UN AMANT EN DOUBLE EXEMPLAIRE.3
Récit érotique écrit par Mlkjhg39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-07-2017 dans la catégorie Plus on est
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UN AMANT EN DOUBLE EXEMPLAIRE.3
UN AMANT EN DOUBLE EXEMPLAIRE.3
Bonjour, je vais vous raconter l’aventure qu’il m’est arrivée dans ma jeunesse.
Suite :
Je les fais se lever pour qu’ils me présentent les glands violacés que j’engouffre en même temps dans ma bouche. J’essaie de les amener au point de non-retour en même temps.
Xavier décharge enfin dans ma bouche à peine quelques secondes avant Jules.
J’ai la bouche pleine de leurs spermes mêlés, je pétris leurs bourses gonflées qui donnent tout ce qu’elles peuvent dans un ultime spasme, ne voulant rien perdre de ce divin nectar.
Comme dans les films pornos, j’ouvre ma bouche pleine de leurs semences pour leur montrer qu’ils sont de braves petits soldats reproducteurs et dois déglutir plusieurs fois avant de rouvrir la bouche pour leur prouver que j’ai tout avalé.
Ils sont aussitôt revenus à l’assaut de mon corps, vingt doigts me caressent, me pincent, claquent sur mes fesses, me fouillent le vagin, s’attardent sur mon clito, m’arrachant des râles et des gloussements de femelle en chaleur à une vitesse folle.
Quand l’un arrête son exploration d’un endroit de mon corps, je n’ai aucun répit car son jumeau prend immédiatement la relève.
Je suis exsangue n’ayant pas un instant de calme pour redescendre sur terre. C’est complètement dément, irréel, intense. Les jumeaux me rendent complètement folle, me font jouir sans interruption !
Ils bandent à nouveau comme des taureaux, je ne sais plus qui est qui.
L’un des jumeaux c’est mit entre mes jambes, il pose mes talons sur ses épaules et s’introduit en moi. Je reconnais aussitôt Jules. Sa verge est comme une dague de velours qu’il introduit dans mon fourreau. Un râle sort de ma bouche qui se transforme en grognement sourd quand Xavier me prend par les cheveux avec brutalité pour que je suce la copie conforme de ce qui me fouille le ventre.
Il me pince le mamelon gauche, mes gémissements de plaisir et de douleur sont de plus en plus sonores. Je ne peux plus me contrôler sous ses excitations de toute part, je sens monter en moi un nouvel orgasme.
Mais je ne m’attendais pas à ce qu’il soit si violent, je ne suis plus que terminaisons nerveuses exacerbées. On dirait que toutes les fibres de mon corps, tous mes muscles se tétanisent et laissent sourdre en moi une marée irréelle de jouissance qui vagues après vagues déferlent dans mon corps avec une puissance incontrôlable.
Saoule de plaisir, je hurle comme une folle sous cet orgasme puissance dix qui n’en finit plus, Je me tords sous la puissance des spasmes qui irradient dans mon sexe pour remonter dans mes seins et exploser en apothéose dans ma tête.
Je ne suis plus qu’une boule de nerfs hypersensibles qui ne peut plus supporter le moindre frottement. Je voudrais avoir un moment pour reprendre mon souffle et récupérer un peu mais Xavier est trop impatient et prend immédiatement la place de Jules. Et lui ne fait pas dans la délicatesse et m’embroche d’une seule poussée.
Les frottements de sa verge sur mon clito sont insupportables tellement il est devenu sensible, je râle à en fendre l’âme mais il n’en a cure et me lime avec violence. Heureusement que son frère étouffe mes gémissements en m’embrassant avec amour sinon je hurlerais si fort que les voisins préviendraient la police.
Je suis si sensible qu’un nouvel orgasme puis un autre s’enchaînent en un temps très court.
Je ne sais pas pendant combien de temps je n’ai été qu’une poupée de chiffon entre leurs mains. Je n’étais plus en état pour m’en rendre compte. N’était-ce qu’un rêve ? Un fantasme ?
