Un amour hors du commun

Récit érotique écrit par linsee [→ Accès à sa fiche auteur]
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Un amour hors du commun
Laureen, est une femme mûre aux formes généreuses, mariée en deuxième noce à Paul un homme qui souvent la délaisse, au profit de son travail, qui lui prend énormément de temps. Paul à un fils d'un premier mariage, Logan 19 ans. Le coquin depuis qu'il a vu sa belle-maman, fantasme sur elle.
les peu de fois que son papa l'honore, il l'entend gémir. Et cela le met dans un état d'excitation terrible. Il en arrive à jalouser son papa. Pour apaiser ses pulsions, il se masturbe avec violence, en imaginant qu'il défonce sa belle-maman. Ses éjaculations puissantes, sont démentielles.
Cela fait déjà plus d'un mois, que son papa, délaisse sexuellement Laureen. Il est 23 heures, Logan, est assit a côté de belle-maman sur le canapé, ils regardent la télé ensemble. Paul est déjà couché.
Ils échangent quelques sourires, mais ne se parlent pas. Logan ose poser sa main sur la cuisse de Laureen, surprise, elle sursaute, mais ne repousse pas la main, qui avec douceur comment à lui caresser la cuisse. Logan devient plus audacieux, très, très lentement, ses doigts glissent sous la jupe, et montent en tremblant sur la peau satinée. Laureen frémit, la main glisse entre ses cuisses, mais lorsque le bouts des doigts viennent buter contre son bas ventre, elle réagit. D'un geste vif, Laureen serre les cuisses, et emprisonne les intrus. Elle regarde son beau-fils en fronçant les sourcils et en faisant une moue. Elle secoue la tête négativement.
C'est déçu que Logan retire sa main, il regarde sa belle-maman, lui sourit et la foudroie du regard. Laureen répond à son sourire, et rabat sa jupe. Les jours suivant, souvent, il lui prend la main, l'embrasse, la caresse. Pour lui, chaque occasion est bonne pour se frotter à elle. Laureen est très émue pas ses caresses et les petits compliments qu'il lui dit.
C'est le week-end, Paul très tôt, a rejoint ses amis pour une partie de pêche. Mais avant, le brave homme a préparer le petit déjeuner. Logan, vêtu que d'un boxer, prend son café, en attendant avec un patience la venue de belle-maman.
Enfin il l'aperçoit, en haut de l'escalier, il ravale sa salive, en la voyant descendre une à une les marches sans se presser, son cœur s'emballe. Elle est nue sous sa courte nuisette. Le tissu comme un voile, floute un peu le corps de son amour secret.
Il se crève les yeux, en regardant la fine toison qui semble soyeuse, il reste baba en fixant du regard les mamelons épais qui appuient sur le fin tissu comme pour le percer. Laureen s'étire, se mouvement involontaire, découvre entièrement ses cuisses, Logan aperçoit un court instant la vulve aux lèvres bien dessinées, il écarquille les yeux, son cœur se serre. Une fois en bas, souriante, elle embrasse son beau-fils. Les yeux de Logan pétillent d'amour, pour cette femme qui a un corps avantageux. Elle prend place en face de lui, et commence à prendre son petit déjeuner.
Souvent ils échangent des sourires, mais parlent peu. Les yeux de Logan sont rivés sur la poitrine généreuse de Laureen. Bien que ce ne soit pas net, les bouts larges et épais plantés au centre d'aréoles brunes, l'hypnotise. Il avale son bol de café, sans faire une pause. Enfin, Laureen termine, elle se lève prend les bols et les amène à la cuisine. Elle se penche sur l'évier. Logan se lève, et la rejoint, il l'enlace et se plaque à elle. Il frotte son bassin contre les fesses bien rebondis de sa belle-maman qui se cabre légèrement.
Il lui donne une multitude de baisers, sur la nuque et le cou. Laureen frissonne, sa respiration s'accélère. Les ondulations du bassins de Logan se font plus appuyées. Il lui mordille le lobe de l'oreille, le suçote un instant avant de lui donner un baiser bruyant sur le cou. Laureen frémit, elle pousse un gros soupir. Elle sent contre son fessier l'érection naissante de son beau-fils, qui agite de plus en plus son bassin. Laureen défaille elle s'accroche à l'évier pour éviter de chuter. Elle grommelle faiblement :
-Logan, non, non, il ne faut pas c'est malsain !
