Train fantôme - et autres histoires

Récit érotique écrit par Theo-kosma [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Train fantôme - et autres histoires
Quelques épisodes de "Dialogues Interdits", série d'histoires complètes ayant pour singularité de ne comporter aucune narration ni didascalie.
Ecrits par Théo Kosma, d'après les confidences de Chloé. Pour tout savoir sur mon univers littéraire, RDV sur mon profil.
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Train fantôme
— C’est étrange… J’ai l’impression de voir beaucoup de monde faire un deuxième tour dans ton train fantôme.
— Le coup double fait une bonne part du chiffre d’affaires, j’avoue !
— D’affilée, je me trompe pas ?
— Mon guichet est placé juste devant les nacelles, ils ont même pas à descendre. Y leur suffit de sortir un peu de monnaie, et hop ils restent et ça repart, premier tour cinq euros, deuxième tour trois euros. Et… j’ai même une petite quantité qui enquille sur un TROISIÈME tour !
— Tu dois être le seul à faire ça.
— J’ai le train fantôme qui cartonne le plus de cette fête foraine. Et de bien d’autres !
— Je le connais bien ton train, je le trouve pas si ouf.
— Son secret repose sur un truc tout simple. T’en as aucune idée ?
— Pas la moindre.
— Un long et lent couloir sombre. Plongé dans le noir. Où il ne se passe… rien.
— Je sais. Et je trouve que tu t’es pas beaucoup foulé. Okay avant ce couloir y a des hologrammes, des mannequins animés et tout… Okay après le couloir y a d’autres trucs marrants et effrayants… Mais ce couloir ! Quel intérêt ?
— Réfléchis. Un couple. Parfois, un couple d’ados pas encore passé à l’acte, ou même de préados osant rien faire car les parents sont pas loin… Ou un couple plus âgé brûlant de désir.
— …Tu veux dire que le couloir a été pensé pour le bécotage ? Pelotage ? …Sexe ?
— Jamais vraiment au premier tour, quand on connaît pas encore. On est tendus, à tout moment on s’attend à entendre un hurlement, qu’une araignée tirée par un fil vous tombe dessus ou autre… Et on s’aperçoit qu’en fait on a été juste trente secondes dans le noir absolu.
— Du coup on demande un second tour… pour sauter le pas.
— Voilà.
— C’est filmé ?
— J’ai un accès caméra à chaque partie du manège, normes de sécurité oblige. C’est juste une transmission directe, ça conserve aucune image.. Je ne te dirais pas tout. Il est étonnant de voir à quel point les comportements sont parfois différents… que ce qu’on attend. Par exemple quand le couple de jeunes préfère de gentils bisous tandis qu’un gamin met un doigt à sa copine…
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Mieux vaut un « tiens » que deux « tu l’auras »
— On était en séjour avec les parents. Un de ces lieux de vie assez baba new age, qui fleurissait un peu partout dans les années soixante-dix.
— Le genre d’endroits où papa fait du yoga et maman de la poterie pendant que la gamine s’ennuie ?
— Oh les activités me déplaisaient pas…
— Le genre d’endroits où papa profite pour aller voir ailleurs et maman aussi ?
— Va savoir ! Toute mon attention était centrée sur Timéo.
— Le seul garçon de ton âge ?
— Un peu plus vieux. J’avais pas encore treize ans, lui presque quinze. Non, c’était un vrai coup de cœur. Une obsession aussi : j’avais envie de lui.
— Très très précoce.
— C’était le lieu pour ! L’endroit où tout était permis, ou presque !
— Et lui de son côté ?
— Pas un seul vrai regard pour moi. Pfff… Monsieur n’en avait que pour les grandes ! Les filles de vingt à trente ans ! Un vrai sketch, il les collait H vingt-quatre.
— Sans succès ?
— Aucun. Tout le monde voyait bien son petit manège. On l’ignorait. Pas du tout méchamment ! Mais assez clairement.
— Donc pendant tout le séjour il a tenté en vain ?
