Titre de l'histoire érotique : Terma-9- Suite 2 avec mes deux blacks
Récit érotique écrit par Noura [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-04-2017 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Titre de l'histoire érotique : Terma-9- Suite 2 avec mes deux blacks
J’ai passé la journée du lendemain à les attendre, dans la chambre de l’étudiant et vers seize heures, mes deux amis m’ont rejoint. Ils avaient acheté pas mal de nourriture, mais j’avais déjà préparé le nécessaire pour la soirée et le petit déjeuner. Après les embrassades, j’ai tout de suite été pris en charge par Moussa qui commençait à me peloter les fesses, vers mon trou de cul tout en me serrant contre lui. Je sentais déjà sa bite gonflée qui déformait sa braguette. Il était en rut dès son entrée dans chambre.
Alors, en vitesse car moi aussi j’étais impatient, je me suis agenouillé et j’ai ouvert sa braguette pour sortir le gros monstre large et si dur et le saisir de plaisir dans mes mains. Je l’embrassais, le léchais et le suçais avec avidité, tout en le branlant. Il expédia ses vêtements et en courant vers le lit, j’en ai fait de même. Comme la dernière fois je me suis accroupi et il s’est placé derrière moi. Il m’a lubrifié le cul avec sa salive et me doigtant, il a ouvert mon anus déjà frémissant, en ajoutant quelques lèchements avec sa langue. Bigre ça m’a chatouillé et vite mon cul commença à mouiller.
La face sur le lit, j’ai largement ouvert mon cul pour sentir tout de suite la grosse queue de Moussa qui dégageait mon anus, puis d’un coup de reins puissant, il s’enfonça dans mon cul. Un rut qui, comme la dernière fois, a été violent et qui m’a un peu fait mal, mais tout de suite après j’ai eu les sensations de plaisir d’avoir été ouvert de cette manière violente. C’est peut être du masochisme de ma part mais ça fait plaisir et augmente mon désir. Je lui ai crié de s’enfoncer encore plus et il a commencé à me pilonner. Ma terma exige un tel rut dans ses moments de manque.
Me tenant par les hanches, il m’a baisé comme un fou et au bout d’un nombre de vas et viens que je n’ai pas pu compter, il m’inonda le fondement de ses jets de sperme puissants et chauds. On criait ensemble et je me suis écroulé sur le lit, complètement étourdi. Il est resté sur mon dos et avec le zeb au fond de mon cul, comme la dernière fois.
Comme je savais qu’il ne débandait pas facilement, j’ai décidé d’une seconde sodomie de suite. Alors, j’ai tortillé du derrière tout en faisant des sussions de mon cul sur son zeb. Rapidement il a compris que j’en voulais encore. Alors il a repris ses coups, cinq ou six, puis il m’a retourné face à lui. Il m’a fait lever mes jambes au maximum, puis s’est installé entre mes cuisses. Je voyais son gros zob, toujours gonflé et luisant du lubrifiant de mon cul.
Puis il s’est pointé sur mon anus et a enfoncé avec passion sa grosse queue, jusqu’aux couilles, à l’intérieur de mes intestins. Tout en me sodomisant, il s’est penché sur ma poitrine, a pris mes seins pour les pétrir et m’embrassant sur le cou. J’étais à sa merci, alors j’ai entouré son cou de mes bras et je l’ai aussi embrassé, en mettant mes jambes derrière son dos. Il me pilonnait en variant ses mouvements de droite et gauche afin de toucher tous les recoins de mon fond intérieur. Cela augmentait aussi mon plaisir, puis de temps en temps, il m’enfonçait sa queue violemment jusqu’au fond de mes entrailles, ce qui déchainait mon plaisir.