Il répond en béguant :
- Tu n'as pas compris que je t'aime, tu me rends fou, tu hantes mes nuits !
En disant ses mots, il fait glisser verge tendue au maximum, contre les fesses de Laureen qui souffle comme un dragon. Laureen se raidit et dit faiblement :
-Logan, Logan non, ne fais pas l'idiot, arrête, arrête, je suis la femme de ton papa !
Il lui dit tout en la serrant contre lui :
-Je sais que tu es en manque de sexe, sois à moi, je te désir tellement !
En s'agrippant à l'évier, Laureen répond avec des sanglots dans la voix :
-Tu es fou Logan, je ne suis pas un jouet, je ne peux faire une chose pareille !
Elle réussit à se retourner et elle lui fait face. C'est les yeux remplis de larmes que dit :
-Laisse-moi; monte te coucher, sois raisonnable !
Il la serre fortement contre lui, elle ne peut ignorer la verge qui lui laboure le ventre. Il répond :
-Tu sens dans l'état que tu me mets, je suis certain, que tu as envie que je te prenne comme une chienne, allez, dis le, sois courageuse !
Laureen ravale bruyamment sa salive, elle dit en s'accrochant son beau-fils :
-Tu es un monstre Logan, tu divagues!
Sans se soucier des conséquences, et arrivera ce qu'il arrivera, Logan pose ses lèvres sur celles de belle-maman, qui surprise par cet assaut soudain, veut dire quelque chose. Mais le coquin, en profite pour introduire dans la bouche entre ouverte de Laureen sa langue. Il la noue à la sienne. Laureen appuie fortement sur la poitrine de Logan pour le repousser, mais elle est sans force, et ne peut que s'accrocher à lui. les souffles se font bruyants, les langues s'agitent doucement. Laureen désir aussi son beau-fils, mais n'ose l'avouer, petit à petit, elle cède. Elle passe ses bras autour de son cou, et lui rend son baiser.
Un échange de salive se fait, les langues qui s'enroulent, semblent s'accoupler comme deux reptiles. Le baiser et vraiment un baiser d'amour, il dure de longues minutes. Les respirations s'accélèrent, Laureen se lâche, le baiser devient plus fougueux. Un fois, à bout de souffle, les deux amoureux se regardent, leurs yeux pétillent comme du champagne. la voix pleine de trémolos, Laureen dit :
-Nous sommes fous Logan, j'avoue que moi aussi j'ai des sentiments autre que platoniques pour toi !
les lèvres se joignent à nouveau, pour un long baiser. Logan bascule son amour sur la table de la cuisine, dans sa précipitation, il lui déchire la nuisette. la vulve apparait dans toute sa splendeur, il est fasciné par ce temple d'amour qu'il désir visiter. Il saisit la nuisette et d'un coup sec la déchire totalement, il l'ouvre et admire la poitrine de Laureen, qui se soulève de plus en plus rapidement. Les mamelons larges et épais, trônent au centre d'aréoles fortement grenelées.
Logan, cerne de ses mains les lobes généreux, et les malaxe doucement, ses doigts s'enfoncent dans les chairs souples, en arrachant à belle-maman de petits gémissements. Ses doigts habiles, roulent les mamelons, les étire, les écrase pour les stimuler. De faibles gémissements sortent de la bouche de Laureen, qui pâme de plus en plus.
Logan gobe un à un les mamelons, il les suce, les tète, à en faire geindre Laureen de plaisir. les bouts subissent des succions comme jamais ils n'ont eu. Laureen défaille, elle souffle comme un dragon. Enfin la bouche affamée, délaisse les mamelons et descend sur le corps fébrile. Chaque parcelle de peau, reçoit soit un baiser ou une léchette. Le nombril, n'est pas épargné, la langue le taquine, avant de reprendre sa progression vers le centre des plaisirs. Logan hume la vulve qui suinte légèrement, donne quelques coups de langues sur les perles qu'elle rejette. Ave<c habileté, Logan fait glisser sa langue entre les grandes lèvres, et la fait monter et descendre de nombreuses fois dans le sillon. De temps en temps, il agace le clito en lui donnant un coup de langue. Ce traitement inhabituel, fait geindre Laureen, qui se cambre pour bien offrir à son amant sa boule précieuse.
