Titre de l'histoire érotique : Terma-12- Expérience en camp saharien (1) :
Récit érotique écrit par Noura [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-05-2017 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Titre de l'histoire érotique : Terma-12- Expérience en camp saharien (1) :
Terma-12- Expérience en camp saharien (1) :
Parmi mes nouveaux amis fervents pratiquant de la sodomie depuis plusieurs années, il y a Omar. C’est un Ingénieur âgé d’un peu plus que trente cinq ans et qui travaille dans une compagnie de pétrole en plein Sahara. Il fait quatre semaines sur les champs de pétrole et vit dans une base de vie, une sorte de camps saharien où ne résident que des hommes, cadres et ouvriers. Puis il passe la cinquième semaine, en congé chez lui, en ville, pour se reposer. Il pratique ce cycle depuis, maintenant plusieurs années.
On a beaucoup discuté sur nos expériences de sodomie et réalisé quelques séances communes avec des amants communs en petit groupe de plaisir. Un jour, en confidences, il m’a raconté comment il a été initié. Il devait avoir un peu plus de dix huit ans et il était en deuxième année d’étude d’ingénieur dans un Institut d’hydrocarbures dans la capitale. Et l’école décida de l’envoyer, durant les vacances de pacques, en stage pratique dans un de ses champs de pétrole au Sahara.
Et c’est ainsi qu’il débarqua un jour dans un camp saharien, en plein désert. Il devait faire un rapport noté sur la description et le fonctionnement des unités et des puits, il sera suivi et aidé par un cadre du champ et son travail sera noté au niveau de l’école, après le stage. On lui a donné une chambrette dans un chalet et il était pris totalement en charge, transports sur sites, restauration et même un petit présalaire.
Le chalet ou il logeait était entretenu par un homme très âgé et tout gris, nommé Toumi et qui travaille au Sahara depuis toujours. Tout décharné, mais vigoureux et très sympathique, il rendait service à tous les locataires du chalet et très vite, Omar s’est lié d’amitié avec lui. Chaque fin d’après midi, au retour de son travail, après un bon nettoyage dans les douches, Omar venait s’assoir avec Toumi devant le chalet pour discuter longuement et sur tout.
Le troisième jour, leur rencontre s’est transformée en longues soirées dans la chambre de Toumi qui possédait un poste radio diffusant de la musique arabe. Le climat étant très chaud et étouffant, Omar a du s’habituer à de nouveaux habits. Au travail, il avait une chemise et un large short kaki et un large chapeau de toile.
Mais le soir, Omar a du se débarrasser de sa tenue jogging et la remplacer par une large tunique, une gandourah saharienne, sous laquelle il pouvait être totalement nu, sans problème. C’est le vieux Toumi qui lui a prêté une gandourah car lui-même en avait une de couleur bleu et sous laquelle il était, lui aussi, totalement nu.
Le vieux Toumi, comme beaucoup d’hommes du camp, pratiquait la masturbation pour se soulager de sa tension sexuelle. Mais, parait-il, d’après Toumi, dans l’autre camp des ouvriers, il y avait un gars, hélas assez âgé, qui offrait sa terma (son cul) aux ouvriers, moyennant quelques billets mais qui n’intéressait pas Toumi qui préférait se branler dans sa chambre. Il a donc conseillé à Omar de faire de même sans honte puisque tout le monde le fait, parfois entre hommes, sans se gêner.
Suivant les conseils de son ami, cette nuit la, Omar s’est donc masturbé dans sa chambre. Le lendemain soir, Omar a avoué à Toumi qu’il s’était soulagé la veille car dans ce camp isolé et ce climat lourd, il avait été très excité pendant toute la journée. Ils en ont rigolé, puis l’étudiant a avoué que même ce soir, il était aussi excité et avait envie de se masturber.
Après cet aveu, assez innocent, du jeune Omar, Toumi a été sensiblement ébranlé. Déjà que depuis le premier jour, il se sentait attiré par le jeune homme, par cette chair juvénile, alors les paroles d’Omar l’ont un peu excitées. Il a donc observé plus attentivement son jeune ami et ce qu’il a vu l’a complètement affolé sexuellement.
En effet, la gandourah d’Omar, sans qu’il se rende compte semble t-il, se collait souvent sur le derrière du jeune homme et le profil de ses fesses se dessinait à faire bander, ce qui arriva au vieux Toumi. Quant Omar se déplaçait dans la chambre, on voyait ses fesses qui bougeaient et se dandiner nettement, un tableau érotique qui finit par affoler le vieux Toumi.
De plus, cette gandourah provocatrice s’infiltrait parfois dans le sillon entre les fesses du jeune homme, et le zob de Toumi, totalement conquis, pointait en chapiteau sous sa vielle gandourah. Il s’est posé la question si Omar le faisait exprès ou s’il était vraiment innocent. Préférant cette hypothèse, Toumi décida de draguer et de niquer coute que coute son jeune ami. Alors, il passa à l’action.
Mettant un peu de musique arabe de sa radio dans une ambiance intime, Toumi souleva prestement sa gandourah et sortit son long sexe pour commencer à se branler devant Omar. Comme il était assez excité par les fesses du jeune homme, sa queue était assez gonflée. Omar, d’abord surpris ouvrit de grands yeux mais comme Toumi lui souriait tout en activant son zob, il se calma assez vite et rendit le sourire à son ami.
Puis, observant avec insistance ce tableau érotique, il commença à s’exciter sexuellement, d’autant plus que Toumi se branlait en émettant des ah rauques et des soupirs bruyants de jouissance qui ajoutèrent à l’excitation du jeune homme. Toumi, trop échauffé depuis le début éjacula assez rapidement au bout d’une dizaine de masturbations, puis, soulagé, il conseilla, fermement à Omar d’en faire autant, sans hésiter, puisqu’on etait entre hommes.
