Titre de l'histoire érotique : Terma-10- Expérience Glory Hole
Récit érotique écrit par Noura [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-04-2017 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Titre de l'histoire érotique : Terma-10- Expérience Glory Hole
Un jour, j’ai dit à Moussa que lorsqu’il m’a présenté à leurs amis émigrés, dans leur chambre commune, j’ai senti que ces gars bandaient pour mon cul, à la vue de leurs braguettes qui gonflaient car ils savaient que j’étais la femme de Moussa. Les bosses qui déformaient leurs braguettes traduisaient clairement leur désir de me sodomiser.
Et ces pensées m’avaient ébranlées jusqu’à faire mouiller mon cul de désir. Mais baiser en clair serait peut-être dangereux, car ils sont trop nombreux et je deviendrais assez connu pour me créer des problèmes éventuels. Toutefois, je serais d’accord pour baiser en incognito, sans me faire connaitre et sans connaitre le gars qui me sodomiserait. Serait-ce possible ?
Moussa m’a répondu que c’est possible dans certaines conditions, si vraiment j’étais attirés par ce genre de plaisirs sexuels, mais il faudrait aussi utiliser des préservatifs. Je commençais déjà à imaginer toutes ces bites affamées qui bandaient à fond et qui forçaient mon anus pour l’ouvrir et se glisser tout au fond de mon cul. J’imaginais leur chaleur, leur douceur et leur lourdeur qui me donneraient du plaisir et amplifieraient mon désir.
J’étais debout en train de rêver et ma respiration légèrement haletante trahissait mon désir. Moussa s’en est rendu compte, alors il m’a expliqué que je devrais faire l’expérience d’un glory hole dont il m’a détaillé le fonctionnement. Mais où vais-je trouver cet endroit bizarre ?
Alors, Moussa m’a informé qu’à l’intérieur de leur hôtel il existe des WC communs et normaux utilisés par tous les locataires, mais il y a aussi deux autres cabines-toilettes, anciennes et en partie détériorées. Elles étaient non fonctionnelles, abandonnées et cachées dans un autre endroit de l’hôtel. Leurs portes donnaient d’ailleurs dans la ruelle derrière l’hôtel. Les émigrés locataires y amenaient souvent des filles et des garçons pour leurs plaisirs sexuels car c’était interdit dans les chambres communes.
Dans certains cas, on y pratiquait aussi le glory hole car leurs cloisons avaient des trous suffisants pour satisfaire les fantasmes des clients. On y est allé avec Moussa et Keita, derrière l’hôtel et, malgré la saleté de l’endroit, j’ai visité les deux cabines vides et j’ai effectivement remarqué les trous sur les cloisons, suffisamment larges pour donner accès à de gros zob ou y plaquer le trou d’un cul affamé. Moussa m’a assuré qu’il invitera, si je le voulais, de l’autre coté, des gars avec de grosses bites pour me faire quelques expériences.
Et c’est ainsi que deux jours plus tard, j’y suis allé avec Keita, derrière l’hôtel. Keita assurait la surveillance dans la ruelle et je me suis débarrassé rapidement de mon pantalon et de mon slip dans la cabine la moins sale. Au bout de quelques minutes seulement, voila enfin une grosse et longue queue noire qui sortait du trou de la cloison en face. Elle était aussi grosse et longue que celles de Moussa et Keita.
Je l’ai empoignée, léché pour la lubrifier avec ma salive, puis je l’ai englouti dans ma bouche, tout en la masturbant doucement. Quant je me suis habitué à sa longueur et à sa puissance, je l’ai branlé plus vigoureusement. J’avais complètement oublié l’endroit, sa saleté et son insécurité. Puis je me suis enhardi à la sucer avec délectation. Elle se gonflait de plus en plus et commençait à trépigner de plaisir.
Cette queue si longue et dont le gland était si gros était totalement pour moi sans connaitre la personne qui était derrière. Peut-être que c’était Moussa car cette bite ressemblait exactement à la sienne, mais ça m’était égal, ce n’était pas le gars qui m’intéressait mais sa queue. Elle s’agitait et se chauffait dans ma bouche, je savais que si je continuais ainsi, elle allait lâcher son sperme, mais moi je la voulais dans mon cul et non pas seulement dans ma bouche, alors j’ai stoppé net.