— Figure-toi, aussi incroyable que ça semble, il en a trouvé une, de grande, qui a accepté.
— Arrête.
— Je sais ! De nos jours ça ferait scandale. Elle serait punie par la loi, même si on est moins sévère quand c’est la femme qui dévergonde le mineur. Là, les gens ont fait comme s’ils avaient rien su, rien vu rien entendu. Paraît qu’on a juste entendu un grognement masculin ridicule de petit porcelet.
— Il était bien le seul à avoir joui alors ?
— Je crois ! Ceux qui en ont parlé du bout des lèvres s’en sont amusés. Limite ils ont trouvé ça mignon. C’était les seventies en milieu libertaire, que veux-tu !
— Qui était la fille ?
— J’ai cherché ! Et j’ai déniché qui était l’intéressée. Enfin, la non-intéressée.
— Pourquoi elle l’a fait alors ?
— Pour lui faire plaisir ! Parce que vraiment à force elle le trouvait trop chou à tenter tout le temps, autant, avec l’énergie du désespoir. D’ailleurs il en avait tant utilisé qu’il en avait plus pour le plumard. C’était rapide et plat, sans saveur, Timéo emporté par ses émotions. Rien qu’à la base y avait un souci de profondeur.
— Un pénis de petit ado ne pouvant pas faire grand-chose à un vagin dont la croissance était finie ?
— J’ai demandé à l’infortunée partenaire de me le répéter. De décrire lentement, avec le plus de détails possibles, le peu qui était arrivé. Elle avait rien senti ! Elle avait même pas eu besoin de modifier son rythme respiratoire ! Et moi de lui en demander toujours plus. Soit très peu. Je me suis régalée de ce très peu. Limite sadique ! C’était ma vengeance.
— Timéo avait conscience d’avoir été un super mauvais coup ?
— Je pense car ça l’avait calmé. Il a plus ou moins baissé la tête et rasé les murs jusqu’à la fin du séjour. Je croisais davantage son ombre que sa personne ! On l’entendait plus non plus.
— Il aurait pu en profiter pour revenir vers toi…
— C’était trop tard. J’étais vexée. Et tenais à lui montrer ma vexation. Ma frustration… Ma déception ! Le tout dernier jour je l’ai invité dans une pièce où il y avait que nous deux, et je me suis mise nue devant lui. En me mettant de face. De trois quart, de profil droit, gauche, en me cambrant bien à chaque fois pour que mon cul se dessine. Puis de dos. Juste devant lui, un peu plus loin… Qu’il puisse voir TOUT ce qu’il avait loupé, tout ce qu’il aurait pu avoir. Et encore, là c’était que la vision théorique ! Car je lui ai aussi raconté. Ces lèvres, cette langue, étaient prêtes à lui lécher les couilles, à lui sucer la bite. Et à une époque où la fellation était pas du tout banalisée ! Ç’aurait été sa toute première. Qu’avec moi on aurait pu essayer et réessayer en se pardonnant nos maladresses. Niveau profondeur moi j’étais parfaite, ses modestes proportions m’auraient fait crier de joie. Qu’il remarque enfin que sous ces vêtements il y avait une véritable petite femme miniature ! Avec toutes les formes qu’il faut ! Même mes beaux yeux il les avait pas remarqués.
— Il était figé j’imagine ?
— Oui, il écoutait et regardait en silence. Eternel pataud qu’il était.
— Et si là il s’était enfin décidé ?
— J’aurais refusé. Et pourtant ! J’avais eu tant envie de lui, si on l’avait fait, même un coup tiré en moins d’une minute j’aurais orgasmé. Bref ! Je me suis rhabillée et suis passée dire au revoir à tout le monde avant de remonter dans le camping-car des parents. J’avais pile choisi l’heure où on partait. Plutôt contente de moi, comme si malgré cette déception l’honneur était sauf. Première fois que je m’étais déshabillée devant un garçon… j’avais pas du tout imaginé que ce serait comme ça !