Omar était totalement sous le charme de cette branle bruyante, excitante, affolante et son sexe se réveillait tout seul sous sa gandourah. Observant, malgré lui et pour la première fois de sa vie, un homme, un adulte dans la force de l’âge, se branler le zob avec ardeur, puis une éjaculation puissante de plusieurs jets de sperme, le jeune homme était au top de l’excitation et son fond sexuel se réveilla brusquement.
Alors, Omar, dont la bite était déjà partiellement gonflée, souleva sa gandourah et écartant largement ses cuisses, commença à se masturber devant son ami Toumi. Ce dernier, devinant que le jeune homme était maintenant tombé dans son piège, lui conseilla d’y aller avec plus d’énergie. Omar, tout en se masturbant, était encore en observation fixe sur la queue de Toumi et semblait presque hypnotisé car ce zob d’homme restait encore assez gonflé malgré son éjaculation.
Toumi décida d’amplifier le stress sexuel de son ami, alors, brusquement il empoigna lui même la queue de Omar et commença à la branler avec force. Puis, poussant l’audace à l’extrême, il prodigua à cette bite juvénile quelques lècheries avec ses lèvres et des sussions avec la bouche. Omar, totalement conquis abandonna son corps à son ami. Il se laissa faire et se coucha de tout son long, le dos sur le lit et les cuisses largement écartées.
La queue d’Omar était tellement bandée qu’elle lui faisait presque mal et il criait de joie et de plaisir. Et Toumi s’activa si bien que rapidement, Omar éjacula presque sans se rendre compte et il hurla de jouissance. Son sperme remplissait les mains et la bouche de Toumi qui a préféré ne pas s’écarter pour gouter cette jeune sève.
Cette première expérience, de masturbation par un homme, a presque étourdit le jeune Omar qui restait étendu presque nu sur le lit. Toumi lui nettoya gentiment le sexe et lui prodigua, en douceur et en catimini, quelques caresses avec les mains et les lèvres, sur ses belles cuisses blanches et charnues. Toumi laissa même ses mains se faufiler et glisser un peu vers les hanches d’Omar qui restait couché, sans forces.
Comme les jambes d’Omar étaient largement écartées, Toumi ne put s’empêcher de pousser ses mains un peu plus loin, sous les cuisses du jeune homme, se faufilant vers les fesses et cherchant à atteindre, si possible le sillon et l’anus. Il aida Omar à se tourner sur le coté et le jeune se laissa faire encore sous le charme de son éjaculation.
Ainsi, positionné, le derrière d’Omar était à portée de Toumi qui le flatta, le caressa et glissant ses doigts dans le sillon des fesses, il les frottas légèrement, doucement. Il posa plusieurs doux baisers sur les hanches d’Omar et, écartant les fesses avec ses doigts, il glissa sa langue dans le sillon et gouta la douceur de cette peau juvénile pendant plusieurs minutes. Omar, enfin semblait revenir à lui, alors Toumi s’écarta pour ne pas le brusquer. Il n’avait pas l’entière certitude qu’Omar l’avait laissé faire consciemment, mais il était sûr que le corps de son ami avait répondu positivement à ses avances sexuelles.
Toumi complimenta Omar sur sa belle queue, jeune et douce et sur la puissance de son éjaculation. Il le flatta en lui affirmant qu’il avait un beau corps d’athlète alors que lui, il était tout décharné. Omar était content des remarques de son ami et restait presque nu sur le lit. Alors, Toumi, toujours dans son offensive sexuelle, et soit disant pour montrer son corps décharné, il se débarrassa de sa gandourah pour apparaitre tout nu devant Omar. Comme celui-ci restait, encore une fois, sans réaction et sans bouger, c’est Toumi qui décida de forcer la situation. Il empoigna gentiment le jeune homme et lui ôta totalement sa gandourah Ainsi, apparu le corps juvénile et imberbe d’Omar devant les yeux affamés de Toumi.
Alors Toumi releva le jeune homme qui se laissait faire sans résister, puis il tourna autour de lui pour l’admirer par devant et par derrière. Il ne put s’empêcher de murmurer, à voix basse mais qu’Omar entendait parfaitement : « Ö mon zob ! que ce corps est beau, bien rempli et doux » (Ah ya zébi ! ch’7aal hadhal el’jism j’mil ! m’3ammar wa h’lou).
Et, et il se permit même de toucher la poitrine d’Omar puis ses jeunes cuisses dodues et enfin son dos, son derrière, ses fesses et en objectif final, ses hanches charnues, imberbes et dorées. Omar, dépassé, se laissait faire et souriait de contentement à son ami qui le flattait. Ces attouchements sur le corps du jeune homme ont affolés le sexe de Toumi qui bandait de nouveau et se gonflait à lui faire mal.
Il se retenait pour ne pas sauter sur son jeune ami pour le violer tellement ces hanches et ces fesses étaient diablement désirables. Le sexe de Toumi, excité commençait même à mouiller un peu et un léger filet de désir suintait déjà de son gland. Le tableau de ces deux corps nus et la tension sexuelle à son comble enveloppait la chambre d’une atmosphère érotique qui poussa Toumi à foncer.
Alors, sans plus tenir de la volonté d’Omar, Toumi poussa le jeune homme vers le lit, sur lequel il s’assit, puis, il attira avec douceur Omar à s’assoir sur ses cuisses nues. Tout de suite la queue de Touma se trouva en contact avec les chaudes fesses d’Omar. Ce dernier semblait comme paralysé. Pourtant, c’était la première fois qu’il était totalement nu devant un étranger et, plus grave encore, il était assis sur la queue de cet homme sorcier.
