Titre de l'histoire érotique : Ma femme et Moi : Nos retrouvailles sexuelles (6)
Récit érotique écrit par Noura [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-11-2017 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Titre de l'histoire érotique : Ma femme et Moi : Nos retrouvailles sexuelles (6)
Deux jours plus tard, nous étions de retour au pays. Après la réception familiale et la distribution des cadeaux, nous avons repris notre train de vie habituel le jour suivant. Le soir, après le repas et la télé, nous sommes allés nous coucher comme auparavant, sans nous parler et sans nous toucher, bien cachés dans nos pyjamas respectifs et nos frustrations psychologiques.
Je suis resté longtemps sans parvenir à dormir et je pensais à notre ridicule situation. J’ai décidé de capitaliser les résultats de nos aventures vécues pendant nos vacances et j’ai échafaudé un plan. Le lendemain, j’ai fais les magasins et j’ai acheté une sorte de gandoura assez fine et très souple pour moi et une large chemise de nuit semi transparente pour ma femme.
Et le soir, en me couchant, j’ai enlevé mon pyjama habituel dans la salle de bain et j’ai enfilé ma gandoura, sous laquelle j’étais totalement à poil. Puis je me suis présenté ainsi dans la chambre. Ma femme a été étonnée et comme je lui expliquais que je me sentais nettement mieux ainsi, elle m’a approuvé sans hésiter. Alors, je lui ai offert la chemise de nuit. D’abord surprise, elle a hésité à l’accepter mais je lui ai proposé de l’essayer avant de décider. Elle a couru à la salle de bain pour l’essayer et rapidement elle en est revenu, nue sous la jolie chemise bleue.
J’ai exprimé mon admiration par un grand cri et je l’ai prise dans mes bras. Je pensais que le fait d’être nue sous la chemise, elle allait se cabrer et refuser mais mon geste, peut-être calculé mais sincèrement admiratif a brisé la barrière de ses hésitations. Je lui ai avoué combien elle était belle et désirable ainsi, mais c’était inutile car la vue de son corps, de ses seins, de son large bassin dans le flou du vêtement ont provoqué ma bite qui s’est réveillée et commençait à pousser ma gandoura.
Très vite, un grand chapiteau était visible au niveau de mon sexe et elle le remarqua aussitôt car ses yeux étaient fixés sur mon bas ventre. Je l’ai prise dans mes bras et j’ai ressenti la chaleur et la douceur de son corps. Ma queue était sur son bas ventre et la provoquait à travers nos deux vêtements. Alors, poussé par une audace toute nouvelle de ma part, j’ai enlevé avec rage ma gandoura pour apparaître tout nu à ma femme.
Nous n’avions pas eteint la lumière et mon corps ne cachait rien et mon sexe pointait devant moi à l’assaut de ma femme. Poussée par la même audace, ma femme enleva sa chemise et, toute nue, elle me regardait presque avec crainte. Elle ne savait pas que j’avais déjà admiré son corps, en cachette, pendant les vacances et que je le connaissais sous toutes les coutures et même dans ses désirs et ses débordements sexuels.
Mais j’ai joué à l’innocent, alors je j’ai enlacé, embrassé au cou, sur les lèvres et sur les seins. Je l’ai entrainée vers le lit et allongée sur le dos, je pouvais caresser tous les trésors de son corps. Enfin, je pouvais toucher, caresser, embrasser et lécher tous les coins er recoins de son corps. Elle aussi, encouragée, elle commençait à inspecter mon corps avec ses mains. Le visage d’abord, puis la poitrine et le dos, ensuite ses mains descendirent vers mon ventre et bas ventre.
Et enfin, elle empoigna ma bite. D’abords doucement, puis je sentais qu »elle la soupesait, quelle contrôlait sa consistance, sa longueur et sa largeur et doucement, elle commença à la branler. De mon coté, même si je continuais à caresser son corps, je suivais par les sens ses gestes sur mon corps qu’elle ne connaissait pas réellement auparavant.
Surtout, j’attendais son verdict sur mon sexe. Moi, j’avais confiance car je savais que ma bite était plus grosse que celle du marchant de légumes algérien mais moins que celle du marchant black. Mais tout le monde sait que les blacks ont une queue spéciale comparée à la majorité des autres, donc c’était normal et inutile d’en tirer des conclusions inutiles. En tout cas, ma femme semblait satisfaite de son diagnostic.