Enfin, il se figea tout en se redressant puis il lança ses rafales de sperme dans mon cul en poussant des râles de plaisir. J’ai mis mes jambes autour de son dos et j’ai serré au maximum pour le garder au plus profond de mes fondements. Une baise animale encore une fois avec cet étalon merveilleux. J’ai retrouvé le Moussa de ses premières sodomies dans les WC publics. Puis on s’est levés et il m’a dis qu’il attendait cette baise, lui aussi, depuis deux jours et que je revenais dans ses rêves. Il m’a même avoué que par deux fois, dans son lit, rien qu’en pensant à moi il a éjaculé de façon automatique.
Et même maintenant il m’a montré sa queue qui restait bandée et fièrement dressée. Je l’ai touchée, elle était effectivement dure mais un léger moins qu’au début. Alors j’ai voulu lui faire plaisir et j’ai recommencé à le sucer et branler. Je lui ai présenté, comme à mon habitude, de coté mon derrière et il m’a un peu peloté.
Puis il s’est remis sur le lit, couché sur le dos et il m’a expliqué de nous mettre en 69. J’ai compris, alors je me suis placé pour lui présenter mon derrière, et il avait devant ses yeux tous mes trésors sexuels. Moi, j’ai démarré pour branler et sucer son zob.
Lui a commencé à me lécher le cul et le sillon de mes fesses. Il a réussi à faire entrer un bout de langue à l’inséreur du trou en s’aidant d’un doigt et m’a enculé avec sa langue. Je la sentais à l’intérieur et mon plaisir montait dans mon cul pourtant lubrifié avec son sperme. J’ai accéléré mes masturbations sur sa queue et accentué mes sussions avec la bouche.
Au bout d’un moment j’ai senti sa queue augmenter de volume, j’ai compris qu’il allait juter. Il m’a dit de continuer, ce que j’ai fais avec vigueur et ce qui devait arriver arriva.
Il m’a lancé ses jets de sperme dans la gorge et j’ai tout avalé en essayant de ne rien laisser tomber sur ses cuisses. Puis j’ai nettoyé avec ma langue, nette et propre. Lui continuait à me chatouiller le cul avec sa langue, mais j’ai constaté qu’il me branlait aussi la queue depuis un moment. Je n’avais pas remarqué cela tant j’étais occupé par sa queue et son sperme, alors je me suis tendu à fond et rapidement j’ai senti le jus arriver.
Tout en me branlant, il m’a enfoncé ses doigts dans le cul, et en les faisant tournoyer, il m’a accéléré le désir et très rapidement j’ai libéré mon sperme sur sa poitrine. Je me sentais ouvert par derrière et libéré par devant, encore une expérience nouvelle. Puis on s’est levé pour aller nous laver. Pendant toutes nos manœuvres, notre ami Keita s’étais placé très loin juste à coté des toilettes pour ne pas nous gêner. Et effectivement, pour ma part, je l’avais totalement oublié. Je lui ai demandé s’il voulait me sodomiser et il a préféré attendre plus tard. Son côté cul devait avoir le dessus sur son côté pénis.
Après un brin de toilette, on a mis nos slips et on s’est restauré. Puis on a discuté longuement de tout et de rien en rigolant, avec de temps en temps quelques attouchements entre nous. Une heure ou deux plus tard, Keita m’a, enfin relancé, me demandant, non pas si j’étais disposé à lui donner ma terma, si je voulais bien le sodomiser.
Tout de suite m’est revenu à l’esprit son derrière large et luisant et le rouge de son trou de cul. Malgré le sperme de ma partie de 69 avec Moussa, j’étais prêt à faire plaisir à Keita. Et, sincèrement cela a réveillé un peu ma bite qui commençait à gonfler mon slip. Il l’a remarqué, a souri et a ôté rapidement ses vêtements. J’ai aussi enlevé mon slip et effectivement ma bite pointait déjà.
Il s’est agenouillé devant moi et m’a sucé plusieurs fois en insistant sur les sussions et me branlant ce qui a durci complètement ma queue. Alors il s’est agenouillé sur le lit, comme moi tout à l’heuse devant Moussa, et je me suis installé derrière lui.
