Titre de l'histoire érotique : Terma-14- Autre Expérience en camp saharien (3) :
Récit érotique écrit par Noura [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-07-2017 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Titre de l'histoire érotique : Terma-14- Autre Expérience en camp saharien (3) :
Terma-14- Autre Expérience en camp saharien (3) :
J’ai trouvé, personnellement, cette drague avec une gandourah couvrant avec provocation la nudité de la Terma, ce qui aguiche et amplifie le désir de l’amant. Sa queue ne pourra jamais résister à ce tableau érotique et son imagination finira par le convaincre de sodomiser à tout prix cette Terma qui se cache sous le tissu.
Mon ami Omar m’a ainsi conté une autre aventure qui lui est arrivé sur le même thème mais dans un autre camp, et lors d’un autre séjour. En effet, dès le second jour de son arrivée, il avait été sollicité par des ouvriers, hélas pas très instruits, pour les aider dans leur courrier administratifs et familiaux.
Le soir, bien à l’aise, nu sous sa gandourah, il est allé dans le camp des ouvriers. Installé sur un lit de camp, il a lu et traduit plusieurs lettres puis écrit quelques courriers au bénéfice d’une dizaine d’ouvriers.
Et au bout d’une heure, Omar liquida tous ses clients et se trouva enfin seul sous la tente. Les ouvriers préféraient converser ou jouer aux cartes à l’extérieur, car les nuits sont plus fraiches. Il allait partir, lorsqu’arriva un autre client. C’était un vieux targui qui avait un petit problème de congé avec la direction du camp.
Pour faire accepter sa requête de congé, Omar a essayé d’expliquer dans la lettre que le vieux s’était remarié dernièrement et que sa femme lui manquait terriblement, et qu’il devait impérativement la rejoindre au moins pour une semaine. Quoique sachant que cela était totalement faux, le vieux a approuvé l’astuce. Mais il souriait d’une manière assez bizarre qui a étonné Omar. Pourtant les arguments de la lettre allaient lui permettre de partir chez lui.
Alors, le vieux a avoué à Omar qu’en réalité, il n’avait ni femme ni enfants mais plutôt quelques amis, beaux garçons aux atouts très bandant, des Terma biens douces et profondes pour son vieux zob affamé. Mais il était d’accord avec les arguments d’Omar, l’essentiel était qu’il parte en congé.
Les propos directs du vieux ont d’abord étonné Omar qui a fait semblant de s’offusquer, mais en réalité, ils l’ont ébranlé. Il observé le vieux avec une moue des lèvres, assez explicite sur Omar était un peu étonné et observant le vieux, il fit la moue avec les lèvres comme pour douter de la virilité de l’homme.
Ce dernier a bien compris le geste d’Omar, alors, pour le convaincre, en un geste audacieux et provocateur, il ouvrit la braguette de son short pour exhiber une belle queue longue et épaisse, juste assez pour plaire à Omar et à sa Terma.
Puis, comme Omar restait silencieux et sans geste désapprobateur, le vieux allongea le bras pour toucher la hanche d’Omar avec une main large et avide. Omar essaya alors de se lever comme pour protester, mais le vieux lui dit, fermement et en l’attirant avec force vers lui, qu’il doit rester tranquille.
Son expérience des garçons, lui a tout de suite, fait deviner qu’Omar avait une Terma qui aimait les sodomies. Il lui ajouta qu’il savait qu’Omar était nu sous sa Gandourah qui collait si bien à son cul.
Le vieux posa son autre main sur le cul d’Omar et senti, à travers le tissu de la gandourah, la chaleur de la terma qui affolait son zob. D’une voie haletante de désir, le vieux chuchota à l’oreille d’Omar qu’il désirait follement le niquer coute que coute et tout de suite.
Omar était à jeun de sodomie depuis quelques jours et les caresses et paroles haletantes du vieux et surtout et avant tout la vue de son zob ont réveillé ses désirs et sa Terma, mais le lieu était dangereux. Mais son attitude passive était une approbation tacite des désirs du vieux
Alors, celui-ci, ayant parfaitement saisi les réticences d’Omar, ferma prestement sa braguette, puis retenant le jeune homme par le bras, il l’invita à le suivre. Derrière le campement des ouvriers et à une quinzaine de mètres, il y avait un grand hangar, moitié en métal, moitié en toile et qui servait de magasin.
Son ouverture était de l’autre coté des tentes, donc discrète, et fermait avec un cadenas dont, justement, comme par hasard, c’était le vieux qui en avait la clé car assurant son gardiennage. Il y amena Omar et à l’intérieur, du coté de la toile, partie fraiche, ils se mirent prestement à poil et le vieux put ainsi admirer la belle Terma, blanche et bien charnue d’Omar, plaisir des mains et des yeux avant d’être celle du zob et du sperme.
Le vieux, brulé à fond par le désir sexuel, et pressé de gouter cette chair juvénile, refusa à Omar le plaisir de sucer et de branler son zob. C’est lui qui lubrifia sa queue avec sa salive et retournant le jeune homme, il lui tint fermement les hanches et immédiatement dirigea son zob vers l’anus qui le provoquait par ses frémissements de désir.