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D'autres dialogues interdits sous peu sur Histoires De Sexe.
Si vous avez lu jusque-là ne me quittez pas sans rien dire : laissez vos impressions en commentaire ! - Théo
Ecrits par Théo Kosma, d'après les confidences de Chloé. Pour tout savoir sur mon univers littéraire, RDV sur mon profil.
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Train fantôme
— C’est étrange… J’ai l’impression de voir beaucoup de monde faire un deuxième tour dans ton train fantôme.
— Le coup double fait une bonne part du chiffre d’affaires, j’avoue !
— D’affilée, je me trompe pas ?
— Mon guichet est placé juste devant les nacelles, ils ont même pas à descendre. Y leur suffit de sortir un peu de monnaie, et hop ils restent et ça repart, premier tour cinq euros, deuxième tour trois euros. Et… j’ai même une petite quantité qui enquille sur un TROISIÈME tour !
— Tu dois être le seul à faire ça.
— J’ai le train fantôme qui cartonne le plus de cette fête foraine. Et de bien d’autres !
— Je le connais bien ton train, je le trouve pas si ouf.
— Son secret repose sur un truc tout simple. T’en as aucune idée ?
— Pas la moindre.
— Un long et lent couloir sombre. Plongé dans le noir. Où il ne se passe… rien.
— Je sais. Et je trouve que tu t’es pas beaucoup foulé. Okay avant ce couloir y a des hologrammes, des mannequins animés et tout… Okay après le couloir y a d’autres trucs marrants et effrayants… Mais ce couloir ! Quel intérêt ?
— Réfléchis. Un couple. Parfois, un couple d’ados pas encore passé à l’acte, ou même de préados osant rien faire car les parents sont pas loin… Ou un couple plus âgé brûlant de désir.
— …Tu veux dire que le couloir a été pensé pour le bécotage ? Pelotage ? …Sexe ?
— Jamais vraiment au premier tour, quand on connaît pas encore. On est tendus, à tout moment on s’attend à entendre un hurlement, qu’une araignée tirée par un fil vous tombe dessus ou autre… Et on s’aperçoit qu’en fait on a été juste trente secondes dans le noir absolu.
— Du coup on demande un second tour… pour sauter le pas.
— Voilà.
— C’est filmé ?
— J’ai un accès caméra à chaque partie du manège, normes de sécurité oblige. C’est juste une transmission directe, ça conserve aucune image.. Je ne te dirais pas tout. Il est étonnant de voir à quel point les comportements sont parfois différents… que ce qu’on attend. Par exemple quand le couple de jeunes préfère de gentils bisous tandis qu’un gamin met un doigt à sa copine…
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Mieux vaut un « tiens » que deux « tu l’auras »
— On était en séjour avec les parents. Un de ces lieux de vie assez baba new age, qui fleurissait un peu partout dans les années soixante-dix.
— Le genre d’endroits où papa fait du yoga et maman de la poterie pendant que la gamine s’ennuie ?
— Oh les activités me déplaisaient pas…
— Le genre d’endroits où papa profite pour aller voir ailleurs et maman aussi ?
— Va savoir ! Toute mon attention était centrée sur Timéo.
— Le seul garçon de ton âge ?
— Un peu plus vieux. J’avais pas encore treize ans, lui presque quinze. Non, c’était un vrai coup de cœur. Une obsession aussi : j’avais envie de lui.
— Très très précoce.
— C’était le lieu pour ! L’endroit où tout était permis, ou presque !
— Et lui de son côté ?
— Pas un seul vrai regard pour moi. Pfff… Monsieur n’en avait que pour les grandes ! Les filles de vingt à trente ans ! Un vrai sketch, il les collait H vingt-quatre.
— Sans succès ?
— Aucun. Tout le monde voyait bien son petit manège. On l’ignorait. Pas du tout méchamment ! Mais assez clairement.
— Donc pendant tout le séjour il a tenté en vain ?