Omar sentait parfaitement la chaleur de ce zob d’homme sur ses fesses et le désir commençait à irradier totalement dans son corps. Non seulement sa propre queue bandait d’excitation mais une certaine chaleur irradiait aussi dans sa terma qui le chatouillait de façon bizarre mais qu’il acceptait avec espoir que ça continue.
C’est une sensation très nouvelle et très agréable. Le vieux Toumi le tenait bien sur ses cuisses, entourait sa poitrine de ses mains et lui faisait aussi quelques caresses douces sur ses seins. La gentillesse et la sympathie de Toumi ont totalement désarmés le jeune étudiant qui s’abandonnait à ces sensations presque jouissantes. Il savait qu’il aurait du penser que tout ceci devait être interdit et que la suite sera peut être difficile, mais il était prisonnier de ce nouveau plaisir. Il rejetait la suite et ne pensait qu’à ces attouchements merveilleux dans sa terma et à ce désir qu’il commençait à aimer, désir qui irradiait tout son corps.
C’était une sorte de frémissement général et agréable qu’il souhaitait infini. Toumi lui murmura à l’oreille si cela lui plaisait et Omar approuva de la tête sans un mot. Pour s’assurer que son jeune ami goutait vraiment la douceur de son zob sur ses fesses, Toumi lui demanda de bouger du derrière. Alors Omar, sans réfléchir et sans hésitation, commença à osciller pour frotter ses fesses sur la longue queue dure de Toumi qui se retenait d’éjaculer.
Comprenant que le poisson était totalement ferré, Toumi se dégagea pour aller chercher dans son armoire un tube contenant de la vaseline. Puis, il demanda à Omar de se retourner et de se mettre à genoux sur le lit, ce que fit le jeune homme sans hésiter quoique devinant, a peu près, ce qui allait se passer mais il en avait le désir profond et il courba en écartant même ses cuisses. Il savait certainement ce que Toumi allait lui faire et il avait presque une hâte, qui lui faisait un peu honte, mais la passion avait pris possession de son jeune corps et de son esprit. Toumi ouvrit sa boite de vaseline et avec précaution et douceur, il enduisit le sillon des fesses d’Omar en frottant légèrement et en faisant glisser son doigt.
Omar ne bougeait pas car cet attouchement lui procurait encore du plaisir. Lorsque Toumi lui toucha l’anus et poussa son doigt vers l’intérieur, Omar eu un premier geste de crispation pour serrer son cul, mais Touma lui flatta les fesses et le sillon et lui murmura quelques gentillesses à l’oreille tout en glissant le doigt à travers l’anus, puis il s’arrêta. Grâce à cette lente lubrification et l’ouverture aisée de son anus, Omar se détendit un peu. Il se concentra sur ce doigt dans son cul et cette présence lui procura aussi un certain plaisir de domination. En effet, ce corps, ce doigt, dans son intérieur, était le signe de la possession de son corps, et plus exactement de son cul par un étranger.
Le vieux Toumi lui demanda doucement ses impressions et Omar lui avoua que cela lui plaisait beaucoup. D’ailleurs, il commença à bouger légèrement du derrière pour essayer de faire pénétrer ce doigt encore plus dans son cul. Toumi a compris que son entreprise est un succès total et il enfonça plus profondément son doigt dans le cul d’Omar en lui faisant quelques légers massages sur la peau interne du sphincter.
Omar, à ces attouchements commençait à souffler fort de plaisir. Il a accepté avec plaisir ce doigt qui commençait à lui donner des frissons de jouissance. Toumi commença, avec son doigt, des vas et viens de plus en plus énergiques dans le cul du jeune homme qui poussait même, maintenant, des ah de plaisir. Après un bon moment de sodomie avec un doigt, Toumi décida de passer à une autre étape. Il ajouta de la vaseline puis poussa deux doigts dans l’anus d’Omar.
Toumi a bien calculé son nouveau geste car Omar n’a senti que peu de gène et les deux doigts pénétrèrent sans mal dans son cul et commencèrent à le sodomiser encore mieux qu’auparavant. Il accepta avec des ah encore plus haletants cette intrusion et son jeune anus, assez élastique, s’élargit avec facilité aux gestes de Toumi. Ce dernier tout en continuant ses vas et viens écartait ses doigts pour élargir l’anus et l’expérience fut un succès total.
Alors, Toumi, mettant beaucoup de vaseline sur sa queue gonflée, pointa son gland à l’entrée de l’anus d’Omar. Puis, avec dextérité et adresse, il retira prestement ses deux doigts et plongea, à la place, le gland de son sexe. Son geste a été assez rapide ce qui lui permis de pénétrer tout de suite dans l’anus de Omar. Ce dernier, ayant eu certainement ressentit ce passage en force s’est crispé en feutrant de douleur. Mais Toumi le retint bien par les hanches puis se bloqua sans bouger.
Il expliqua doucement dans l’oreille d’Omar que c’était fini, que le zob était déjà à l’interieur et que maintenant tout va changer avec du plaisir. Restant sans bouger, Toumi ajouta à Omar que c’était comme lorsqu’il a eu sa circoncision, un peu de mal puis beaucoup de bien. Omar restait assez crispé mais comme le gland était déjà dans son sphincter, il n’avait plus mal et en se concentrant sur cette image il en fit un fantasme. Oui, c’était fini, il était déjà sodomisé, ouvert pour ce zob d’homme et d’autres peut être. Ces pensées le détendirent et il commença à gouter cette chair dans sa chair.