Très rapidement et trop facilement, la queue du vieux pénétra le cul d’Omar et se glissa jusqu’au fond de la Terma. Omar, malgré la rapidité de l’action qui le privait de préparation, et un soupçon de douleur sur ce rut bestial, cria de plaisir et se courba encore plus bas, en écartant largement ses cuisses pour mieux faciliter et gouter les mouvements du zob dans sa terma.
Puis, le vieux, par des vas et viens haletants, des coups de reins violents et des hans bruyants de désirs, exprimait sa hâte sexuelle. Il tirait avec rage la terma d’Omar vers l’arrière sur son zob puis enfonçait avec violence sa bite jusqu’à faire claquer ses couilles sur les fesses du jeune homme. A chaque enfoncement, il criait de plaisir et de jouissance.
Omar, à cause de cette hâte et cette violence, a ressenti brutalement le réveil de toutes ses sensations. Sa Terma, malmenée par cette bite affamée, commençait à mouiller de son suc de désir. Le plaisir qui commençait à inonder ses sens le poussa à remuer, sans retenue, du cul par quelques ondulations et pressions dont l’objectif était de lui faire mieux sentir les frottements du zob dans ses entrailles et gouter àn fond les jouissances de la sodomie.
Son souffle s’accélérait de plus en plus. Hélas, le vieux, dont le zob était déjà excité depuis le début de leur rencontre, arriva à son maximum. Et brusquement, retenant Omar par les hanches et s’enfonçant au maximum dans sa Terma, le vieux expulsa ses rafales de sperme dans les fondements du jeune homme qui cria de plaisir. Malgré la rapidité de la sodomie, Omar ressentit tout le bien de cette chaude semence qui remplissait ses entrailles.
Ils restèrent un moment soudés par leur jouissance commune, puis se séparèrent. Omar put enfin admirer le zob encore gonflé au maximum et luisant de sperme et se précipita pour le lécher et le sucer comme à son habitude. Le vieux restait debout et tendu avec la queue pointée vers le ciel et goutait les sussions du jeune homme.
Enfin Omar libéra le zob qui commençait à fléchir à vue d’œil, et s’accroupit pour vider le sperme de son cul. Le vieux le pressa de finir car il avait peur qu’on vienne les surprendre. Puis ils se quittèrent discrètement et chacun rejoignit son camp.
Pendant toute la journée du lendemain, sur le site industriel, Omar n’avait en tête que la baise d’hier soir malgré sa trop grande rapidité mais il n’avait pas le choix. Il savait que sa Terma mouillait sous la toile du short et qu’elle le démangeait de désir, cela augmentait son excitation. Il doit trouver une autre solution pour le futur.
Envahi par ce désir sexuel dans sa terma, il commença à observer ses compagnons de chantier, tous, bien sérieux et absorbés par leur travail, la sueur au front et les pensées bien lointaines de ce qui se passait dans la tête d’Omar.
Ah ! Si ses compagnons pouvaient deviner ce qui se passait dans la tête et la Terma d’Omar, dans ce short qui mouillait par derrière, non pas de sueur professionnelle, mais de désirs charnels. Il observa encore mieux ses compagnons et certains d’entre eux l’excitaient sexuellement, mais il ne pouvait, en aucun cas, leur révéler ses désirs.
Il aurait aimé les draguer et se faire sodomiser, peut-être même violer par deux ou trois d’entre eux qui lui paraissaient dotés d’une puissance physique et d’une violence érotique qui affolaient sa Terma. Il fallait qu’il trouve quelqu’un de puissant mais surtout discret.
Il avait déjà remarqué un rouquin foreur dont la chambre, au chalet, était presque face à la sienne. C’était un homme qui semblait discret, il allait très rarement au foyer contrairement aux autres foreurs et il n’avait qu’un copain, rouquin comme lui et ils passaient souvent une partie de la soirée ensemble dans la chambre.
Ce gars plaisait déjà à Omar car c’était un colosse qui travaillait sur le derrick et dont la sueur coulait à travers les poils de sa large poitrine et suintait vers la braguette de son short. Omar le détaillait discrètement.
Il était certes court de taille mais très large surtout ses cuisses musclées et luisantes de sueur étaient une vrai provocation érotique pour quelqu’un comme Omar qui y devinait une forte puissance sexuelle. Puis l’œil d’Omar alla vers le sexe de l’homme.
Omar distinguait parfaitement le profil, la longueur et la grosseur de la queue du rouquin, sous son short, chaque fois que ce dernier s’accroupissait pour accrocher les tiges ou quant il se relevait et levait les bras pour tirer une autre tige de forage. Omar devinait, et était sur, que c’était un zob spécial de grosseur et de lourdeur érotique, exactement ce qu’exigeait sa Terma affamée.
Il imaginait cette grosse queue, avec son large gland et ses nervures gonflées de désirs, lui ouvrir le cul avec délectation et plaisir puis glisser et s’enfoncer dans sa Terma en étirant ses parois et en excitant ses nerfs internes. C’était le genre à bien lui remplir la Terma. A ces pensées, à ces images, Omar se sentait presque étourdi de désir. Il était sur que sa Terma mouillait à fond sous son short car même sa bite s’était gonflé de plaisir.
