Tout pour le plaisir!

- Par l'auteur HDS Renifleur -
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : Tout pour le plaisir! Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-08-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Tout pour le plaisir!
-Alain, fais ma patronne alors qu’elle se trouve en compagnie de son mari, devant l’écran de télévision, n’oubliez pas la fermeture des volets de la chambre de notre invitée.
-J’y pense, Madame !
-Oh, je sais que de ce côté-là je peux vous faire confiance.
Après avoir essuyé la vaisselle, je fonce à l’étage. Arrivé devant la porte de Camille, l’invitée. Je toque et tout de suite on m’invite à entrer. Elle se tient dans un fauteuil en train de bouquiner.
-Bonsoir Alain.
-Je ne vous dérange pas ?
-Pas du tout, pas vous, me fait-elle l’air surprise de me voir.
-Je viens pour la fermeture des volets.
-Ah oui, faites donc, c’est gentil, merci !
-Je vous en prie !
Sans perdre de temps, heureux de pouvoir rentrer chez moi, je me lance à ma tâche. Elle remarque que je la regarde. Elle détourne brusquement le regard en prenant un air un peu gêné. Je trouve que cette Camille est vraiment bizarre. À chacune de nos rencontres, elle n’a cessé de me reluquer, d’un air gourmand !
Elle quitte son lit, et la voilà maintenant qui se trémousse pour passer devant moi. Je ne me gêne de poser mon regard sur elle quand cela est possible. Elle me sourit comme pour s’excuser de croiser mon regard. Je me refuse à comprendre son attitude. Par contre, je ne peux m’empêcher de la trouver délicieuse et, durant un instant, je me sens comme submergé par de drôles envies, sales.
-Madame a-t-elle encore besoin de mes services ?
-Je ne pense pas… non…
-Madame, en est-elle bien sûr ?
-Malgré ! Après réflexion, oui… j'aimerais encore abuser de votre gentillesse.
-J’écoute Madame. Je suis à son entière disposition.
-Je l’entends bien, mais je ne sais pas !
-Je demande à Madame d'oser !
-Oui, mais rien ne peut sortir de ma bouche.
-Vous voulez peut-être que je prenne l’initiative pour Madame ?
- Parce que vous savez ce que je désire ?
- Bien sûr Madame.
-Seriez-vous Devin mon cher ami ?
-Devin je ne sais pas, par contre je sais que Madame désire me montrer ce qu’elle cache sous sa jupe.
- Oh, le polisson ! Enfin si cela peut vous faire plaisir, faites-le par vous-même. Pourquoi pas. Cela est loin de me déranger, tout au contraire, mon cher ami.
Elle se met en tailleur sur son fauteuil, sa jupe s’abaisse, dévoilant ses cuisses mates, qu’elle écarte. C’est maintenant, sur une culotte rose dont dépassent des poils bruns, que j’ai une vue imprenable.
-C’est ce que vous désirez voir ? Ma culotte, mon ami ?
-Oui et non, Madame…
-Montrez-moi plutôt votre grosse queue. Vous aimez les mots crus ?
-Oui, Madame…
-J’adore cela parler vulgairement. Pressant mon ami, montrez-moi vos attributs, je n’y tiens plus.
Je m’exécute, j’extrais la chose, raide, de son nid. Elle regarde fixement, l’air enchanté. De son côté, elle écarte ses cuisses. Le mouvement a pour effet de créer un espace entre les bords du bout de tissu rose et le creux de ses adducteurs.
-Et mes nichons, cela vous dit ?
-Je regarde tout ce que Madame veut bien me donner !
-Alors pourquoi pas ! Lâche-t-elle en faisant passer son chandail léopard par-dessus la tête.
Je me trouve alors, devant une sexagénaire aux cuisses écartées et aux seins généreux, aux tétons larges et bruns.
-Je vous plais ?
-Et comment, Madame… Vous me gâtez même Madame !
Elle commence par effleurer d’une main, le bout de tissu rose. De l’autre, ses doigts parcourent son entrejambe de haut en bas. Au bout de quelques instants, elle accentue la pression, et la culotte s’enfonce dans les chairs tendres. Elle glisse sa main à l’intérieur, et se masturbe maintenant ouvertement.
-Cela vous direz de me toucher ?
-Si Madame me l’autorise.
Tout en se caressant, elle écarte de l’autre main le dernier obstacle, dévoilant une chatte brune et poilue. Je sens ma libido monter de degrés.
Elle triture les chairs roses. Ses doigts sont maintenant luisants de mouille. Une odeur musquée monte jusqu’à mes narines. Elle clôt les paupières par intermittence, sinon, elle me regarde directement dans les yeux.