Logan la gobe, Laureen se cabre en poussant un long gémissement. Les succions, les aspirations redoutables, font gémir Laureen comme un animal blessé. le clito devient monstrueux, le jeune amant le dévore comme un affamé. La vulve devient un petit ru de campagne. Logan s'abreuve à cette source intarissable, il avale tout ce qu'elle lui offre. Laureen est sur une autre planète, elle agite son bassin en geignant comme une agonisante. La tension monte encore dans son corps. Son amant enfonce profondément sa langue dans son puits d'amour et le fouille à l'en faire grogner férocement. Une jouissance la fait cabrer, elle se mord la main pour ne pas hurler. Son corps retombe lourdement sur la table, elle halète fortement en ne cessant de répéter :
-Oh mon Dieu, oh mon Dieu, Logan, Logan, c'est démentiel !
Il se redresse, il semble satisfait de lui, il retire son boxer, sa verge jaillit, et se dresse comme un mât de cocagne. Les yeux vitreux de Laureen, ne quittent pas le manche qui est secoué de soubresauts. Il avance vers elle et lui, offre le gland marbré, qu'il vient de décalotter. Maladroitement, Laureen saisit la verge tendue, et en avance sa tête vers au plus près, elle ouvre ma bouche et engloutit le gland qu'elle commence à sucer. les succions et les aspirations prennent rapidement de l'ampleur. A chaque aspiration, Maureen pousse un grognement. Logan et aux anges, il ferme mes yeux, et se laisse emporter par cette vague de bonheur.
Quant à belle-maman, elle se laisse emporter par le trop plein l'excitation. Elle suce et tète comme une vorace le gland large et épais qui laisse échapper quelques perles de rosée. Elle accompagne les succions, par des gémissements qui résonnent dans la cuisine. Logan, ne cesse de geindre, soudain il se raidit et envoie dans la bouche de la suceuse une puissante giclée de sperme brûlant. la décharge est telle, que du sperme s'échappe à la commissure des lèvres de Laureen, elle se pince les lèvres, regarde son beau-fils en se savant quoi faire. Logan remarque l'embarras de sa belle-maman, et lui dit en souriant :
-Avale, avale ma chérie !
Surprise par cet demande, Laureen par petites gorgées, avale la crème onctueuse qui glisse doucement dans sa gorge, elle finit par avaler la totalité du don si généreusement offert. C'est la première fois qu'elle avale, à chaque fellation qu'elle pratiquait, elle recrachait toujours le sperme, car elle trouait cela immonde, et là, elle avale sans rechigner. Elle s'essuie les lèvres, d'un revers de la main.
Logan approche sa verge du temple d'amour, frotte son gland gluant sur les lèvres dégoulinantes de cyprine, et pousse. En s'agrippant à lui, Laureen, pousse un long gémissement. La verge s'enfonce en elle, jusqu'à ce que les bourses velues frappent sa chatte. Logan commence le va-et-vient, qui rapidement prend de la vitesse. belle-maman gémit de plus en plus fort, le gland épais racle les parois sensibles du vagin, en lui arrachant des gémissements incontrôlables. Logan semble s'acharner sur elle, il donne des coups de reins dévastateurs. Il frappe avec force la chatte en délire de son amante. la queue redoutable voyage dans le ventre de Laureen, en la faisant geindre comme un animal malade.
Le gland ravageur qui lui rabote le col de l'utérus, la fait cabrer. à chaque enfoncement du pieu en elle, Laureen ne peut s'empêcher de marmonner :
-Logan, oui, mon chéri défonce-moi, fais de moi ta chienne, oh c'est trop bon, continue, continue, ça vient, ça vient ouiiiiiiii !