Hélas, tout cela n’était que rêves et fantasmes. Pour le moment, Omar n’avait que le viel ouvrier, pour se soulager le cul, ce soir dans le hangar. Mais il doit trouver une solution pour draguer le rouquin qui logeait face à sa chambre.
Omar, à son habitude et pour faire ses rapports de stage dans sa chambre, partait du site une ou deux heures avant les autres foreurs. Alors, il décida de tenter l’expérience avec le rouquin dès ce soir. Il voulait utiliser sa méthode d’être nu sous sa gandourah et trouver le moyen de montrer sa terma au rouquin et il trouva une solution.
Dans le couloir du chalet, l’une des cinq lampes au plafond était grillée depuis quelques jours. Omar alla cherche l’échelle au fond du chalet et dévissa la lampe grillée. Puis, dans sa chambre, il dévissa sa propre lampe, en bon état et la remplaça par celle qui était grillée et il attendit.
Un peu plus tard, l’équipe des foreurs arriva du site et les gars, comme à leur habitude, ôtèrent leurs vêtements de travail dans leurs chambres puis allèrent se doucher. Puis ils prirent des habits propres et allèrent au foyer ou ils ont la télé, les cartes à jouer et quelques boissons non alcoolisées.
Au bout d’une demi-heure, le chalet devint vide et silencieux. Omar savait que c’est à ce moment que le Rouquin préférait prendre sa douche, ainsi que son copain et retourner passer la soirée ensemble dans la chambre. C’est à cause de ces habitudes discrètes qu’Omar avait choisi le rouquin.
Il le surveilla et dès qu’il revint de la douche, Omar le retint dans le couloir pour lui demander de ’aider à remplacer sa lampe de chambre, grillée. L’homme accepta et ils pénétrèrent dans la chambre de Omar, qui ferma la porte derrière eux. Puis Omar grimpa sur l’échelle en demandant au rouquin de bien la tenir.
Dans sa montée sur l’échelle, la gandourah d’Omar s’écartait grandement et l’homme avait au dessus de ses yeux les cuisses et surtout les fesses d’Omar bien dégagées, bien en vue. Omar se penchait encore plus en écartant un peu les jambes et le rouquin avait donc le spectacle de l’entre cuisses, donc du cul d’Omar devant ses yeux. Omar croisa encore mieux ses cuises et ainsi son entre fesses s’ouvrit encore plus et le pli ainsi formé était assez provocateur.
Omar ôta la lampe grillée et se retournant demanda au rouquin de lui donner l’autre lampe sur la chaise. Profitant du mouvement du rouquin, Omar souleva un peu plus sa gandourah par derrière et lorsqu’il vissa la lampe saine, il offrit presque totalement sa terma au regard du rouquin qui devait certainement bander à fond de désir.
Puis Omar descendit de l’échelle et à la dernière marche, il fit express un faux geste comme pour glisser et le rouquin a été obligé de le retenir, par derrière, entre ses bras, contre sa poitrine. Omar en profita pour se retourner et mettre ses bras autour du cou de l’homme et resta ainsi enlacé, son derrière collé au ventre et surtout au petit ventre du rouquin.
Omar sentait parfaitement sur ses fesses, le zob déjà bien gonflé à travers la serviette enroulée autour de la taille de l’homme. Puis ils se séparèrent et Omar put ainsi constater effectivement le gros chapiteau que faisait la queue bandée sur la serviette. Alors Omar passa à l’autre attaque. En reprenant l’échelle, il fit, exprès, un autre faux geste et crocheta la serviette qui glissa par terre.
L’homme était maintenant tout nu devant Omar. Celui-ci sourit au rouquin et avec un petit sifflement d’admiration, il le complimenta sur la grosseur de sa bite. L’homme était certes surpris et peut être gêné, mais les paroles d’Omar le rassurèrent et il rendit le sourire au jeune homme, mais ne fit rien pour se couvrir le gros zob.
Alors Omar passa à la troisième attaque. Il s’agenouilla prestement, empoigna la queue de l’homme, la soupesa, caressa aussi les lourdes couilles par-dessous et commença à la masturber lentement. L’homme accepta le geste sans protester, alors Omar commença à lécher et sucer la queue tout en la branlant.
La bite gonflait encore plus et à vue d’œil et le rouquin était totalement pris au piège du désir séxuel. Alors Omar se releva, ôta sa gandourah et, nu, il se tourna en partie sur le coté tout en branlant le gros zob, il offrait ainsi une partie de sa Terma aux caresses de l’homme. Ainsi, l’affaire était finalisée et Omar n’attendait que la puissance maximale de la queue pour passer à la sodomie.
Trois minutes suffirent et Omar, agenouillé sue le lit, la poitrine sur le matelas, le cul en l’air, invitait l’homme à lui faire plaisir. Entre temps, il a légèrement lubrifié sa Terma et le gland du rouquin avec son tube de vaseline préparé à l’avance, car Omar avait remarqué que la queue de l’homme était nettement plus grosse et plus large que celle du vieux. Alors il a pris ses précautions pour qu’elle glisse rapidement dans son cul.
