un bon moment.
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-05-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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un bon moment.
Ne trouvant pas Barbara chez elle, je rebrousse chemin. En sortant du hall je tombe sur Fabrice. Comme prévisible, il me parle de sa tante. De leurs relations devenu sulfureux.
-Eh bien je suis content pour vous deux.
Mais alors que je m’apprête de m’éloigner, il me rattrape.
-Cela te dit de prendre un café chez ma tante ?
-Elle n’est pas là ?
-Absente pour la journée.
-Donc pourquoi pas.
Et s’est comme ça que je me retrouve devant une tasse de café quelques minutes plus tard. Fière de lui il me relate les différentes étapes de leurs relations. Et au bout d’un certain temps, le voilà qu’il me demande s’il peut me laisser quelques minutes seul.
-Tu vas faire quoi ?
-Tu verras. Surtout ne te tire pas !
Il me revient méconnaissable, changé de tout au tout. Ce n’est plus Fabrice que j’ai devant les rétines, mais une jeune fille. Je reste ébahi devant le spectacle qu’il m’offre. Il s’est paré d’un porte-jarretelle de tulle et satin noir agrémentée de lacets et dentelles. Sa factice poitrine enrobée d’une étoffe plus limpide que transparent. Il a ses jambes gainées de bas noirs. Aux pieds, il porte des escarpins qui cambrent outrageusement les reins et rehausse la finesse de ses jambes. Sa taille est presque féminine, et ses fesses avantageusement rebondies offrant un galbe provocant. Je lui trouve une sensualité jusqu’alors insoupçonnée, surtout sous son maquillage, mais aussi sous une perruque très brune, qui lui donne un air d’Asiatique.
Après quelques instants d’observation réciproque, à ma grande surprise, je le trouve désirable et prêt à tout.
-Alors ? Me fait-il.
-Stupéfiant !
Je me rends compte que je suis prêt à lui sauter dessus. Je sens ma queue durcir au fond de mon slip. Mon envie est si intense que je dois faire un effort pour surmonter ma honte. Les traits fins de son visage, le corps longiligne du jeune homme m’excitent au plus haut point.
Mon regard se fixe sur sa longue verge gracile, qui oscille à demi-raidie au-dessus de ses petites couilles glabres.
Pas question pour moi de me retenir plus longtemps. Je lui prends la queue à a peau granuleuse mais souple, la branle doucement. Je promène ma langue dessus et je l’entends gémir. Je le tiens à ma merci. Fabrice ferme les yeux. Se laisse faire, en geignant doucement. Des gouttes suintent de son méat, que avide je lèche puis avale. Je veux lui vider les couilles tout de suite. Je prends pour ça la queue en bouche. La suce du gland aux couilles. Referme mes lèvres sur les boules tièdes. Les fais faire connaissances avec ma langue. Avant d’emboucher de nouveau la queue, de la pomper en creusant les joues. J’éprouve une sorte de satisfaction puérile à constater que sa queue n’est plus simplement gonflée, mais dilatée à l’extrême.
Le jeune homme ne peut se retenir bien longtemps. Il éjacule dans un râle, tout au fond de ma gorge. Je déglutis le sperme à peine salé. Je suis comme fou de la bite du garçon, svelte et pâle comme un cierge.
Mais après ce premier contact très torride mais trop rapide, lui et moi avions d'autres obligations. Et très coquin.
J’ai quelques idées un peu tordues, à mettre en œuvre. Celui de mettre à contribution mon amie Barbara. Excellente complice. Aussi branchée cul que moi et aussi perverse, c'est dire. Nous savons comment nous donner à fond.
Je suis le seul à lui donner d'aussi violents orgasmes quand je lui mange la chatte. A piquer des crises de nerfs, des crises de larmes après quelques orgasmes.. Il faut aussi avouer que les séances de léchage de son gros clitoris peuvent durer plusieurs minutes parfois.