Le vieux Toumi a senti la détente de Omar, alors il poussa doucement son sexe vers l’intérieur du cul de son ami. Grace à la vaseline, sur le zob et à l’intérieur de la terma, le gland écartait le sphincter d’Omar et le sexe de Toumi s’enfonça avec jouissance jusqu’au fond. Lorsque ses couilles heurtèrent les fesses du jeune homme, Toumi poussa un grand soupir de satisfaction. Il a réussi à dépuceler le jeune homme et maintenant il s’agit de lui faire aimer la sodomie, la danse des zobs dans les Terma, les plaisirs sexuels entre hommes.
Il murmura à Omar que son cul était merveilleux, doux et étroit, ce qui serrait son zob et lui procurait beaucoup de plaisir. Omar était aussi content et il émit, au milieu de son souffle haletant, quelque rire de reconnaissance à son ami qui la dépucelé avec facilité. Maintenant, il ressentait à fond la longue queue de Toumi dans ses entrailles et il comprit qu’il venait de passer à une toute nouvelle étape de sa vie sexuelle, de sa vie tout court. Il imaginait, certes très succinctement, cet avenir de plaisirs sexuels, de nouveaux amis spéciaux, d’hommes vigoureux, puissants avec des zobs merveilleux qui lui donneront des jouissances et sa Terma devenait maintenant un centre important, vital, de sa vie.
Toumi, par des mouvements lents et quelques petites brusqueries, sodomisait son jeune ami doucement avec des glissades appuyées, dans les deux sens et surtout lorsqu’il s’enfonçait dans le cul d’Omar, ce qui amplifiait son excitation et faisait maintenant souffler de plaisir le jeune homme. Les deux amis baisaient à leur guise, sans se presser, en goutant ces jouissances communes et leurs souffles rauques et leurs rires saccadés et parfois leurs cris de folie s’entrecroisaient sans qu’ils se rendent compte.
Enfin, hélas, rien n’est éternel et Toumi arriva à son top de plaisir. Ses vas et viens vigoureux s’accélérèrent et Omar en redemandait encore plus, son cul était maintenant totalement ouvert et le zob glissait et heurtait son fond sans aucune retenue. Après une vingtaine ou trentaine, personne ne comptait, de vas et viens, Omar réagissait à fond à la sodomie. Même son sexe se bandait sans volonté de sa part, et sa Terma frémissait et mouillait de jouissance, alors il tendait son cul vers la queue qui le transperçait et tortillait du derrière pour bien la sentir au fond de ses entrailles.
Son souffle s’est accéléré et il murmurait des mots sans suite. Puis il implora Toumi de le défoncer encore plus, oh ! ce dernier n’avait pas attendu cet appel pour baiser à fond son jeune ami. Il tirait les hanches du jeune homme pour s’enfoncer plus profondément dans le cul et hurlait de jouissance. Enfin, ne pouvant plus retenir son plaisir, Toumi s’immobilisa et se crispa sur les hanches d’Omar et son zob se déclencha pour éjaculer une dizaine de jets d’un sperme puissant et chaud dans les fondements de son jeune amant. Il libéra entièrement ses couilles de leur nectar laiteux, visqueux, âcre. Omar, dès le premier déclenchement dans ses entrailles poussa un hurlement de jouissances.
Sa Terma venait, pour la première fois, de recevoir cette semence d’un mâle comme une terre arrosée de liqueur céleste. Il reçu avec plaisir le message de sa Terma qui jouissait non seulement de ce long zob qui l’avait sailli, puis frotté de l’intérieur, chatouillé puis pilonné avec une vigueur d’un mâle en rut, mais aussi de cette semence puissante, chaude qui la remplissait totalement.
Omar se promit déjà de satisfaire sa Terma à toute occasion et de lui choisir des zobs à la mesure de ses désirs, de ses fantasmes. Il hurlait de jouissance sans retenue. Toumi, épuisé de ses efforts, de sa trop forte excitation pour ce jeune cul qu’il venait de dépuceler puis de satisfaire et de l’inonder de son nectar, resta quelques instants soudé sur le derrière d’Omar pour bien lui faire sentir et gouter la présence d’une queue d’homme dans son cul. Il fallait qu’Omar jouisse beaucoup et bien pour en redemander par la suite, et l’expérience fut un succès total pour les deux amants.
Cette initiation a été une réussite totale pour Omar et un cadeau formidable pour la queue de Toumi qui allait en jouir chaque soir pour tout le reste du séjour du jeune Ingénieur. Ainsi, chaque soir, dans la petite chambre du chalet, Omar offrait son cul à sodomiser, une et parfois plusieurs fois à son sympathique ami Toumi. Ce dernier lui apprit comment tortiller des fesses, comment aspirer et serrer la queue avec son cul, avec l’intérieur de son sphincter. Ensuite, il lui apprit à lécher et sucer correctement une queue jusqu'à la faire gonfler de désir et la faire juter. Enfin il lui fit aimer le gout du sperme chaud et visqueux de la même manière que sa Terma. Il lui apprit à nettoyer une queue et la sucer de manière à la faire bander de nouveau.
Ainsi, e séjour technique quotidien d’Omar a été totalement suivi, en parallèle, par un stage sexuel chaque soir grâce à Toumi. Au bout de plusieurs jours, Omar a eu l’impression que ses hanches se sont épanouies de plaisir, que le sillon de ses fesses s’est élargi et que son anus s’est ouvert encore plus. Et il a tellement aimé ces changements que, maintenant il adorait se caresser le derrière, les hanches et glisser ses doigts dans le sillon de ses fesses et même, faire pénétrer ses doigts dans son cul.
Il constata, effectivement, que son trou de cul, son anus, heureusement très élastique, s’ouvrait presque avec facilité, même avec deux doigts. Il s’habitua à se branlait le sphincter avec ses doigts et en tortillant du derrière. C’est devenu tout un monde nouveau, des attouchements nouveaux et agréables, des mouvements de plaisir personnel sur cette partie de son corps qu’il avait négligée auparavant.
