Titre de l'histoire érotique : Terma 15 : Said le spécialiste des circuits touristiques

- Par l'auteur HDS Noura -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : Terma 15 : Said le spécialiste des circuits touristiques Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-07-2017 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Titre de l'histoire érotique : Terma 15 : Said le spécialiste des circuits touristiques
Chapitre quinzième:

Terma 15 : Said le spécialiste des circuits touristiques
Durant ses longues années d’expériences sodomiques, Aziz s’est lié d’amitié avec plusieurs gays comme lui grands amateurs de gros zobs pour leurs Terma affamées. Nous avons déjà raconté quelques aventures de son ami Omar l’ingénieur pétrolier dans quelques camps sahariens.
Maintenant Aziz nous conte les péripéties de son autre ami Said l’inspecteur des circuits touristiques de son entreprise qui travaille surtout dans le Sud. Il visite les hôtels de la compagnie, fait des rapports et propose des améliorations. Il contacte des hommes d’expérience du Sud pour recruter des guides touristiques et élaborer des circuits pour touristes nationaux et étrangers.
C’est durant ses contacts chez les nomades et les tribus du Sud que Said a eu les plus grandes expériences sexuelles. Il lui a été très facile d’attirer pour sa Terma des amateurs très chauds et très affamés qui lui ont donné beaucoup de plaisirs.
La dernière en date fut celle qu’il a eu avec deux jeunes nomades, durant toute une nuit, sous leur tente. Ayant pour mission de tracer un circuit dans une zone saharienne mais fréquentée par plusieurs tribus itinérantes, il passa toute la journée à contacter les chefs de chacune de ces grandes et nombreuses tentes. Et c’est en fin de journée qu’il s’est trouvé en présence du cheikh Ahmed qui possède six tentes, cinq pour lui et ses quatre fils déjà mariés et la sixième pour ses deux fils encore célibataires.
Ayant bien discuté des modalités financières et autres sur les possibilités d’utiliser ses fils comme guides dans la région, le Cheikhs Ahmed invita Said au gite et au couvert pour cette nuit déjà assez avancée. Après le repas pris avec tous les mâles de la famille sous la tente du vieux chef, Said fut dirigé vers la tente des deux fils célibataires pour y dormir.
Les jeunes se mirent en gandourah de nuit, sous lesquelles ils gardaient leurs slips et offrir une troisième à Said qui en fit autant. Puis ils s’allongèrent cote à cote pour discuter de tout et de rien pendant plus d’une heure. Said apprit ainsi qu’ils étaient âgés entre vingt et vingt cinq ans et constatait qu’ils étaient bien grands, leurs poitrines déjà bien velues et semblaient très vigoureux grâce à leur vie dans le désert.
Tout de suite, Said, au contact trop proche de ces jeunes corps chauds, sentit sa Terma le démanger mais il ne savait pas comment les provoquer. Petit à petit, il poussa la conversation vers le mariage et les désirs sexuels normaux et puissants à cet âge. Les jeunes, poussés à la confidence lui avouèrent qu’ils pratiquaient la masturbation chaque nuit pour se soulager et qu’ils étaient impatients de se marier.
Said poussa plus loin la confidence, et leur posa la question sur la pratique de la sodomie sur les garçons par manque d’épouses. Après quelques hésitations et quelques sourires complices, les jeunes nomades lui avouèrent qu’il leur arrive parfois, avec discrétions, de se frotter le zob, à travers leur pantalon, aux fesses des plus jeunes de leurs nombreux cousins et cousines.
Après de longues confidences sur les plaisirs obtenus ainsi, les jeunes nomades avouèrent qu’ils avaient découverts parmi leurs jeunes cousins, deux d’entre eux, âgés de huit à dix ans, et qui semblaient gouter et aimer ces contacts. Ils purent ainsi leur baisser un peu le pantalon et frotter leurs zobs sur les petites fesses en leur recommandant le secret sinon gare, puis ils alalient se masturber en cachette pour éjaculer. Donc ces jeunes gens semblaient être candidats aux plaisirs de la sodomie. Alors, Said, tout heureux d’avoir réussi cette découverte, se lança dans l’expérience.
Aussitôt, il avança sa main vers le sexe du jeune allongé à ses cotés et constata avec plaisir, à travers les vêtements, que son sexe était déjà assez gonflé. C’était certainement le résultat de leur conversation sur la sodomie. Il lui demanda de voir son sexe et le jeune souleva sa gandourah et se débarrassa de son slip. Son zob pointait presqu’à la verticale.
Il était beau, long et large, très brun et avec un gros gland de circoncis. Aussitôt, Said se débarrassa de ses deux vêtements et saisissant le gros zob, le goba avec gourmandise dans sa bouche et commença à le sucer avec plaisir et à le branler avec viguer. Le second fils se débarrassa lui aussi de ses vêtements et apparut à Said comme une copie du premier, aussi puissant et aussi bandé.