Je rends une petite visite à Barbara. Lui relatant le pied que j'ai pris avec Fabrice, à qui j’ai raconté une bonne partie de mes turpitudes avec la couguar. Je l’ai trouvé très intéresser à faire connaissance avec elle. Voir émoustillées par certaines scènes conté. Mais ces choses je ne peux pas me lancer avec Fabrice qui est novice à la chose. Ce ne serait pas raisonnable.
J’ai donc organisé une rencontre entre Fabrice, Barbara et moi. Je raconte à Fabrice tout ce qu'il faut savoir sur Barbara et moi. Comme je lui précise à quoi on va occuper les minutes ensemble.
Lui précisant que Barbara est une de mes partenaires préférée à ce genre de jeux et tout naturellement j'ai eu idée d'une petite partie à trois serait pas mal.
Fabrice n’a jamais eu de relation autre qu’avec sa tante. Et il est un peu inquiet. Je le rassure, en lui disant que Barbara sait se tenir. Et qu’elle ne tentera rien qu’il n'autoriserait pas. Mais d'un autre côté Fabrice est ouvert à ce qui pourrait arriver.
En compagnie de Fabrice travestie, nous nous rendons chez Barbara. Petit coup de sonnette. Barbara vient ouvrir. Elle porte une robe légère, qui ne cache rien de ses formes généreuses. Elle a un immense sourire en nous voyant. Nous entrons.
- Ah voilà Fabrice. Tu ne m'as pas menti, Alain. Il est super ce petit. Bon Fabrice on se tutoie. Tu es vraiment très beau.
Une fois dans le salon, Fabrice a droit à un baiser avec une langue papillonnante. Qui se glisse entre ses lèvres et taquine ma langue. Greffant à son baiser, une main, là où elle ne doit pas. Instantanément je me mets à bander.
Fabrice a les yeux brillants et malicieux. Je sens qu'il est vraiment excité comme une puce. Je suis de plus en plus sous son charme. Et en le regardant, je me rends compte que je le désire intensément. Je dois prendre sur moi pour ne pas le prendre là tout de suite. J'avouais qu'il me rend dingue.
Barbara me prend par le cou. Puis me roule une pelle dont elle a le secret. Fabrice nous regarde, le sourire aux lèvres.
-Je l'adopte. S’écrie Barbara, après ce baiser. Tu as trouvé une perle. Mais aussi un petit cochon. Je crois.
Fabrice sans honte, avance sa main entre mes cuisses. Sur la bosse que fait mon érection. Même si nous sommes tous prêts. Cela est prématuré. Il faut faire un peu connaissance. A priori Fabrice semble apprécier Barbara, qui comme à son habitude est directe, enjouée et coquine également. Elle et moi, sommes complices. Fabrice croise les jambes et dévoile une longue cuisse gainée de noir et un mollet bien galbé, son petit pied est lui, dans un escarpin verni au talon très haut.
- Ah mon Alain. dit Barbara, tu sais toujours choisir tes conquêtes. Fabrice est vraiment à croquer regarde moi ses jambes. J'en connais plus d'une qui rêverait d'avoir les mêmes.
Fabrice rougit un peu devant tant de compliments. Je lui prends le menton et tourne son visage vers moi. Il lève ses yeux. Puis il agrippe mon cou et pose ses lèvres sur ma bouche. Notre baiser dur, sa langue fouille ma bouche, ma langue joue avec la sienne. Quand le baiser cesse nous sommes tous les deux presque essoufflés. Barbara nous regarde avec un grand sourire. Adossée dans son fauteuil, sa robe glissée, laissant entrevoir sa grosse chatte rebondie. Sa main est posée sur sa cuisse.
