Un beauf-rère d'amour et un mari à la page - histoire érotique

Un beau frère d'amour et mari à la page.

Mariette ressent une boule au ventre chaque fois qu'elle voit, son beau-frère, Luc. Elle essaie de garder ses sentiments pour elle, mais chaque regard échangé, ne fait qu'intensifier son amour secret. Elle se demande si un jour elle aura le courage de lui avouer ce qu'elle ressent, ou si elle devra continuer à vivre avec cette passion silencieuse.

Elle sait que c’est interdit, mais elle ne peut s’empêcher de fantasmer sur lui. Elle imagine l’embrasser, sentir ses mains parcourir son corps. Dans ses pensées, elle se voit le pousser contre le mur, l’embrasser fougueusement. Elle rêve de s’abandonner à cette tentation, même si la culpabilité la ronge.

Pourtant, chaque fois qu’ils se croisent, le désir devient presque insupportable. Elle se demande jusqu’où elle pourrait aller, pour assouvir cette passion interdite. La tentation est trop forte, et chaque instant passé en sa compagnie ne fait qu’accroître cette envie brûlante qu’elle ne peut plus contenir.


Lorsqu’ils se retrouvent seuls, elle sent une chaleur envahir son corps. Son cœur bat à tout rompre, ses mains tremblent légèrement. Dans ses pensées, elle se laisse emporter par des images qu’elle n’ose pas avouer à voix haute. Elle imagine ses doigts parcourant la peau de Luc, ses lèvres posées sur son cou, ses mains qui explorent chaque courbe de son corps.

Mais à chaque fois qu’elle le voit, la tension devient insupportable. Elle se demande si lui aussi ressent quelques chose pour elle. Mariette se demande jusqu’où elle serait prête à aller, pour vivre cette passion. Elle sait qu’elle joue avec le feu, mais que tout ce qu’elle veut, c’est céder à cette envie. Souvent elle monte se coucher avant son mari. Elle se massacre le clito en pensant à son beau frère, ses jouissances sont extraordinaires.


Depuis quelque temps, son mari, François, la trouve différente, plus distante. Il remarque qu’elle évite ses regards, qu’elle est souvent distraite, comme si ses pensées étaient ailleurs. Un soir, alors qu’ils dînent ensemble, il lui lance un regard inquiet, cherchant à comprendre ce qui la tourmente.

Elle essaie de masquer ses émotions, mais le regard de François perce ses silences. Elle sent son cœur battre plus vite, consciente qu’elle ne peut plus dissimuler ce qu’elle ressent, surtout face à lui. Sa bouche devient sèche, et elle se demande si elle doit lui avouer la vérité ou se taire encore.

François, lui dit qu’il la trouve différente, qu’il sent qu’elle lui cache quelque chose. Sa Il veut comprendre, il veut qu’elle lui parle. Mariette, embarrassée, sent que le poids de son secret devient insupportable. La tension monte en elle à chaque regard que François lui lance, à chaque mot qu’il prononce. Un soir, après une journée particulièrement difficile, elle décide de lui parler.

Elle s’installe dans le salon, hésite un instant, puis se lance :

-François, il faut que je te dise quelque chose !

Sa voix tremble légèrement, mais elle poursuit :

- Je ne suis plus la même qu’avant. Il y a quelque chose en moi que je ne peux plus cacher !

Il la regarde, inquiet mais plein d’amour. Elle sent son cœur s’accélérer, et pour la première fois, elle ose avouer toute la vérité :

-Je suis amoureuse… de quelqu’un d’autre !

Elle s’interrompt un instant, déglutit, puis continue, plus doucement :

-Ce n’est pas facile à dire, mais je ne peux plus me taire !

François reste silencieux, surpris, ses yeux s'embrument et cherchent les siens. Il se redresse, pose sa main sur la sienne, et lui dit d’une voix douce :

-Tu m’aimes encore ?

Elle lève les yeux vers lui, puis répond :

- Je ne sais pas. Je suis perdue !

Il la regarde avec tendresse, l'enlace doucement, et lui demande :

-C'est qui cet l'heureux homme ?

En baissant les yeux, Mariette dit :

-C'est Luc, ton frère !