Quand enfin je remonte à la surface, retrouvant un peu de lucidité, je suis entre eux. Je n’ai pas rêvé…
Je ferme les yeux, j’ai à peine le temps de récupérer que Xavier se saisit de ma main et la pose sur sa verge enfin au repos. Voyant ça, sont frère fait de même avec mon autre main.
Pendant quelques minutes, nous restons ainsi mais Xavier s’impatiente et se saisit de ma main pour la faire bouger sur son organe. Je m’active un peu et sous mes caresses lascives la vie reprend dans ses excroissances flasques.
Elles croissent exponentiellement en longueur et en volume, il ne faut pas bien de temps pour que mes mains astiquent de superbes pénis bien durs et d’une rigidité parfaite.
Xavier me tourne face à lui, se glisse entre mes jambes, sa verge retrouve vite sa grotte préférée, chaude et humide, pour une fois, il m’embroche avec douceur.
Jules ne veut pas rester en reste et se colle contre mon dos dans la position de la cuillère.
Je sens son mandrin glisser entre mes fesses et aller à la rencontre de celui de son double qui a déjà investit mon sexe.
Déçu de trouver le trou occupé, sa tête explore les environs à la recherche d’une porte dérobée et découvre une entrée sombre et toute fripée.
Je suis vierge de ce coté-là et instinctivement je serre les fesses pour m’y opposer mais je suis prisonnière entre les corps musclés des jumeaux.
Je ne peux rien y faire et me résigne contre l’inéluctable. La verge de Jules comprime mon anus qui cède et s’ouvre devant son bélier, engloutissant sans coup-férir la prune violette.
Il pose ses mains sur mes hanches et projette son bassin en avant, puissant, mon sphincter laisse passer la hampe qui s’enfonce le plus loin possible entre mes fesses.
Je serre les dents sous cette intromission mais suis étonnée que ça se passe si facilement.
Je suis la tranche de jambon entre les deux morceaux de pain d’un énorme sandwich.
Les jumeaux vont et viennent en moi, s’enfonçant et se retirant au même rythme, leurs verges se cognant l’une contre l’autre avant de glisser à l’intérieur, uniquement séparées par une fine cloison de chair.
Je me fais baiser par les jumeaux, par devant et par derrière, et pour une première je dois dire que j’adore la sensation de ces deux chibres m’embrochant ensemble.
Et le pire, c’est que j’aime ça ! Je suis prête à tout faire pour les satisfaire jusqu'au bout !
Xavier revient à ses vieux démons, me prenant de plus en plus fort mais il se désynchronise avec son frère et sa bite s’échappe de mon vagin.
Son frère en profite pour sortir son sexe de mon anneau dilaté et reprendre une voie plus étudiée par la nature à ce genre d’exercice.
Mais son jumeau ne l’entend pas de cette oreille et se présente à nouveau à l’orée de mon temple déjà occupé.
Je sens la pression de son gland écrasé entre la bite de son frère et ma fente, lui crie d’arrêter mais il est sourd à mes suppliques.
La sensation est monstrueuse. Ma vulve est forcée de s’adapter à ces deux pieux qui me forcent, mon vagin est dilaté à l’extrême par ces deux sexes identiques heureusement d’une taille que mon corps peut supporter. Je déguste quand même salement et l’insulte en pleurs.
Après un moment de flottement, Xavier se met à me piner alors que son frère reste immobile. Sous ce traitement peu conventionnel, je me rends compte que mon corps est en train de répondre, je gémis de plaisir. Jules, rassuré, donne lui aussi des coups de reins et leurs deux pines s’astiquent l’une l’autre en moi.
Comment mon vagin peut-t-il supporter un tel supplice ?
Je remonte dans les tours quand un nouvel orgasme me traverse tout le corps. Je hurle de plaisir sous les coups de boutoir des deux jumeaux. Je suis au Nirvana de l’amour, jouissant
Comme une folle.
Jules s’est retiré pour retrouver l’intimité de mon petit trou mais de temps en temps revient voir son frère dans la fente d’à coté comme s’il avait un doute sur la possibilité de faire entrer leurs deus rostres dans une seule ouverture.