Comme la dernière fois, j’ai été secoué par son large derrière, ses belles hanches luisantes et en le doigtant légèrement, il avait depuis longtemps un trou de cul un peu ouvert et très élastique, j’ai enfoncé facilement mon zob au fond de son cul.
Le tenant par ses belles hanches que je pétrissais en même temps, mes coups de reins ont réveillé mon instinct de mâle et je l’ai baisé à fond physiquement et psychologiquement. J’avais envie de cette baise et ma bite me semblait se gonfler plus que d’habitude. Cela ne va pas faire plaisir à ma terma, qui a eu pourtant, tout à l’heure, ce qu’elle désirait avec Moussa.
Keita soufflait sous moi comme je le faisais derrière lui et rapidement je suis arrivé au bout. Sentant le jus prêt à sortir, je me suis enfoncé encore plus dans son cul et j’ai déchargé presque cinq rafales puissantes de sperme. Puis, je suis resté accroché à ses hanches jusqu’à vider complètement mes couilles, et enfin satisfait, je me suis retiré. Mon zob était encore assez dressé et luisant. Le sperme sortait de l’anus de Keita et inondait ses belles cuisses. J’étais heureux, cette fois comme mâle. Tout à l’heure, j’ai eu une autre sensation forte de femelle quant Moussa me baisait de face.
Mes deux sensations se mêlaient dans ma tête, et comme je suis de nature conciliante, le les ai acceptées toutes les deux en compléments de plaisirs. Mais mon vrai plaisir, ce sont les sodomises de ma terma. C’est ainsi que je sentais vraiment ma liberté sexuelle, mes mis à bas des interdits et des tabous. Les plaisirs de mon pénis ne sont que comme complément à faire à mes amis comme Keita ou autres.
Puis on s’est nettoyé et on a discuté ensemble toute la soirée. Ensuite, on est allé se coucher dans les mêmes positions que l’autre fois, avec moi en sandwich entre mes deux amis.
Mais au bout d’une heure, comme la dernière fois, j’ai senti la queue de Moussa qui se faufilait à l’intérieur de mon cul dont il a écarté le trou avec ses doigts.
Décidemment, les plaisirs de Moussa se répètent et ils vont commencer à me lasser. Enfin, j’ai fait le mort et je l’ai laissé prendre son plaisir. Il m’a enculé doucement en faisant le moins de bruits possible, pensant peut être que je dormais vraiment. Puis il a éjaculé dans mon cul en essayant de tout mettre à l’intérieur de mon cul.
Ensuite, satisfait comme l’autre soir, il s’est rendormi rapidement, rassasié. Heureusement, j’avais un mouchoir à portée de main, je l’ai placé dans mon cul pour éviter au jus de trop polluer mes draps. J’ai essayé de me rendormir, en vain car j’étais excité de ce rut volé en catimini, en cachette.
Alors j’ai décidé d’en faire autant Keita, couché devant moi. Je lui ai doigté la rondelle qui comme prévu était déjà en partie ouverte, je l’ai un peu lubrifiée avec de la salive puis j’y ai enfoncé ma queue compétemment. J’ai fait comme Moussa tout à l’heure, je bougeais doucement en faisant des vas et viens très lents mais justement très excitants.
Et mon jeune ami Keita, lui aussi comme moi, a fait semblant de dormir, alors que je suis sûr qu’il était éveillé. Je l’ai brossé plusieurs fois puis j’ai éjaculé dans son cul. Ensuite, les nerfs calmés, je me recouché mais avant de sombrer totalement, j’ai constaté que le jeune Keita avait, lui aussi mis un chiffon dans son cul pour éviter au sperme de salir nos draps. On avait eu les mêmes réactions pendant et après les deux sodomies, donc on se ressemblait beaucoup plus qu’on le croyait.
Le matin, mes amis se sont levés tôt car ils devaient aller au travail. On a prit rapidement, ensemble le petit déjeuner et on s’est mis d’accord pour la suite. Je leur ai expliqué que ce sera moi qui les contacterais chez eux pour nos prochaines sodomies.
