Travail à la ferme 1

- Par l'auteur HDS linsee -
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Récit libertin : Travail à la ferme 1 Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-09-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Travail à la ferme 1
Travail à la ferme 1

Maggie est une femme d'une cinquantaine, qui n'a pratiquement jamais quitté sa ferme. Elle n'a connu que Roger, un homme du village pas très dégourdi, mais très travailleur, et c'est mariée avec lui. C'est lui qui l'a défloré.
Étant tous deux ignares sur les variantes sexuelles, leurs étreintes sans préliminaires sont brèves. Surchargés de travail, ils déposent une annonce, après plusieurs mois sans réponse, ils commencent à baisser les bras. Mais un soir, on sonne à la porte. C'est un couple en difficulté qui se présente, Roseline et Marc, et proposent leurs bras. Ils ont la trentaine, pas plus.

Maggie les reçoit au salon, leur propose un verre. Pendant de longues minutes les quartes discutent, Magie et Roger, voient bien que les deux sont désemparés et sans le sou, ils apprennent qu'ils faisaient du porte-à-porte depuis des mois pour avoir du travail. Magie, Les prend en pitié. Elle leur dit ce qu'elle attend d'eux.
En plus d'un salaire pas très élevé, elle leur propose le gite et le couvert. Pour Roseline et Marc, c'est inespéré.

Bien qu'ils ne connaissent rien aux travaux de la ferme, Roger, avec l'accord de sa femme, propose un essai au couple. Les quatre sympathisent rapidement, Maggie propose au couple de diner avec eux, et par la même occasion, elle leur montre leur chambre. Marc et Roseline, sont au bord des larmes, après des mois de galères, ils voient enfin le bout du tunnel. Les jours passent, Marc et Roseline ne rechignent pas au travail. Après les travaux des champs, pendant Maggie prépare me diner, Roseline et Roger soignent les bêtes. Marc lui en bon mécanicien remet en état les engins défaillants. Après le repas, comme demain, c'est samedi, il n'y aura que les bêtes à soigner. Les quatre peuvent tarder avant de se coucher. Roger comme le travail avance bien propose de boire un verre.

Les verres se suivent, des éclats de rires fusent, l'ambiance est bonne. Roseline et Maggie sont vite sous l'influence de l'alcool. Elles rient pour un oui, pour un non. Roger, euphorique, propose de mettre de la musique. Les couples se forment, Roger invite Roseline et Marc Maggie. Les corps ondulent, les bassins se frottent. Maggie est sur un nuage. Son visage est si près de celui de son cavalier, que leurs souffles se mêlent. Maggie sans savoir pourquoi serre très fort marc dans ses bras. Et avec la souplesse d'un félin en ronronnant, frotte son bas-ventre contre celui de Marc qui pousse de nombreux soupirs.
Roger est aux anges, entre les bras de Roseline, le bougre, encouragé par l'alcool, donne de petits baisers sur le cou de Roseline qui frissonne sans repousser Roger, de temps en temps, il la serre très fort, jamais, il n'a été aussi heureux.

Maggie pousse un soupir, Marc lui mordille le lobe de l'oreille, et se met à lui lécher le pavillon. Jamais elle n'a connu ça, son cœur se met à battre la chamade, sa respiration s'accélère, la tension monte dans son corps, c'est une sensation inconnue d'elle. Elle ravale bruyamment sa salive. Sa vulve semble avoir une fuite, Maggie, mouille terriblement. Gênée, elle tente de resserrer les jambes, mais impossible Marc à sa jambe entre les siennes. Le coquin monte doucement le genou entre les cuisses de Maggie, et l'appuie sur la fente trempée. Maggie pousse un gémissement qu'elle étouffe en se mordant le poignet. Marc fait plusieurs pressions sur la vulve en ébullition.


La musique s'arrête, Maggie se précipite sur son verre et l'avale d'un trait. Elle regarde Marc qui la rejoint sur le canapé. Étrangement, Roger reste enlacé à Roseline, les deux se regardent, les corps sont appuyés l'un contre l'autre, yeux dans les yeux, les deux paraissent paralysés.
Maggie regarde intensément Marc, elle est très émue. Mais dès qu'il pose sa main sur sa cuisse, elle sursaute, et se met à trembler de tout son être. La main monte très lentement sous sa jupe, Maggie, serre les cuisses le plus qu'elle peut. Comme une anguille, l'intruse s'insère entre les cuisses. Le bout des doigts caresse la fente, que seule la culotte très humide protège. Maggie pâme, elle est sans force. Avant de retirer ses doigts, Marc dépose un baiser bruyant sur les lèvres de sa patronne. Maggie fond comme une glace au soleil. Marc reverse un verre et trinque avec Maggie qui ne cesse de le regarder. Il lui murmure à l'oreille :

— Je suis prêt à aller encore plus loin si tu le souhaites Maggie !

Elle le regarde, sans dire un mot, elle est abasourdie tellement elle est émue.
Roger prend les mains de Roseline et les embrasse, et sans savoir pourquoi, il lui lèche un à un les doigts. Roseline frissonne, l'alcool s'est emparé de son âme. Elle pose sa main sur le ventre de Roger et le caresser. Le coquin est en érection depuis un bon moment. Sans se soucier de la présence de son mari et de Maggie, elle presse le manche plusieurs fois avant de la lâcher.