Parmi mes nouveaux amis fervents pratiquant de la sodomie depuis plusieurs années, il y a Omar. C’est un Ingénieur âgé d’un peu plus que trente cinq ans et qui travaille dans une compagnie de pétrole en plein Sahara. Il fait quatre semaines sur les champs de pétrole et vit dans une base de vie, une sorte de camps saharien où ne résident que des hommes, cadres et ouvriers. Puis il passe la cinquième semaine, en congé chez lui, en ville, pour se reposer. Il pratique ce cycle depuis, maintenant plusieurs années.
On a beaucoup discuté sur nos expériences de sodomie et réalisé quelques séances communes avec des amants communs en petit groupe de plaisir. Un jour, en confidences, il m’a raconté comment il a été initié. Il devait avoir un peu plus de dix huit ans et il était en deuxième année d’étude d’ingénieur dans un Institut d’hydrocarbures dans la capitale. Et l’école décida de l’envoyer, durant les vacances de pacques, en stage pratique dans un de ses champs de pétrole au Sahara.
Et c’est ainsi qu’il débarqua un jour dans un camp saharien, en plein désert. Il devait faire un rapport noté sur la description et le fonctionnement des unités et des puits, il sera suivi et aidé par un cadre du champ et son travail sera noté au niveau de l’école, après le stage. On lui a donné une chambrette dans un chalet et il était pris totalement en charge, transports sur sites, restauration et même un petit présalaire.
Le chalet ou il logeait était entretenu par un homme très âgé et tout gris, nommé Toumi et qui travaille au Sahara depuis toujours. Tout décharné, mais vigoureux et très sympathique, il rendait service à tous les locataires du chalet et très vite, Omar s’est lié d’amitié avec lui. Chaque fin d’après midi, au retour de son travail, après un bon nettoyage dans les douches, Omar venait s’assoir avec Toumi devant le chalet pour discuter longuement et sur tout.
Le troisième jour, leur rencontre s’est transformée en longues soirées dans la chambre de Toumi qui possédait un poste radio diffusant de la musique arabe. Le climat étant très chaud et étouffant, Omar a du s’habituer à de nouveaux habits. Au travail, il avait une chemise et un large short kaki et un large chapeau de toile.
Mais le soir, Omar a du se débarrasser de sa tenue jogging et la remplacer par une large tunique, une gandourah saharienne, sous laquelle il pouvait être totalement nu, sans problème. C’est le vieux Toumi qui lui a prêté une gandourah car lui-même en avait une de couleur bleu et sous laquelle il était, lui aussi, totalement nu.
Le vieux Toumi, comme beaucoup d’hommes du camp, pratiquait la masturbation pour se soulager de sa tension sexuelle. Mais, parait-il, d’après Toumi, dans l’autre camp des ouvriers, il y avait un gars, hélas assez âgé, qui offrait sa terma (son cul) aux ouvriers, moyennant quelques billets mais qui n’intéressait pas Toumi qui préférait se branler dans sa chambre. Il a donc conseillé à Omar de faire de même sans honte puisque tout le monde le fait, parfois entre hommes, sans se gêner.
Suivant les conseils de son ami, cette nuit la, Omar s’est donc masturbé dans sa chambre. Le lendemain soir, Omar a avoué à Toumi qu’il s’était soulagé la veille car dans ce camp isolé et ce climat lourd, il avait été très excité pendant toute la journée. Ils en ont rigolé, puis l’étudiant a avoué que même ce soir, il était aussi excité et avait envie de se masturber.
Après cet aveu, assez innocent, du jeune Omar, Toumi a été sensiblement ébranlé. Déjà que depuis le premier jour, il se sentait attiré par le jeune homme, par cette chair juvénile, alors les paroles d’Omar l’ont un peu excitées. Il a donc observé plus attentivement son jeune ami et ce qu’il a vu l’a complètement affolé sexuellement.
En effet, la gandourah d’Omar, sans qu’il se rende compte semble t-il, se collait souvent sur le derrière du jeune homme et le profil de ses fesses se dessinait à faire bander, ce qui arriva au vieux Toumi. Quant Omar se déplaçait dans la chambre, on voyait ses fesses qui bougeaient et se dandiner nettement, un tableau érotique qui finit par affoler le vieux Toumi.
De plus, cette gandourah provocatrice s’infiltrait parfois dans le sillon entre les fesses du jeune homme, et le zob de Toumi, totalement conquis, pointait en chapiteau sous sa vielle gandourah. Il s’est posé la question si Omar le faisait exprès ou s’il était vraiment innocent. Préférant cette hypothèse, Toumi décida de draguer et de niquer coute que coute son jeune ami. Alors, il passa à l’action.
Mettant un peu de musique arabe de sa radio dans une ambiance intime, Toumi souleva prestement sa gandourah et sortit son long sexe pour commencer à se branler devant Omar. Comme il était assez excité par les fesses du jeune homme, sa queue était assez gonflée. Omar, d’abord surpris ouvrit de grands yeux mais comme Toumi lui souriait tout en activant son zob, il se calma assez vite et rendit le sourire à son ami.
Puis, observant avec insistance ce tableau érotique, il commença à s’exciter sexuellement, d’autant plus que Toumi se branlait en émettant des ah rauques et des soupirs bruyants de jouissance qui ajoutèrent à l’excitation du jeune homme. Toumi, trop échauffé depuis le début éjacula assez rapidement au bout d’une dizaine de masturbations, puis, soulagé, il conseilla, fermement à Omar d’en faire autant, sans hésiter, puisqu’on etait entre hommes.