Fabrice se colle contre moi et passe sa main sous mon tee-shirt pour me caresser la peau. Fabrice dégrafe ma ceinture. Fait glisser la fermeture de mon pantalon. Ma queue palpite dans mon slip. J'ai du mal à ne pas la sortir moi même. Mais Fabrice va me mettre à l'aise. De ma place j’aperçois la main de Barbara qui glisse le long de sa cuisse pour monter vers sa chatte. Fabrice fait glisser l'élastique de mon slip et ma queue jaillit comme un diable de sa boite. Je n'ai pas une queue énorme. Mais assez épaisse. Fabrice referme ses doigts autour de ma chair brûlante. Cela me fait l'effet d'une décharge électrique. Barbara nous observe. Je lui jette un coup d'œil.
Fabrice commence à darder sa petite langue sur mon gland. Lentement la pointe de sa langue virevolte autour du gland. Puis dévale le long de ma tige, pour remonter. Laissant une trace luisante de salive le long de mon membre.
Ma main caresse le cul de Fabrice au travers de sa jupe. Ce dernier pose ses lèvres sur le sommet de mon gland. En face de moi je vois Barbara les cuisses maintenant écartées. La robe troussée à la ceinture. Sa chatte est largement ouverte Rose vif, luisante et mouillée. Ses doigts vont et vient nonchalamment dans sa fente. La bouche de Fabrice se referme sur mon gland. Je tressaille vivement. Il a une façon de fermer ses lèvres derrière mon gland que j'aime particulièrement. Puis doucement avec ses yeux braqués sur moi, il avale ma queue centimètre par centimètre.
Ma queue est tremblante, agitée de soubresauts. Ma main tire le tissu de sa jupe. Et maintenant c'est sa peau que je caresse. Mes doigts s'insinuent sous sa culotte. Ses fesses sont dures. Fabrice frémit sous ma caresse et se laisse aller. Mes doigts atteignent son petit œillet. Il est là tout chaud sous mon doigt. Je caresse la pastille et je la taquine. Je pousse un peu, il s'ouvre. Me laissant pénétrer une phalange. Barbara se cajole de plus belle. Faisant maintenant entrer ses doigts dans son con de plus en plus humide. Fabrice m'avale totalement la queue. Ses lèvres sont contre mon ventre.
Je claque sa fesse. Il tressaille sous le coup. Il me sourit. Je comprends qu'elle apprécie. À nouveau je lui assène une claque assez forte. Il me regarde. Son œillade est lourde de sens. Elle soupire. Enfin un petit râle qui exprime satisfaction et envie tout à la fois.
Je pousse sa tête vers ma queue. Il se laisse guider. Je maintiens sa tête. Je donne de petits coups de reins qui l'enfoncent un peu plus dans sa bouche. J’ai l'impression que je vais éjaculer. Je me contrôle. J'entends le clapotis du sexe de Barbara. Je perçois distinctement son souffle et les petits gémissements qui naissent. Je fais signe à Fabrice de regarder du côté de Barbara. Il reste un peu scotché devant le sexe offert de ma maîtresse, offert et qui commence à ruisseler.
-Tu crois que je peux, me fait-il.
-Elle n’attend que ça !
Il se dirige entre les jambes de Barbara. Je profite de sa position pour faire sauter le bouton de sa jupe qui s'ouvre et finit sa chute au sol. Maintenant c'est son cul qui me nargue. Il pose ses mains sur les cuisses de Barbara. Les caresse un instant. Je me déshabille. Pendant ce temps Fabrice a approché ses lèvres à la chatte de Barbara. Cette dernière étire ses lèvres. Dévoilant la chair rose nacrée. Toute emperlée de mouille. Il plonge le nez dans la chatte de Barbara qui pousse un petit cri de plaisir. Je sais quelle odeur, et quelle saveur a la chatte de Barbara. Pour l'avoir si souvent brouter. Fabrice se lâche totalement. Dévorant, suçant, suçotant, léchant le sexe.