Maintenant, il s’agit, pour moi, de lui prouver mes capacités dans l’action. Alors, je me suis redressé et j’ai commencé à lui embrasser et lecher la chatte. Elle coulait déjà, donc ça s’annonçait bien et ma queue, moi aussi était au top, j’avais réellement envie de baiser cette salope qui m’a trompé plusieurs fois, avec mon consentement certes, mais dont les images dans ma tête m’avaient excitées à fond. Maintenant, je vais lui défoncer la chatte et peut-être aussi la terma après.
Alors je me suis mis ur elle et elle a écarté ses belles cuisses lourdes de chair et de désir et j’ai plongé. Certes, doucement d’abords, mais malgré qu’il était gonflé, mon zob glissa facilement dans la chatte de ma femme. Alors je l’ai baisé à fond, à grands coups de reins et de vas et viens rageurs. Elle aussi commençait à haleter avec bruit et très rapidement elle se crispa et cria son premier orgasme. Je continuais à limer sa chatte et tournoyant mon zob dans ses entrailles, je sentais le plaisir monter da mes couilles.
Mais j’ai décidé de finir par derrière. Alors je l’ai retournée et les genoux et bras sur le lit, elle me présenta son large derrière et j’ai eu, enfin, devant mes yeux et mon zob, sa chatte vue de derrière et son anus bien nets, bien rasés, sans un poil. J’ai enfoncé mon zob dans sa chatte et j’ai continué mes coups de reins. Dans ces positions, mon zob ressentait mieux ses frottements sur la chair interne de ma femme et le plaisir augmentait plus vite et devenait plus jouissant.
Ma femme a encore crié un second orgasme alors que je n’avais pas encore reussi à éjaculer. Alors j’ai foncé et ma cavalcade devint un galop et mon zob sortait presque puis s’enfonçait de nouveau jusqu’aux couilles. Et enfin, la jouissance s’éjecta de mes couilles et mon zob expulsa au fond des entrailles de ma femme, plusieurs salves de sperme marital. Oui, enfin, depuis plusieurs années, ces deux sexes se sont retrouvés et compris. Après plusieurs années la chatte de ma femme a gouté de nouveau du sperme de son époux, qui lui avait fait, pourtant, plusieurs enfants dans leur jeunesse.
Maintenant, ce sperme sera pour notre plaisir, pour jouir de nos corps. Nous sommes restés ainsi soudés pendant plusieurs minutes. Ma femme s’ »tait effondré à plat ventre sur le lit et moi j’étais couché sur son dos avec le zob toujours enfoncé dans sa chatte. Puis je me retiré et me suis allongé à coté. Ma femme s’est aussitôt levée et a couru vers la salle de bain. Mais ce n’était pas pour se laver, non, elle a simplement retrouvé ses vielles habitudes d’il y a quelques années. Elle a rapporté deux pièces de toile pour se mettre l’une entre les cuisses et elle m’a tendu l’autre pour mon zob, le tout pour retenir le sperme et éviter de salir nos draps. Puis elle a repris sa place sur le lit.
Je me suis tourné vers elle et je l’ai entouré de mon bras, puis je lui donné plusieurs doux baisers sur le visage, sur la poitrine et je lui ai caressé les cheveux. On se regardait et pour la première fois, peut-être même de ma vie, je lui ai dit, en français, parce que c’est plus facile dans cette langue « je t’aime, ma chérie ». Elle m’a regardé avec de la joie dans ses yeux et m’a répondu doucement « moi aussi, mon chéri, je t’aime beaucoup ».
Ensuite, nous nous sommes lavés et pris des douches, puis au lit, tous nus dans les bras l’un de l’autre. Je pensais qu’on allait dormir, mais ce zob ayant retrouvé sa chérie, ce corps qu’il admirait par la petite fenêtre des caravanes à l’étranger, ce zob s’est encore réveillé et provoquait ma femme contre son bas ventre. Alors, on a repris notre fête sexuelle.
Cette fois ci, je n’ai pas remarqué que ma bite glissait facilement dans la chatte élargie de ma femme. Non, ce détail semble avoir disparu car l’entrée de mon zob dans ma femme m’a semblé, au contraire, très jouissif, comme si la chatte s’était resserrée. Et la lente pénétration puis le glissement du zob jusqu’au fond ont été d’une excitation continue très agréable. Je pense qu’il y a un complément d’amour entre ces deux sexes qui leur permet maintenant de s’accoupler au mieux pourr l’un et pour l’autre. Moi, en tout cas, c’est ce que je ressens et mes jouissances ne font qu’amplifier.
