que mon chauffeur m’emmène sur la cote officiellement dans ma circonscription et que je te demande de me rejoindre, j’ai prétexté mon départ de bonne heure pour lui tourner le dos ?
Mais tu es jalouse Jessika, merci, ça me montre que je compte pour toi, alors qu’il n’y a plus rien de physique avec ma femme, je reste avec elle à cause des enfants.
Elle m’a promis que si je la trompais, je ne révérais plus mes petits, c’est pour ça que je nous ai fait un nid d’amours.
• J’espère que je ne ferais pas d’imper tout à l’heure, elle m'a donné votre carte de visite avec votre adresse, elle sait peut-être pour nous et veux essayer de me piéger.
• Oui, c’est bizarre, mais dit moi, tu as toujours ton manteau et ton sac, cette nuit avec Marina, tu as dû renouveler vos aventures sexuelles entre filles, Marie dans sa jeunesse était loin de refuser le sexe, elle a vécu un certain temps avec une copine de fac en colocation, leurs copains les appelaient les gougnottes.
Si tu réussissais à réveiller ses vieux souvenirs lesbiens et me faire un joli film vous broutant le minet, je te promets le frigo américain que tu me parlais l’autre jour et où nous avons mesuré où le mettre dans la cuisine.
Ou un voyage dans les îles pour profiter du soleil de l’autre côté de l’équateur.
• Tu rigoles avec ton frigo, je sais que vous êtes sur un coup qui va vous rapporter gros, j’ai l’impression que tu fais partie de ces hommes qui payent un fer à repasser à leur femme pour leur anniversaire.
• Comment sais-tu pour le gros coup, quelqu’un t’a parlé ?
• Non, tes copains sont de vraies tombes, mais n’oublient pas que je suis maligne et que dans son bureau Joseph a quelques dossiers que j’ai consultés en tout bien tout honneur avant de les classer.
• Je vois, il fallait bien les mettre quelque part, écoute 8 jours à Bali en voyage parlementaire, tu serais partante.
• Après le fer à repasser, le voyage payé dans le cadre de ton boulot.
• Mais à Bali, nous pourrions baiser sur le sable fin dans la nuit étoilé.
• Je rigole mon gros loup, Bali, ça me botte, bien que Tahiti, ce serait mieux.
• N’exagère pas, Bali, c’est exotique.
• Pour ta femme, je vais faire gaffe et si Marie aime les chattes, je te promets de mettre la mienne à sa disposition et de te tourner la dernière production de Marc Dorcel vidéo.

Je récupère ma robe, appel un taxi pour me retrouver chez moi, je choisis des fringues faciles à porter sans culotte n'y soutient lolos, pour qu'à un moment ou un autre laisser tout tomber pour me faire brouter par la femme de mon amant.
Si en prime par cette vidéo, je peux l’aider à garder ses enfants, je suis ultra motivée, c’est bon pour mon avenir.

• Bonjour Jessika, entrée, j’espère que je ne vous aie pas choqué en vous invitant chez moi pendant l’absence de mon mari, vous êtes là en tout bien tout honneur.

J’ai envie d’être directe et qu’elle m’arrache mes vêtements, mais en tant que fille de…, même si je suis une grosse salope, je sais me tenir.

• Malgré notre différence d’âge, je te propose de nous tutoyer !

C’est parti, bientôt nous allons rouler sur le canapé, j’ai posé mon sac sur le meuble face à lui, l’angle va être parfait, j’ai discrètement démarré la vidéo avant qu’elle n’ouvre.
Pourtant, elle laisse de la distance entre nous, hier, Mariane a laissé de la distance entre elle et moi, mais elle savait que Louana viendrait combler le vide et surtout que nous étions déjà à poil.

• Je te sers une tasse de thé.
• Plutôt un whisky, j’aurai trop l’impression d’être dans les thés de cinq heures de mère pendant ma jeunesse.

Elle se lève, tailleur strict sans la veste la laissant en chemisier rose, chignon sur des cheveux qui commencent à blanchir et comme la tendance est aux cheveux gris en ce moment, elle ne fait aucune teinture.
Point d’intérêt, quand sa jupe se tend, nulle trace de sous-vêtements, je vois mal cette femme un peu austère sous certains côtés, se promener la chatte à l’air dans les taxis, je parie pour un string, la ficelle passant dans sa raie fessière.
Si c’est le cas et si je la dénude, je promets de lui arracher avec mes dents, dans un porno, un acteur faisait ça à celui de l’actrice, c’était bandant.