Ma queue est dure. J’ai envie d’autre chose. Je me place derrière Fabrice. Son cul levé, elle est dans une position rêvée. Je fais glisser sa culotte. Il écarte les genoux pour me faciliter la tâche. Sa culotte est mouillée là, où son gland touchait le tissu. Il bande ! Son gland décalotté est tout humide. Je presse sa queue. Remontant vers le gland. Il mouille bien. Je lèche du bout de la langue la liqueur que je savoure. Je prends sa queue dans ma bouche. L'aspire tout en malaxant ses couilles. Il se cambre, tout en continuant de lécher Barbara, qui gémit de plus belle.
J'écarte les fesses de Fabrice. Son petit trou est souple et parfois il s'entrouvre sous mes caresses. J'ai une furieuse envie de le prendre là. Je lèche son anus. Le mouille. Je pénètre ma langue avec facilité. J'adore le goût de son petit cul. Ma salive ruissèle dans sa raie. Coulant sur ses couilles et même le long de sa tige, qui s'agite, palpite, tressaute. Maintenant qu'il est bien humide. Je pousse mon doigt dans son petit trou qui cède facilement. Je le viol avec mon doigt. Il disparaît, phalange après phalange. Fabrice creuse ses reins. Il pousse, facilitant la pénétration. Mon doigt est en lui. J'explore, je fouille, commence un peu un va et viens.
Je plonge maintenant un deuxième doigt dans le cul. Il agite sa croupe. Se cambre. Mes doigts coulissent aisément dans son anus.
Il pousse un petit cri. De mon autre main, j’empoigne sa queue et la tire en arrière. Rapidement la caresse fait son effet. Il gémit. Fabrice tourne la tête vers moi. Ses joues sont cramoisies. Son regard vague. Il a le souffle court.
Je continus à masser sa prostate. J'ai toujours sa queue en main. Elle est dure et j'ai beaucoup de mal à la plier en arrière. Il donne des coups de reins, en poussant de petits cris. Barbara se branle à nouveau comme une folle. J'entends le clapotis de ses doigts. Je me concentre sur Fabrice. Sur son petit trou qui maintenant, reste béant quand je retire mes doigts. Mais elle pousse un petit feulement quand je la pénètre a nouveau. Ma queue frotte contre sa jambe gainée de soie.
Je suis vraiment excité. J’ai du mal à contrôler mes désirs. Je me retiens de l'enculer. Je continus de plus belle. Son petit trou est maintenant bien élargi. Je décide de lui mettre un autre doigt. Il entre facilement. Et c’est avec trois doigts que je taquine l’organe si sensible quand on sait y faire.
Accoudé entre les cuisses de Barbara sur le fauteuil à quatre pattes le cul en l'air, Fabrice se laisse faire avec délice. Le rouge aux joues. Barbara lui caresse le visage tout en se branlant comme une folle. La mouille macule l'intérieur de ses cuisses. Elle est maintenant plus que mouillée. C’est une écume laiteuse qui ourle ses petites lèvres. Qui coule entre ses fesses. Je m'aperçois que de temps en temps Fabrice donne un coup de langue, se repaissait de ce jus de femme. Mes doigts la fouillent de plus en plus ardemment. Et je sens que Fabrice est en proie à un plaisir intense. Il coule de plus en plus. Chaque mouvement de mes doigts fait naitre un nouvel épanchement de liqueur. Mes doigts pénètrent le cul de Fabrice avec aisance. Il est hors de lui. Je sens sa queue vibré. Puis s'agiter de soubresauts. Puis, vient alors la première giclée. À l’aide de mes doigts, je presse fort. Il crie. Une seconde giclée s’en suit. Ainsi que la troisième, la quatrième au rythme de ma caresse interne.
- Encore. Oui, branle moi. Fais moi jouir, je coule. J’en peu plus. Ouiiiii !… Je jouis… je jouis… c'est bon !
Fabrice se vide. Agité de spasmes. Il lâche tout son foutre. Son cul s'ouvre et se ferme. Je retire mes doigts. C’est au tour de Barbara de jouir. Les doigts enfoncés dans sa chatte.
Oui... Oui.. oui... oui... c'est bon je jouis… je jouis. S’exclame-t-elle, en astiquant son clito comme une folle.