Omar était totalement sous le charme de cette branle bruyante, excitante, affolante et son sexe se réveillait tout seul sous sa gandourah. Observant, malgré lui et pour la première fois de sa vie, un homme, un adulte dans la force de l’âge, se branler le zob avec ardeur, puis une éjaculation puissante de plusieurs jets de sperme, le jeune homme était au top de l’excitation et son fond sexuel se réveilla brusquement.
Alors, Omar, dont la bite était déjà partiellement gonflée, souleva sa gandourah et écartant largement ses cuisses, commença à se masturber devant son ami Toumi. Ce dernier, devinant que le jeune homme était maintenant tombé dans son piège, lui conseilla d’y aller avec plus d’énergie. Omar, tout en se masturbant, était encore en observation fixe sur la queue de Toumi et semblait presque hypnotisé car ce zob d’homme restait encore assez gonflé malgré son éjaculation.
Toumi décida d’amplifier le stress sexuel de son ami, alors, brusquement il empoigna lui même la queue de Omar et commença à la branler avec force. Puis, poussant l’audace à l’extrême, il prodigua à cette bite juvénile quelques lècheries avec ses lèvres et des sussions avec la bouche. Omar, totalement conquis abandonna son corps à son ami. Il se laissa faire et se coucha de tout son long, le dos sur le lit et les cuisses largement écartées.
La queue d’Omar était tellement bandée qu’elle lui faisait presque mal et il criait de joie et de plaisir. Et Toumi s’activa si bien que rapidement, Omar éjacula presque sans se rendre compte et il hurla de jouissance. Son sperme remplissait les mains et la bouche de Toumi qui a préféré ne pas s’écarter pour gouter cette jeune sève.
Cette première expérience, de masturbation par un homme, a presque étourdit le jeune Omar qui restait étendu presque nu sur le lit. Toumi lui nettoya gentiment le sexe et lui prodigua, en douceur et en catimini, quelques caresses avec les mains et les lèvres, sur ses belles cuisses blanches et charnues. Toumi laissa même ses mains se faufiler et glisser un peu vers les hanches d’Omar qui restait couché, sans forces.
Comme les jambes d’Omar étaient largement écartées, Toumi ne put s’empêcher de pousser ses mains un peu plus loin, sous les cuisses du jeune homme, se faufilant vers les fesses et cherchant à atteindre, si possible le sillon et l’anus. Il aida Omar à se tourner sur le coté et le jeune se laissa faire encore sous le charme de son éjaculation.
Ainsi, positionné, le derrière d’Omar était à portée de Toumi qui le flatta, le caressa et glissant ses doigts dans le sillon des fesses, il les frottas légèrement, doucement. Il posa plusieurs doux baisers sur les hanches d’Omar et, écartant les fesses avec ses doigts, il glissa sa langue dans le sillon et gouta la douceur de cette peau juvénile pendant plusieurs minutes. Omar, enfin semblait revenir à lui, alors Toumi s’écarta pour ne pas le brusquer. Il n’avait pas l’entière certitude qu’Omar l’avait laissé faire consciemment, mais il était sûr que le corps de son ami avait répondu positivement à ses avances sexuelles.
Toumi complimenta Omar sur sa belle queue, jeune et douce et sur la puissance de son éjaculation. Il le flatta en lui affirmant qu’il avait un beau corps d’athlète alors que lui, il était tout décharné. Omar était content des remarques de son ami et restait presque nu sur le lit. Alors, Toumi, toujours dans son offensive sexuelle, et soit disant pour montrer son corps décharné, il se débarrassa de sa gandourah pour apparaitre tout nu devant Omar. Comme celui-ci restait, encore une fois, sans réaction et sans bouger, c’est Toumi qui décida de forcer la situation. Il empoigna gentiment le jeune homme et lui ôta totalement sa gandourah Ainsi, apparu le corps juvénile et imberbe d’Omar devant les yeux affamés de Toumi.
Alors Toumi releva le jeune homme qui se laissait faire sans résister, puis il tourna autour de lui pour l’admirer par devant et par derrière. Il ne put s’empêcher de murmurer, à voix basse mais qu’Omar entendait parfaitement : « Ö mon zob ! que ce corps est beau, bien rempli et doux » (Ah ya zébi ! ch’7aal hadhal el’jism j’mil ! m’3ammar wa h’lou).
Et, et il se permit même de toucher la poitrine d’Omar puis ses jeunes cuisses dodues et enfin son dos, son derrière, ses fesses et en objectif final, ses hanches charnues, imberbes et dorées. Omar, dépassé, se laissait faire et souriait de contentement à son ami qui le flattait. Ces attouchements sur le corps du jeune homme ont affolés le sexe de Toumi qui bandait de nouveau et se gonflait à lui faire mal.
Il se retenait pour ne pas sauter sur son jeune ami pour le violer tellement ces hanches et ces fesses étaient diablement désirables. Le sexe de Toumi, excité commençait même à mouiller un peu et un léger filet de désir suintait déjà de son gland. Le tableau de ces deux corps nus et la tension sexuelle à son comble enveloppait la chambre d’une atmosphère érotique qui poussa Toumi à foncer.
Alors, sans plus tenir de la volonté d’Omar, Toumi poussa le jeune homme vers le lit, sur lequel il s’assit, puis, il attira avec douceur Omar à s’assoir sur ses cuisses nues. Tout de suite la queue de Touma se trouva en contact avec les chaudes fesses d’Omar. Ce dernier semblait comme paralysé. Pourtant, c’était la première fois qu’il était totalement nu devant un étranger et, plus grave encore, il était assis sur la queue de cet homme sorcier.
Omar sentait parfaitement la chaleur de ce zob d’homme sur ses fesses et le désir commençait à irradier totalement dans son corps. Non seulement sa propre queue bandait d’excitation mais une certaine chaleur irradiait aussi dans sa terma qui le chatouillait de façon bizarre mais qu’il acceptait avec espoir que ça continue.