François sursaute, et en fronçant les sourcils répond :

-Mon frère, mais c'est insensé, et lui il t'aime, vous vous êtes déjà embrassés, couchés ensembles ?

Un peu embarrassée Mariette :

-Oh non, il ne sait même pas que je l'aime !

François ne veut que le bonheur de Mariette, et pour cela, il est prêt à tous les sacrifices, même si cela doit le rendre malheur, il dit en ravalant sa salive.

-Mais comment le savoir si tu ne lui poses pas la question !

Il ajoute bien que cela lui fasse beaucoup de mal :

-Parle-lui mets les choses au claire, ma chérie, et tu seras fixée !

Mariette serre très fort son mari dans ses bras et éclate en sanglot, elle dit :

-Je ne te mérite pas mon chéri !

François, lui donne un baiser sur le front et dit :

-Invitons le, à dîner ce soir et là, tu lui diras ce que tu as sur le cœur, je ne veux plus te voir dans cet état, depuis longtemps tu n'es plus sur terre, il faut te ressaisir ma chérie !

Mariette serre très fort son mari dans ses bras, lui cherche ses lèvres et l'embrasse amoureusement. Après le baiser, elle dit en reniflant fortement :

-Merci mon chéri, tu es le meilleur des hommes !

Elle lui tend encore une fois ses lèvres. Comme convenu, Luc arrive pour diner. Il salut son frère et embrasse sa belle-sœur, ses lèvres se posent à la commissures des ses lèvres. Mariette fond, ses gestes sont maladroits, elle tremble en servant l'apéro. Puis elle se laisse tomber dans le canapé. Son trouble, met François mal à l'aise, il regarde sa femme longuement, en espérant qu'elle aura le courage de parler à Luc.

Après un troisième verre d'alcool, elle dit :

-Luc j'ai quelque chose d'important à te dire, j'ai tout avouée à François !

Luc la regarde en fronçant les sourcils et répond avec un air inquiet :

-Je t'écoute Mariette !

En prenant une grande aspiration Mariette se lance :

-Luc, je suis amoureuse de toi depuis longtemps, ma vie est devenue un enfer, mes nuits sont agitées. je veux savoir, si tu ressens quelque chose pour moi, répond franchement !

Luc mal à l'aise, regarde son frère qui ne dit pas un mot, et en béguant répond :

- D'abord, j'admire ton courage, et pour être franc, je dois dire que tu me troubles, ce que j'éprouve pour toi, est autre que de l'amour platonique, c'est bien plus profond que cela !

Il ajoute :

-François, je regrette de te faire du mal, mais ce que je dis n'est que la vérité, et si tu le veux, je disparais de votre vie !

Mariette tremble en apprenant que Luc l'aime aussi, mais il y a François et cela la perturbe atrocement.

Enfin après avoir écouté, François très ému prend la parole :

- Eh bien tout est clair maintenant. Ce que je veux, c'est le bonheur de Mariette, moi je passe en second plan, si il y en a un qui doit s'effacer, c'est moi !

Mariette sursaute et répond :

- Mais mes chéris, j'ai mon mot à dire quand même, je ne peux me passer de toi François, et toi Luc tu me hantes, je pense à un truc indécent et immoral, hum, pourquoi ne pas tenter de vivre à trois !

Les deux frères se regardent en faisant une moue. C'est Luc qui réplique :

-Si François accepte le trio, je suis d'accord !

heureux de ne pas être évincé, et en poussant un gros soupir, François répond :

-C'est le souhait de Mariette, donc je ne peux refuser !

Mariette saute dans les bras de son mari et l'embrasse fougueusement. Après le baiser François dit avec un sourire un peu forcé :

-N'oublie pas que tu as deux hommes ma chérie, donc pas de différence entre nous !

Mariette s'approche de son beau-frère, l'enlace et pour la première fois, pose ses lèvres sur les siennes, le baiser est fougueux, les langues se nouent, les salives s'échangent. Les trois prennent encore un verre pour sceller l'alliance.