Said les saisit tous les deux et passant de l’un à l’autre, il lécha leurs hampes, suça l’un avant de passer à l’autre et dès qu’il sentit l’un des deux assez gonflé pour le satisfaire, il se coucha, poitrine sur le tapis et le cul en l’air, il indiqua au jeune sa Terma affamée. Sans parole mais avec un souffle déjà affolé, le jeune prit son zob, se pointa entre les cuisses de Said et s’enfonça dans la Terma. Malgré une légère sensation de douleur, l’anus de Said laissa passer avec facilité le jeune zob. Son anus en avait gouté de bien plus gros que cette jeune bite.
La danse de la sodomie commença et les vas et viens du jeune nomade étaient acharnés à cause de son affolement. Il était sevré de cul et son zob était enchanté, enfin, de gouter à la chaleur de l’intérieur des entrailles et comme la Terma commençait à suinter son suc, les glissades de la queue devinrent un exercice merveilleux pour les deux partenaires.
Hélas, le jeune était pressé et trop rapidement, il éjacula dans la Terma de Said avec des grognements d’animal satisfait, puis il se retira. Said avait certes eu beaucoup de plaisir mais pas encore satisfait. Il prit une serviette de son sac, se vida au sol et s’essuya au mieux puis il reprit sa pose sur le tapis pour le second fils.
Ce dernier qui se masturbait faiblement car hypnotisé par le spectacle érotique de la sodomie , plongea sur la blanche et large Terma de Said. Et comme son frère, il s’enfonça avec frénésie dans les entrailles avec un cri d’animal affamé. Said sentit cette seconde saillie bien mieux que la première. Peut-être parce que sa Terma était bien lubrifié ou qu’elle avait atteins un certain niveau de plaisir sans retour.
Toujours est-il que les coups du jeune nomade lui donnaient beaucoup plus de jouissances qu’auparavant et il remuait du cul pour mieux sentir le zob qui lui frottait les entrailles. Il souleva encore mieux sa Terma et lança son bras vers l’arrière jusqu’à toucher la hanche du jeune homme. Il lui prodigua des poussées comme pour lui demander de s’enfoncer encore plus dans sa Terma. Le jeune perçut très bien le signal et chevaucha avec encore plus de puissance le cul de Said. Et chaque fois qu’il s’enfonçait dans la Terma, il le faisait avec puissance, avec rage et en poussant une sorte de cri de victoire.
Said commençait à perdre connaissance a cause de la puissance du plaisir, de la jouissance et des deux respirations saccadées qui amplifiaient l’atmosphère de la tente d’un râle sexuel érotique. Cette Sodomie dura un long moment et la saillie sauvage était d’un érotisme affolant, merveilleux. Mais, hélas, tout plaisir a une fin et le jeune homme atteignit le top de son plaisir. Ses couilles gonflées à lui faire mal, réclamaient leur du de plaisir.
Alors, le jeune nomade se crispa sue les hanches de Said et libéra ses grosses couilles de leur nectar qui se déversait en jets chauds et puissants dans les entrailles de Said. Ce dernier ressentit dans la douce chair de son fond, cette brulure de jouissance. Il poussa un cri de plaisir intense, submergé par une jouissance totale, et ne se maîtrisant plus, il s’aplatit sur le tapis entrainant dans sa chute le corps du jeune nomade.
Ensuite, et après un long moment, Said reprit petit à petit sa conscience et constata, avec plaisir que le jeune nomade était encore couché sur son dos et que son zob était toujours à l’intérieur de sa Terma. Le jeune ne bougeait pas et Said savait qu’il était aussi étourdi que lui par l’intensité de la sodomie.
Avant de se secouer, il resta un moment à gouter le contact de ce jeune corps tout le long de son dos, de ses fesses et de ses cuisses. Il sentait les deux cœurs qui battaient encore la chamade et au plus bas de son corps, le contact des couilles du jeune homme entre ses cuisses lui donnaient encore quelques frissons et fantasmes. Puis il se secoua, ce qui réveilla le jeune nomade qui se détacha de Said qui resta un bon moment, bien allongé sur le ventre.
Poussé toujours par ses fantasmes, il écarta doucement ses cuisses tout en soulevant légèrement son derrière, et ainsi, pour bien montrer à ces jeunes sa Terma d’où suintait encore leur sperme blanc et visqueux, leur semence de mâle victorieux. Il poussa la provocation à faire des poussées sur son anus pour montrer ses frémissements, ses mouvements d’ouverture et fermeture et augmenter ainsi l’action d’expulsion du sperme devant les yeux ébahis, ensorcelés des jeunes gens.