Puis, tout en maintenant la queue avec une main, j’ai tourné le dos à la cloison, j’ai pointé le zob sur le trou de mon cul en m’aidant avec l’autre main pour bien ouvrir mon anus. Puis, j’ai introduit la bite dans mon cul et plaqué avec force mon derrière contre la cloison. La grosse bite s’est enfoncé dans mes entrailles jusqu’au fond et ce fut un plaisir fantastique pour ma terma.
Le gars, derrière la cloison a bien senti la chaleur et la douceur de mon cul et il a du se plaquer lui aussi contre la paroi car en ayant abandonné sa queue de mes mains, elle restait totalement enfoncée dans mon cul. J’ai commencé à osciller légèrement du derrière tout en faisant des pressions et des sussions de mon sphincter sur cette merveilleuse queue. Parfois j’éloignais mon derrière de la cloison pour faire coulisser la queue puis je l’enfonçais de nouveau. Puis je me suis complètement plaqué contre la cloison, j’attendais que le gars continue la sodomie par lui-même.
Le gars m’a compris et c’est lui maintenant qui faisait coulisser sa queue dans mon cul et je l’entendais souffler avec force. J’ai fermé les yeux pour bien me concentrer sur cette baise. Mon plaisir augmentait et ma respiration suivait le rythme endiablé de cette folle sodomie. Enfin, la queue s’est raidie et une seconde après elle m’a projeté le jus chaud de ses couilles dans mon fond. Ce fut l’apothéose pour ma terma. J’ai eu enfin un glory hole satisfaisant et j’en remercie Moussa.
Quant j’ai ouvert les yeux j’ai constaté que Keita, alerté par mes cris de plaisir, avait entr’ouvert la porte et m’observait avec un large sourire. Le gars derrière la cloison s’était déjà retiré et le sperme coulait de mon cul tout le long de mes cuisses dénudées. Keita m’a fait remarqué que je n’ai pas utilisé de preservatifs comme recommandé par Moussa. J’avais oublié et j’espère que Moussa aura bien choisi mes amants du jour.
Je me suis accroupi pout vider le maximum de sperme puis je me suis essuyé au mieux avec mes serviettes de papier. Je n’ais pas fini mon nettoyage que voila une autre bite qui se faufile du trou et elle était déjà un peu bandée. Cette fois, ce fut une queue brune mais tout aussi longue et au gland bien gonflé. Je me suis relevé pour la saisir, j’y ai mis un peu de salive, je l’ai essuyée puis je l’ai mise dans ma bouche.
Certes elle était encore molle mais assez chaude pour me donner des frissons de plaisir. Je l’ai vigoureusement sucée et branlée et rapidement elle s’est allongée et durci pour être à point pour ma terma. Cette fois ci, je n’ai pas attendu pour l’enfoncer tout de suite dans mon cul. Puis j’ai laissé le gars faire ses vas et viens à sa guise, mais de temps à autre, j’oscillais de la terma pour toucher certaines zones de mon fond qui me donnaient encore plus de sensations.
Rapidement, le gars est arrivé à son terme et lorsque j’ai compris qu’il allait juter, j’ai éloigné mon cul pour faire sortir sa bite de mon cul. Je l’ai empoignée avec force, je l’ai branlée avec des gestes rapides et vigoureux, alors elle a projeté ses jets de sperme que j’ai évité de justesse.
C’était tellement fort que son sperme est allé se projeter sur la porte de la cabine et formait une courbe parabole qui augmentait mes fantasmes. Puis je l’ai un léché mais j’ai évité d’avaler son sperme et le gars s’est éloigné. Ainsi j’ai résolu mon problème de preservatifs
Comme j’avais convenu avec Moussa, auparavant, de faire une expérience avec deux gars seulement pour cette première fois, je me suis rhabillé et rejoins Keita dans la ruelle. Puis on s’est éloigné pour faire le tour du bâtiment. Moussa nous attendait à quelques mètres de l’hôtel.
Je lui ai exprimé ma reconnaissance et ma satisfaction sexuelle, mais j’ai demandé à réfléchir encore plus avant de refaire une nouvelle expérience. Il m’a demandé si je voulais faire la connaissance des deux gars qui m’ont sodomisé mais j’ai refusé. Jai expliqué que je préférais fantasmer sur ces gars dont je ne connais que leurs merveilleux gros zobs qui m’on fouillé les entrailles et m’ont donné tant de frissons et de plaisir.