-Regardez, j’ai ma chatte toute ouverte, béante. Elle a faim, faim de mes doigts. Besoin d’une queue aussi ! Elle appelle une queue ! Une queue qu’elle n’aura pas. Elle devra se contenter de mes doigts. Regardez-moi ça, la vilaine convulse sous mes doigts ! Me rend folle ! Je n’en peux plus, mon bouton est prêt à m’envoyer au 7ème ciel !
Incapable de me contenir, je me mets à me caresser, à mon tour. Ma main droite monte et descend le long de ma hampe. De mes doigts je flatte le frein de mon gland, de son autre main je masse mes testicules. Camille est captivée par le spectacle que je lui offre.
Son plaisir grimpe encore. Elle souffle plus fort et se mord la lèvre du bas. Son nez se retrousse et marque à son visage comme une réaction de douleur. Les mouvements de ses doigts deviennent de plus en plus saccadés sur son bouton. De mon côté, je me branle, avec une vraie vigueur.
-J’adore vous voir branler votre bite… me dit-elle en soufflant elle-même de plaisir.
-Je fais cela pour le plaisir de Madame !
-Oui… souffle Camille. Continuez de parler, ne vous arrêtez pas !
-Vous aimeriez peut-être que je vous la mette ?
-Oui… j’aimerais… mais je suis mariée, et j’aime mon mari mon ami !
-Et le mari de Madame ne veut pas… Propriété privé !
-… C’est dommage… !
Incapable de me retenir, je lâche la vanne. Les premiers jets atterrissent sans le vouloir sur la poitrine de Camille. Une belle quantité de sperme.
Elle se saisit d’une main de ma queue et en caresse la fente. Se servant de mon gland pour étaler le sperme autant qu’elle pouvait, et de l’autre main torturait son clitoris. Perdant la raison, emportée par le désir, elle parvient même à introduire le gland à l’entrée de son vagin et part dans un orgasme. Dans les instants qui suivent, ce ne sont plus que plaintes, soupirs, cris, gargouillements inconcevables pour une femme de son ordre social, inexprimables. Dans un mouvement de recul, elle expulse mon gland hors d’elle. Pendant un laps de temps, son vagin et mon sexe étaient reliés par un filet de nos nectars mélangés.
Nous nous regardons, complètement essoufflés. Jamais je n’aurais imaginé qu’un tel scénario se déroule entre nous. Certes, Camille s’est quelque peu laissée emportée dans son excitation. Elle mélange la texture poisseuse à ses poils, ça donne un étrange résultat en noir et blanc. Puis elle porte par la suite ses doigts maculés de mon sperme à sa bouche et, avec une moue gourmande, en lèche un puis deux.
-Tiens, on partage, me dit-elle en me tenant la main.
-Madame est partageuse à ce que je vois ! Fais-je, avant d’introduire
un à un ses doigts trempés de sa mouille et de mon jus dans ma bouche et les nettoie.
J’adore ce goût. De sa main libre, Camille pince et tire sur un de ses tétons. Son sexe, qu’elle caresse maintenant plus doucement, est luisant de jouissance. Elle écarte, en me regardant dans les yeux, ses grandes lèvres, le rose humide des parois tranche avec les poils bruns et la peau mate.
-Vous aimez les sexes poilus ? Je la rase des fois, mais j’aime aussi la laisser nature.
-Votre chatte est superbe, Madame.
Camille ôte la culotte, et me la colle sous le nez.
-Je me suis laissé dire que vous aimez cela ! C’est vrai ou faux ?
Le bout de tissu dégage de manière exacerbée l’odeur musquée de sa chatte. Il est taché sur le renfort d’une longue trace humide.
-Résultat ?
-Que du bonheur, Madame !
-Il est temps pour moi de vous donner congé, mon ami !
-Bien, Madame. Je vous souhaite une bonne nuit.
-Pareillement pour vous.
Et me voilà sur le palier, en train de rajuster. En passant devant la porte de la chambre de la patronne, je vois qu’elle est entrouverte. Assez pour la voir assise sur son lit. M’apercevant, elle m’invite à venir la rejoindre de la main.
-Verrouillez la porte, mon cher !
Elle en profite pour prendre appui sur le bord du lit. Elle tend vers moi, son cul. Elle a un fessier rebondi mais musclé pour son âge avancé. Sa chatte brute est ainsi très exposée, elle dégage une odeur forte, musquée, enivrante que je connais bien. Je bande à nouveau. Dans la position qu’elle prend, son cul paraît plus imposant et le renflement de son sexe plus marqué. Très juteux. J’en crève d’envie, malgré ma jouissance toute fraîche avec Camille.
-Eh bien, qu’est-ce que vous attendez, mon cher, pour me la mettre. Fait-elle tout en écartant le compas de ses jambes.
-Encore un instant Madame, j’admire le tableau que j’ai devant les yeux.