Le rouquin prit sa bite en main et petit à petit il l’enfonça dans la Terma d’Omar, en émettant des gémissements et des souffles de plaisir. Puis tenant les hanches d’Omar, il commença ses vas et viens. Chaque qu’il s’enfonçait dans la terma d’Omar, jusqu’aux couilles, il criait un grognement bruyant de satisfaction, un râle de plaisir qui accompagnait le long glissement de la queue dans les entrailles du jeune homme.
Omar avait vu juste, cet homme avait les reins puissants et ses coups de butoirs étaient merveilleux. Sa bite lui remplissait la Terma complètement et il jouissait par cette puissance et par sa Terma qui mouillait de désir.
Il a fallu environ un quart d’heure au rouquin pour arriver au top et lorsqu’il se colla avec force aux fesses d’Omar, celui attendit avec impatience la jouissance des jets de sperme qui arrivèrent avec puissance et en grand nombre. La Terma d’Omar était inondée de nectar de zob car le rouquin avait les couilles bien remplies de sperme.
Ensuite, lentement et aussi avec jouissance, ils se déparèrent. Omar voulait nettoyer la bite de l’homme mais ce dernier refusa pour l’instant et lui demanda de le rejoindre tout à l’heure, après diner, dans sa chambre pour une autre sodomie car il avait encore une grande envie de son cul qu’il qualifia de chaud et étroit et qui lui serrait bien la bite.
Puis l’homme partit pour se nettoyer. Omar colla une petite serviette sur son cul et alla lui aussi aux toilettes pour mieux se vider le cul et se nettoyer. Ensuite, très satisfait ainsi que sa Terma, il s’habilla et se dirigea vers le restaurant pour son diner. Il avait complètement oublié le vieux du hangar. Il avait, maintenant, à la disposition de sa Terma un zob beaucoup plus gros et plus puissant et certainement des couilles chargées à bloc.
Une heure plus tard, nu sous sa gandourah, il rejoignit le rouquin dans sa chambre, juste en face de la sienne. Celui-ci était déjà à poil, allongé sur le lit et le zob presque à la verticale. Il devait l’attendre depuis un moment. Rapidement Omar se délesta de la gandourah, se coucha sur le lit, le dos sur le matelas et les jambes bien levées et les cuisses ouvertes, il attendait le dard bien gonflé du rouquin.
Ce dernier, se mit prestement entre les cuisses d’Omar, et mettant ses mains sous les fesses du jeune homme, il les souleva légèrement pour avoir le trou de son anus juste à la hauteur de son zob. Et, affamé de désir, affolé par ce trou merveilleux qui frétillait d’impatience, , il plongea sa bite dans la Terma d’Omar avec violence et s’enfonça jusqu’à faire claquer ses couilles sur les fesses du jeune homme.
Omar était, certes, préparé à cette seconde sodomie, mais la violence du désir de l’homme, enflamma son plaisir et sa Terma et il cria de jouissance. Il s’ouvrait à fond au désir de l’homme, au plaisir sexuel, chaud et puissant et offrait sa Terma au gros zob qui le pilonnait maintenant avec acharnement.
Les respirations des deux amants étaient affolées et leurs souffles rauques et saccadés de désirs et de plaisir. Le lit était secoué avec violence mais les deux amants étaient inconscients de leur environnement et totalement prisonniers de leurs jouissances charnelles.
La danse du sexe et surtout celle de la sodomie avait une puissance érotique que seuls les pratiquants pouvaient en gouter l’extase. Et après un long lustrage érotique et jouissif des entrailles d’Omar, les couilles de l’homme réclamaient leur droit au plaisir et, libérant leur nectar avec puissance, le zob ne pouvait que le laisser passer par jets puissants et brulants dans les entrailles du jeune homme, à la joie de sa Terma et de ses fantasmes.
Un rut énorme, merveilleux, une saillie animale et une semence brulante, finirent par étourdir les deux amants qui restèrent couchés l’un sur l’autre, épuisés et comme foudroyés par la jouissance sexuelle. Puis, ils reprirent conscience et l’homme se releva, avec, au visage, le sourire de la satisfaction du mâle ayant sailli sa femelle.
Omar, lui aussi a eu sa large part de jouissances et de folie et quant il reprit conscience, il se félicita d’avoir pris au piège cet animal sexuel spécial. A la largeur de sa poitrine et la puissance de ses cuisses sur le site de forage, il avait ressenti, comme un sixième sens, que cet homme était exactement ce que désirait sa Terma et ses fantasmes.
Il fallait le garder, en jouir à fond et tous les soirs pendant le reste du séjour. Ne voulant pas abuser pour ce soir et désirant garder le souvenir, les sensations e les images de cette seconde sodomie jusqu’à demain soir, Omar préféra aller discrètement se nettoyer aux toilettes et rejoindre sa chambre.
Il avait maintenant la certitude que l’amant qu’il voulait, le zob qu’il désirait et qui vient de l’enchanter et ensemencer avec jouissances sa Terma, étaient juste en face de sa chambre. Il pouvait ainsi, à tout moment de la nuit, sur ordre des désirs et démangeaisons de sa Terma, aller le rejoindre pour gouter ensemble le plaisir formidable de la sodomie. Omar s’endormit satisfait et heureux.