Les deux hommes se placent de chaque côté de Mariette sur le canapé. Elle les embrasse à tour de rôle. Elle se blottit une fois contre l'un, et contre l'autre. On peut entendre son cœur battre dans sa poitrine. Il est temps de passer à table, la nuit s'annonce longue et pleine de surprises. Après sa douche, Mariette sort de la salle de bain vêtue d'une nuisette ultra courte transparente, elle est nue dessous. les yeux des deux hommes se braquent sur elle. François ressent une brûlure lui traverser le ventre. Il se demande si sa femme sera toujours aussi brûlant au lit, maintenant que son deuxième amour est là. Luc la dévore des yeux, il regarde son déhanché de félin, en salivant. Mariette disparait dans l'escalier qui même à sa chambre


Les deux hommes prennent leur douche et montent à l'étage, ils sont nus. François entraine son frère dans la chambre ou se trouve Mariette. Elle est étendue sur le lit, fébrile. Pour elle c'est comme une deuxième lune de miel, mais là, elle à deux hommes à disposition, et cela s'annonce torride. elle regarde les deux hommes s'avancer vers le lit, son regard se pose automatiquement sur les verges encore endormies. les deux hommes sont dire un mot prennent place de chaque coté d'elle. C'est son mari qui pose le premier sa main sur sa cuisse, on la voit frissonner.

Luc après un moment d'hésitation, pose sa main sur l'autre cuisse. Mariette sent les mains, glisser sur sa peau, et progresser lentement vers son bas-ventre. L'une des mains caresse doucement son ventre, l'autre plus audacieuse passe sur son entrejambe, en caressant délicatement la douce toison. Mariette ferme les yeux, et se cambre. Elle ne cherche même pas à savoir, à qui appartient les doigts qui glissent entre ses grandes lèvres vaginale, et la main qui monte vers sa poitrine, en entrainant le fin tissu.

Des doigts s'accrochent à son clito, pendant que d'autres cernent ses seins. Le malaxage et les pressions sur ses seins, font gonfler rapidement les mamelons.

Mais dès que les doigts habites agitent son clito, Mariette commence à geindre. Les deux hommes en harmonie, font rugir de plaisir la femme aux deux amants. Mariette ne peut retenir :

-Oui mes chéris, faites de moi votre jouet, oh comme je vous aime !

La nuisette soumise à des manipulations découvre totalement les seins. Mariette ouvre les yeux et voit Luc souriant qui la regarde, elle sait maintenant à qui appartient la main qui lui pétrit les seins. François devient plus violent, il lui presse le clito fortement de nombreuses fois, avant de reprendre le branlage. Sa femme se cabre en geignant davantage. La bouche de Luc se pose sur un mamelon, et le suce avec de plus en plus de voracité. Son corps subit des assauts par le bas et le haut. Mariette gémit de bonheur, en s'accrochant comme elle peut à la literie. En alternance, Luc lui dévore les mats de chair. Le bougre d'affamé, fait doubler de volume les mamelons, qui deviennent de plus en plus sensible.

Franc branle efficacement la boule de chair qui ne cesse de prendre du volume. Il sait comment faire cabrer sa femme. Après un court branlage, il presse fortement le clito, l'étire, et reprend la masturbation avec plus d'énergie. Souvent il recommence ce procédé qui semble porter ses fruits. Mariette agite son bassin, grogne comme un animal, la tension ne cesse de monter dans son corps.

Les deux hommes la chauffent, la font gémir. Puis décident de passer à l'étape supérieure.

François, lui ouvre doucement les jambes et avance sa tête entre les cuisses ouvertes. Il pose sa bouche sur le fruit trop mûr, qui rejette son jus. Il l'aspire, et commence à lécher la fente très humide. Luc, présente sa verge aux lèvres charnues. Mariette, enfin peut profiter de son beau-frère. Elle gobe le gland, le suce et le tète entre deux gémissements, son mari en expert lui dévore la vulve en lui arrachant des gémissements terribles. Pour la première fois, Mariette goûte au sperme de son beau-frère, elle laisse glisser doucement la crème onctueuse dans sa gorge, en déglutissant doucement.