C’est pourquoi, rapidement, je suis arrivé au top, mais je me suis bloqué pour ne pas éjaculer. Puis m’étant calmé, j’a repris mes vas et viens mais doucement en faisant attention pour jouir au maximum. C’est alors que ma femme a déversé son plaisir et crié son orgasme. J’ai attendu un moment puis j’ai repris ma course limitée, contrôlée. On soufflait et on grognait sourdement. Elle m’embrassait au visage et me disait quelque chose que je n’ai pas bien saisi.
J’ai réussi à tenir un long moment et ce n’est que lorsqu’elle m’a soufflé d’y aller carrément que j’ai foncé. Je l’ai pilonnée avec puissance et chaque que j’enfonçais mon zob, j’y allais au fond de ses entrailles et je sentais le jus qui montait. Cinq ou six gestes de ce genre et enfin, mon sperme explosa dans sa chatte. Cinq ou six jets puissants m’ont fait crier de plaisir, puis je me suis effondré sur la poitrine de ma femme. J’ai toutefois réussi à lui souffler « merci » avant de sombrer un peu dans les vapeurs du plaisir.
Apres plus de deux minutes sur le ventre de ma femme, j’ai repris mes esprits et me redressant, je me suis recouché à cote d’elle. Cette fois ci, ni elle ni moi n’avions éprouvés le besoins de chiffons. Nous avons sombrés dans le sommeil, ainsi, nus, pas totalement couverts par les draps et les sexes et cuisses barbouillés de sperme séché.
Le lendemain, ma femme s’est levée juste avant moi et s’est lavé et douché. J’ai pris la suite et lorsque nous avons remis nos vêtements de nuit, classique, c'est-à-dire des pyjamas, nous avons pris notre petit déjeuner dans la cuisine.
Très peu après, certains de nos enfants et petits enfants sont arrivés car c’était un jour de congé à l’ecole. Ils doivent, avec leurs tantes, oncles, cousins et cousines passer toute la journée chez nous, leurs parents, faire un grand couscous familial et beaucoup de bruits et de cesses des enfants.
Autrefois, leur attitude me gênait beaucoup, mais aujourd’hui, que nous nous sommes retrouvés, ma femme et moi, je commençais à aimer cette atmosphère familiale, même bruyante. Quant l’équilibre sexuel est rétabli dans le couple, tout semble être beau, agréable et c’est peut-être cela le bonheur.
Je suis resté longtemps sans parvenir à dormir et je pensais à notre ridicule situation. J’ai décidé de capitaliser les résultats de nos aventures vécues pendant nos vacances et j’ai échafaudé un plan. Le lendemain, j’ai fais les magasins et j’ai acheté une sorte de gandoura assez fine et très souple pour moi et une large chemise de nuit semi transparente pour ma femme.
Et le soir, en me couchant, j’ai enlevé mon pyjama habituel dans la salle de bain et j’ai enfilé ma gandoura, sous laquelle j’étais totalement à poil. Puis je me suis présenté ainsi dans la chambre. Ma femme a été étonnée et comme je lui expliquais que je me sentais nettement mieux ainsi, elle m’a approuvé sans hésiter. Alors, je lui ai offert la chemise de nuit. D’abord surprise, elle a hésité à l’accepter mais je lui ai proposé de l’essayer avant de décider. Elle a couru à la salle de bain pour l’essayer et rapidement elle en est revenu, nue sous la jolie chemise bleue.
J’ai exprimé mon admiration par un grand cri et je l’ai prise dans mes bras. Je pensais que le fait d’être nue sous la chemise, elle allait se cabrer et refuser mais mon geste, peut-être calculé mais sincèrement admiratif a brisé la barrière de ses hésitations. Je lui ai avoué combien elle était belle et désirable ainsi, mais c’était inutile car la vue de son corps, de ses seins, de son large bassin dans le flou du vêtement ont provoqué ma bite qui s’est réveillée et commençait à pousser ma gandoura.
Très vite, un grand chapiteau était visible au niveau de mon sexe et elle le remarqua aussitôt car ses yeux étaient fixés sur mon bas ventre. Je l’ai prise dans mes bras et j’ai ressenti la chaleur et la douceur de son corps. Ma queue était sur son bas ventre et la provoquait à travers nos deux vêtements. Alors, poussé par une audace toute nouvelle de ma part, j’ai enlevé avec rage ma gandoura pour apparaître tout nu à ma femme.
