UN AMANT EN DOUBLE EXEMPLAIRE.1
Récit érotique écrit par Mlkjhg39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-07-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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UN AMANT EN DOUBLE EXEMPLAIRE.1
UN AMANT EN DOUBLE EXEMPLAIRE.1
Bonjour, je vais vous raconter l’aventure qu’il m’est arrivée dans ma jeunesse.
Je m’appelle Margot. Je venais de rentrer à l’université, rompant pour la 1ère fois de ma vie le cordon ombilical. J’ai dû trouver un petit studio que je partageais avec Sylvie, aussi novice que moi de la vie enfin indépendante.
J’ai donné priorité à mes études ne me laissant pas distraire par tous les garçons qui ne pensent qu’à me mettre à leur tableau de chasse.
Ma colocataire Sylvie n’est pas aussi prude que moi et ramène des fois ses conquêtes au studio.
Aujourd’hui, elle vient encore de changer de « Jules » mais pour une fois celui-ci ne me laisse pas indifférent. Quand elle m’avoue que c’est son cousin, je suis assez contente.
Il a de la conversation qui ne tourne pas en dessous de la ceinture et en plus il est beau et très avenant.
Nous nous sommes liés d’amitié et nos sentiments ont doucement changés. Il a plein de petites attentions et je le laisse me faire la cours.
Les semaines passent et j’ai enfin accepté qu’il m’invite dans sa chambre d’étudiant.
Il doit avoir un colocataire lui aussi car il y a 2 chambres. Nous passons une merveilleuse après-midi à rire et à flirter, ses baisers sont de plus en plus passionnés.
Je sais ce qui va se passer, je l’ai accepté en venant dans sa chambre car je le désire tout autant que lui.
Ses caresses se font plus insistantes, ses mains explorent mes formes à travers mes habits, épousent mes hanches avant de glisser sur mes cuisses.
Ses yeux fixés dans les miens m’implorent attendant mon approbation, il y lit mon désir de faire de ce jour le dernier de ma vie d’adolescente.
Ses mains remontent sous ma robe et stoppent sur ma culotte, j’écarte les cuisses l’invitant à aller plus loin.
Sa main droite glisse sur mon ventre et plonge entre mes cuisses pour que ses doigts épousent mon Mont de Vénus, son majeur découvre ma vallée fertile à travers le tissu arachnéen qu’il trouve tout humide.
A part mes parents quand j’étais toute petite, c’est la 3ème personne au monde à toucher cette partie de mon anatomie. Je suis comme dans un état second, passive sous ses attouchements de mon jardin secret.
Il s’enhardit voyant que je reste passive et glisse sa main sous le tissu, son majeur reprend la caresse de ma vulve et vient titiller mon bourgeon qui durcit sous son doigt, déclenchant en moi comme des décharges électriques.
« Huuummm, c’est trop booonnn ! »
Je gémis de plus en plus fort, des ondes de plaisir que je n’ai encore jamais connues explosent dans mon bas-ventre, je sers les cuisses mais ne peut retenir un liquide ambré qui poisse sa main et fait une grosse auréole sur ma petite culotte.
« Mon Dieu, qu’est ce que je suis en train de faire, moi la fille si prude ? » Mais je suis bien trop excitée pour écouter va voie de la sagesse.
-Ca va, tu aimes ? Je peux aller plus loin ? Si tu ne le veux pas, je te comprendrai et n’insisterai pas, je veux que tu sois consentante !M’explique-t-il avec douceur.
Je lui rétorque aussitôt :
-Oh non !!! Continue, je t’en supplie, Je n’ai jamais ressenti ça, c’est beaucoup plus fort que quand je me caresse, fais de moi une femme, tu seras le premier!
Il me sourit et insinue son doigt dans ma chatte puis 2 puis 3 mais ma culotte le gène, il me la retire, je lève les pieds pour me libérer de cette entrave et écarte mes cuisses pour qu’il reprenne son doigtage.
Ses doigts vont plus loin dans mon intimité, écartant les lèvres de ma chatte et buttent sur mon hymen, la sensation est intense et à peine douloureuse. Je gémis doucement mais il me dit de ne pas avoir peur d’exprimer mon plaisir. Je ne retiens plus mes cris qui montent dans les décibels.