J’ai trouvé, personnellement, cette drague avec une gandourah couvrant avec provocation la nudité de la Terma, ce qui aguiche et amplifie le désir de l’amant. Sa queue ne pourra jamais résister à ce tableau érotique et son imagination finira par le convaincre de sodomiser à tout prix cette Terma qui se cache sous le tissu.
Mon ami Omar m’a ainsi conté une autre aventure qui lui est arrivé sur le même thème mais dans un autre camp, et lors d’un autre séjour. En effet, dès le second jour de son arrivée, il avait été sollicité par des ouvriers, hélas pas très instruits, pour les aider dans leur courrier administratifs et familiaux.
Le soir, bien à l’aise, nu sous sa gandourah, il est allé dans le camp des ouvriers. Installé sur un lit de camp, il a lu et traduit plusieurs lettres puis écrit quelques courriers au bénéfice d’une dizaine d’ouvriers.
Et au bout d’une heure, Omar liquida tous ses clients et se trouva enfin seul sous la tente. Les ouvriers préféraient converser ou jouer aux cartes à l’extérieur, car les nuits sont plus fraiches. Il allait partir, lorsqu’arriva un autre client. C’était un vieux targui qui avait un petit problème de congé avec la direction du camp.
Pour faire accepter sa requête de congé, Omar a essayé d’expliquer dans la lettre que le vieux s’était remarié dernièrement et que sa femme lui manquait terriblement, et qu’il devait impérativement la rejoindre au moins pour une semaine. Quoique sachant que cela était totalement faux, le vieux a approuvé l’astuce. Mais il souriait d’une manière assez bizarre qui a étonné Omar. Pourtant les arguments de la lettre allaient lui permettre de partir chez lui.
Alors, le vieux a avoué à Omar qu’en réalité, il n’avait ni femme ni enfants mais plutôt quelques amis, beaux garçons aux atouts très bandant, des Terma biens douces et profondes pour son vieux zob affamé. Mais il était d’accord avec les arguments d’Omar, l’essentiel était qu’il parte en congé.
Les propos directs du vieux ont d’abord étonné Omar qui a fait semblant de s’offusquer, mais en réalité, ils l’ont ébranlé. Il observé le vieux avec une moue des lèvres, assez explicite sur Omar était un peu étonné et observant le vieux, il fit la moue avec les lèvres comme pour douter de la virilité de l’homme.
Ce dernier a bien compris le geste d’Omar, alors, pour le convaincre, en un geste audacieux et provocateur, il ouvrit la braguette de son short pour exhiber une belle queue longue et épaisse, juste assez pour plaire à Omar et à sa Terma.
Puis, comme Omar restait silencieux et sans geste désapprobateur, le vieux allongea le bras pour toucher la hanche d’Omar avec une main large et avide. Omar essaya alors de se lever comme pour protester, mais le vieux lui dit, fermement et en l’attirant avec force vers lui, qu’il doit rester tranquille.
Son expérience des garçons, lui a tout de suite, fait deviner qu’Omar avait une Terma qui aimait les sodomies. Il lui ajouta qu’il savait qu’Omar était nu sous sa Gandourah qui collait si bien à son cul.
Le vieux posa son autre main sur le cul d’Omar et senti, à travers le tissu de la gandourah, la chaleur de la terma qui affolait son zob. D’une voie haletante de désir, le vieux chuchota à l’oreille d’Omar qu’il désirait follement le niquer coute que coute et tout de suite.
Omar était à jeun de sodomie depuis quelques jours et les caresses et paroles haletantes du vieux et surtout et avant tout la vue de son zob ont réveillé ses désirs et sa Terma, mais le lieu était dangereux. Mais son attitude passive était une approbation tacite des désirs du vieux
Alors, celui-ci, ayant parfaitement saisi les réticences d’Omar, ferma prestement sa braguette, puis retenant le jeune homme par le bras, il l’invita à le suivre. Derrière le campement des ouvriers et à une quinzaine de mètres, il y avait un grand hangar, moitié en métal, moitié en toile et qui servait de magasin.
Son ouverture était de l’autre coté des tentes, donc discrète, et fermait avec un cadenas dont, justement, comme par hasard, c’était le vieux qui en avait la clé car assurant son gardiennage. Il y amena Omar et à l’intérieur, du coté de la toile, partie fraiche, ils se mirent prestement à poil et le vieux put ainsi admirer la belle Terma, blanche et bien charnue d’Omar, plaisir des mains et des yeux avant d’être celle du zob et du sperme.
Le vieux, brulé à fond par le désir sexuel, et pressé de gouter cette chair juvénile, refusa à Omar le plaisir de sucer et de branler son zob. C’est lui qui lubrifia sa queue avec sa salive et retournant le jeune homme, il lui tint fermement les hanches et immédiatement dirigea son zob vers l’anus qui le provoquait par ses frémissements de désir.
