Titre de l'histoire érotique : Terma-11- Expérience au bain maure
Récit érotique écrit par Noura [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-04-2017 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Titre de l'histoire érotique : Terma-11- Expérience au bain maure
Dans mes aventures sexuelles, en quelques années, je me suis lié avec quelques connaissances dont leurs terma étaient aussi affamées que la mienne en sodomies. J’ai même découvert un cadre qui travaillait avec moi dans la même entreprise. Et un jour nous avons eu, en commun, une aventure très excitante.
Nous étions en retour de mission commune dans ma capitale, et on nous avait donné une voiture de service du garage central. A mi-chemin, dans une ville de l’intérieur, on s’était arrêté pour un café chaud puis lorsqu’on a voulu repartir, la voiture nous a fait faux bond. Il était déjà plus de 20h du soir et il neigeait légèrement avec un vent froid glacial.
On a visité deux hôtels du voisinage mais tout était complet. On avait alors décidé de dormir dans la voiture, mais un homme, emmitouflé dans son manteau nous a conseillé d’aller dormir dans un bain maure pas très loin et qui sert de dortoir la nuit. Je n’avais pas très confiance d’autant plus que le gars me semblait assez louche de prime abord, mais mon collègue qui commençait à grelotter de froid, comme moi d’ailleurs, m’a convaincu de suivre l’homme.
Il nous a aussi proposé de mettre la voiture dans le parking du dernier hôtel que nous avions visité en vain. Le vieux gardien de l’hôtel a accepté moyennant une certaine somme et nous y avons poussé la voiture. En nous voyant repartir avec l’homme, nos deux sacs à la main, le vieux gardien avait un regard désapprobateur mais in a hoché la tête sans rien dire.
Nous avons suivi l’homme, pendant deux ou trois rues désertes, neigeuses et froides, puis il a cogné à la porte d’une bâtisse. On nous a fait entrer rapidement et tout de suite, nous avons senti agréablement une belle chaleur qui nous a convaincu que nous étions effectivement dans un bain maure. Une grande salle pleine de matelas par terre, un bureau de réception et trois hommes seulement à l’intérieur.
L’un était un vieillard, la soixantaine ou plus et chargé du hammam pour la nuit, c’était lui qui nous a fait entrer puis il s’est mis derrière son bureau. Les deux autres formaient couple, l’un asses jeune, de vingt à trente ans et l’autre d’âge mur, la cinquantaine. Comme il faisait assez chaud, tous les deux étaient en tricots de peau et shorts. Ils étaient allongés un peu plus loin sur deux matelas et chuchotaient entre eux. Enfin, il y avait l’homme qui nous avait guidé et qui discutait à voie basse avec le gèrent.
Ce dernier nous a jeté un coup d’œil insistant puis il a semblé approuver de la tête. Alors il nous a informé du prix de la nuit, nous a demandé de choisir nos matelas et si nous voulons prendre un bail, il faudrait aussi payer. Il nous a rassuré sur la sécurité du lieu et nous a montré la licence collée au mur avec tous les renseignements qu’il fallait pour nous tranquilliser. Puis on a payé et on s’est installé.
Il faisait non seulement bon et même un peu chaud et c’est pourquoi nous avons décidé, nous aussi, de se mettre en tricot de peau et en pantalon jogging et on s’est allongé. La lumière d’un vieux néon derrière le bureau, était assez douce et donnait une pénombre assez suffisante pour distinguer l’ensemble mais pas tous les détails.
L’homme qui nous avait guidés, ayant voulu prendre un bain s’est déshabillé complètement, devant nos yeux et, nu, avec une grande serviette à la main, il s’est dirigé vers l’autre chambre des eaux chaudes. On distinguait parfaitement son long sexe qui se balançait avec érotisme et même provocation entre ses cuisses et on voyait aussi qu’il avait des fesses et des cuisses poilues. Le tout était très excitant et personnellement j’ai été remué de la terma mais je suis resté tranquille.
Et ce qui était étonnant, c’est que personne n’a pipé mot dans la salle comme si cette tenue était parfaitement normale, habituelle dans un bain maure. J’ai jeté un coup d’œil à mon ami et j’ai remarqué qu’il avait, autant que moi, déjà tiqué sur la longue queue de l’homme, pourtant non encore assez bandée.