En effet, malgré que j’avais la clé de la chambre pour plusieurs jours, j’ai préféré me taire, au cas ou mes autres copains, Djaffar et Sousou reviendraient entre temps. Ils sont partis et je suis resté, me prélassant et fantasmant, à poil, dans ce grand lit, goutant ma liberté sexuelle sans entraves et sans retenue.
Alors, en vitesse car moi aussi j’étais impatient, je me suis agenouillé et j’ai ouvert sa braguette pour sortir le gros monstre large et si dur et le saisir de plaisir dans mes mains. Je l’embrassais, le léchais et le suçais avec avidité, tout en le branlant. Il expédia ses vêtements et en courant vers le lit, j’en ai fait de même. Comme la dernière fois je me suis accroupi et il s’est placé derrière moi. Il m’a lubrifié le cul avec sa salive et me doigtant, il a ouvert mon anus déjà frémissant, en ajoutant quelques lèchements avec sa langue. Bigre ça m’a chatouillé et vite mon cul commença à mouiller.
La face sur le lit, j’ai largement ouvert mon cul pour sentir tout de suite la grosse queue de Moussa qui dégageait mon anus, puis d’un coup de reins puissant, il s’enfonça dans mon cul. Un rut qui, comme la dernière fois, a été violent et qui m’a un peu fait mal, mais tout de suite après j’ai eu les sensations de plaisir d’avoir été ouvert de cette manière violente. C’est peut être du masochisme de ma part mais ça fait plaisir et augmente mon désir. Je lui ai crié de s’enfoncer encore plus et il a commencé à me pilonner. Ma terma exige un tel rut dans ses moments de manque.
Me tenant par les hanches, il m’a baisé comme un fou et au bout d’un nombre de vas et viens que je n’ai pas pu compter, il m’inonda le fondement de ses jets de sperme puissants et chauds. On criait ensemble et je me suis écroulé sur le lit, complètement étourdi. Il est resté sur mon dos et avec le zeb au fond de mon cul, comme la dernière fois.
Comme je savais qu’il ne débandait pas facilement, j’ai décidé d’une seconde sodomie de suite. Alors, j’ai tortillé du derrière tout en faisant des sussions de mon cul sur son zeb. Rapidement il a compris que j’en voulais encore. Alors il a repris ses coups, cinq ou six, puis il m’a retourné face à lui. Il m’a fait lever mes jambes au maximum, puis s’est installé entre mes cuisses. Je voyais son gros zob, toujours gonflé et luisant du lubrifiant de mon cul.
Puis il s’est pointé sur mon anus et a enfoncé avec passion sa grosse queue, jusqu’aux couilles, à l’intérieur de mes intestins. Tout en me sodomisant, il s’est penché sur ma poitrine, a pris mes seins pour les pétrir et m’embrassant sur le cou. J’étais à sa merci, alors j’ai entouré son cou de mes bras et je l’ai aussi embrassé, en mettant mes jambes derrière son dos. Il me pilonnait en variant ses mouvements de droite et gauche afin de toucher tous les recoins de mon fond intérieur. Cela augmentait aussi mon plaisir, puis de temps en temps, il m’enfonçait sa queue violemment jusqu’au fond de mes entrailles, ce qui déchainait mon plaisir.
Enfin, il se figea tout en se redressant puis il lança ses rafales de sperme dans mon cul en poussant des râles de plaisir. J’ai mis mes jambes autour de son dos et j’ai serré au maximum pour le garder au plus profond de mes fondements. Une baise animale encore une fois avec cet étalon merveilleux. J’ai retrouvé le Moussa de ses premières sodomies dans les WC publics. Puis on s’est levés et il m’a dis qu’il attendait cette baise, lui aussi, depuis deux jours et que je revenais dans ses rêves. Il m’a même avoué que par deux fois, dans son lit, rien qu’en pensant à moi il a éjaculé de façon automatique.