C’est une sensation très nouvelle et très agréable. Le vieux Toumi le tenait bien sur ses cuisses, entourait sa poitrine de ses mains et lui faisait aussi quelques caresses douces sur ses seins. La gentillesse et la sympathie de Toumi ont totalement désarmés le jeune étudiant qui s’abandonnait à ces sensations presque jouissantes. Il savait qu’il aurait du penser que tout ceci devait être interdit et que la suite sera peut être difficile, mais il était prisonnier de ce nouveau plaisir. Il rejetait la suite et ne pensait qu’à ces attouchements merveilleux dans sa terma et à ce désir qu’il commençait à aimer, désir qui irradiait tout son corps.
C’était une sorte de frémissement général et agréable qu’il souhaitait infini. Toumi lui murmura à l’oreille si cela lui plaisait et Omar approuva de la tête sans un mot. Pour s’assurer que son jeune ami goutait vraiment la douceur de son zob sur ses fesses, Toumi lui demanda de bouger du derrière. Alors Omar, sans réfléchir et sans hésitation, commença à osciller pour frotter ses fesses sur la longue queue dure de Toumi qui se retenait d’éjaculer.
Comprenant que le poisson était totalement ferré, Toumi se dégagea pour aller chercher dans son armoire un tube contenant de la vaseline. Puis, il demanda à Omar de se retourner et de se mettre à genoux sur le lit, ce que fit le jeune homme sans hésiter quoique devinant, a peu près, ce qui allait se passer mais il en avait le désir profond et il courba en écartant même ses cuisses. Il savait certainement ce que Toumi allait lui faire et il avait presque une hâte, qui lui faisait un peu honte, mais la passion avait pris possession de son jeune corps et de son esprit. Toumi ouvrit sa boite de vaseline et avec précaution et douceur, il enduisit le sillon des fesses d’Omar en frottant légèrement et en faisant glisser son doigt.
Omar ne bougeait pas car cet attouchement lui procurait encore du plaisir. Lorsque Toumi lui toucha l’anus et poussa son doigt vers l’intérieur, Omar eu un premier geste de crispation pour serrer son cul, mais Touma lui flatta les fesses et le sillon et lui murmura quelques gentillesses à l’oreille tout en glissant le doigt à travers l’anus, puis il s’arrêta. Grâce à cette lente lubrification et l’ouverture aisée de son anus, Omar se détendit un peu. Il se concentra sur ce doigt dans son cul et cette présence lui procura aussi un certain plaisir de domination. En effet, ce corps, ce doigt, dans son intérieur, était le signe de la possession de son corps, et plus exactement de son cul par un étranger.
Le vieux Toumi lui demanda doucement ses impressions et Omar lui avoua que cela lui plaisait beaucoup. D’ailleurs, il commença à bouger légèrement du derrière pour essayer de faire pénétrer ce doigt encore plus dans son cul. Toumi a compris que son entreprise est un succès total et il enfonça plus profondément son doigt dans le cul d’Omar en lui faisant quelques légers massages sur la peau interne du sphincter.
Omar, à ces attouchements commençait à souffler fort de plaisir. Il a accepté avec plaisir ce doigt qui commençait à lui donner des frissons de jouissance. Toumi commença, avec son doigt, des vas et viens de plus en plus énergiques dans le cul du jeune homme qui poussait même, maintenant, des ah de plaisir. Après un bon moment de sodomie avec un doigt, Toumi décida de passer à une autre étape. Il ajouta de la vaseline puis poussa deux doigts dans l’anus d’Omar.
Toumi a bien calculé son nouveau geste car Omar n’a senti que peu de gène et les deux doigts pénétrèrent sans mal dans son cul et commencèrent à le sodomiser encore mieux qu’auparavant. Il accepta avec des ah encore plus haletants cette intrusion et son jeune anus, assez élastique, s’élargit avec facilité aux gestes de Toumi. Ce dernier tout en continuant ses vas et viens écartait ses doigts pour élargir l’anus et l’expérience fut un succès total.
Alors, Toumi, mettant beaucoup de vaseline sur sa queue gonflée, pointa son gland à l’entrée de l’anus d’Omar. Puis, avec dextérité et adresse, il retira prestement ses deux doigts et plongea, à la place, le gland de son sexe. Son geste a été assez rapide ce qui lui permis de pénétrer tout de suite dans l’anus de Omar. Ce dernier, ayant eu certainement ressentit ce passage en force s’est crispé en feutrant de douleur. Mais Toumi le retint bien par les hanches puis se bloqua sans bouger.
Il expliqua doucement dans l’oreille d’Omar que c’était fini, que le zob était déjà à l’interieur et que maintenant tout va changer avec du plaisir. Restant sans bouger, Toumi ajouta à Omar que c’était comme lorsqu’il a eu sa circoncision, un peu de mal puis beaucoup de bien. Omar restait assez crispé mais comme le gland était déjà dans son sphincter, il n’avait plus mal et en se concentrant sur cette image il en fit un fantasme. Oui, c’était fini, il était déjà sodomisé, ouvert pour ce zob d’homme et d’autres peut être. Ces pensées le détendirent et il commença à gouter cette chair dans sa chair.
Le vieux Toumi a senti la détente de Omar, alors il poussa doucement son sexe vers l’intérieur du cul de son ami. Grace à la vaseline, sur le zob et à l’intérieur de la terma, le gland écartait le sphincter d’Omar et le sexe de Toumi s’enfonça avec jouissance jusqu’au fond. Lorsque ses couilles heurtèrent les fesses du jeune homme, Toumi poussa un grand soupir de satisfaction. Il a réussi à dépuceler le jeune homme et maintenant il s’agit de lui faire aimer la sodomie, la danse des zobs dans les Terma, les plaisirs sexuels entre hommes.