Dès son regard, je savais que mon copain, dont la terma était encore plus chaude que la mienne, allait faire une bêtise. En effet, trois minutes plus tard, il s’est déshabillé complètement, a demandé une serviette au gèrent et il allait rejoindre l’homme dans la salle des eaux.
Son beau derrière laiteux et bien charnu balançait droite gauche dans sa course vers le plaisir qu’il convoitait. J’ai remarqué que cette fois aussi, personne n’a tiqué dans notre chambrée. J’ai attendu mon ami pendant un bon quart d’heure. On entendait quelques bruits assez confus et étouffés de la salle des eaux mais rien de distinct.
N’y pouvant plus, je me levé et, tout habillé, j’ai voulu aller voir ce qui se passait. Mais le gèrent m’a dit que si je voulais me laver, il faut me déshabiller et payer plus tard. Malgré que j’ai répondu pour voir seulement mon ami, il a insisté pour que je sois à poil, c’est la règle. Alors, je me suis désapé et prenant une serviette du gèrent j’ai pénétré dans la salle des eaux.
Elle était assez éclairée par une grosse lampe couverte en plein milieu de la salle et j’ai eu, devant mes yeux exactement le spectacle auquel je m’attendais. Mon ami était courbé sur la dalle du milieu, bien penché avec les cuisses écartées et l’homme le sodomisait en lui tenant les hanches et en lui donnant des coups de reins acharnés ponctuée de hans de plaisirs.
Connaissant mon ami, et moi-même, je savais ce qui allait se passer, mais la scène dans cette atmosphère assez chaude et ces deux corps qui brillaient de sueur ont ébranlés mes sens sexuels et ma terma s’est réveillé pour me démanger.
Je suivais leurs mouvements en me branlant légèrement et me frottant le sillon des fesses, attendant avec espoir mon tour. Je voyais ce zob long et gros, monstrueux qui sortait et rentrait dans le cul de mon ami et j’appréciais déjà ce qu’il allait me donner ensuite. Soudain, un autre homme, complètement nu, pénétra dans la salle, c’était l’un des deux hommes de la salle, le plus âgé.
J’ai tout de suite remarqué que son zob était déjà gonflé et bien droit, prêt pour le plaisir. Il était aussi gros que celui de l’autre homme qui sodomisait mon ami et je l’ai immédiatement désiré. Oui ! je mouillais de la terma face à ce merveilleux jouet de l’amour et mon souffle commençait déjà s’affoler de désir. Viens, viens ô zob si doux et monstrueux à la fois, viens me labourer le cul et m’inonder de ton chaud nectar.
L’homme m’a regardé en souriant, alors, ma terma affamé de désir, j’ai pris la même position que mon ami. Bien penché sur la dalle et le dos très courbé, j’ai écarté largement mes cuisses. Il doigté le sillon des fesses, y a collé son zob pour le frotter plusieurs fois en insistant seulement au niveau de mon anus.
Il a rentré un doigt puis deux dans mon anus et enfin il a pointé son zob sur le trou. Ensuite il a poussé avec énergie et sa queue n’a eu aucune difficulté pour me pénétrer et se glisser tout au fond de mon cul. Il s’est accroché à mes hanches et m’a pilonné le cul plus d’une vingtaine de fois. J’avis complètement oublié mon copain et son amant.
Les coups de zob dans mes entrailles, aidés par notre sueur glissaient et frottaient avec délice mon sphincter. Ma terma vivait des instants de bonheur formidables et le plaisir montait dans mes entrailles. J’avais aussi oublié ma bite et je suivais les hans du gars avec ma respiration qui s’essoufflait de plus en plus vite.
Enfin, le gars s’est crispé sur mes hanches et je savais qu’il allait m’inonder. Alors j’ai serré les fesses et mon sphincter et enfin j’ai reçu avec chaleur les rafales de spermes tout au fond de mon cul.
On est restés très peu collés ensemble puis le gars s’est retiré. Je me suis retourné et c’est que j’ai vu mon ami, les jambes en l’air, qui débutait avec son homme une seconde sodomie par terre et face à face.