Elle se cambre fortement, et explose de jouissance. Elle ne retient pas ses cris de plaisirs, qui resonnent terriblement dans la pièce. Logan lui travaille le ventre comme un beau diable, une seconde jouissance fait hurler son amante, qui se soulève comme un pont en pleine tempête. Enfin, Logan en grognant comme un fauve qui rugit, il lui remplit le ventre de sperme. Il donne encore quelques estocades violentes avant de se retirer du ventre si accueillant de belle-maman.
les peu de fois que son papa l'honore, il l'entend gémir. Et cela le met dans un état d'excitation terrible. Il en arrive à jalouser son papa. Pour apaiser ses pulsions, il se masturbe avec violence, en imaginant qu'il défonce sa belle-maman. Ses éjaculations puissantes, sont démentielles.
Cela fait déjà plus d'un mois, que son papa, délaisse sexuellement Laureen. Il est 23 heures, Logan, est assit a côté de belle-maman sur le canapé, ils regardent la télé ensemble. Paul est déjà couché.
Ils échangent quelques sourires, mais ne se parlent pas. Logan ose poser sa main sur la cuisse de Laureen, surprise, elle sursaute, mais ne repousse pas la main, qui avec douceur comment à lui caresser la cuisse. Logan devient plus audacieux, très, très lentement, ses doigts glissent sous la jupe, et montent en tremblant sur la peau satinée. Laureen frémit, la main glisse entre ses cuisses, mais lorsque le bouts des doigts viennent buter contre son bas ventre, elle réagit. D'un geste vif, Laureen serre les cuisses, et emprisonne les intrus. Elle regarde son beau-fils en fronçant les sourcils et en faisant une moue. Elle secoue la tête négativement.
C'est déçu que Logan retire sa main, il regarde sa belle-maman, lui sourit et la foudroie du regard. Laureen répond à son sourire, et rabat sa jupe. Les jours suivant, souvent, il lui prend la main, l'embrasse, la caresse. Pour lui, chaque occasion est bonne pour se frotter à elle. Laureen est très émue pas ses caresses et les petits compliments qu'il lui dit.
C'est le week-end, Paul très tôt, a rejoint ses amis pour une partie de pêche. Mais avant, le brave homme a préparer le petit déjeuner. Logan, vêtu que d'un boxer, prend son café, en attendant avec un patience la venue de belle-maman.
Enfin il l'aperçoit, en haut de l'escalier, il ravale sa salive, en la voyant descendre une à une les marches sans se presser, son cœur s'emballe. Elle est nue sous sa courte nuisette. Le tissu comme un voile, floute un peu le corps de son amour secret.
Il se crève les yeux, en regardant la fine toison qui semble soyeuse, il reste baba en fixant du regard les mamelons épais qui appuient sur le fin tissu comme pour le percer. Laureen s'étire, se mouvement involontaire, découvre entièrement ses cuisses, Logan aperçoit un court instant la vulve aux lèvres bien dessinées, il écarquille les yeux, son cœur se serre. Une fois en bas, souriante, elle embrasse son beau-fils. Les yeux de Logan pétillent d'amour, pour cette femme qui a un corps avantageux. Elle prend place en face de lui, et commence à prendre son petit déjeuner.
Souvent ils échangent des sourires, mais parlent peu. Les yeux de Logan sont rivés sur la poitrine généreuse de Laureen. Bien que ce ne soit pas net, les bouts larges et épais plantés au centre d'aréoles brunes, l'hypnotise. Il avale son bol de café, sans faire une pause. Enfin, Laureen termine, elle se lève prend les bols et les amène à la cuisine. Elle se penche sur l'évier. Logan se lève, et la rejoint, il l'enlace et se plaque à elle. Il frotte son bassin contre les fesses bien rebondis de sa belle-maman qui se cabre légèrement.
Il lui donne une multitude de baisers, sur la nuque et le cou. Laureen frissonne, sa respiration s'accélère. Les ondulations du bassins de Logan se font plus appuyées. Il lui mordille le lobe de l'oreille, le suçote un instant avant de lui donner un baiser bruyant sur le cou. Laureen frémit, elle pousse un gros soupir. Elle sent contre son fessier l'érection naissante de son beau-fils, qui agite de plus en plus son bassin. Laureen défaille elle s'accroche à l'évier pour éviter de chuter. Elle grommelle faiblement :
-Logan, non, non, il ne faut pas c'est malsain !