Il murmura à Omar que son cul était merveilleux, doux et étroit, ce qui serrait son zob et lui procurait beaucoup de plaisir. Omar était aussi content et il émit, au milieu de son souffle haletant, quelque rire de reconnaissance à son ami qui la dépucelé avec facilité. Maintenant, il ressentait à fond la longue queue de Toumi dans ses entrailles et il comprit qu’il venait de passer à une toute nouvelle étape de sa vie sexuelle, de sa vie tout court. Il imaginait, certes très succinctement, cet avenir de plaisirs sexuels, de nouveaux amis spéciaux, d’hommes vigoureux, puissants avec des zobs merveilleux qui lui donneront des jouissances et sa Terma devenait maintenant un centre important, vital, de sa vie.
Toumi, par des mouvements lents et quelques petites brusqueries, sodomisait son jeune ami doucement avec des glissades appuyées, dans les deux sens et surtout lorsqu’il s’enfonçait dans le cul d’Omar, ce qui amplifiait son excitation et faisait maintenant souffler de plaisir le jeune homme. Les deux amis baisaient à leur guise, sans se presser, en goutant ces jouissances communes et leurs souffles rauques et leurs rires saccadés et parfois leurs cris de folie s’entrecroisaient sans qu’ils se rendent compte.
Enfin, hélas, rien n’est éternel et Toumi arriva à son top de plaisir. Ses vas et viens vigoureux s’accélérèrent et Omar en redemandait encore plus, son cul était maintenant totalement ouvert et le zob glissait et heurtait son fond sans aucune retenue. Après une vingtaine ou trentaine, personne ne comptait, de vas et viens, Omar réagissait à fond à la sodomie. Même son sexe se bandait sans volonté de sa part, et sa Terma frémissait et mouillait de jouissance, alors il tendait son cul vers la queue qui le transperçait et tortillait du derrière pour bien la sentir au fond de ses entrailles.
Son souffle s’est accéléré et il murmurait des mots sans suite. Puis il implora Toumi de le défoncer encore plus, oh ! ce dernier n’avait pas attendu cet appel pour baiser à fond son jeune ami. Il tirait les hanches du jeune homme pour s’enfoncer plus profondément dans le cul et hurlait de jouissance. Enfin, ne pouvant plus retenir son plaisir, Toumi s’immobilisa et se crispa sur les hanches d’Omar et son zob se déclencha pour éjaculer une dizaine de jets d’un sperme puissant et chaud dans les fondements de son jeune amant. Il libéra entièrement ses couilles de leur nectar laiteux, visqueux, âcre. Omar, dès le premier déclenchement dans ses entrailles poussa un hurlement de jouissances.
Sa Terma venait, pour la première fois, de recevoir cette semence d’un mâle comme une terre arrosée de liqueur céleste. Il reçu avec plaisir le message de sa Terma qui jouissait non seulement de ce long zob qui l’avait sailli, puis frotté de l’intérieur, chatouillé puis pilonné avec une vigueur d’un mâle en rut, mais aussi de cette semence puissante, chaude qui la remplissait totalement.
Omar se promit déjà de satisfaire sa Terma à toute occasion et de lui choisir des zobs à la mesure de ses désirs, de ses fantasmes. Il hurlait de jouissance sans retenue. Toumi, épuisé de ses efforts, de sa trop forte excitation pour ce jeune cul qu’il venait de dépuceler puis de satisfaire et de l’inonder de son nectar, resta quelques instants soudé sur le derrière d’Omar pour bien lui faire sentir et gouter la présence d’une queue d’homme dans son cul. Il fallait qu’Omar jouisse beaucoup et bien pour en redemander par la suite, et l’expérience fut un succès total pour les deux amants.
Cette initiation a été une réussite totale pour Omar et un cadeau formidable pour la queue de Toumi qui allait en jouir chaque soir pour tout le reste du séjour du jeune Ingénieur. Ainsi, chaque soir, dans la petite chambre du chalet, Omar offrait son cul à sodomiser, une et parfois plusieurs fois à son sympathique ami Toumi. Ce dernier lui apprit comment tortiller des fesses, comment aspirer et serrer la queue avec son cul, avec l’intérieur de son sphincter. Ensuite, il lui apprit à lécher et sucer correctement une queue jusqu'à la faire gonfler de désir et la faire juter. Enfin il lui fit aimer le gout du sperme chaud et visqueux de la même manière que sa Terma. Il lui apprit à nettoyer une queue et la sucer de manière à la faire bander de nouveau.
Ainsi, e séjour technique quotidien d’Omar a été totalement suivi, en parallèle, par un stage sexuel chaque soir grâce à Toumi. Au bout de plusieurs jours, Omar a eu l’impression que ses hanches se sont épanouies de plaisir, que le sillon de ses fesses s’est élargi et que son anus s’est ouvert encore plus. Et il a tellement aimé ces changements que, maintenant il adorait se caresser le derrière, les hanches et glisser ses doigts dans le sillon de ses fesses et même, faire pénétrer ses doigts dans son cul.
Il constata, effectivement, que son trou de cul, son anus, heureusement très élastique, s’ouvrait presque avec facilité, même avec deux doigts. Il s’habitua à se branlait le sphincter avec ses doigts et en tortillant du derrière. C’est devenu tout un monde nouveau, des attouchements nouveaux et agréables, des mouvements de plaisir personnel sur cette partie de son corps qu’il avait négligée auparavant.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Sensualité douce , excitation , le tout très bien écrit
Merci pour ce beau texte!
Merci pour ce beau texte!
Quel plaisir de lire une si belle histoire, érotique et excitante à souhait.