Et même maintenant il m’a montré sa queue qui restait bandée et fièrement dressée. Je l’ai touchée, elle était effectivement dure mais un léger moins qu’au début. Alors j’ai voulu lui faire plaisir et j’ai recommencé à le sucer et branler. Je lui ai présenté, comme à mon habitude, de coté mon derrière et il m’a un peu peloté.
Puis il s’est remis sur le lit, couché sur le dos et il m’a expliqué de nous mettre en 69. J’ai compris, alors je me suis placé pour lui présenter mon derrière, et il avait devant ses yeux tous mes trésors sexuels. Moi, j’ai démarré pour branler et sucer son zob.
Lui a commencé à me lécher le cul et le sillon de mes fesses. Il a réussi à faire entrer un bout de langue à l’inséreur du trou en s’aidant d’un doigt et m’a enculé avec sa langue. Je la sentais à l’intérieur et mon plaisir montait dans mon cul pourtant lubrifié avec son sperme. J’ai accéléré mes masturbations sur sa queue et accentué mes sussions avec la bouche.
Au bout d’un moment j’ai senti sa queue augmenter de volume, j’ai compris qu’il allait juter. Il m’a dit de continuer, ce que j’ai fais avec vigueur et ce qui devait arriver arriva.
Il m’a lancé ses jets de sperme dans la gorge et j’ai tout avalé en essayant de ne rien laisser tomber sur ses cuisses. Puis j’ai nettoyé avec ma langue, nette et propre. Lui continuait à me chatouiller le cul avec sa langue, mais j’ai constaté qu’il me branlait aussi la queue depuis un moment. Je n’avais pas remarqué cela tant j’étais occupé par sa queue et son sperme, alors je me suis tendu à fond et rapidement j’ai senti le jus arriver.
Tout en me branlant, il m’a enfoncé ses doigts dans le cul, et en les faisant tournoyer, il m’a accéléré le désir et très rapidement j’ai libéré mon sperme sur sa poitrine. Je me sentais ouvert par derrière et libéré par devant, encore une expérience nouvelle. Puis on s’est levé pour aller nous laver. Pendant toutes nos manœuvres, notre ami Keita s’étais placé très loin juste à coté des toilettes pour ne pas nous gêner. Et effectivement, pour ma part, je l’avais totalement oublié. Je lui ai demandé s’il voulait me sodomiser et il a préféré attendre plus tard. Son côté cul devait avoir le dessus sur son côté pénis.
Après un brin de toilette, on a mis nos slips et on s’est restauré. Puis on a discuté longuement de tout et de rien en rigolant, avec de temps en temps quelques attouchements entre nous. Une heure ou deux plus tard, Keita m’a, enfin relancé, me demandant, non pas si j’étais disposé à lui donner ma terma, si je voulais bien le sodomiser.
Tout de suite m’est revenu à l’esprit son derrière large et luisant et le rouge de son trou de cul. Malgré le sperme de ma partie de 69 avec Moussa, j’étais prêt à faire plaisir à Keita. Et, sincèrement cela a réveillé un peu ma bite qui commençait à gonfler mon slip. Il l’a remarqué, a souri et a ôté rapidement ses vêtements. J’ai aussi enlevé mon slip et effectivement ma bite pointait déjà.
Il s’est agenouillé devant moi et m’a sucé plusieurs fois en insistant sur les sussions et me branlant ce qui a durci complètement ma queue. Alors il s’est agenouillé sur le lit, comme moi tout à l’heuse devant Moussa, et je me suis installé derrière lui.
Comme la dernière fois, j’ai été secoué par son large derrière, ses belles hanches luisantes et en le doigtant légèrement, il avait depuis longtemps un trou de cul un peu ouvert et très élastique, j’ai enfoncé facilement mon zob au fond de son cul.