Il répond en béguant :
- Tu n'as pas compris que je t'aime, tu me rends fou, tu hantes mes nuits !
En disant ses mots, il fait glisser verge tendue au maximum, contre les fesses de Laureen qui souffle comme un dragon. Laureen se raidit et dit faiblement :
-Logan, Logan non, ne fais pas l'idiot, arrête, arrête, je suis la femme de ton papa !
Il lui dit tout en la serrant contre lui :
-Je sais que tu es en manque de sexe, sois à moi, je te désir tellement !
En s'agrippant à l'évier, Laureen répond avec des sanglots dans la voix :
-Tu es fou Logan, je ne suis pas un jouet, je ne peux faire une chose pareille !
Elle réussit à se retourner et elle lui fait face. C'est les yeux remplis de larmes que dit :
-Laisse-moi; monte te coucher, sois raisonnable !
Il la serre fortement contre lui, elle ne peut ignorer la verge qui lui laboure le ventre. Il répond :
-Tu sens dans l'état que tu me mets, je suis certain, que tu as envie que je te prenne comme une chienne, allez, dis le, sois courageuse !
Laureen ravale bruyamment sa salive, elle dit en s'accrochant son beau-fils :
-Tu es un monstre Logan, tu divagues!
Sans se soucier des conséquences, et arrivera ce qu'il arrivera, Logan pose ses lèvres sur celles de belle-maman, qui surprise par cet assaut soudain, veut dire quelque chose. Mais le coquin, en profite pour introduire dans la bouche entre ouverte de Laureen sa langue. Il la noue à la sienne. Laureen appuie fortement sur la poitrine de Logan pour le repousser, mais elle est sans force, et ne peut que s'accrocher à lui. les souffles se font bruyants, les langues s'agitent doucement. Laureen désir aussi son beau-fils, mais n'ose l'avouer, petit à petit, elle cède. Elle passe ses bras autour de son cou, et lui rend son baiser.
Un échange de salive se fait, les langues qui s'enroulent, semblent s'accoupler comme deux reptiles. Le baiser et vraiment un baiser d'amour, il dure de longues minutes. Les respirations s'accélèrent, Laureen se lâche, le baiser devient plus fougueux. Un fois, à bout de souffle, les deux amoureux se regardent, leurs yeux pétillent comme du champagne. la voix pleine de trémolos, Laureen dit :
-Nous sommes fous Logan, j'avoue que moi aussi j'ai des sentiments autre que platoniques pour toi !
les lèvres se joignent à nouveau, pour un long baiser. Logan bascule son amour sur la table de la cuisine, dans sa précipitation, il lui déchire la nuisette. la vulve apparait dans toute sa splendeur, il est fasciné par ce temple d'amour qu'il désir visiter. Il saisit la nuisette et d'un coup sec la déchire totalement, il l'ouvre et admire la poitrine de Laureen, qui se soulève de plus en plus rapidement. Les mamelons larges et épais, trônent au centre d'aréoles fortement grenelées.
Logan, cerne de ses mains les lobes généreux, et les malaxe doucement, ses doigts s'enfoncent dans les chairs souples, en arrachant à belle-maman de petits gémissements. Ses doigts habiles, roulent les mamelons, les étire, les écrase pour les stimuler. De faibles gémissements sortent de la bouche de Laureen, qui pâme de plus en plus.
Logan gobe un à un les mamelons, il les suce, les tète, à en faire geindre Laureen de plaisir. les bouts subissent des succions comme jamais ils n'ont eu. Laureen défaille, elle souffle comme un dragon. Enfin la bouche affamée, délaisse les mamelons et descend sur le corps fébrile. Chaque parcelle de peau, reçoit soit un baiser ou une léchette. Le nombril, n'est pas épargné, la langue le taquine, avant de reprendre sa progression vers le centre des plaisirs. Logan hume la vulve qui suinte légèrement, donne quelques coups de langues sur les perles qu'elle rejette. Ave<c habileté, Logan fait glisser sa langue entre les grandes lèvres, et la fait monter et descendre de nombreuses fois dans le sillon. De temps en temps, il agace le clito en lui donnant un coup de langue. Ce traitement inhabituel, fait geindre Laureen, qui se cambre pour bien offrir à son amant sa boule précieuse.