Je lui ai demandé s’il était jaloux de ce qui s’est passé mais il s’est fondu d’un grand rire, me prouvant encore une fois, notre totale liberté sexuelle à tous les trois.
En réalité et au fond de moi-même, je n’ai pas totalement aimé ce genre de relations sexuelles par glory hole. Dans mes fantasmes, je préférais des sodomies en groupe, avec au moins cinq ou six baiseurs et deux ou trois culs donneurs comme le mien.
Ce sera une fête ou tout le mon est nu, avec des zobs bien découverts, des culs en l’air, des attouchements sur toutes les parties du corps, des accouplements suivant les désirs et sans calculs.
Dans ces conditions, mon plaisir serait de regarder, de toucher et de choisir l’un puis l’autre suivant les désirs de ma terma. Je connais ses signes qui la font mouiller et je peux ainsi la satisfaire dans un grand éventail de choix. Je sais que je serais aussi forcé par certains amants que ma terma aurait affolés et fait bander à fond, alors je gouterais aussi cette force sexuellement brutale d’une queue gonflée qui me fouille les entrailles.
Je veux des corps nus, des poitrines et des cuisses velues, des bites de toutes sortes. Je veux voir mon corps être caressé, peloté, violenté, malaxé de partout. Je veux des doigts qui me fouillent le cul et des zobs qui me remplissent la gorge de leur sperme visqueux.
C’est cela que j’aimerais avoir et souhaiterais faire. Je voudrais savoir si mon anus peut recevoir deux zobs en même temps et éjaculer ensemble dans mes entrailles. Est-ce possible ? Mon anus aura-t-il suffisamment de souplesse et d’élasticité ? Voila mes fantasmes actuels.
Je l’ai expliqué à Moussa et Keita. Certes, ils étaient un peu étonnés mais enflammés de mon programme. Ils m’ont dit que j’étais fou et que mes désirs et fantasmes si minutieusement exprimés commençaient à faire bander leurs zobs !
Ce n’était pas moi qui parlait mais ma terma que j’ai laissé librement s’exprimer. Toujours est-il que mon programme semblait leur plaire et ils vont promis qu’ils allaient m’aider à le réaliser dans les meilleurs délais.
Pour l’instant, j’ai esquissé quelques gestes vers leurs braguettes et effectivement ça durcissait et commençait à chauffer et moi, derrière ça recommençait à me démanger. Alors on a décidé de rejoindre immédiatement l’appartement pour éteindre, vite, vite, ces désirs que j’ai enflammés dans leurs zobs et dans ma terma toujours, insatiable.
Et ces pensées m’avaient ébranlées jusqu’à faire mouiller mon cul de désir. Mais baiser en clair serait peut-être dangereux, car ils sont trop nombreux et je deviendrais assez connu pour me créer des problèmes éventuels. Toutefois, je serais d’accord pour baiser en incognito, sans me faire connaitre et sans connaitre le gars qui me sodomiserait. Serait-ce possible ?
Moussa m’a répondu que c’est possible dans certaines conditions, si vraiment j’étais attirés par ce genre de plaisirs sexuels, mais il faudrait aussi utiliser des préservatifs. Je commençais déjà à imaginer toutes ces bites affamées qui bandaient à fond et qui forçaient mon anus pour l’ouvrir et se glisser tout au fond de mon cul. J’imaginais leur chaleur, leur douceur et leur lourdeur qui me donneraient du plaisir et amplifieraient mon désir.
J’étais debout en train de rêver et ma respiration légèrement haletante trahissait mon désir. Moussa s’en est rendu compte, alors il m’a expliqué que je devrais faire l’expérience d’un glory hole dont il m’a détaillé le fonctionnement. Mais où vais-je trouver cet endroit bizarre ?
Alors, Moussa m’a informé qu’à l’intérieur de leur hôtel il existe des WC communs et normaux utilisés par tous les locataires, mais il y a aussi deux autres cabines-toilettes, anciennes et en partie détériorées. Elles étaient non fonctionnelles, abandonnées et cachées dans un autre endroit de l’hôtel. Leurs portes donnaient d’ailleurs dans la ruelle derrière l’hôtel. Les émigrés locataires y amenaient souvent des filles et des garçons pour leurs plaisirs sexuels car c’était interdit dans les chambres communes.