Je ne peux pas dire ce qui me fait le plus jouir, devant, derrière, les deux au même endroit ?
Je préfère quand même Jules, toujours aussi attentionné, à l’écoute de mes désirs, à la force brutale de son jumeau.
J’ai déjà vu sur le net des hommes avec une verge monstrueuse mais les deux pénis qui coulissent en moi me prouvent que je pourrais les accepter sans problème.
Ils ont beaux être si différents dans la façon de me faire hurler de bonheur sous leurs deux merveilleux phallus, une symbiose comme n’en connaissent que les vrais jumeaux les relit.
Sous leurs coups, une énième jouissance me tétanise quand je sens comme à l’unisson gonfler en moi leurs lances qui crachent leur lave blanche me graissant copieusement mes deux trous.
Nous restons unis dans les bras l’un de l’autre. Ils m’embrassent, leurs mains se font lascives sur mon corps repu de sexe.
-Alors, me demande avec un peu d’anxiété Xavier, tu as aimé ? Tu serais prête à recommencer une autre fois ?
Ils sont impatients de connaître ma réponse, de savoir si je vais rejeter sa proposition.
J’ai un choix à faire, ou même plusieurs : N’en garder qu’un seul et bien sûr je choisirai Jules, mon amour. Ne plus avoir à faire avec ces amants gémellaires. Et la 3ème solution, revivre à nouveau cette folle et intense sensation dans ce triolisme infernal.
Je crois qu’ils ne se font pas trop de soucis sur ma décision finale. Je ne pourrais plus me passer de Jules et je réalise qu’il m’a encore plus prouvé son amour en me partageant avec son double diabolique.
Je suis sa chose et s’il me le demande, il sera mon seul amant ou le jouet sexuel de leurs jeux de frères dépravés.
-DEMANDE A TON FRÈRE……………………………………
Bonjour, je vais vous raconter l’aventure qu’il m’est arrivée dans ma jeunesse.
Suite :
Je les fais se lever pour qu’ils me présentent les glands violacés que j’engouffre en même temps dans ma bouche. J’essaie de les amener au point de non-retour en même temps.
Xavier décharge enfin dans ma bouche à peine quelques secondes avant Jules.
J’ai la bouche pleine de leurs spermes mêlés, je pétris leurs bourses gonflées qui donnent tout ce qu’elles peuvent dans un ultime spasme, ne voulant rien perdre de ce divin nectar.
Comme dans les films pornos, j’ouvre ma bouche pleine de leurs semences pour leur montrer qu’ils sont de braves petits soldats reproducteurs et dois déglutir plusieurs fois avant de rouvrir la bouche pour leur prouver que j’ai tout avalé.
Ils sont aussitôt revenus à l’assaut de mon corps, vingt doigts me caressent, me pincent, claquent sur mes fesses, me fouillent le vagin, s’attardent sur mon clito, m’arrachant des râles et des gloussements de femelle en chaleur à une vitesse folle.
Quand l’un arrête son exploration d’un endroit de mon corps, je n’ai aucun répit car son jumeau prend immédiatement la relève.
Je suis exsangue n’ayant pas un instant de calme pour redescendre sur terre. C’est complètement dément, irréel, intense. Les jumeaux me rendent complètement folle, me font jouir sans interruption !
Ils bandent à nouveau comme des taureaux, je ne sais plus qui est qui.
L’un des jumeaux c’est mit entre mes jambes, il pose mes talons sur ses épaules et s’introduit en moi. Je reconnais aussitôt Jules. Sa verge est comme une dague de velours qu’il introduit dans mon fourreau. Un râle sort de ma bouche qui se transforme en grognement sourd quand Xavier me prend par les cheveux avec brutalité pour que je suce la copie conforme de ce qui me fouille le ventre.
Il me pince le mamelon gauche, mes gémissements de plaisir et de douleur sont de plus en plus sonores. Je ne peux plus me contrôler sous ses excitations de toute part, je sens monter en moi un nouvel orgasme.