— Figure-toi, aussi incroyable que ça semble, il en a trouvé une, de grande, qui a accepté.
— Arrête.
— Je sais ! De nos jours ça ferait scandale. Elle serait punie par la loi, même si on est moins sévère quand c’est la femme qui dévergonde le mineur. Là, les gens ont fait comme s’ils avaient rien su, rien vu rien entendu. Paraît qu’on a juste entendu un grognement masculin ridicule de petit porcelet.
— Il était bien le seul à avoir joui alors ?
— Je crois ! Ceux qui en ont parlé du bout des lèvres s’en sont amusés. Limite ils ont trouvé ça mignon. C’était les seventies en milieu libertaire, que veux-tu !
— Qui était la fille ?
— J’ai cherché ! Et j’ai déniché qui était l’intéressée. Enfin, la non-intéressée.
— Pourquoi elle l’a fait alors ?
— Pour lui faire plaisir ! Parce que vraiment à force elle le trouvait trop chou à tenter tout le temps, autant, avec l’énergie du désespoir. D’ailleurs il en avait tant utilisé qu’il en avait plus pour le plumard. C’était rapide et plat, sans saveur, Timéo emporté par ses émotions. Rien qu’à la base y avait un souci de profondeur.
— Un pénis de petit ado ne pouvant pas faire grand-chose à un vagin dont la croissance était finie ?
— J’ai demandé à l’infortunée partenaire de me le répéter. De décrire lentement, avec le plus de détails possibles, le peu qui était arrivé. Elle avait rien senti ! Elle avait même pas eu besoin de modifier son rythme respiratoire ! Et moi de lui en demander toujours plus. Soit très peu. Je me suis régalée de ce très peu. Limite sadique ! C’était ma vengeance.
— Timéo avait conscience d’avoir été un super mauvais coup ?
— Je pense car ça l’avait calmé. Il a plus ou moins baissé la tête et rasé les murs jusqu’à la fin du séjour. Je croisais davantage son ombre que sa personne ! On l’entendait plus non plus.
— Il aurait pu en profiter pour revenir vers toi…
— C’était trop tard. J’étais vexée. Et tenais à lui montrer ma vexation. Ma frustration… Ma déception ! Le tout dernier jour je l’ai invité dans une pièce où il y avait que nous deux, et je me suis mise nue devant lui. En me mettant de face. De trois quart, de profil droit, gauche, en me cambrant bien à chaque fois pour que mon cul se dessine. Puis de dos. Juste devant lui, un peu plus loin… Qu’il puisse voir TOUT ce qu’il avait loupé, tout ce qu’il aurait pu avoir. Et encore, là c’était que la vision théorique ! Car je lui ai aussi raconté. Ces lèvres, cette langue, étaient prêtes à lui lécher les couilles, à lui sucer la bite. Et à une époque où la fellation était pas du tout banalisée ! Ç’aurait été sa toute première. Qu’avec moi on aurait pu essayer et réessayer en se pardonnant nos maladresses. Niveau profondeur moi j’étais parfaite, ses modestes proportions m’auraient fait crier de joie. Qu’il remarque enfin que sous ces vêtements il y avait une véritable petite femme miniature ! Avec toutes les formes qu’il faut ! Même mes beaux yeux il les avait pas remarqués.
— Il était figé j’imagine ?
— Oui, il écoutait et regardait en silence. Eternel pataud qu’il était.
— Et si là il s’était enfin décidé ?
— J’aurais refusé. Et pourtant ! J’avais eu tant envie de lui, si on l’avait fait, même un coup tiré en moins d’une minute j’aurais orgasmé. Bref ! Je me suis rhabillée et suis passée dire au revoir à tout le monde avant de remonter dans le camping-car des parents. J’avais pile choisi l’heure où on partait. Plutôt contente de moi, comme si malgré cette déception l’honneur était sauf. Première fois que je m’étais déshabillée devant un garçon… j’avais pas du tout imaginé que ce serait comme ça !
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