Le tenant par ses belles hanches que je pétrissais en même temps, mes coups de reins ont réveillé mon instinct de mâle et je l’ai baisé à fond physiquement et psychologiquement. J’avais envie de cette baise et ma bite me semblait se gonfler plus que d’habitude. Cela ne va pas faire plaisir à ma terma, qui a eu pourtant, tout à l’heure, ce qu’elle désirait avec Moussa.
Keita soufflait sous moi comme je le faisais derrière lui et rapidement je suis arrivé au bout. Sentant le jus prêt à sortir, je me suis enfoncé encore plus dans son cul et j’ai déchargé presque cinq rafales puissantes de sperme. Puis, je suis resté accroché à ses hanches jusqu’à vider complètement mes couilles, et enfin satisfait, je me suis retiré. Mon zob était encore assez dressé et luisant. Le sperme sortait de l’anus de Keita et inondait ses belles cuisses. J’étais heureux, cette fois comme mâle. Tout à l’heure, j’ai eu une autre sensation forte de femelle quant Moussa me baisait de face.
Mes deux sensations se mêlaient dans ma tête, et comme je suis de nature conciliante, le les ai acceptées toutes les deux en compléments de plaisirs. Mais mon vrai plaisir, ce sont les sodomises de ma terma. C’est ainsi que je sentais vraiment ma liberté sexuelle, mes mis à bas des interdits et des tabous. Les plaisirs de mon pénis ne sont que comme complément à faire à mes amis comme Keita ou autres.
Puis on s’est nettoyé et on a discuté ensemble toute la soirée. Ensuite, on est allé se coucher dans les mêmes positions que l’autre fois, avec moi en sandwich entre mes deux amis.
Mais au bout d’une heure, comme la dernière fois, j’ai senti la queue de Moussa qui se faufilait à l’intérieur de mon cul dont il a écarté le trou avec ses doigts.
Décidemment, les plaisirs de Moussa se répètent et ils vont commencer à me lasser. Enfin, j’ai fait le mort et je l’ai laissé prendre son plaisir. Il m’a enculé doucement en faisant le moins de bruits possible, pensant peut être que je dormais vraiment. Puis il a éjaculé dans mon cul en essayant de tout mettre à l’intérieur de mon cul.
Ensuite, satisfait comme l’autre soir, il s’est rendormi rapidement, rassasié. Heureusement, j’avais un mouchoir à portée de main, je l’ai placé dans mon cul pour éviter au jus de trop polluer mes draps. J’ai essayé de me rendormir, en vain car j’étais excité de ce rut volé en catimini, en cachette.
Alors j’ai décidé d’en faire autant Keita, couché devant moi. Je lui ai doigté la rondelle qui comme prévu était déjà en partie ouverte, je l’ai un peu lubrifiée avec de la salive puis j’y ai enfoncé ma queue compétemment. J’ai fait comme Moussa tout à l’heure, je bougeais doucement en faisant des vas et viens très lents mais justement très excitants.
Et mon jeune ami Keita, lui aussi comme moi, a fait semblant de dormir, alors que je suis sûr qu’il était éveillé. Je l’ai brossé plusieurs fois puis j’ai éjaculé dans son cul. Ensuite, les nerfs calmés, je me recouché mais avant de sombrer totalement, j’ai constaté que le jeune Keita avait, lui aussi mis un chiffon dans son cul pour éviter au sperme de salir nos draps. On avait eu les mêmes réactions pendant et après les deux sodomies, donc on se ressemblait beaucoup plus qu’on le croyait.
Le matin, mes amis se sont levés tôt car ils devaient aller au travail. On a prit rapidement, ensemble le petit déjeuner et on s’est mis d’accord pour la suite. Je leur ai expliqué que ce sera moi qui les contacterais chez eux pour nos prochaines sodomies.
En effet, malgré que j’avais la clé de la chambre pour plusieurs jours, j’ai préféré me taire, au cas ou mes autres copains, Djaffar et Sousou reviendraient entre temps. Ils sont partis et je suis resté, me prélassant et fantasmant, à poil, dans ce grand lit, goutant ma liberté sexuelle sans entraves et sans retenue.
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