Je me suis accroupi pour évacuer rapidement le sperme de mon cul et j’ai fait signe à mon homme si on pouvait faire comme les autres. Son zob, toujours assez gonflé était une réponse positive. Puis je me suis levé et je lui ai sucé le zob quelques instants.
Puis on s’est installé pas très loin des autres et on a fait de même. Le sol était assez agréable, pas très chaud et agréablement humide. J’ai levé les jambes et l’homme s’est agenouillé entre mes cuisses, le zob bien droit à la main et il me la planté dans l’anus.
Comme tout à l’heure, la queue s’est glissée en vitesse tout au fond de mers entrailles et les couilles de l’homme me battaient les fesses au rythme de ses coups de reins. C’était encore plus beau et plus jouissif que tout à l’heure. J’avais envie de crier de plaisir et comme j’entendais mon ami hurler son plaisir, j’en ai fait autant et tant pis pour les gars de l’autre salle.
Lorsque je devinais que le gars allait juter, je l’arrêtais avec les mains un moment, puis, on reprenait notre danse de l’amour. On a répété ce jeu trois ou quatre fois et lorsqu’il mon homme n’a plus pouvoir s’arrêter, il s’est enfoncé encore plus dans mes entrailles et il m’a bombardé de ses jets de sperme.
Cette fois ci, la quantité de sperme était sans commune mesure avec la première, j’ai du lui vider tout le fin fond de ses couilles et ses muscles se sont bandés au maximum pour tirer tout son jus.
Je sentais le sperme dégouliner de mon cul malgré que le zob fût encore à l’intérieur. L’homme, épuisé, pompé, s’était écroulé sur ma poitrine, et il avait les yeux fermés. Moi, j’étais tellement satisfait de cette sodomie que j’ai serré l’homme contre moi et je lui ai prodigué plusieurs baisers de reconnaissance.
J’ai jeté un coup d’œil vers mon ami mais il n’y avait plus personne d’autre dans la salle. Alors on s’est redressé, puis je me suis vidé au maximum du sperme de mon cul. Enfin on s’est lavé mutuellement, on s’est savonné et on s’est bien rincé. Pendant cet exercice, l’homme a continué à me caresser les fesses et moi son zob mais on a décidé de ne pas continuer.
J’ai osé lui poser la question qui me taraudait depuis un bon moment. Je le soupçonnais d’être aussi l’amant du jeune homme qui était allongé à coté de lui. Il a souri très largement et m’a dit qu’effectivement, c’était en quelque sorte sa femme qu’il venait, d’ailleurs, de baiser dans la salle dortoir, juste avant notre arrivée.
Mais comme il avait pressenti que mon ami, par son comportement et ses regards affamés sur le zob de l’homme, avait le cul en feu et qu’il allait se faire sodomiser, il est venu pour tirer un coup sur un cul nouveau. Puis, quant il m’a vu lui faire mon invitation, il a plongé sur ma blanche et large terma aussi chaude que celle de mon ami.
Après nos deux sodomies, il m’a avoué qu’il avait rarement baisé une si belle terma, chaude et douce, blanche et large nettement plus bandante que celle de son ami-femme et qu’il sera toujours à ma disposition dans ce dortoir.
Puis on s’est essuyé et on a rejoint la salle. Tout le monde semblait dormir et même le néon ne diffusait plus qu’une faible lumière. J’ai remis mon tricot et mon jogging et rapidement, très fatigué, je me sis endormi du sommeil d’une bonne terma bien satisfaite.
Le lendemain vers 6h, le gèrent nous a rendu l’argent qu’on lui a remis hier soir et nous a informé que tout a été déjà payé, même les bains. Il nous a aussi invité à revenir dans son dortoir à notre prochain passage dans sa ville, et nous avons accepté avec enthousiasme.
Nous avons téléphoné au siège qui nous ont conseillé de confier la voiture à un garage et de leur donner son téléphone. Ils ont discuté avec lui en notre présence, alors, rassurés, nous avons pris un taxi de la station pour finir notre route vers notre entreprise.