Sa touffe n’en apparaît que plus, poivre et sel, abondante. Des petits poils, de plus en plus solitaires, remontent le long de sa raie. Je sépare les deux globes, dévoilant ainsi son œillet brun et plissé. Je plonge sans plus de cérémonie et lape à grands coups de langue sa raie du cul, son petit trou. À l’autre bout, ça ronronne ferme.
-Vous ne pouvez pas savoir comme j’étais impatiente que vous sortiez de la chambre de Camille. Une envie folle d’avoir votre bite dans le cul. Mais pas tout de suite s’il vous plaît, prenez d’abord ma chatte.
Elle se retourne et se met dans son fauteuil, pieds en l’air. Je m’occupe de sa fente humide avec ma bouche, c’est plus fort que moi, je suis incapable de pénétrer une chatte sans l’avoir auparavant dégustée. Ma langue s’immisce entre les poils poisseux, à son contact ses lèvres s’ouvrent facilement, le goût est fort, à la fois écœurant et irrésistible. Ma langue parcourt les parois de ses lèvres, pénètre profondément dans son sexe, elle le branle. Anne glisse ses doigts dans mes cheveux et imprime sur ma tête une pression qui vaut approbation.
-Oui…oui léchez- moi. J’ai de drôles d’envies sales avec vous.
J’ai encore son anus rivé à mon regard. Il dégage une odeur forte qui est un véritable délice pour mes narines. Je m’applique à lui lécher bien le pourtour de l’anus et tente à plusieurs reprises de forcer l’entrée du bout de ma langue. Anne halète et lâche quelques :
- OUUuuuiiii ! Lâche-t-elle, tout en se tortillant comme un ver, sous mes coups de langue.
Cette bourgeoise est une vraie bombe sexuelle. Au bout d'un moment, elle devient folle sous ma caresse buccale. Une longue plainte s’échappe de sa bouche, un cri de femelle en rut. J’éprouve une émotion violente. À me saisir de sa culotte abandonnée au sol. Que je porte comme celle de Camille plus tôt à mes narines. Elle me traite de cochon. Le parfum de la mouille achève de me faire perdre la tête. Je décide que j’embarquerai le slip en partant. Je ne trompe pas en avançant qu’Anne ne s’y opposera pas.
Très souvent mes conquêtes d’un jour sont compréhensives en me léguant leur petite dentelle copieusement dédicacée !
J’entreprends un sondage à son anus. Anne est aux anges et se trémousse. Elle exhale un long soupir de bien-être, lorsque ma langue fureteuse la viole.
- Alain… vous êtes vraiment un vrai cochon… c’est pour cela que je vous garde à mes services, bon ! Allez, enfilez-moi… au boulot, c’est un ordre ! Vous voyez bien que je n’en peux plus…
Je la prends aux hanches mais c’est elle qui saisit ma queue et la guide vers sa chatte, m’incitant à pousser pour rentrer dedans. Ses lèvres molles s’ouvrent en corolle sous la pression.
- Oooooh ! Fait-elle.
Après quelques va-et-vient, la voilà qu’elle me reprend en main pour me guider à l’entrée de son trou du cul. Elle se dandine, remuant le cul dans tous les sens. Je suis surpris par la facilité avec laquelle je m’enfonce. Elle donne quelques secousses pour m’aspirer, tout en me massant en même temps. Je reconnais là une véritable experte du petit trou. Elle fait palpiter sa rondelle autour de mon membre dur. Je soupire d’aise. Elle me pompe délicatement, comme une femelle qui a une grande expérience des choses.
Ces palpitations charnues m’enthousiasment, elles suffisent amplement à entretenir mon érection et à le porter lentement vers l’apogée d’une joyeuse jouissance.
Je pousse, donne des coups, appuie, m’enfonce de nouveau, conférant ainsi à mon membre une envergure décuplée. Je ne me suis jamais senti aussi gros, aussi puissant. J’entends Anne qui râle.
- Oui, allez-y ! Sale cochon… salaud ! Souffle-t-elle, d’une voix presque méconnaissable.
Puis, comme soulé par l’obscénité de ses paroles, j’accélère le rythme à en perdre le souffle. Elle est prise de quelques convulsions de bonheur. Ce qui déclenche mon propre orgasme. Je halète, ivre des mille sensations que me procure l’agrément de ramoner son cul. Mon corps s’arque, je pousse un long gémissement rauque, et mon plaisir jaillit dans l’anus. Avec une force et une impétuosité qui me paraissent presque surnaturelles.
- Vous m’avez une fois encore fait vibré, mon cher. J’en suis toute retournée. Quel plaisir…Vous êtes mon ange à plaisir, Alain. Je compte sur vous encore pour m’offrir encore beaucoup de tel plaisir. Tout chez moi est ouvert pour vous. Petites et grandes portes !

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