Il m’encourage :
- Laisse ton corps vivre ces sensations nouvelles, laisse monter ton plaisir, tu vas connaître ton premier orgasme, laisse la houle t’emporter!
Mon corps est traversé de spasmes qui me broient le ventre, je n’ai jamais ressenti ça.
Il vient de s’agenouiller devant moi et sa bouche a remplacé ses doigts.
Sa langue explore mon intimité bien écartée de ses deux mains, mais quand il prend entre ses lèvres mon clitoris dardé, qu’il l’excite avec la langue, qu’il le mordille délicatement avec ses dents, j’en ai le souffle coupé.
Ma vue se brouille et je perds pied sous la montée irrésistible du plaisir, quelque chose lâche en moi.
Un flot de liquide qui n’a rien à voir avec les quelques gouttes de tout à l’heure inonde sa bouche. C’est ça l’orgasme ????? C’est comme un court-circuit dans ma tête et la décharge électrique parcourt mon corps en une explosion de plaisir.
- Oh Jules, Jules ! Que m’arrive-t-il ? C’est trop booonnn ! Ouuuiii ! Nooonnn ! Ahhh !
- Jouis, ma chérie. Ouvre-toi à l’amour. Ce n’est que la promesse d’autres jouissances encore plus fortes !
Les spasmes se calment enfin après avoir irradié mon ventre, mes reins, mon sexe. Je flogeole sur mes jambes
Il me regarde tendrement en souriant, me caresse le visage en m’interrogeant :
- Alors, tu as aimé ? Tu veux que je continue à te faire découvrir l’Amour avec un grand A ?
Je l’implore complètement hystérique, dans un état second:
- Oui ! Oh oui ! Je t’en supplie Jules, fais de mon corps ce que tu veux, tu as carte blanche !
-Tu prends la pilule ?
-Oui.
Je reste là, avachie, sans réaction après cette formidable découverte.
Il me retire doucement ma robe et mon soutien-gorge, je le laisse faire, passive, complètement vidée par la violence des sensations ressenties.
Il se dénude lui aussi et je découvre sa verge gorgée de sang, tendue de désir comme un sabre au clair.
Délicatement, il prend ma main droite et la pose sur son membre, la promène sur la hampe. C’est chaud, c’est dur et pourtant si doux, la tête bombée est d’un rouge brillant. Je sers ma main autour de son engin et le caresse doucement.
-C’est la première queue que je touche, pardonne-moi si je te fais mal !
Il éclate de rire et me rassure :
-Ne crains rien. Tu verras bientôt que c’est moins délicat que tu ne le crois !
Il se rapproche de moi, prend sa verge d’une main et la passe plusieurs fois sur ma vulve. Son gland vient de s’immobiliser sur ma fente et s’insinue avec lenteur entre mes grandes lèvres.
Il plie un peu les genoux pour mettre son sexe dans un meilleur angle et se relève doucement. Sa verge disparait un peu plus mais est stoppée par mon hymen.
Il m’embrasse, me sourit, je suis prête à l’accueillir, mon premier amant.
Il a mis ses mains sur mes fesses et se redresse brusquement, m’embrochant sur son pénis.
Une brève douleur m’arrache un petit cri, il vient de me faire femme…
Il arrête aussitôt sa progression, soucieux de mes réactions.
- Ca ne t’a pas fait trop mal ? Tu vois que ce n’était pas la mer à boire, tu veux que je continue ?
- J’en avais tant entendu parler, c’était pas si terrible que ça. Ca fait une drôle d’impression de sentir coulisser ton sexe dans ma chatte, que c’est chaud et dur!
- Je te remercie de l’honneur que tu m’as fait de me laisser te déflorer, Margot.
Il me porte vers le lit embrochée sur son dard, m’étend avec douceur et commence à bouger en moi, projetant son sexe dans mon vagin par de légers coups de reins.
Je sens son manche glisser dans mon fourreau, me faisant découvrir de nouveaux plaisirs. Les sensations nouvelles que me procure sa verge sont de plus en plus agréables et je commence à gémir de plaisir quand son gland frappe avec vigueur mon utérus tout au fond de mon sexe.