Très rapidement et trop facilement, la queue du vieux pénétra le cul d’Omar et se glissa jusqu’au fond de la Terma. Omar, malgré la rapidité de l’action qui le privait de préparation, et un soupçon de douleur sur ce rut bestial, cria de plaisir et se courba encore plus bas, en écartant largement ses cuisses pour mieux faciliter et gouter les mouvements du zob dans sa terma.
Puis, le vieux, par des vas et viens haletants, des coups de reins violents et des hans bruyants de désirs, exprimait sa hâte sexuelle. Il tirait avec rage la terma d’Omar vers l’arrière sur son zob puis enfonçait avec violence sa bite jusqu’à faire claquer ses couilles sur les fesses du jeune homme. A chaque enfoncement, il criait de plaisir et de jouissance.
Omar, à cause de cette hâte et cette violence, a ressenti brutalement le réveil de toutes ses sensations. Sa Terma, malmenée par cette bite affamée, commençait à mouiller de son suc de désir. Le plaisir qui commençait à inonder ses sens le poussa à remuer, sans retenue, du cul par quelques ondulations et pressions dont l’objectif était de lui faire mieux sentir les frottements du zob dans ses entrailles et gouter àn fond les jouissances de la sodomie.
Son souffle s’accélérait de plus en plus. Hélas, le vieux, dont le zob était déjà excité depuis le début de leur rencontre, arriva à son maximum. Et brusquement, retenant Omar par les hanches et s’enfonçant au maximum dans sa Terma, le vieux expulsa ses rafales de sperme dans les fondements du jeune homme qui cria de plaisir. Malgré la rapidité de la sodomie, Omar ressentit tout le bien de cette chaude semence qui remplissait ses entrailles.
Ils restèrent un moment soudés par leur jouissance commune, puis se séparèrent. Omar put enfin admirer le zob encore gonflé au maximum et luisant de sperme et se précipita pour le lécher et le sucer comme à son habitude. Le vieux restait debout et tendu avec la queue pointée vers le ciel et goutait les sussions du jeune homme.
Enfin Omar libéra le zob qui commençait à fléchir à vue d’œil, et s’accroupit pour vider le sperme de son cul. Le vieux le pressa de finir car il avait peur qu’on vienne les surprendre. Puis ils se quittèrent discrètement et chacun rejoignit son camp.
Pendant toute la journée du lendemain, sur le site industriel, Omar n’avait en tête que la baise d’hier soir malgré sa trop grande rapidité mais il n’avait pas le choix. Il savait que sa Terma mouillait sous la toile du short et qu’elle le démangeait de désir, cela augmentait son excitation. Il doit trouver une autre solution pour le futur.
Envahi par ce désir sexuel dans sa terma, il commença à observer ses compagnons de chantier, tous, bien sérieux et absorbés par leur travail, la sueur au front et les pensées bien lointaines de ce qui se passait dans la tête d’Omar.
Ah ! Si ses compagnons pouvaient deviner ce qui se passait dans la tête et la Terma d’Omar, dans ce short qui mouillait par derrière, non pas de sueur professionnelle, mais de désirs charnels. Il observa encore mieux ses compagnons et certains d’entre eux l’excitaient sexuellement, mais il ne pouvait, en aucun cas, leur révéler ses désirs.
Il aurait aimé les draguer et se faire sodomiser, peut-être même violer par deux ou trois d’entre eux qui lui paraissaient dotés d’une puissance physique et d’une violence érotique qui affolaient sa Terma. Il fallait qu’il trouve quelqu’un de puissant mais surtout discret.
Il avait déjà remarqué un rouquin foreur dont la chambre, au chalet, était presque face à la sienne. C’était un homme qui semblait discret, il allait très rarement au foyer contrairement aux autres foreurs et il n’avait qu’un copain, rouquin comme lui et ils passaient souvent une partie de la soirée ensemble dans la chambre.
Ce gars plaisait déjà à Omar car c’était un colosse qui travaillait sur le derrick et dont la sueur coulait à travers les poils de sa large poitrine et suintait vers la braguette de son short. Omar le détaillait discrètement.
Il était certes court de taille mais très large surtout ses cuisses musclées et luisantes de sueur étaient une vrai provocation érotique pour quelqu’un comme Omar qui y devinait une forte puissance sexuelle. Puis l’œil d’Omar alla vers le sexe de l’homme.
Omar distinguait parfaitement le profil, la longueur et la grosseur de la queue du rouquin, sous son short, chaque fois que ce dernier s’accroupissait pour accrocher les tiges ou quant il se relevait et levait les bras pour tirer une autre tige de forage. Omar devinait, et était sur, que c’était un zob spécial de grosseur et de lourdeur érotique, exactement ce qu’exigeait sa Terma affamée.
Il imaginait cette grosse queue, avec son large gland et ses nervures gonflées de désirs, lui ouvrir le cul avec délectation et plaisir puis glisser et s’enfoncer dans sa Terma en étirant ses parois et en excitant ses nerfs internes. C’était le genre à bien lui remplir la Terma. A ces pensées, à ces images, Omar se sentait presque étourdi de désir. Il était sur que sa Terma mouillait à fond sous son short car même sa bite s’était gonflé de plaisir.