Lançant son ventre en avant. Inondant d’un long jet le visage de Fabrice. Elle hurle, agitée de convulsions avant de retomber épuisée. Fabrice a le visage inondé.
Mon plaisir est en train de me ronger le ventre. Il faut absolument que je jouisse. Barbara regarde ma queue. Son regard est plein de vice, d'envies indicibles. Elle est dans un trip cul où tout est possible. Barbara s'empare de mes tétons. Qu’elle serre doucement au début puis elle m'écrase les pointes. Les tord. Il n’en faut pas plus à ma queue d’être agitait de soubresauts. Barbara avance sa langue et récupère ma queue. Je sens le déluge arriver. Je m’entends crier, quand mon sperme jaillit. Barbara prend mon plaisir dans sa bouche.
Je m’étends sur le sol et récupère. Il m’a bien fallu un bon quart d’heure avant de reprendre vie. Fabrice assis le dos en appui sur le divan à le maquillage qui a coulé sur son visage. Barbara ronfle sur son fauteuil. Je fais signe à Fabrice qu’il est tend de prendre congé. Sur une feuille je donne rendez-vous à Barbara pour le lendemain.
-Eh bien je suis content pour vous deux.
Mais alors que je m’apprête de m’éloigner, il me rattrape.
-Cela te dit de prendre un café chez ma tante ?
-Elle n’est pas là ?
-Absente pour la journée.
-Donc pourquoi pas.
Et s’est comme ça que je me retrouve devant une tasse de café quelques minutes plus tard. Fière de lui il me relate les différentes étapes de leurs relations. Et au bout d’un certain temps, le voilà qu’il me demande s’il peut me laisser quelques minutes seul.
-Tu vas faire quoi ?
-Tu verras. Surtout ne te tire pas !
Il me revient méconnaissable, changé de tout au tout. Ce n’est plus Fabrice que j’ai devant les rétines, mais une jeune fille. Je reste ébahi devant le spectacle qu’il m’offre. Il s’est paré d’un porte-jarretelle de tulle et satin noir agrémentée de lacets et dentelles. Sa factice poitrine enrobée d’une étoffe plus limpide que transparent. Il a ses jambes gainées de bas noirs. Aux pieds, il porte des escarpins qui cambrent outrageusement les reins et rehausse la finesse de ses jambes. Sa taille est presque féminine, et ses fesses avantageusement rebondies offrant un galbe provocant. Je lui trouve une sensualité jusqu’alors insoupçonnée, surtout sous son maquillage, mais aussi sous une perruque très brune, qui lui donne un air d’Asiatique.
Après quelques instants d’observation réciproque, à ma grande surprise, je le trouve désirable et prêt à tout.
-Alors ? Me fait-il.
-Stupéfiant !
Je me rends compte que je suis prêt à lui sauter dessus. Je sens ma queue durcir au fond de mon slip. Mon envie est si intense que je dois faire un effort pour surmonter ma honte. Les traits fins de son visage, le corps longiligne du jeune homme m’excitent au plus haut point.
Mon regard se fixe sur sa longue verge gracile, qui oscille à demi-raidie au-dessus de ses petites couilles glabres.
Pas question pour moi de me retenir plus longtemps. Je lui prends la queue à a peau granuleuse mais souple, la branle doucement. Je promène ma langue dessus et je l’entends gémir. Je le tiens à ma merci. Fabrice ferme les yeux. Se laisse faire, en geignant doucement. Des gouttes suintent de son méat, que avide je lèche puis avale. Je veux lui vider les couilles tout de suite. Je prends pour ça la queue en bouche. La suce du gland aux couilles. Referme mes lèvres sur les boules tièdes. Les fais faire connaissances avec ma langue. Avant d’emboucher de nouveau la queue, de la pomper en creusant les joues. J’éprouve une sorte de satisfaction puérile à constater que sa queue n’est plus simplement gonflée, mais dilatée à l’extrême.