Je ne retiens plus mes cris et mon plaisir sous ses pénétrations, je sens monter en puissance le second orgasme de ma vie. Je lui jette :
-Plus fort mon amour, plus vite… Prends-moi comme une salope, baise-moi plus fort !!!
On aurait dit qu’il attendait que je le supplie. Son rythme s’accélère, il me prend en force pendant que ses mains couvrent mon corps de caresses.
Chaque pénétration se transforme en coup de boutoir d’une puissance incroyable.
Mon corps tressaute, je dois me tenir à la tête du lit pour encaisser ses assauts, mes seins ballottent dans tous les sens au rythme endiablé de ses coups de reins. Il les saisit et les pétrit avec vigueur, mes tétons sont tout durs.
Un orgasme encore plus violent que le premier me traverse, mes muscles se tétanisent, mon vagin se contracte avec une puissance folle sur son vit, le broyant au rythme de ses va-et-vient.
Il s’exclame aussitôt :
- Ooouuuaaahhh... Qu’est ce que tu me fais, putain que c’est booonnn. Tu es la 1ère à me faire ça… Ahhh… Je jooouuuiiisss!
Je sens gonfler sa bite congestionnée qui n’arrive pratiquement plus à bouger en moi en train de se vider en puissants jets de sperme qui noient mon vagin de son offrande sur l’hôtel de l’amour. Quel bonheur.
Je suis heureuse et l’embrasse à pleine bouche pour le remercier de ses attentions envers moi.
Je suis folle de lui, dès que nous le pouvons, nous nous retrouvons et patiemment, il continue de faire mon éducation amoureuse.
J’essaie de me montrer bonne élève. Il m’a fait découvrir le sexe et je ne suis jamais rassasier.
A suivre…………
Bonjour, je vais vous raconter l’aventure qu’il m’est arrivée dans ma jeunesse.
Je m’appelle Margot. Je venais de rentrer à l’université, rompant pour la 1ère fois de ma vie le cordon ombilical. J’ai dû trouver un petit studio que je partageais avec Sylvie, aussi novice que moi de la vie enfin indépendante.
J’ai donné priorité à mes études ne me laissant pas distraire par tous les garçons qui ne pensent qu’à me mettre à leur tableau de chasse.
Ma colocataire Sylvie n’est pas aussi prude que moi et ramène des fois ses conquêtes au studio.
Aujourd’hui, elle vient encore de changer de « Jules » mais pour une fois celui-ci ne me laisse pas indifférent. Quand elle m’avoue que c’est son cousin, je suis assez contente.
Il a de la conversation qui ne tourne pas en dessous de la ceinture et en plus il est beau et très avenant.
Nous nous sommes liés d’amitié et nos sentiments ont doucement changés. Il a plein de petites attentions et je le laisse me faire la cours.
Les semaines passent et j’ai enfin accepté qu’il m’invite dans sa chambre d’étudiant.
Il doit avoir un colocataire lui aussi car il y a 2 chambres. Nous passons une merveilleuse après-midi à rire et à flirter, ses baisers sont de plus en plus passionnés.
Je sais ce qui va se passer, je l’ai accepté en venant dans sa chambre car je le désire tout autant que lui.
Ses caresses se font plus insistantes, ses mains explorent mes formes à travers mes habits, épousent mes hanches avant de glisser sur mes cuisses.
Ses yeux fixés dans les miens m’implorent attendant mon approbation, il y lit mon désir de faire de ce jour le dernier de ma vie d’adolescente.
Ses mains remontent sous ma robe et stoppent sur ma culotte, j’écarte les cuisses l’invitant à aller plus loin.
Sa main droite glisse sur mon ventre et plonge entre mes cuisses pour que ses doigts épousent mon Mont de Vénus, son majeur découvre ma vallée fertile à travers le tissu arachnéen qu’il trouve tout humide.
A part mes parents quand j’étais toute petite, c’est la 3ème personne au monde à toucher cette partie de mon anatomie. Je suis comme dans un état second, passive sous ses attouchements de mon jardin secret.
Il s’enhardit voyant que je reste passive et glisse sa main sous le tissu, son majeur reprend la caresse de ma vulve et vient titiller mon bourgeon qui durcit sous son doigt, déclenchant en moi comme des décharges électriques.
