Un 14 Juillet bien rempli - histoire érotique

Je ne sais pas, si j'ai manqué de chance, mais toutes mes rencontres minitel et internet se sont révélées désastreuses, ça ne vaut pas les lieux de rencontres ! Ni même les opportunités ponctuelles !

Ce soir là, ce fut lors d'une soirée de 14 Juillet, avec des amis, dans les années 90.

Cela se passait dans un village du Var, l'ami qui conduisait réalise que le voyant de son réservoir ne fonctionne plus, juste avant d'arriver.
Manque de chance, la seule station est fermée ! Et il ne pense pas qu'il pourra faire le retour !

On fait quand même la fête, mon ami demande de temps en temps, si on peut le dépanner en essence.

On est tous très alcoolisé, et c'est dans cet état qu'un homme nous parle d'un type de 55 ans environ qui peut nous dépanner, il est présent à la fête !

L'homme m'emmène vers l'inconnu, qui n'est pas vraiment un, je l'avais remarqué, tout au long de la soirée, mais l'alcool ne m'a pas permis de comprendre ses regards insistants.

"Gégé ! Tu peux leur rendre service aux jeunes ? ils ont peur de tomber en rade, il leur faudrait un peu d'essence dans un jerrican !".
"Pas de problème ! Mais il faut qu'on m'accompagne ! Il peut lui ?".
"Oui, monsieur ! Vous êtes gentil de nous rendre service, je peux vous payer l'essence !".
"Oh ! On verra ça, il y a toujours moyen de s'entendre !".

Je suis donc Gégé, faisant signe du pouce, aux autres, que j'ai résolu notre problème.

Gégé m'entraine vers sa vieille 2CV qui sent la ferme.
La voiture est très sale, j'ai peur de poser mes fesses sur le siège, tant il est crasseux.

"Tu veux pas te salir ? Prends des papiers dans la boite à gants !".

J'ouvre la boite et étale des papiers sur le siège.
Je viens de voir une revue porno gay dans celle ci, je cache ma gêne.

"T'as déjà regardé ce genre de bouquin ? Jeune ?".
"Euh, oui ! Mais pas souvent !".
"Prends le, tu peux, ça me gênes pas ! Donc, t'es pédé, toi aussi !".

Mais quel idiot, je fais ! Bien sur, si je dis que j'en ai vu, c'est que j'en suis un !

"Euh, pourquoi, vous l'êtes ?".
"J'aime bien me faire un petit cul de temps en temps ! Je vais souvent à Toulon pour ça ! D'ailleurs ! Il me semble qu'on s'est croisé au Sex-shop, près de la Poste !".

Je suis découvert, même si je ne me souviens pas de lui, il a surement raison !

"Ah, désolé, je ne me rappelle pas !".
"Normal ! Moi j'avais déjà fini de me branler, je t'ai vu en sortant de ma cabine, t'étais déjà bien occupé avec deux mecs ! Ils ont eu plus de chance que moi !".

Il sort sa queue et ajoute:

"Regarde ce que tu as loupé ce jour là !".

Sa bite est majestueuse, l'alcool me désinhibe et la conversation commence à m'exciter.

"Ah ! En effet ! c'est dommage !".
"Qu'est ce tu dirais, si je te baisais en arrivant chez moi !".
"Je dirais oui ! J'en ai envie !".
"Super ! Tu vois qu'on va trouver un arrangement pour l'essence ! Si je me régale bien, je t'en ferai cadeau ! Commences par me sucer la bite avant d'arriver !".

Je ne sais pas pourquoi, mais lui dévorer sa grosse bite dans cette voiture pourrie m'excitais comme un dingue.
Même les secousses de la 2 CV qui m'enfonçait sur sa verge m'excitait.

Arrivé chez lui, je comprend qu'il est fermier.

Il me pousse contre son évier et me baisse précipitamment mon pantalon et mon slip.
Il attrape une dose de gel dans un tiroir et s'en badigeonne la bite.