Le jeune homme ne peut se retenir bien longtemps. Il éjacule dans un râle, tout au fond de ma gorge. Je déglutis le sperme à peine salé. Je suis comme fou de la bite du garçon, svelte et pâle comme un cierge.
Mais après ce premier contact très torride mais trop rapide, lui et moi avions d'autres obligations. Et très coquin.
J’ai quelques idées un peu tordues, à mettre en œuvre. Celui de mettre à contribution mon amie Barbara. Excellente complice. Aussi branchée cul que moi et aussi perverse, c'est dire. Nous savons comment nous donner à fond.
Je suis le seul à lui donner d'aussi violents orgasmes quand je lui mange la chatte. A piquer des crises de nerfs, des crises de larmes après quelques orgasmes.. Il faut aussi avouer que les séances de léchage de son gros clitoris peuvent durer plusieurs minutes parfois.
Je rends une petite visite à Barbara. Lui relatant le pied que j'ai pris avec Fabrice, à qui j’ai raconté une bonne partie de mes turpitudes avec la couguar. Je l’ai trouvé très intéresser à faire connaissance avec elle. Voir émoustillées par certaines scènes conté. Mais ces choses je ne peux pas me lancer avec Fabrice qui est novice à la chose. Ce ne serait pas raisonnable.
J’ai donc organisé une rencontre entre Fabrice, Barbara et moi. Je raconte à Fabrice tout ce qu'il faut savoir sur Barbara et moi. Comme je lui précise à quoi on va occuper les minutes ensemble.
Lui précisant que Barbara est une de mes partenaires préférée à ce genre de jeux et tout naturellement j'ai eu idée d'une petite partie à trois serait pas mal.
Fabrice n’a jamais eu de relation autre qu’avec sa tante. Et il est un peu inquiet. Je le rassure, en lui disant que Barbara sait se tenir. Et qu’elle ne tentera rien qu’il n'autoriserait pas. Mais d'un autre côté Fabrice est ouvert à ce qui pourrait arriver.
En compagnie de Fabrice travestie, nous nous rendons chez Barbara. Petit coup de sonnette. Barbara vient ouvrir. Elle porte une robe légère, qui ne cache rien de ses formes généreuses. Elle a un immense sourire en nous voyant. Nous entrons.
- Ah voilà Fabrice. Tu ne m'as pas menti, Alain. Il est super ce petit. Bon Fabrice on se tutoie. Tu es vraiment très beau.
Une fois dans le salon, Fabrice a droit à un baiser avec une langue papillonnante. Qui se glisse entre ses lèvres et taquine ma langue. Greffant à son baiser, une main, là où elle ne doit pas. Instantanément je me mets à bander.
Fabrice a les yeux brillants et malicieux. Je sens qu'il est vraiment excité comme une puce. Je suis de plus en plus sous son charme. Et en le regardant, je me rends compte que je le désire intensément. Je dois prendre sur moi pour ne pas le prendre là tout de suite. J'avouais qu'il me rend dingue.
Barbara me prend par le cou. Puis me roule une pelle dont elle a le secret. Fabrice nous regarde, le sourire aux lèvres.
-Je l'adopte. S’écrie Barbara, après ce baiser. Tu as trouvé une perle. Mais aussi un petit cochon. Je crois.
Fabrice sans honte, avance sa main entre mes cuisses. Sur la bosse que fait mon érection. Même si nous sommes tous prêts. Cela est prématuré. Il faut faire un peu connaissance. A priori Fabrice semble apprécier Barbara, qui comme à son habitude est directe, enjouée et coquine également. Elle et moi, sommes complices. Fabrice croise les jambes et dévoile une longue cuisse gainée de noir et un mollet bien galbé, son petit pied est lui, dans un escarpin verni au talon très haut.
- Ah mon Alain. dit Barbara, tu sais toujours choisir tes conquêtes. Fabrice est vraiment à croquer regarde moi ses jambes. J'en connais plus d'une qui rêverait d'avoir les mêmes.