Enfin, ils reprennent place au salon, Roger et Roseline, échangent des sourires complices, l'alcool coule à flot. Après quelques danses sulfureuses et les esprits chauffés à blanc. Il est temps de monter se coucher. Une fois dans leur lit, Maggie fixe le plafond et dit avec une voix mielleuse :

- Il était temps que cela s'arrête, je t'aurais bien trompée, avec Marc, le coquin m'a chauffé tellement que j'en ai mouillé ma culotte !

Roger, en poussant un gros soupir, dit :

-Oh putain moi pareil, aurais bien défoncé Roseline, elle m'a pressée si fort la bite que je sens encore sa main dessus !

Maggie se retourne vers son mari et lui dit avec beaucoup d'émotion dans la voix :

-Depuis qu'ils sont là, ils ont changé ma vie, je suis plus détendue. Notre choix de les prendre comme employés était le bon, et toi Roger !

-Ben moi avec ce qui vient de se passer ce soir, je suis un autre homme, mais il est vrai, que l'alcool y est pour beaucoup. Je ne regrette pas que tu les aies engagées, ils sont très travailleurs, et très sympathique !


Maggie soupire, elle est sur un nuage, elle dit timidement :

-Roger mon chéri, et si je faisais l'amour avec Marc, tu le prendrais comment !

Roger sursaute, et dit plein d'enthousiasme :

-Oh la vache, si moi, je couche avec sa femme, je le prendrai très bien, mais il ne faut pas rêver ma chérie !

Maggie, avec une voix tremblante, réplique :

-Détrompe-toi, mon chéri, Marc m'a dit que si je le souhaite, il irait beaucoup plus loin !

Roger se redresse et la regarde droit dans les yeux, il reste un moment sans dire un mot puis réagit :

-Marc, te fait tellement envie ma chérie ? eh bien pour te prouver mon amour, j'accepte d'être cocu, mais j'ai l'espoir de posséder Roseline !

Elle l'enlace, et comme pour le remercier, se donne à lui. Et comme à l'accoutumée, l'étreinte est brève.


Le lendemain matin, très tôt, Marc est déjà au boulot, il a soigné les bêtes, et rentre. Maggie prépare le petit déjeuner à la cuisine. Elle sursaute en entendant la porte s'ouvrir. Marc la salue, elle le regarde comme si c'était un mirage, ses yeux pétillent, elle répond en bafouillant à son salut. Elle lui sert le café en tremblant, d'ailleurs, elle en renverse sur la table tant elle est émue. Marc lui sourit et dit :

-Ce n'est pas grave !

Maggie saisit une lavette et essuie nerveusement le café. Marc pose sa main sur la sienne et lui dit d'un air rassurant :

-Clame-toi Maggie, qu'est-ce que tu as, tu es nerveuse ce matin ?

Elle répond en béguant :

-C'est, c'est, pour ce, ce, qui s'est passé hier soir !

Marc fronce les sourcils et demande :

-Mais qu'est-ce qui s'est passé hier soir qui te met dans cet état ?

Eh bien, je suis encore bouleversée, je pense à ce que tu m'as dit, que tu irais encore plus loin avec moi si je le souhaitais. J'en ai parlé à Roger, il l'a bien pris, je souhaite vraiment que tu ailles plus loin !

Marc se pince les lèvres, et gêné répond :

-Tu sais, hier, nous avions un peu picolé, il ne faut pas prendre à la lettre ce que j'ai dit !


Les yeux de Maggie s'embuent, tout semble s'écrouler autour d'elle. Marc voit l'émoi de sa patronne, il se lève, l'enlace, et la serre très fort dans ses bras. Des larmes coulent sur les joues de Maggie. Marc les lape avec la pointe de sa langue. Mais le corps charnu de cette femme, qui l'a sortie de la galère, ne le laisse pas indifférent. Il sent contre son torse, les seins généreux de Maggie, il la tient pas la taille, et devine qu'elle est nue sous sa blouse. Ses mains glissent sur le bas des reins, caressent les lobes fessiers, puis les pétris avec douceur. Maggie ravale sa salive bruyamment, son cœur s'emballe, Son état émotionnel la fait trembler. C'est le deuxième homme qui la serre dans ses bras, Marc lui couvre le visage de petits baisers, sa langue passe lentement sur les lèvres pulpeuses de Maggie, qui tremble de plus en plus. Lorsqu'il pose ses lèvres sur les siennes, elle soupire profondément. Marc fait glisser sa langue dans la bouche entrouverte de Maggie, et la noue à la sienne. Les langues s'agitent, un flot de salive remplit la bouche de Maggie qui ne connaissait pas cette pratique, avale le jus un peu salé sans se poser de question, elle trouve même cela agréable.

Le baiser non simulé, est très long, les deux geignent doucement. Une fois le baiser terminé, Maggie reste sans voix, Marc, fait sauter un à un mes boutons de la blouse. Il ouvre les pans, et admire le corps de cette femme de cinquante ans qui n'a rien à envié aux jeunettes. Les siens lourds ornés de gros mamelons, pendent sur le torse de Maggie qui semble honteuse de se montrer nue. Les yeux balaient le corps, s'attardent sur la vulve garnie d'une toison moire ébène. Les lèvres de la vulve humide, sont épaisses et bien dessinées, elles font saliver Marc.

Il bascule Maggie sur la table de la cuisine, ouvre largement les pans de sa blouse et dépose de nombreux baisers sur le corps fébrile. Pendant qu'il embrasse, et lèche la peau laiteuse de sa patronne, ses mains saisissent ses seins, les malaxe, les pétris. Il enfonce profondément ses doigts dans les chairs tendres. Maggie qui n'a jamais connue ça, pâme de bonheur

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