Dans certains cas, on y pratiquait aussi le glory hole car leurs cloisons avaient des trous suffisants pour satisfaire les fantasmes des clients. On y est allé avec Moussa et Keita, derrière l’hôtel et, malgré la saleté de l’endroit, j’ai visité les deux cabines vides et j’ai effectivement remarqué les trous sur les cloisons, suffisamment larges pour donner accès à de gros zob ou y plaquer le trou d’un cul affamé. Moussa m’a assuré qu’il invitera, si je le voulais, de l’autre coté, des gars avec de grosses bites pour me faire quelques expériences.
Et c’est ainsi que deux jours plus tard, j’y suis allé avec Keita, derrière l’hôtel. Keita assurait la surveillance dans la ruelle et je me suis débarrassé rapidement de mon pantalon et de mon slip dans la cabine la moins sale. Au bout de quelques minutes seulement, voila enfin une grosse et longue queue noire qui sortait du trou de la cloison en face. Elle était aussi grosse et longue que celles de Moussa et Keita.
Je l’ai empoignée, léché pour la lubrifier avec ma salive, puis je l’ai englouti dans ma bouche, tout en la masturbant doucement. Quant je me suis habitué à sa longueur et à sa puissance, je l’ai branlé plus vigoureusement. J’avais complètement oublié l’endroit, sa saleté et son insécurité. Puis je me suis enhardi à la sucer avec délectation. Elle se gonflait de plus en plus et commençait à trépigner de plaisir.
Cette queue si longue et dont le gland était si gros était totalement pour moi sans connaitre la personne qui était derrière. Peut-être que c’était Moussa car cette bite ressemblait exactement à la sienne, mais ça m’était égal, ce n’était pas le gars qui m’intéressait mais sa queue. Elle s’agitait et se chauffait dans ma bouche, je savais que si je continuais ainsi, elle allait lâcher son sperme, mais moi je la voulais dans mon cul et non pas seulement dans ma bouche, alors j’ai stoppé net.
Puis, tout en maintenant la queue avec une main, j’ai tourné le dos à la cloison, j’ai pointé le zob sur le trou de mon cul en m’aidant avec l’autre main pour bien ouvrir mon anus. Puis, j’ai introduit la bite dans mon cul et plaqué avec force mon derrière contre la cloison. La grosse bite s’est enfoncé dans mes entrailles jusqu’au fond et ce fut un plaisir fantastique pour ma terma.
Le gars, derrière la cloison a bien senti la chaleur et la douceur de mon cul et il a du se plaquer lui aussi contre la paroi car en ayant abandonné sa queue de mes mains, elle restait totalement enfoncée dans mon cul. J’ai commencé à osciller légèrement du derrière tout en faisant des pressions et des sussions de mon sphincter sur cette merveilleuse queue. Parfois j’éloignais mon derrière de la cloison pour faire coulisser la queue puis je l’enfonçais de nouveau. Puis je me suis complètement plaqué contre la cloison, j’attendais que le gars continue la sodomie par lui-même.
Le gars m’a compris et c’est lui maintenant qui faisait coulisser sa queue dans mon cul et je l’entendais souffler avec force. J’ai fermé les yeux pour bien me concentrer sur cette baise. Mon plaisir augmentait et ma respiration suivait le rythme endiablé de cette folle sodomie. Enfin, la queue s’est raidie et une seconde après elle m’a projeté le jus chaud de ses couilles dans mon fond. Ce fut l’apothéose pour ma terma. J’ai eu enfin un glory hole satisfaisant et j’en remercie Moussa.
Quant j’ai ouvert les yeux j’ai constaté que Keita, alerté par mes cris de plaisir, avait entr’ouvert la porte et m’observait avec un large sourire. Le gars derrière la cloison s’était déjà retiré et le sperme coulait de mon cul tout le long de mes cuisses dénudées. Keita m’a fait remarqué que je n’ai pas utilisé de preservatifs comme recommandé par Moussa. J’avais oublié et j’espère que Moussa aura bien choisi mes amants du jour.
Je me suis accroupi pout vider le maximum de sperme puis je me suis essuyé au mieux avec mes serviettes de papier. Je n’ais pas fini mon nettoyage que voila une autre bite qui se faufile du trou et elle était déjà un peu bandée. Cette fois, ce fut une queue brune mais tout aussi longue et au gland bien gonflé. Je me suis relevé pour la saisir, j’y ai mis un peu de salive, je l’ai essuyée puis je l’ai mise dans ma bouche.