François se redresse regarde sa femme déguster le nectar des Dieux, et approche de temple convoité son glaive vengeur. Il le frotte quelques secondes contre les lèvres luisantes de cyprine, avant de le planter profondément dans ses entrailles. Mariette se cabre, s'accroche à son mari en geignant doucement. Luc reprend en bouche les mamelons gonflés de désir, il tète comme un enfant qui s'allaite. les succions sont terribles, les mamelons changent, ils deviennent larges et très épais. Mariette défaille, elle geint :

-Oui, oui, mes chéris, oh comme c'est bon, encore, encore !

François la défonce violemment, sans la ménager, trop excité, il éjacule rapidement dans le ventre de sa femme. Il donne encore quelques coups de reins, avant de se retirer. La place étant libre, Luc se place entre les cuisses de Mariette et lui enfonce dans la gaine gorgée de sperme sa queue tendue comme un arc. Il s'accroche à ses hanches et lui pilonne le ventre comme un soudard. Sa verge entre et ressort du corps de Mariette, très sollicité par ses amants. François, ne reste pas inactif, il lui étire les mamelons, les écrase les roule entre ses doigts habiles. Mariette geint comme une bête malade, elle agite son bassin et parfois donne de grands coups de reins, pour être bien empalée par son beau-frère amant. Un jouissance fabuleuse la fait hurler de plaisir. Luc en grognant, dit :

-Oh comme j'ai envie de te prendre le cul ma chérie, oh putain ce que tu es bonne !

C'est François qui répond :

-Oui vas-y Luc, elle adore ça, surtout, un conseil tape fort, elle veut que se doit violent !

Luc grimace, il souffle comme un taureau, et en se bloquant, envoie dans le ventre de Mariette sa semence épaisse. Il se retire et en haletant, il regarde son frère dit :

-Pour la rendre encore plus heureuse, je propose qu'on la prenne à deux, qu'on l'éclate bien !

François regarde en écarquillant les yeux d'étonnement son frère et complice, répond :

-J'en rêve depuis longtemps mais jamais je n'ai osé lui proposer !

Luc souriant réplique :

-Je crois qu'on a pas besoin de lui demander son avis, je suis sûr qu'elle est d'accord !

François sans attendre la réponse de sa femme, s'allonge sur le lit et invite sa femme à s'empaler sur sa queue, qui à repris de la vigueur. Mariette sans répondre, enjambe son mari et en se baissant doucement lui saisit la verge et la dirige vers sa chatte pleine de semence. Une fois le mandrin en position contre sa vulve. Elle se laisse tomber de tout son poids, en poussant un gémissement. L'empale est total, Luc se place derrière Mariette et lui badigeonne l'anus de salive.

Il positionne son gland contre l'œillet ridé, et pousse. Mariette serre les dents, c'est la première fois que deux bites sont en elle. Lentement, Luc pousse, la verge enfin prend place dans le conduit étroit, que seul François à visité jusqu'à aujourd'hui. Mariette à l'impression que les deux verges, sont dans le même orifices, tellement la paroi qui les sépare est fine. Les deux hommes se synchronisent pour défoncer la femme soumise. Les verges qui voyagent dans ses entrailles, font geindre Mariette comme une agonisante. Elle répète plusieurs fois :

-Ouah comme c'est bon, mon Dieu comme je suis remplis, mes chéris, vous me faites mourir, défoncez-moi, oui defoncez-moi !

Les deux hommes lui violentent les orifices en la faisant gémir de plaisir. les bites coulissent en elle, en lui arrachant des grognements de bêtes. Une première jouissance la fait hurler, elle s'accroche à son mari en grinçant des dents. Les deux hommes donnent tout ce qu'ils ont. Mariette n'a jamais subit avec une telle violence une défonce pareille. Elle explose une seconde fois en râlant comme une agonisante. A tour de rôle, François et Luc déversent en elle un flot de sperme brûlant. les hommes échangent de place, et reprennent avec autant de brutalité, la défonce. Les jouissances de Mariette sont phénoménales, son corps et secoué de spasmes violents incontrôlables, elle à plusieurs orgasmes à la suite. Elle s'écroule sur son amant en haletant comme une bête blessée. Une grosse partie de la nuit, Mariette subit les assauts terribles de ses amants.

Les mois passent, le trio est heureux, très souvent les deux hommes abusent du corps de Mariette consentante. Elle aime autant son mari que son beau-frère, et elle leur prouve en leur faisant des fellations monstrueuses.