« Huuummm, c’est trop booonnn ! »
Je gémis de plus en plus fort, des ondes de plaisir que je n’ai encore jamais connues explosent dans mon bas-ventre, je sers les cuisses mais ne peut retenir un liquide ambré qui poisse sa main et fait une grosse auréole sur ma petite culotte.
« Mon Dieu, qu’est ce que je suis en train de faire, moi la fille si prude ? » Mais je suis bien trop excitée pour écouter va voie de la sagesse.
-Ca va, tu aimes ? Je peux aller plus loin ? Si tu ne le veux pas, je te comprendrai et n’insisterai pas, je veux que tu sois consentante !M’explique-t-il avec douceur.
Je lui rétorque aussitôt :
-Oh non !!! Continue, je t’en supplie, Je n’ai jamais ressenti ça, c’est beaucoup plus fort que quand je me caresse, fais de moi une femme, tu seras le premier!
Il me sourit et insinue son doigt dans ma chatte puis 2 puis 3 mais ma culotte le gène, il me la retire, je lève les pieds pour me libérer de cette entrave et écarte mes cuisses pour qu’il reprenne son doigtage.
Ses doigts vont plus loin dans mon intimité, écartant les lèvres de ma chatte et buttent sur mon hymen, la sensation est intense et à peine douloureuse. Je gémis doucement mais il me dit de ne pas avoir peur d’exprimer mon plaisir. Je ne retiens plus mes cris qui montent dans les décibels.
Il m’encourage :
- Laisse ton corps vivre ces sensations nouvelles, laisse monter ton plaisir, tu vas connaître ton premier orgasme, laisse la houle t’emporter!
Mon corps est traversé de spasmes qui me broient le ventre, je n’ai jamais ressenti ça.
Il vient de s’agenouiller devant moi et sa bouche a remplacé ses doigts.
Sa langue explore mon intimité bien écartée de ses deux mains, mais quand il prend entre ses lèvres mon clitoris dardé, qu’il l’excite avec la langue, qu’il le mordille délicatement avec ses dents, j’en ai le souffle coupé.
Ma vue se brouille et je perds pied sous la montée irrésistible du plaisir, quelque chose lâche en moi.
Un flot de liquide qui n’a rien à voir avec les quelques gouttes de tout à l’heure inonde sa bouche. C’est ça l’orgasme ????? C’est comme un court-circuit dans ma tête et la décharge électrique parcourt mon corps en une explosion de plaisir.
- Oh Jules, Jules ! Que m’arrive-t-il ? C’est trop booonnn ! Ouuuiii ! Nooonnn ! Ahhh !
- Jouis, ma chérie. Ouvre-toi à l’amour. Ce n’est que la promesse d’autres jouissances encore plus fortes !
Les spasmes se calment enfin après avoir irradié mon ventre, mes reins, mon sexe. Je flogeole sur mes jambes
Il me regarde tendrement en souriant, me caresse le visage en m’interrogeant :
- Alors, tu as aimé ? Tu veux que je continue à te faire découvrir l’Amour avec un grand A ?
Je l’implore complètement hystérique, dans un état second:
- Oui ! Oh oui ! Je t’en supplie Jules, fais de mon corps ce que tu veux, tu as carte blanche !
-Tu prends la pilule ?
-Oui.
Je reste là, avachie, sans réaction après cette formidable découverte.
Il me retire doucement ma robe et mon soutien-gorge, je le laisse faire, passive, complètement vidée par la violence des sensations ressenties.
Il se dénude lui aussi et je découvre sa verge gorgée de sang, tendue de désir comme un sabre au clair.
Délicatement, il prend ma main droite et la pose sur son membre, la promène sur la hampe. C’est chaud, c’est dur et pourtant si doux, la tête bombée est d’un rouge brillant. Je sers ma main autour de son engin et le caresse doucement.
-C’est la première queue que je touche, pardonne-moi si je te fais mal !
Il éclate de rire et me rassure :
-Ne crains rien. Tu verras bientôt que c’est moins délicat que tu ne le crois !