Nous n’avions pas eteint la lumière et mon corps ne cachait rien et mon sexe pointait devant moi à l’assaut de ma femme. Poussée par la même audace, ma femme enleva sa chemise et, toute nue, elle me regardait presque avec crainte. Elle ne savait pas que j’avais déjà admiré son corps, en cachette, pendant les vacances et que je le connaissais sous toutes les coutures et même dans ses désirs et ses débordements sexuels.
Mais j’ai joué à l’innocent, alors je j’ai enlacé, embrassé au cou, sur les lèvres et sur les seins. Je l’ai entrainée vers le lit et allongée sur le dos, je pouvais caresser tous les trésors de son corps. Enfin, je pouvais toucher, caresser, embrasser et lécher tous les coins er recoins de son corps. Elle aussi, encouragée, elle commençait à inspecter mon corps avec ses mains. Le visage d’abord, puis la poitrine et le dos, ensuite ses mains descendirent vers mon ventre et bas ventre.
Et enfin, elle empoigna ma bite. D’abords doucement, puis je sentais qu »elle la soupesait, quelle contrôlait sa consistance, sa longueur et sa largeur et doucement, elle commença à la branler. De mon coté, même si je continuais à caresser son corps, je suivais par les sens ses gestes sur mon corps qu’elle ne connaissait pas réellement auparavant.
Surtout, j’attendais son verdict sur mon sexe. Moi, j’avais confiance car je savais que ma bite était plus grosse que celle du marchant de légumes algérien mais moins que celle du marchant black. Mais tout le monde sait que les blacks ont une queue spéciale comparée à la majorité des autres, donc c’était normal et inutile d’en tirer des conclusions inutiles. En tout cas, ma femme semblait satisfaite de son diagnostic.
Maintenant, il s’agit, pour moi, de lui prouver mes capacités dans l’action. Alors, je me suis redressé et j’ai commencé à lui embrasser et lecher la chatte. Elle coulait déjà, donc ça s’annonçait bien et ma queue, moi aussi était au top, j’avais réellement envie de baiser cette salope qui m’a trompé plusieurs fois, avec mon consentement certes, mais dont les images dans ma tête m’avaient excitées à fond. Maintenant, je vais lui défoncer la chatte et peut-être aussi la terma après.
Alors je me suis mis ur elle et elle a écarté ses belles cuisses lourdes de chair et de désir et j’ai plongé. Certes, doucement d’abords, mais malgré qu’il était gonflé, mon zob glissa facilement dans la chatte de ma femme. Alors je l’ai baisé à fond, à grands coups de reins et de vas et viens rageurs. Elle aussi commençait à haleter avec bruit et très rapidement elle se crispa et cria son premier orgasme. Je continuais à limer sa chatte et tournoyant mon zob dans ses entrailles, je sentais le plaisir monter da mes couilles.
Mais j’ai décidé de finir par derrière. Alors je l’ai retournée et les genoux et bras sur le lit, elle me présenta son large derrière et j’ai eu, enfin, devant mes yeux et mon zob, sa chatte vue de derrière et son anus bien nets, bien rasés, sans un poil. J’ai enfoncé mon zob dans sa chatte et j’ai continué mes coups de reins. Dans ces positions, mon zob ressentait mieux ses frottements sur la chair interne de ma femme et le plaisir augmentait plus vite et devenait plus jouissant.
Ma femme a encore crié un second orgasme alors que je n’avais pas encore reussi à éjaculer. Alors j’ai foncé et ma cavalcade devint un galop et mon zob sortait presque puis s’enfonçait de nouveau jusqu’aux couilles. Et enfin, la jouissance s’éjecta de mes couilles et mon zob expulsa au fond des entrailles de ma femme, plusieurs salves de sperme marital. Oui, enfin, depuis plusieurs années, ces deux sexes se sont retrouvés et compris. Après plusieurs années la chatte de ma femme a gouté de nouveau du sperme de son époux, qui lui avait fait, pourtant, plusieurs enfants dans leur jeunesse.
Maintenant, ce sperme sera pour notre plaisir, pour jouir de nos corps. Nous sommes restés ainsi soudés pendant plusieurs minutes. Ma femme s’ »tait effondré à plat ventre sur le lit et moi j’étais couché sur son dos avec le zob toujours enfoncé dans sa chatte. Puis je me retiré et me suis allongé à coté. Ma femme s’est aussitôt levée et a couru vers la salle de bain. Mais ce n’était pas pour se laver, non, elle a simplement retrouvé ses vielles habitudes d’il y a quelques années. Elle a rapporté deux pièces de toile pour se mettre l’une entre les cuisses et elle m’a tendu l’autre pour mon zob, le tout pour retenir le sperme et éviter de salir nos draps. Puis elle a repris sa place sur le lit.