Hélas, tout cela n’était que rêves et fantasmes. Pour le moment, Omar n’avait que le viel ouvrier, pour se soulager le cul, ce soir dans le hangar. Mais il doit trouver une solution pour draguer le rouquin qui logeait face à sa chambre.
Omar, à son habitude et pour faire ses rapports de stage dans sa chambre, partait du site une ou deux heures avant les autres foreurs. Alors, il décida de tenter l’expérience avec le rouquin dès ce soir. Il voulait utiliser sa méthode d’être nu sous sa gandourah et trouver le moyen de montrer sa terma au rouquin et il trouva une solution.
Dans le couloir du chalet, l’une des cinq lampes au plafond était grillée depuis quelques jours. Omar alla cherche l’échelle au fond du chalet et dévissa la lampe grillée. Puis, dans sa chambre, il dévissa sa propre lampe, en bon état et la remplaça par celle qui était grillée et il attendit.
Un peu plus tard, l’équipe des foreurs arriva du site et les gars, comme à leur habitude, ôtèrent leurs vêtements de travail dans leurs chambres puis allèrent se doucher. Puis ils prirent des habits propres et allèrent au foyer ou ils ont la télé, les cartes à jouer et quelques boissons non alcoolisées.
Au bout d’une demi-heure, le chalet devint vide et silencieux. Omar savait que c’est à ce moment que le Rouquin préférait prendre sa douche, ainsi que son copain et retourner passer la soirée ensemble dans la chambre. C’est à cause de ces habitudes discrètes qu’Omar avait choisi le rouquin.
Il le surveilla et dès qu’il revint de la douche, Omar le retint dans le couloir pour lui demander de ’aider à remplacer sa lampe de chambre, grillée. L’homme accepta et ils pénétrèrent dans la chambre de Omar, qui ferma la porte derrière eux. Puis Omar grimpa sur l’échelle en demandant au rouquin de bien la tenir.
Dans sa montée sur l’échelle, la gandourah d’Omar s’écartait grandement et l’homme avait au dessus de ses yeux les cuisses et surtout les fesses d’Omar bien dégagées, bien en vue. Omar se penchait encore plus en écartant un peu les jambes et le rouquin avait donc le spectacle de l’entre cuisses, donc du cul d’Omar devant ses yeux. Omar croisa encore mieux ses cuises et ainsi son entre fesses s’ouvrit encore plus et le pli ainsi formé était assez provocateur.
Omar ôta la lampe grillée et se retournant demanda au rouquin de lui donner l’autre lampe sur la chaise. Profitant du mouvement du rouquin, Omar souleva un peu plus sa gandourah par derrière et lorsqu’il vissa la lampe saine, il offrit presque totalement sa terma au regard du rouquin qui devait certainement bander à fond de désir.
Puis Omar descendit de l’échelle et à la dernière marche, il fit express un faux geste comme pour glisser et le rouquin a été obligé de le retenir, par derrière, entre ses bras, contre sa poitrine. Omar en profita pour se retourner et mettre ses bras autour du cou de l’homme et resta ainsi enlacé, son derrière collé au ventre et surtout au petit ventre du rouquin.
Omar sentait parfaitement sur ses fesses, le zob déjà bien gonflé à travers la serviette enroulée autour de la taille de l’homme. Puis ils se séparèrent et Omar put ainsi constater effectivement le gros chapiteau que faisait la queue bandée sur la serviette. Alors Omar passa à l’autre attaque. En reprenant l’échelle, il fit, exprès, un autre faux geste et crocheta la serviette qui glissa par terre.
L’homme était maintenant tout nu devant Omar. Celui-ci sourit au rouquin et avec un petit sifflement d’admiration, il le complimenta sur la grosseur de sa bite. L’homme était certes surpris et peut être gêné, mais les paroles d’Omar le rassurèrent et il rendit le sourire au jeune homme, mais ne fit rien pour se couvrir le gros zob.
Alors Omar passa à la troisième attaque. Il s’agenouilla prestement, empoigna la queue de l’homme, la soupesa, caressa aussi les lourdes couilles par-dessous et commença à la masturber lentement. L’homme accepta le geste sans protester, alors Omar commença à lécher et sucer la queue tout en la branlant.
La bite gonflait encore plus et à vue d’œil et le rouquin était totalement pris au piège du désir séxuel. Alors Omar se releva, ôta sa gandourah et, nu, il se tourna en partie sur le coté tout en branlant le gros zob, il offrait ainsi une partie de sa Terma aux caresses de l’homme. Ainsi, l’affaire était finalisée et Omar n’attendait que la puissance maximale de la queue pour passer à la sodomie.
Trois minutes suffirent et Omar, agenouillé sue le lit, la poitrine sur le matelas, le cul en l’air, invitait l’homme à lui faire plaisir. Entre temps, il a légèrement lubrifié sa Terma et le gland du rouquin avec son tube de vaseline préparé à l’avance, car Omar avait remarqué que la queue de l’homme était nettement plus grosse et plus large que celle du vieux. Alors il a pris ses précautions pour qu’elle glisse rapidement dans son cul.