Ce tableau, érotique et totalement inédit pour ces jeunes a immédiatement réveillé de nouveau leur excitation. Said secoua un peu sa Terma et les balancements de grosses fesses durent augmenter le désir des jeunes gens. En effet, Said se retourna brusquement sur le dos et constata, de visu, que les deux zobs étaient déjà, en grande partie totalement gonflés, à l’horizontale. Ils étaient dans un état prêt à le violer si nécessaire tellement leur envoutement sexuel était total. Said savait s’y faire.
Alors il prit le zob de son dernier amant et le nettoya avec les lèvres et le suçant avec envie, il le gonfla encore plus. Puis il passa à l’autre. Il le suça également avec des mouvements rapides tout en l’aspirant pour l’affoler encore plus.. Les deux zobs étaient prêts pour une troisième sodomie.
Alors Said se couchant sur le dos, il souleva ses jambes bien hautes et écartant ses cuisses, il leur indiqua son anus encore brillant de sperme et palpitant de désir. Les deux jeunes gens foncèrent à la fois, leurs zobs bien pointés à la verticale et le premier qui gagna la course plongea sans hésiter sur la Terma de Said.
Il s’agenouilla entre les cuisses de Said et tenant son zob, maintenant bien gonflé, il l’enfonça dans la Terma avec délectation et un cri rauque de désir. Puis mettant ses bras de part et d’autre de Said, il commença ses vas et viens de plaisir sexuel Said attiré le jeune vers sa poitrine et lui prodigua quelques caresses sur ses poils puis, poussant ses jambes derrière le jeune, il le fit quelques poussées pour lui indiquer de s’enfoncer avec plus de violence dans sa Terma. Le jeune comprit et augmentant la puissance de ses coups de reins, les accompagna de cris rauques de plaisir et de victoire du mâle qui saillie sa femelle.
Said gouta encore mieux ses violences et sa Terma, comme tout à l’heure, commença à suinter de son suc de désir et atteignit son point de non retour. Said perdit ainsi sa volonté et sa conscience et n’était plus que sous le charme des jouissances de sa Terma et de ses fantasmes. Il fermait les yeux et se laissait aller dans les vagues de plaisirs. Les deux corps se secouaient en parfaite union et multipliaient leurs jouissances, l’un dans le fond de son zob bouillonnant de désir et l’autre dans les entrailles de sa Terma affamées et affolée par l’excitation sodomique.
Enfin, atteignant son paroxysme, le jeune homme s’enfonça encore plus dans la Terma de Said, se tendit comme un arc, à fond, éjecta ses rafales de sperme dans les entrailles de Said en criant presque à tut tête son plaisir. Said était dans état similaire et son cœur battait la chamade et ne s’arrêta de pousser ses cris rauques de jouissance que lorsque le zob s’immobilisa dans sa Terma. Ils restèrent ainsi couchés l’un sur l’autre, l’un dans l’autre, épuisés er rassasiés de plaisir sexuel.
Après un bon moment de plaisir commun, ils se séparèrent et le jeune se souleva. Avant que Said se soulève à son tour, l’autre jeune nomade fonça entre les jambes de notre ami et tenant son zob bien gonflé, il l’enfonça avec rage dans la Terma bien lubrifiée. Le jeune homme, compétemment subjugué par le désir, ne tenait aucun compte du sperme qui coulait de l’anus de Said, donnait ses coups de reins avec rage et des cris de jouissances. Il avait été dépassé par son frère dans la course mais, maintenant, il tenait à son plaisir coute que coute.
La Terma de Said, toujours avec plaisrn l acceuillait dans ses entrailles et malgré le sperme interne, commençait à gouter sa rage de plaisir sexuel. Rapidement ses coups explulsèrent le maximum de sperme et maintenant Said sentait bien la chair du zob qui frottait son sphincter et frappait son fond à chaque enfoncement.
Malgré la sodomie qu’il venait juste de recevoir, Said semblait gouter les coups de ce pieux de chair affolé de désir. Il lui semblait même que ce zob était bien plus gonflé que le précédent et il fantasmait sur son épaisseur au fond de ses entrailles. Alors, il se laissa aller comme tout à l’heure et s’enfonça dans le plaisir et la jouissance. Puis sa Terma, arrivée à son top, le submergea et il perdit encore une fois connaissance.
Lorsqu’il reprit ses esprits, un moment plus tard, il remarqua les deux jeunes gens, encore à poil, allongés à ses cotés et qui le regardaient avec de grands yeux. Ils devaient se poser bien des questions de monde tout nouveau pour eux et avec un homme âgé et expérimenté. Maintenant que les jeunes gens ont bien jouis réellement et pratiquement des bienfaits des sodomies, Said décida alors de les entrainer dans la science et les douceurs des plaisirs sodomitiques en leur fournissant le maximum d’explications.