Il se rapproche de moi, prend sa verge d’une main et la passe plusieurs fois sur ma vulve. Son gland vient de s’immobiliser sur ma fente et s’insinue avec lenteur entre mes grandes lèvres.
Il plie un peu les genoux pour mettre son sexe dans un meilleur angle et se relève doucement. Sa verge disparait un peu plus mais est stoppée par mon hymen.
Il m’embrasse, me sourit, je suis prête à l’accueillir, mon premier amant.
Il a mis ses mains sur mes fesses et se redresse brusquement, m’embrochant sur son pénis.
Une brève douleur m’arrache un petit cri, il vient de me faire femme…
Il arrête aussitôt sa progression, soucieux de mes réactions.
- Ca ne t’a pas fait trop mal ? Tu vois que ce n’était pas la mer à boire, tu veux que je continue ?
- J’en avais tant entendu parler, c’était pas si terrible que ça. Ca fait une drôle d’impression de sentir coulisser ton sexe dans ma chatte, que c’est chaud et dur!
- Je te remercie de l’honneur que tu m’as fait de me laisser te déflorer, Margot.
Il me porte vers le lit embrochée sur son dard, m’étend avec douceur et commence à bouger en moi, projetant son sexe dans mon vagin par de légers coups de reins.
Je sens son manche glisser dans mon fourreau, me faisant découvrir de nouveaux plaisirs. Les sensations nouvelles que me procure sa verge sont de plus en plus agréables et je commence à gémir de plaisir quand son gland frappe avec vigueur mon utérus tout au fond de mon sexe.
Je ne retiens plus mes cris et mon plaisir sous ses pénétrations, je sens monter en puissance le second orgasme de ma vie. Je lui jette :
-Plus fort mon amour, plus vite… Prends-moi comme une salope, baise-moi plus fort !!!
On aurait dit qu’il attendait que je le supplie. Son rythme s’accélère, il me prend en force pendant que ses mains couvrent mon corps de caresses.
Chaque pénétration se transforme en coup de boutoir d’une puissance incroyable.
Mon corps tressaute, je dois me tenir à la tête du lit pour encaisser ses assauts, mes seins ballottent dans tous les sens au rythme endiablé de ses coups de reins. Il les saisit et les pétrit avec vigueur, mes tétons sont tout durs.
Un orgasme encore plus violent que le premier me traverse, mes muscles se tétanisent, mon vagin se contracte avec une puissance folle sur son vit, le broyant au rythme de ses va-et-vient.
Il s’exclame aussitôt :
- Ooouuuaaahhh... Qu’est ce que tu me fais, putain que c’est booonnn. Tu es la 1ère à me faire ça… Ahhh… Je jooouuuiiisss!
Je sens gonfler sa bite congestionnée qui n’arrive pratiquement plus à bouger en moi en train de se vider en puissants jets de sperme qui noient mon vagin de son offrande sur l’hôtel de l’amour. Quel bonheur.
Je suis heureuse et l’embrasse à pleine bouche pour le remercier de ses attentions envers moi.
Je suis folle de lui, dès que nous le pouvons, nous nous retrouvons et patiemment, il continue de faire mon éducation amoureuse.
J’essaie de me montrer bonne élève. Il m’a fait découvrir le sexe et je ne suis jamais rassasier.
A suivre…………
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6 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Un petit salaud
Y en a qui laissent rien passer
Maître d'école
Bonjour Mlkjhg pour ce joli récit bien conté et bien écrit !
Cependant, vous écrivez : "je le laisse me faire la cours" (cour sans S aurait été plus convenable), ensuite, nos sentiments ont changés (changé sans S aurait été préférable et enfin "je sers mes cuisses" ou je serres mes cuisses aurait été mieux sinon vous servez ses cuisses ! lol
Et pourtant j'ai adoré votre récit !
Didier
Cependant, vous écrivez : "je le laisse me faire la cours" (cour sans S aurait été plus convenable), ensuite, nos sentiments ont changés (changé sans S aurait été préférable et enfin "je sers mes cuisses" ou je serres mes cuisses aurait été mieux sinon vous servez ses cuisses ! lol
Et pourtant j'ai adoré votre récit !
Didier
un bon professeur
enfin un homme prévenant plein de douceur, le rêve de toutes les femmes