Le rouquin prit sa bite en main et petit à petit il l’enfonça dans la Terma d’Omar, en émettant des gémissements et des souffles de plaisir. Puis tenant les hanches d’Omar, il commença ses vas et viens. Chaque qu’il s’enfonçait dans la terma d’Omar, jusqu’aux couilles, il criait un grognement bruyant de satisfaction, un râle de plaisir qui accompagnait le long glissement de la queue dans les entrailles du jeune homme.
Omar avait vu juste, cet homme avait les reins puissants et ses coups de butoirs étaient merveilleux. Sa bite lui remplissait la Terma complètement et il jouissait par cette puissance et par sa Terma qui mouillait de désir.
Il a fallu environ un quart d’heure au rouquin pour arriver au top et lorsqu’il se colla avec force aux fesses d’Omar, celui attendit avec impatience la jouissance des jets de sperme qui arrivèrent avec puissance et en grand nombre. La Terma d’Omar était inondée de nectar de zob car le rouquin avait les couilles bien remplies de sperme.
Ensuite, lentement et aussi avec jouissance, ils se déparèrent. Omar voulait nettoyer la bite de l’homme mais ce dernier refusa pour l’instant et lui demanda de le rejoindre tout à l’heure, après diner, dans sa chambre pour une autre sodomie car il avait encore une grande envie de son cul qu’il qualifia de chaud et étroit et qui lui serrait bien la bite.
Puis l’homme partit pour se nettoyer. Omar colla une petite serviette sur son cul et alla lui aussi aux toilettes pour mieux se vider le cul et se nettoyer. Ensuite, très satisfait ainsi que sa Terma, il s’habilla et se dirigea vers le restaurant pour son diner. Il avait complètement oublié le vieux du hangar. Il avait, maintenant, à la disposition de sa Terma un zob beaucoup plus gros et plus puissant et certainement des couilles chargées à bloc.
Une heure plus tard, nu sous sa gandourah, il rejoignit le rouquin dans sa chambre, juste en face de la sienne. Celui-ci était déjà à poil, allongé sur le lit et le zob presque à la verticale. Il devait l’attendre depuis un moment. Rapidement Omar se délesta de la gandourah, se coucha sur le lit, le dos sur le matelas et les jambes bien levées et les cuisses ouvertes, il attendait le dard bien gonflé du rouquin.
Ce dernier, se mit prestement entre les cuisses d’Omar, et mettant ses mains sous les fesses du jeune homme, il les souleva légèrement pour avoir le trou de son anus juste à la hauteur de son zob. Et, affamé de désir, affolé par ce trou merveilleux qui frétillait d’impatience, , il plongea sa bite dans la Terma d’Omar avec violence et s’enfonça jusqu’à faire claquer ses couilles sur les fesses du jeune homme.
Omar était, certes, préparé à cette seconde sodomie, mais la violence du désir de l’homme, enflamma son plaisir et sa Terma et il cria de jouissance. Il s’ouvrait à fond au désir de l’homme, au plaisir sexuel, chaud et puissant et offrait sa Terma au gros zob qui le pilonnait maintenant avec acharnement.
Les respirations des deux amants étaient affolées et leurs souffles rauques et saccadés de désirs et de plaisir. Le lit était secoué avec violence mais les deux amants étaient inconscients de leur environnement et totalement prisonniers de leurs jouissances charnelles.
La danse du sexe et surtout celle de la sodomie avait une puissance érotique que seuls les pratiquants pouvaient en gouter l’extase. Et après un long lustrage érotique et jouissif des entrailles d’Omar, les couilles de l’homme réclamaient leur droit au plaisir et, libérant leur nectar avec puissance, le zob ne pouvait que le laisser passer par jets puissants et brulants dans les entrailles du jeune homme, à la joie de sa Terma et de ses fantasmes.
Un rut énorme, merveilleux, une saillie animale et une semence brulante, finirent par étourdir les deux amants qui restèrent couchés l’un sur l’autre, épuisés et comme foudroyés par la jouissance sexuelle. Puis, ils reprirent conscience et l’homme se releva, avec, au visage, le sourire de la satisfaction du mâle ayant sailli sa femelle.
Omar, lui aussi a eu sa large part de jouissances et de folie et quant il reprit conscience, il se félicita d’avoir pris au piège cet animal sexuel spécial. A la largeur de sa poitrine et la puissance de ses cuisses sur le site de forage, il avait ressenti, comme un sixième sens, que cet homme était exactement ce que désirait sa Terma et ses fantasmes.
Il fallait le garder, en jouir à fond et tous les soirs pendant le reste du séjour. Ne voulant pas abuser pour ce soir et désirant garder le souvenir, les sensations e les images de cette seconde sodomie jusqu’à demain soir, Omar préféra aller discrètement se nettoyer aux toilettes et rejoindre sa chambre.
Il avait maintenant la certitude que l’amant qu’il voulait, le zob qu’il désirait et qui vient de l’enchanter et ensemencer avec jouissances sa Terma, étaient juste en face de sa chambre. Il pouvait ainsi, à tout moment de la nuit, sur ordre des désirs et démangeaisons de sa Terma, aller le rejoindre pour gouter ensemble le plaisir formidable de la sodomie. Omar s’endormit satisfait et heureux.
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Les avis des lecteurs
Belle histoire érotique et excitante. Vite la suite.