Je me suis tourné vers elle et je l’ai entouré de mon bras, puis je lui donné plusieurs doux baisers sur le visage, sur la poitrine et je lui ai caressé les cheveux. On se regardait et pour la première fois, peut-être même de ma vie, je lui ai dit, en français, parce que c’est plus facile dans cette langue « je t’aime, ma chérie ». Elle m’a regardé avec de la joie dans ses yeux et m’a répondu doucement « moi aussi, mon chéri, je t’aime beaucoup ».
Ensuite, nous nous sommes lavés et pris des douches, puis au lit, tous nus dans les bras l’un de l’autre. Je pensais qu’on allait dormir, mais ce zob ayant retrouvé sa chérie, ce corps qu’il admirait par la petite fenêtre des caravanes à l’étranger, ce zob s’est encore réveillé et provoquait ma femme contre son bas ventre. Alors, on a repris notre fête sexuelle.
Cette fois ci, je n’ai pas remarqué que ma bite glissait facilement dans la chatte élargie de ma femme. Non, ce détail semble avoir disparu car l’entrée de mon zob dans ma femme m’a semblé, au contraire, très jouissif, comme si la chatte s’était resserrée. Et la lente pénétration puis le glissement du zob jusqu’au fond ont été d’une excitation continue très agréable. Je pense qu’il y a un complément d’amour entre ces deux sexes qui leur permet maintenant de s’accoupler au mieux pourr l’un et pour l’autre. Moi, en tout cas, c’est ce que je ressens et mes jouissances ne font qu’amplifier.
C’est pourquoi, rapidement, je suis arrivé au top, mais je me suis bloqué pour ne pas éjaculer. Puis m’étant calmé, j’a repris mes vas et viens mais doucement en faisant attention pour jouir au maximum. C’est alors que ma femme a déversé son plaisir et crié son orgasme. J’ai attendu un moment puis j’ai repris ma course limitée, contrôlée. On soufflait et on grognait sourdement. Elle m’embrassait au visage et me disait quelque chose que je n’ai pas bien saisi.
J’ai réussi à tenir un long moment et ce n’est que lorsqu’elle m’a soufflé d’y aller carrément que j’ai foncé. Je l’ai pilonnée avec puissance et chaque que j’enfonçais mon zob, j’y allais au fond de ses entrailles et je sentais le jus qui montait. Cinq ou six gestes de ce genre et enfin, mon sperme explosa dans sa chatte. Cinq ou six jets puissants m’ont fait crier de plaisir, puis je me suis effondré sur la poitrine de ma femme. J’ai toutefois réussi à lui souffler « merci » avant de sombrer un peu dans les vapeurs du plaisir.
Apres plus de deux minutes sur le ventre de ma femme, j’ai repris mes esprits et me redressant, je me suis recouché à cote d’elle. Cette fois ci, ni elle ni moi n’avions éprouvés le besoins de chiffons. Nous avons sombrés dans le sommeil, ainsi, nus, pas totalement couverts par les draps et les sexes et cuisses barbouillés de sperme séché.
Le lendemain, ma femme s’est levée juste avant moi et s’est lavé et douché. J’ai pris la suite et lorsque nous avons remis nos vêtements de nuit, classique, c'est-à-dire des pyjamas, nous avons pris notre petit déjeuner dans la cuisine.
Très peu après, certains de nos enfants et petits enfants sont arrivés car c’était un jour de congé à l’ecole. Ils doivent, avec leurs tantes, oncles, cousins et cousines passer toute la journée chez nous, leurs parents, faire un grand couscous familial et beaucoup de bruits et de cesses des enfants.
Autrefois, leur attitude me gênait beaucoup, mais aujourd’hui, que nous nous sommes retrouvés, ma femme et moi, je commençais à aimer cette atmosphère familiale, même bruyante. Quant l’équilibre sexuel est rétabli dans le couple, tout semble être beau, agréable et c’est peut-être cela le bonheur.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
très belle histoire les retrouvailles sont magnifiques ,mais quand les confessions et la complicité on attend tout excités et comme on dit mwagfin hhh