Fabrice rougit un peu devant tant de compliments. Je lui prends le menton et tourne son visage vers moi. Il lève ses yeux. Puis il agrippe mon cou et pose ses lèvres sur ma bouche. Notre baiser dur, sa langue fouille ma bouche, ma langue joue avec la sienne. Quand le baiser cesse nous sommes tous les deux presque essoufflés. Barbara nous regarde avec un grand sourire. Adossée dans son fauteuil, sa robe glissée, laissant entrevoir sa grosse chatte rebondie. Sa main est posée sur sa cuisse.
Fabrice se colle contre moi et passe sa main sous mon tee-shirt pour me caresser la peau. Fabrice dégrafe ma ceinture. Fait glisser la fermeture de mon pantalon. Ma queue palpite dans mon slip. J'ai du mal à ne pas la sortir moi même. Mais Fabrice va me mettre à l'aise. De ma place j’aperçois la main de Barbara qui glisse le long de sa cuisse pour monter vers sa chatte. Fabrice fait glisser l'élastique de mon slip et ma queue jaillit comme un diable de sa boite. Je n'ai pas une queue énorme. Mais assez épaisse. Fabrice referme ses doigts autour de ma chair brûlante. Cela me fait l'effet d'une décharge électrique. Barbara nous observe. Je lui jette un coup d'œil.
Fabrice commence à darder sa petite langue sur mon gland. Lentement la pointe de sa langue virevolte autour du gland. Puis dévale le long de ma tige, pour remonter. Laissant une trace luisante de salive le long de mon membre.
Ma main caresse le cul de Fabrice au travers de sa jupe. Ce dernier pose ses lèvres sur le sommet de mon gland. En face de moi je vois Barbara les cuisses maintenant écartées. La robe troussée à la ceinture. Sa chatte est largement ouverte Rose vif, luisante et mouillée. Ses doigts vont et vient nonchalamment dans sa fente. La bouche de Fabrice se referme sur mon gland. Je tressaille vivement. Il a une façon de fermer ses lèvres derrière mon gland que j'aime particulièrement. Puis doucement avec ses yeux braqués sur moi, il avale ma queue centimètre par centimètre.
Ma queue est tremblante, agitée de soubresauts. Ma main tire le tissu de sa jupe. Et maintenant c'est sa peau que je caresse. Mes doigts s'insinuent sous sa culotte. Ses fesses sont dures. Fabrice frémit sous ma caresse et se laisse aller. Mes doigts atteignent son petit œillet. Il est là tout chaud sous mon doigt. Je caresse la pastille et je la taquine. Je pousse un peu, il s'ouvre. Me laissant pénétrer une phalange. Barbara se cajole de plus belle. Faisant maintenant entrer ses doigts dans son con de plus en plus humide. Fabrice m'avale totalement la queue. Ses lèvres sont contre mon ventre.
Je claque sa fesse. Il tressaille sous le coup. Il me sourit. Je comprends qu'elle apprécie. À nouveau je lui assène une claque assez forte. Il me regarde. Son œillade est lourde de sens. Elle soupire. Enfin un petit râle qui exprime satisfaction et envie tout à la fois.
Je pousse sa tête vers ma queue. Il se laisse guider. Je maintiens sa tête. Je donne de petits coups de reins qui l'enfoncent un peu plus dans sa bouche. J’ai l'impression que je vais éjaculer. Je me contrôle. J'entends le clapotis du sexe de Barbara. Je perçois distinctement son souffle et les petits gémissements qui naissent. Je fais signe à Fabrice de regarder du côté de Barbara. Il reste un peu scotché devant le sexe offert de ma maîtresse, offert et qui commence à ruisseler.
-Tu crois que je peux, me fait-il.
-Elle n’attend que ça !