Mais je ne m’attendais pas à ce qu’il soit si violent, je ne suis plus que terminaisons nerveuses exacerbées. On dirait que toutes les fibres de mon corps, tous mes muscles se tétanisent et laissent sourdre en moi une marée irréelle de jouissance qui vagues après vagues déferlent dans mon corps avec une puissance incontrôlable.
Saoule de plaisir, je hurle comme une folle sous cet orgasme puissance dix qui n’en finit plus, Je me tords sous la puissance des spasmes qui irradient dans mon sexe pour remonter dans mes seins et exploser en apothéose dans ma tête.
Je ne suis plus qu’une boule de nerfs hypersensibles qui ne peut plus supporter le moindre frottement. Je voudrais avoir un moment pour reprendre mon souffle et récupérer un peu mais Xavier est trop impatient et prend immédiatement la place de Jules. Et lui ne fait pas dans la délicatesse et m’embroche d’une seule poussée.
Les frottements de sa verge sur mon clito sont insupportables tellement il est devenu sensible, je râle à en fendre l’âme mais il n’en a cure et me lime avec violence. Heureusement que son frère étouffe mes gémissements en m’embrassant avec amour sinon je hurlerais si fort que les voisins préviendraient la police.
Je suis si sensible qu’un nouvel orgasme puis un autre s’enchaînent en un temps très court.
Je ne sais pas pendant combien de temps je n’ai été qu’une poupée de chiffon entre leurs mains. Je n’étais plus en état pour m’en rendre compte. N’était-ce qu’un rêve ? Un fantasme ?
Quand enfin je remonte à la surface, retrouvant un peu de lucidité, je suis entre eux. Je n’ai pas rêvé…
Je ferme les yeux, j’ai à peine le temps de récupérer que Xavier se saisit de ma main et la pose sur sa verge enfin au repos. Voyant ça, sont frère fait de même avec mon autre main.
Pendant quelques minutes, nous restons ainsi mais Xavier s’impatiente et se saisit de ma main pour la faire bouger sur son organe. Je m’active un peu et sous mes caresses lascives la vie reprend dans ses excroissances flasques.
Elles croissent exponentiellement en longueur et en volume, il ne faut pas bien de temps pour que mes mains astiquent de superbes pénis bien durs et d’une rigidité parfaite.
Xavier me tourne face à lui, se glisse entre mes jambes, sa verge retrouve vite sa grotte préférée, chaude et humide, pour une fois, il m’embroche avec douceur.
Jules ne veut pas rester en reste et se colle contre mon dos dans la position de la cuillère.
Je sens son mandrin glisser entre mes fesses et aller à la rencontre de celui de son double qui a déjà investit mon sexe.
Déçu de trouver le trou occupé, sa tête explore les environs à la recherche d’une porte dérobée et découvre une entrée sombre et toute fripée.
Je suis vierge de ce coté-là et instinctivement je serre les fesses pour m’y opposer mais je suis prisonnière entre les corps musclés des jumeaux.
Je ne peux rien y faire et me résigne contre l’inéluctable. La verge de Jules comprime mon anus qui cède et s’ouvre devant son bélier, engloutissant sans coup-férir la prune violette.
Il pose ses mains sur mes hanches et projette son bassin en avant, puissant, mon sphincter laisse passer la hampe qui s’enfonce le plus loin possible entre mes fesses.
Je serre les dents sous cette intromission mais suis étonnée que ça se passe si facilement.
Je suis la tranche de jambon entre les deux morceaux de pain d’un énorme sandwich.
Les jumeaux vont et viennent en moi, s’enfonçant et se retirant au même rythme, leurs verges se cognant l’une contre l’autre avant de glisser à l’intérieur, uniquement séparées par une fine cloison de chair.
Je me fais baiser par les jumeaux, par devant et par derrière, et pour une première je dois dire que j’adore la sensation de ces deux chibres m’embrochant ensemble.
Et le pire, c’est que j’aime ça ! Je suis prête à tout faire pour les satisfaire jusqu'au bout !