Bien entendu, avec mon ami, nous avons beaucoup parlé de notre aventure dans ce hammam-dortoir et confié nos plaisirs ressentis et nos fantasmes. Nous nous sommes promis de revenir à ce hammam ensemble à la première occasion, les souvenirs de ces gros zobs et de ces sodomies nous ont tenus compagnie durant tout le voyage de retour au travail.
Nous étions en retour de mission commune dans ma capitale, et on nous avait donné une voiture de service du garage central. A mi-chemin, dans une ville de l’intérieur, on s’était arrêté pour un café chaud puis lorsqu’on a voulu repartir, la voiture nous a fait faux bond. Il était déjà plus de 20h du soir et il neigeait légèrement avec un vent froid glacial.
On a visité deux hôtels du voisinage mais tout était complet. On avait alors décidé de dormir dans la voiture, mais un homme, emmitouflé dans son manteau nous a conseillé d’aller dormir dans un bain maure pas très loin et qui sert de dortoir la nuit. Je n’avais pas très confiance d’autant plus que le gars me semblait assez louche de prime abord, mais mon collègue qui commençait à grelotter de froid, comme moi d’ailleurs, m’a convaincu de suivre l’homme.
Il nous a aussi proposé de mettre la voiture dans le parking du dernier hôtel que nous avions visité en vain. Le vieux gardien de l’hôtel a accepté moyennant une certaine somme et nous y avons poussé la voiture. En nous voyant repartir avec l’homme, nos deux sacs à la main, le vieux gardien avait un regard désapprobateur mais in a hoché la tête sans rien dire.
Nous avons suivi l’homme, pendant deux ou trois rues désertes, neigeuses et froides, puis il a cogné à la porte d’une bâtisse. On nous a fait entrer rapidement et tout de suite, nous avons senti agréablement une belle chaleur qui nous a convaincu que nous étions effectivement dans un bain maure. Une grande salle pleine de matelas par terre, un bureau de réception et trois hommes seulement à l’intérieur.
L’un était un vieillard, la soixantaine ou plus et chargé du hammam pour la nuit, c’était lui qui nous a fait entrer puis il s’est mis derrière son bureau. Les deux autres formaient couple, l’un asses jeune, de vingt à trente ans et l’autre d’âge mur, la cinquantaine. Comme il faisait assez chaud, tous les deux étaient en tricots de peau et shorts. Ils étaient allongés un peu plus loin sur deux matelas et chuchotaient entre eux. Enfin, il y avait l’homme qui nous avait guidé et qui discutait à voie basse avec le gèrent.
Ce dernier nous a jeté un coup d’œil insistant puis il a semblé approuver de la tête. Alors il nous a informé du prix de la nuit, nous a demandé de choisir nos matelas et si nous voulons prendre un bail, il faudrait aussi payer. Il nous a rassuré sur la sécurité du lieu et nous a montré la licence collée au mur avec tous les renseignements qu’il fallait pour nous tranquilliser. Puis on a payé et on s’est installé.
Il faisait non seulement bon et même un peu chaud et c’est pourquoi nous avons décidé, nous aussi, de se mettre en tricot de peau et en pantalon jogging et on s’est allongé. La lumière d’un vieux néon derrière le bureau, était assez douce et donnait une pénombre assez suffisante pour distinguer l’ensemble mais pas tous les détails.
L’homme qui nous avait guidés, ayant voulu prendre un bain s’est déshabillé complètement, devant nos yeux et, nu, avec une grande serviette à la main, il s’est dirigé vers l’autre chambre des eaux chaudes. On distinguait parfaitement son long sexe qui se balançait avec érotisme et même provocation entre ses cuisses et on voyait aussi qu’il avait des fesses et des cuisses poilues. Le tout était très excitant et personnellement j’ai été remué de la terma mais je suis resté tranquille.
Et ce qui était étonnant, c’est que personne n’a pipé mot dans la salle comme si cette tenue était parfaitement normale, habituelle dans un bain maure. J’ai jeté un coup d’œil à mon ami et j’ai remarqué qu’il avait, autant que moi, déjà tiqué sur la longue queue de l’homme, pourtant non encore assez bandée.
Dès son regard, je savais que mon copain, dont la terma était encore plus chaude que la mienne, allait faire une bêtise. En effet, trois minutes plus tard, il s’est déshabillé complètement, a demandé une serviette au gèrent et il allait rejoindre l’homme dans la salle des eaux.