Il commença d’abord à leur demander s’ils avaient trouvé ces actes assez bon, avec beaucoup de plaisir et de jouissances. Les deux jeunes étaient enchantés et prêts à s’engager dans ce domaine et à refaire autant d’expérience si possible. Ils lui avouèrent qu’ils ne savaient pas que c’était si merveilleux et si excitants et jouissifs. Ils étaient nus, devant lui et le regardaient comme de jeunes loups devant leur maître.
Alors, Said le expliqua qu’il était gay et ce que cela signifiait pour leur éviter toute erreur sur la pratique de la sodomie. D’abord, c’était un acte et un plaisir naturel, humain et donnant du plaisir sain et qui faiait jouir les deux partenaires, l’un par le zob et l’autre par la Terma. Ces plaisirs physiologiques étaient complétés par des jouissances psychiques et intellectuelles. En effet, les fantasmes propres aux êtres humains complétaient toujours et même amplifiaient les jouissances, lorsque la sodomie est bien faite et à l’accord complet des deux partenaires.
Que ces plaisirs de la sodomie existant depuis la nuit des temps, partout dans le monde et par toutes les franges des sociétés quels que soient leurs rangs, leurs fortunes ou leur sexe. Il fallait seulement faire attention à certaines maladies et ne pas s’afficher publiquement à cause de la société non encore assez évoluée.
Il y a pourtant une différence entre les sodomies entre hommes et celles entre homme et femme mais, à cause des fantasmes et de la physiologie masculine, les sodomies entre hommes sont nettement les meilleures, les plus jouissantes. L’amitié ou l’amour sodomique entre deux hommes est d’une nature tellement spéciale, à cause même de certains interdits sociaux que ses excitations et ses plaisirs sont beaucoup plus forts, plus puissants et plus jouissants.
Une belle Terma d’homme, bien nette, bien remplie, avec des fesses bien rondes et un anus souple et frémissant entrainent n’importe quel zob normalement constitué à bander et à foncer pour donner son plaisir. Ses glissades, ses caresses à l’intérieur d’une Terma d’homme, chaude et douce sont déjà un long moment de plaisir et de jouissance avant de permettre, enfin aux couilles de libérer son nectar et apaiser les deux partenaires.
Après ces explications théoriques et intellectuelles, Said décida quelques attouchements pratiques complémentaires. Ainsi, pendant une bonne heure, nus tous les trois, il passa aux attouchements pratiqués sur leurs zobs alternatifs afin de les sensibiliser encore plus, pour se connaitre mutuellement sur leurs paries génitales. Il leur donna ensuite une leçon pratique sur sa propre Terma, intérieur et extérieur, avec ses endroits sensibles et les souplesses de l’anus. Ils le touchèrent, le pénétrèrent et même lui léchèrent le sillon des fesses et l’anus.
Ensuite, il passa à leurs propres corps. Il leur exigea à se toucher mutuellement d’abord leurs zobs, sentir leur lourdeur, leur chaleur et l’excitation sexuelle qu’on ressent en soupesant une belle bite. Puis ils les poussa à se toucher puis se caresser leurs fesses mutuellement afin d’éliminer leirs hésitations. Enfin il leur exigea d’examiner chacun la Terma de l’autre comme ils l’ont fait pour la sienne, ceci afin de connaitre leurs propres sensations.
Il veut minimiser leurs tabous de la Terma et peut-être les pousser à les éliminer plus tard par l’expérience. C’est pourquoi, il leur conseilla de faire, le plus tô possible, l’expérience de se sodomiser mutuellement, afin de découvrir leurs plaisirs et leurs jouissances mutuelles. Entre frères, il n’y a aucun problème de tabou ou de danger, il suffit seulement d’être assez discret.
Ensuite, ils se lavèrent et se rhabillèrent avant de se coucher. Il leur promit qu’il reviendra de temps en temps les voir puisqu’il va contracter un travail avec leur père et se débrouillera pour coucher avec eux. Il verra leurs progrès de sodomies entre eux et leur apprendra comment tirer le maximum de ces plaisirs sexuels et d’autres, physiques et intellectuels, grâce à leurs zobs, leur Terma, leurs bouches, leurs seins et bien d’autres parties de leurs corps, trésor de plaisirs et de jouissances..

Les avis des lecteurs

Moi c'est pire ! lorsque j'écris, ma bite se gonfle et ma terma me démange tout le temps ! juste après, je cours chez un ami à gros zob !

Histoire Erotique
j'ai beaucoup aimé comme celles précédentes. elles rendent ma bite dure et ma terma est émoustillé



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