Xavier revient à ses vieux démons, me prenant de plus en plus fort mais il se désynchronise avec son frère et sa bite s’échappe de mon vagin.
Son frère en profite pour sortir son sexe de mon anneau dilaté et reprendre une voie plus étudiée par la nature à ce genre d’exercice.
Mais son jumeau ne l’entend pas de cette oreille et se présente à nouveau à l’orée de mon temple déjà occupé.
Je sens la pression de son gland écrasé entre la bite de son frère et ma fente, lui crie d’arrêter mais il est sourd à mes suppliques.
La sensation est monstrueuse. Ma vulve est forcée de s’adapter à ces deux pieux qui me forcent, mon vagin est dilaté à l’extrême par ces deux sexes identiques heureusement d’une taille que mon corps peut supporter. Je déguste quand même salement et l’insulte en pleurs.
Après un moment de flottement, Xavier se met à me piner alors que son frère reste immobile. Sous ce traitement peu conventionnel, je me rends compte que mon corps est en train de répondre, je gémis de plaisir. Jules, rassuré, donne lui aussi des coups de reins et leurs deux pines s’astiquent l’une l’autre en moi.
Comment mon vagin peut-t-il supporter un tel supplice ?
Je remonte dans les tours quand un nouvel orgasme me traverse tout le corps. Je hurle de plaisir sous les coups de boutoir des deux jumeaux. Je suis au Nirvana de l’amour, jouissant
Comme une folle.
Jules s’est retiré pour retrouver l’intimité de mon petit trou mais de temps en temps revient voir son frère dans la fente d’à coté comme s’il avait un doute sur la possibilité de faire entrer leurs deus rostres dans une seule ouverture.
Je ne peux pas dire ce qui me fait le plus jouir, devant, derrière, les deux au même endroit ?
Je préfère quand même Jules, toujours aussi attentionné, à l’écoute de mes désirs, à la force brutale de son jumeau.
J’ai déjà vu sur le net des hommes avec une verge monstrueuse mais les deux pénis qui coulissent en moi me prouvent que je pourrais les accepter sans problème.
Ils ont beaux être si différents dans la façon de me faire hurler de bonheur sous leurs deux merveilleux phallus, une symbiose comme n’en connaissent que les vrais jumeaux les relit.
Sous leurs coups, une énième jouissance me tétanise quand je sens comme à l’unisson gonfler en moi leurs lances qui crachent leur lave blanche me graissant copieusement mes deux trous.
Nous restons unis dans les bras l’un de l’autre. Ils m’embrassent, leurs mains se font lascives sur mon corps repu de sexe.
-Alors, me demande avec un peu d’anxiété Xavier, tu as aimé ? Tu serais prête à recommencer une autre fois ?
Ils sont impatients de connaître ma réponse, de savoir si je vais rejeter sa proposition.
J’ai un choix à faire, ou même plusieurs : N’en garder qu’un seul et bien sûr je choisirai Jules, mon amour. Ne plus avoir à faire avec ces amants gémellaires. Et la 3ème solution, revivre à nouveau cette folle et intense sensation dans ce triolisme infernal.
Je crois qu’ils ne se font pas trop de soucis sur ma décision finale. Je ne pourrais plus me passer de Jules et je réalise qu’il m’a encore plus prouvé son amour en me partageant avec son double diabolique.
Je suis sa chose et s’il me le demande, il sera mon seul amant ou le jouet sexuel de leurs jeux de frères dépravés.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Bonjour Mlkjhg, pas de remarque liminaire, pas de correction orthographique, que du plaisir à lire ce récit si bien écrit et si excitant quoique...non, je blague, pas de quoique ! et pas de couac. mdr
Merci pour ce beau conte qui en cette période de Noël n'est pas un conte de...et pourtant une merveilleuse histoire qui m'a bien plu !!!
Didier
Merci pour ce beau conte qui en cette période de Noël n'est pas un conte de...et pourtant une merveilleuse histoire qui m'a bien plu !!!
Didier
que j'aimerais connaître une telle aventure