• Je peux te dire pourquoi je tenais à te voir Jessika, voilà, toi qui es l’assistante de notre ami Joseph, c’est dur à te faire ma demande.

Je pose mon verre, je pousse mes fesses de quelques centimètres me rapprochant de ma proie et je lui prends les mains.

• N’hésite pas, dit moi, ce qui a l’air de te chagriner.
• Tu as raison, soyons directe, j’ai l’impression que Pierre a une maîtresse.

Merde, elle sait pour nous et va sortir un flingue de sous les coussins du canapé et me faire sauter la tête.

• Qu’est-ce qu'il te fait dire cela ?
• Bien sûr, son travail le fait voyager et il rentre tard, de ses séances de nuit, voir même pas du tout quand cela s’éternise, mais ce n’est qu’une impression, il me délaisse.
• Faite-vous encore l’amour ?
• Rarement bien sûr hier nous sommes allés au restaurant et en rentrant nous avons fait l’amour sur ce canapé.

Tiens, il me disait qu'il ne la touchait plus tout à l’heure, ce gros mensonge va lui couter cher, fort cher, à moi Tahiti en plus de Bali, d'autant que ce premier voyage ne nous coutera pas grand-chose.

• Tu dois avoir de mauvaises intuitions, je connais un peu ton mari, c’est loin d’être son genre, je côtoie un grand nombre de bofs, certains n’hésitent pas à nous mettre la main aux fesses, c’est loin d’être son cas.

Je lâche une de ses mains et viens lui caresser la joue, elle couche sa tête pour la reposer dans le creux qu’elle forme.

• Mais dit, c’est pour cela que tu es toujours triste, tu sais les hommes, ça va, ça vient, il faut savoir leur faire tourner la tête et s’en servir plus qu’ils ne se servent de nous.
Tu lui fais voir ton amour, il est certain de t’avoir à sa paluche.
• Tu sais, j’étais vierge quand nous nous sommes mariés, nous avons fait une vraie nuit de noces tous les deux.

Qui est le faux cul, elle ou lui, j’ai bien entendu qu’elle se gouinait avant son mariage.

• Aucune aventure même féminine avant ton mariage.
• Qui te l’a dit, je n’aurais pas dû te parler de mes soupçons.
• Tout doux ma belle, j’ignore tout, simplement, j’ai passé la nuit avec deux copines et nous ne sommes pas économisés.
• Tu couches avec deux filles, mais tu es, pardon, j’allais avoir des propos déplacés, tu fais bien ce que tu veux de ta vie.
• Tu allais dire que je suis une salope, je le revendique, tu sais que toi aussi tu me plais malgré notre différence d’âge.

Disant ces paroles, je lui prends la tête et après une hésitation de sa part, je l’embrasse.
Pas sur la joue, en plein sur ses lèvres, elle hésite à les ouvrir, mais quand elle cède, je suis satisfaite du film que je tourne, doublé par le plaisir que je prends Marie étant un bon coup avec les femmes.
Je sens sa main qui vient entre mes jambes, je mouille, faire tomber dans mes filets cette bourgeoise mal baisée ou non baisée selon les dires dès un ou des autres.
Rapidement, je profite de mon avantage pour attaquer ses œufs sur le plat, mais avec des pointes étrangement développées, je pourrais dire que comme ses enfants, j’ai sucé des petites bites.
Longs et assez gros, ses tétons sont faits pour que je les titille, elle les pousse en avant et je finis par les mordiller.

• Excuse Jessika, je t’ai menti, j’ai connu une jeune femme avant mon mariage, je retrouve avec toi les mêmes sensations qu’elle m’apportait.

En me disant ces mots, elle me prend la tête et me plaque fortement sur eux.
Je change d’angle d’attaque, bien que l’angle de la caméra soit fixe, je suis sûr d’avoir les images qu’il me faut, d'autant plus que je passe à la phase suivante, string ou chatte à l’air, à moi les vahinés…