Logan la gobe, Laureen se cabre en poussant un long gémissement. Les succions, les aspirations redoutables, font gémir Laureen comme un animal blessé. le clito devient monstrueux, le jeune amant le dévore comme un affamé. La vulve devient un petit ru de campagne. Logan s'abreuve à cette source intarissable, il avale tout ce qu'elle lui offre. Laureen est sur une autre planète, elle agite son bassin en geignant comme une agonisante. La tension monte encore dans son corps. Son amant enfonce profondément sa langue dans son puits d'amour et le fouille à l'en faire grogner férocement. Une jouissance la fait cabrer, elle se mord la main pour ne pas hurler. Son corps retombe lourdement sur la table, elle halète fortement en ne cessant de répéter :
-Oh mon Dieu, oh mon Dieu, Logan, Logan, c'est démentiel !
Il se redresse, il semble satisfait de lui, il retire son boxer, sa verge jaillit, et se dresse comme un mât de cocagne. Les yeux vitreux de Laureen, ne quittent pas le manche qui est secoué de soubresauts. Il avance vers elle et lui, offre le gland marbré, qu'il vient de décalotter. Maladroitement, Laureen saisit la verge tendue, et en avance sa tête vers au plus près, elle ouvre ma bouche et engloutit le gland qu'elle commence à sucer. les succions et les aspirations prennent rapidement de l'ampleur. A chaque aspiration, Maureen pousse un grognement. Logan et aux anges, il ferme mes yeux, et se laisse emporter par cette vague de bonheur.
Quant à belle-maman, elle se laisse emporter par le trop plein l'excitation. Elle suce et tète comme une vorace le gland large et épais qui laisse échapper quelques perles de rosée. Elle accompagne les succions, par des gémissements qui résonnent dans la cuisine. Logan, ne cesse de geindre, soudain il se raidit et envoie dans la bouche de la suceuse une puissante giclée de sperme brûlant. la décharge est telle, que du sperme s'échappe à la commissure des lèvres de Laureen, elle se pince les lèvres, regarde son beau-fils en se savant quoi faire. Logan remarque l'embarras de sa belle-maman, et lui dit en souriant :
-Avale, avale ma chérie !
Surprise par cet demande, Laureen par petites gorgées, avale la crème onctueuse qui glisse doucement dans sa gorge, elle finit par avaler la totalité du don si généreusement offert. C'est la première fois qu'elle avale, à chaque fellation qu'elle pratiquait, elle recrachait toujours le sperme, car elle trouait cela immonde, et là, elle avale sans rechigner. Elle s'essuie les lèvres, d'un revers de la main.
Logan approche sa verge du temple d'amour, frotte son gland gluant sur les lèvres dégoulinantes de cyprine, et pousse. En s'agrippant à lui, Laureen, pousse un long gémissement. La verge s'enfonce en elle, jusqu'à ce que les bourses velues frappent sa chatte. Logan commence le va-et-vient, qui rapidement prend de la vitesse. belle-maman gémit de plus en plus fort, le gland épais racle les parois sensibles du vagin, en lui arrachant des gémissements incontrôlables. Logan semble s'acharner sur elle, il donne des coups de reins dévastateurs. Il frappe avec force la chatte en délire de son amante. la queue redoutable voyage dans le ventre de Laureen, en la faisant geindre comme un animal malade.
Le gland ravageur qui lui rabote le col de l'utérus, la fait cabrer. à chaque enfoncement du pieu en elle, Laureen ne peut s'empêcher de marmonner :
-Logan, oui, mon chéri défonce-moi, fais de moi ta chienne, oh c'est trop bon, continue, continue, ça vient, ça vient ouiiiiiiii !
Elle se cambre fortement, et explose de jouissance. Elle ne retient pas ses cris de plaisirs, qui resonnent terriblement dans la pièce. Logan lui travaille le ventre comme un beau diable, une seconde jouissance fait hurler son amante, qui se soulève comme un pont en pleine tempête. Enfin, Logan en grognant comme un fauve qui rugit, il lui remplit le ventre de sperme. Il donne encore quelques estocades violentes avant de se retirer du ventre si accueillant de belle-maman.
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