Je le reçois d'une traite, après de nombreuses tentatives de pénétration.
Il s'active aussitôt, pour m'enculer comme une vulgaire pute.
Il se régale de me faire crier de plaisir, son gros gland vient m'éclater le fond du cul.
Je joui comme j'ai rarement joui analement.

Je lui dis cette phrase ridicule:

"Arghhhhhhhhhhhhh ! Gégé ! Tu m'encules bien ! Arghhhhhhhhhhh !".
"Putain ! Depuis le temps que je veux le baiser, ton p'tit cul de salope !".
"Arhhhhhhhh ! Arhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhh ! Tu le fais tellement bien !".

C'est rare pour moi, mais mon premier orgasme anal est accompagné d'un écoulement urinaire qui ne fait que l'exciter davantage.
Je lui demande de me laisser ôter mes vêtements, je ne veux pas les mouiller !
Je me replace ensuite devant lui, qui me transperce à nouveau, et fini de me faire gicler sur le sol.
Il n'est pas inventif, mais il est très endurant.
Après une longue série d'orgasmes anaux, je commence à me plaindre.

"Arghhhhhhh ! Arghhhhhhh ! Gégé ! Tu me casses le cul ! Arghhhhhhh ! Arghhhhhhh ! J'en peux plus !".
"Tais toi salope ! J'ai pas eu mon compte encore !".

Ma bite subit les effets répétés de son énorme gland dans mon anus.
Je crie encore plus fort en éjaculant mon sperme sur l'urine au sol.

"Putain, mais c'est qu'il prend son pied cette pute ! T'aimes ça, la bite pas vrai ?".
"Arghhhhhhh ! Oui, Oui ! Je joui, c'est trop bon ! Elle est géniale ta bite !".
"Putain, ce cul ! Orhhh ! Ca y est, je jute ! Arghhhhhhh ! Arghhhhhhh ! Arghhhhhhh !".

Il m'insémine longuement, puis s'écroule un long moment sur moi.

Puis, il se redresse et retire sa grosse verge.
Il admire l'effet de sa défonce sur mon anus, le sperme qui coule, mon œillet qui se ferme et s'ouvre sans fin.
Il glisse plusieurs fois, en moi, avec sa grosse bite.

"Arghhhhhhh ! Gégé ! On doit retourner au village !".
"D'accord ! Mais je veux encore profiter de toi !".
"Mais, je peux pas ! Je suis venu avec la voiture d'un pote !".
"Je te ramènerai ! Trouves une excuse ! Sinon, pas d'essence ! Tu dois me donner ta parole ! Et ton cul ensuite !".
"Ok, je te donne ma parole !".
"Et ton cul ?".
"Aussi !".

On est retourné au village, pour poursuivre la soirée, j'ai un peu désaoulé.

Puis, j'ai prétexté une rencontre avec un membre de ma famille pour rester sur place.
Je suis retourné avec Gégé chez lui, en le suçant sur la route.

Puis, il m'a cassé le cul encore et encore, je n'avais plus de sperme à éjaculer, mais j'ai encore souillé son vieux carrelage, pendant qu'il me transperçait avec vice.

J'ai ensuite décidé de changer de position, pour m'empaler sur lui, afin de le faire éjaculer, mais j'ai perdu le match, c'est moi qui ai éjaculé !

Il m'a retourné et m'a pilonné jusqu'à sa jouissance que j'ai avalé, en me retournant précipitamment à sa demande !

Entre mon aventure d'un mois, chez ma tante après mes vingt ans, avec Ernest l'agriculteur et Gégé, je pense que j'ai participé à ma manière, à l'amour est dans le pré !

Il a tenu sa promesse, et m'a ramené à Toulon, mais il m'a encore cassé le cul sur la route ! Mon dieu, quel pied et quelle bite !
Dés lors, on se reconnaissait en lieux chauds et il me démontait toujours aussi vicieusement.