Certes elle était encore molle mais assez chaude pour me donner des frissons de plaisir. Je l’ai vigoureusement sucée et branlée et rapidement elle s’est allongée et durci pour être à point pour ma terma. Cette fois ci, je n’ai pas attendu pour l’enfoncer tout de suite dans mon cul. Puis j’ai laissé le gars faire ses vas et viens à sa guise, mais de temps à autre, j’oscillais de la terma pour toucher certaines zones de mon fond qui me donnaient encore plus de sensations.
Rapidement, le gars est arrivé à son terme et lorsque j’ai compris qu’il allait juter, j’ai éloigné mon cul pour faire sortir sa bite de mon cul. Je l’ai empoignée avec force, je l’ai branlée avec des gestes rapides et vigoureux, alors elle a projeté ses jets de sperme que j’ai évité de justesse.
C’était tellement fort que son sperme est allé se projeter sur la porte de la cabine et formait une courbe parabole qui augmentait mes fantasmes. Puis je l’ai un léché mais j’ai évité d’avaler son sperme et le gars s’est éloigné. Ainsi j’ai résolu mon problème de preservatifs
Comme j’avais convenu avec Moussa, auparavant, de faire une expérience avec deux gars seulement pour cette première fois, je me suis rhabillé et rejoins Keita dans la ruelle. Puis on s’est éloigné pour faire le tour du bâtiment. Moussa nous attendait à quelques mètres de l’hôtel.
Je lui ai exprimé ma reconnaissance et ma satisfaction sexuelle, mais j’ai demandé à réfléchir encore plus avant de refaire une nouvelle expérience. Il m’a demandé si je voulais faire la connaissance des deux gars qui m’ont sodomisé mais j’ai refusé. Jai expliqué que je préférais fantasmer sur ces gars dont je ne connais que leurs merveilleux gros zobs qui m’on fouillé les entrailles et m’ont donné tant de frissons et de plaisir.
Je lui ai demandé s’il était jaloux de ce qui s’est passé mais il s’est fondu d’un grand rire, me prouvant encore une fois, notre totale liberté sexuelle à tous les trois.
En réalité et au fond de moi-même, je n’ai pas totalement aimé ce genre de relations sexuelles par glory hole. Dans mes fantasmes, je préférais des sodomies en groupe, avec au moins cinq ou six baiseurs et deux ou trois culs donneurs comme le mien.
Ce sera une fête ou tout le mon est nu, avec des zobs bien découverts, des culs en l’air, des attouchements sur toutes les parties du corps, des accouplements suivant les désirs et sans calculs.
Dans ces conditions, mon plaisir serait de regarder, de toucher et de choisir l’un puis l’autre suivant les désirs de ma terma. Je connais ses signes qui la font mouiller et je peux ainsi la satisfaire dans un grand éventail de choix. Je sais que je serais aussi forcé par certains amants que ma terma aurait affolés et fait bander à fond, alors je gouterais aussi cette force sexuellement brutale d’une queue gonflée qui me fouille les entrailles.
Je veux des corps nus, des poitrines et des cuisses velues, des bites de toutes sortes. Je veux voir mon corps être caressé, peloté, violenté, malaxé de partout. Je veux des doigts qui me fouillent le cul et des zobs qui me remplissent la gorge de leur sperme visqueux.
C’est cela que j’aimerais avoir et souhaiterais faire. Je voudrais savoir si mon anus peut recevoir deux zobs en même temps et éjaculer ensemble dans mes entrailles. Est-ce possible ? Mon anus aura-t-il suffisamment de souplesse et d’élasticité ? Voila mes fantasmes actuels.
Je l’ai expliqué à Moussa et Keita. Certes, ils étaient un peu étonnés mais enflammés de mon programme. Ils m’ont dit que j’étais fou et que mes désirs et fantasmes si minutieusement exprimés commençaient à faire bander leurs zobs !
Ce n’était pas moi qui parlait mais ma terma que j’ai laissé librement s’exprimer. Toujours est-il que mon programme semblait leur plaire et ils vont promis qu’ils allaient m’aider à le réaliser dans les meilleurs délais.
Pour l’instant, j’ai esquissé quelques gestes vers leurs braguettes et effectivement ça durcissait et commençait à chauffer et moi, derrière ça recommençait à me démanger. Alors on a décidé de rejoindre immédiatement l’appartement pour éteindre, vite, vite, ces désirs que j’ai enflammés dans leurs zobs et dans ma terma toujours, insatiable.
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