Son beau derrière laiteux et bien charnu balançait droite gauche dans sa course vers le plaisir qu’il convoitait. J’ai remarqué que cette fois aussi, personne n’a tiqué dans notre chambrée. J’ai attendu mon ami pendant un bon quart d’heure. On entendait quelques bruits assez confus et étouffés de la salle des eaux mais rien de distinct.
N’y pouvant plus, je me levé et, tout habillé, j’ai voulu aller voir ce qui se passait. Mais le gèrent m’a dit que si je voulais me laver, il faut me déshabiller et payer plus tard. Malgré que j’ai répondu pour voir seulement mon ami, il a insisté pour que je sois à poil, c’est la règle. Alors, je me suis désapé et prenant une serviette du gèrent j’ai pénétré dans la salle des eaux.
Elle était assez éclairée par une grosse lampe couverte en plein milieu de la salle et j’ai eu, devant mes yeux exactement le spectacle auquel je m’attendais. Mon ami était courbé sur la dalle du milieu, bien penché avec les cuisses écartées et l’homme le sodomisait en lui tenant les hanches et en lui donnant des coups de reins acharnés ponctuée de hans de plaisirs.
Connaissant mon ami, et moi-même, je savais ce qui allait se passer, mais la scène dans cette atmosphère assez chaude et ces deux corps qui brillaient de sueur ont ébranlés mes sens sexuels et ma terma s’est réveillé pour me démanger.
Je suivais leurs mouvements en me branlant légèrement et me frottant le sillon des fesses, attendant avec espoir mon tour. Je voyais ce zob long et gros, monstrueux qui sortait et rentrait dans le cul de mon ami et j’appréciais déjà ce qu’il allait me donner ensuite. Soudain, un autre homme, complètement nu, pénétra dans la salle, c’était l’un des deux hommes de la salle, le plus âgé.
J’ai tout de suite remarqué que son zob était déjà gonflé et bien droit, prêt pour le plaisir. Il était aussi gros que celui de l’autre homme qui sodomisait mon ami et je l’ai immédiatement désiré. Oui ! je mouillais de la terma face à ce merveilleux jouet de l’amour et mon souffle commençait déjà s’affoler de désir. Viens, viens ô zob si doux et monstrueux à la fois, viens me labourer le cul et m’inonder de ton chaud nectar.
L’homme m’a regardé en souriant, alors, ma terma affamé de désir, j’ai pris la même position que mon ami. Bien penché sur la dalle et le dos très courbé, j’ai écarté largement mes cuisses. Il doigté le sillon des fesses, y a collé son zob pour le frotter plusieurs fois en insistant seulement au niveau de mon anus.
Il a rentré un doigt puis deux dans mon anus et enfin il a pointé son zob sur le trou. Ensuite il a poussé avec énergie et sa queue n’a eu aucune difficulté pour me pénétrer et se glisser tout au fond de mon cul. Il s’est accroché à mes hanches et m’a pilonné le cul plus d’une vingtaine de fois. J’avis complètement oublié mon copain et son amant.
Les coups de zob dans mes entrailles, aidés par notre sueur glissaient et frottaient avec délice mon sphincter. Ma terma vivait des instants de bonheur formidables et le plaisir montait dans mes entrailles. J’avais aussi oublié ma bite et je suivais les hans du gars avec ma respiration qui s’essoufflait de plus en plus vite.
Enfin, le gars s’est crispé sur mes hanches et je savais qu’il allait m’inonder. Alors j’ai serré les fesses et mon sphincter et enfin j’ai reçu avec chaleur les rafales de spermes tout au fond de mon cul.
On est restés très peu collés ensemble puis le gars s’est retiré. Je me suis retourné et c’est que j’ai vu mon ami, les jambes en l’air, qui débutait avec son homme une seconde sodomie par terre et face à face.
Je me suis accroupi pour évacuer rapidement le sperme de mon cul et j’ai fait signe à mon homme si on pouvait faire comme les autres. Son zob, toujours assez gonflé était une réponse positive. Puis je me suis levé et je lui ai sucé le zob quelques instants.
Puis on s’est installé pas très loin des autres et on a fait de même. Le sol était assez agréable, pas très chaud et agréablement humide. J’ai levé les jambes et l’homme s’est agenouillé entre mes cuisses, le zob bien droit à la main et il me la planté dans l’anus.
Comme tout à l’heure, la queue s’est glissée en vitesse tout au fond de mers entrailles et les couilles de l’homme me battaient les fesses au rythme de ses coups de reins. C’était encore plus beau et plus jouissif que tout à l’heure. J’avais envie de crier de plaisir et comme j’entendais mon ami hurler son plaisir, j’en ai fait autant et tant pis pour les gars de l’autre salle.
Lorsque je devinais que le gars allait juter, je l’arrêtais avec les mains un moment, puis, on reprenait notre danse de l’amour. On a répété ce jeu trois ou quatre fois et lorsqu’il mon homme n’a plus pouvoir s’arrêter, il s’est enfoncé encore plus dans mes entrailles et il m’a bombardé de ses jets de sperme.
Cette fois ci, la quantité de sperme était sans commune mesure avec la première, j’ai du lui vider tout le fin fond de ses couilles et ses muscles se sont bandés au maximum pour tirer tout son jus.
Je sentais le sperme dégouliner de mon cul malgré que le zob fût encore à l’intérieur. L’homme, épuisé, pompé, s’était écroulé sur ma poitrine, et il avait les yeux fermés. Moi, j’étais tellement satisfait de cette sodomie que j’ai serré l’homme contre moi et je lui ai prodigué plusieurs baisers de reconnaissance.
J’ai jeté un coup d’œil vers mon ami mais il n’y avait plus personne d’autre dans la salle. Alors on s’est redressé, puis je me suis vidé au maximum du sperme de mon cul. Enfin on s’est lavé mutuellement, on s’est savonné et on s’est bien rincé. Pendant cet exercice, l’homme a continué à me caresser les fesses et moi son zob mais on a décidé de ne pas continuer.
J’ai osé lui poser la question qui me taraudait depuis un bon moment. Je le soupçonnais d’être aussi l’amant du jeune homme qui était allongé à coté de lui. Il a souri très largement et m’a dit qu’effectivement, c’était en quelque sorte sa femme qu’il venait, d’ailleurs, de baiser dans la salle dortoir, juste avant notre arrivée.
Mais comme il avait pressenti que mon ami, par son comportement et ses regards affamés sur le zob de l’homme, avait le cul en feu et qu’il allait se faire sodomiser, il est venu pour tirer un coup sur un cul nouveau. Puis, quant il m’a vu lui faire mon invitation, il a plongé sur ma blanche et large terma aussi chaude que celle de mon ami.
Après nos deux sodomies, il m’a avoué qu’il avait rarement baisé une si belle terma, chaude et douce, blanche et large nettement plus bandante que celle de son ami-femme et qu’il sera toujours à ma disposition dans ce dortoir.
Puis on s’est essuyé et on a rejoint la salle. Tout le monde semblait dormir et même le néon ne diffusait plus qu’une faible lumière. J’ai remis mon tricot et mon jogging et rapidement, très fatigué, je me sis endormi du sommeil d’une bonne terma bien satisfaite.
Le lendemain vers 6h, le gèrent nous a rendu l’argent qu’on lui a remis hier soir et nous a informé que tout a été déjà payé, même les bains. Il nous a aussi invité à revenir dans son dortoir à notre prochain passage dans sa ville, et nous avons accepté avec enthousiasme.
Nous avons téléphoné au siège qui nous ont conseillé de confier la voiture à un garage et de leur donner son téléphone. Ils ont discuté avec lui en notre présence, alors, rassurés, nous avons pris un taxi de la station pour finir notre route vers notre entreprise.
Bien entendu, avec mon ami, nous avons beaucoup parlé de notre aventure dans ce hammam-dortoir et confié nos plaisirs ressentis et nos fantasmes. Nous nous sommes promis de revenir à ce hammam ensemble à la première occasion, les souvenirs de ces gros zobs et de ces sodomies nous ont tenus compagnie durant tout le voyage de retour au travail.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
J'aime l'érotisme qui se dégage de cette histoire. La situation vaut mieux que d inutiles descriptions.