Il se dirige entre les jambes de Barbara. Je profite de sa position pour faire sauter le bouton de sa jupe qui s'ouvre et finit sa chute au sol. Maintenant c'est son cul qui me nargue. Il pose ses mains sur les cuisses de Barbara. Les caresse un instant. Je me déshabille. Pendant ce temps Fabrice a approché ses lèvres à la chatte de Barbara. Cette dernière étire ses lèvres. Dévoilant la chair rose nacrée. Toute emperlée de mouille. Il plonge le nez dans la chatte de Barbara qui pousse un petit cri de plaisir. Je sais quelle odeur, et quelle saveur a la chatte de Barbara. Pour l'avoir si souvent brouter. Fabrice se lâche totalement. Dévorant, suçant, suçotant, léchant le sexe.
Ma queue est dure. J’ai envie d’autre chose. Je me place derrière Fabrice. Son cul levé, elle est dans une position rêvée. Je fais glisser sa culotte. Il écarte les genoux pour me faciliter la tâche. Sa culotte est mouillée là, où son gland touchait le tissu. Il bande ! Son gland décalotté est tout humide. Je presse sa queue. Remontant vers le gland. Il mouille bien. Je lèche du bout de la langue la liqueur que je savoure. Je prends sa queue dans ma bouche. L'aspire tout en malaxant ses couilles. Il se cambre, tout en continuant de lécher Barbara, qui gémit de plus belle.
J'écarte les fesses de Fabrice. Son petit trou est souple et parfois il s'entrouvre sous mes caresses. J'ai une furieuse envie de le prendre là. Je lèche son anus. Le mouille. Je pénètre ma langue avec facilité. J'adore le goût de son petit cul. Ma salive ruissèle dans sa raie. Coulant sur ses couilles et même le long de sa tige, qui s'agite, palpite, tressaute. Maintenant qu'il est bien humide. Je pousse mon doigt dans son petit trou qui cède facilement. Je le viol avec mon doigt. Il disparaît, phalange après phalange. Fabrice creuse ses reins. Il pousse, facilitant la pénétration. Mon doigt est en lui. J'explore, je fouille, commence un peu un va et viens.
Je plonge maintenant un deuxième doigt dans le cul. Il agite sa croupe. Se cambre. Mes doigts coulissent aisément dans son anus.
Il pousse un petit cri. De mon autre main, j’empoigne sa queue et la tire en arrière. Rapidement la caresse fait son effet. Il gémit. Fabrice tourne la tête vers moi. Ses joues sont cramoisies. Son regard vague. Il a le souffle court.
Je continus à masser sa prostate. J'ai toujours sa queue en main. Elle est dure et j'ai beaucoup de mal à la plier en arrière. Il donne des coups de reins, en poussant de petits cris. Barbara se branle à nouveau comme une folle. J'entends le clapotis de ses doigts. Je me concentre sur Fabrice. Sur son petit trou qui maintenant, reste béant quand je retire mes doigts. Mais elle pousse un petit feulement quand je la pénètre a nouveau. Ma queue frotte contre sa jambe gainée de soie.
Je suis vraiment excité. J’ai du mal à contrôler mes désirs. Je me retiens de l'enculer. Je continus de plus belle. Son petit trou est maintenant bien élargi. Je décide de lui mettre un autre doigt. Il entre facilement. Et c’est avec trois doigts que je taquine l’organe si sensible quand on sait y faire.
Accoudé entre les cuisses de Barbara sur le fauteuil à quatre pattes le cul en l'air, Fabrice se laisse faire avec délice. Le rouge aux joues. Barbara lui caresse le visage tout en se branlant comme une folle. La mouille macule l'intérieur de ses cuisses. Elle est maintenant plus que mouillée. C’est une écume laiteuse qui ourle ses petites lèvres. Qui coule entre ses fesses. Je m'aperçois que de temps en temps Fabrice donne un coup de langue, se repaissait de ce jus de femme. Mes doigts la fouillent de plus en plus ardemment. Et je sens que Fabrice est en proie à un plaisir intense. Il coule de plus en plus. Chaque mouvement de mes doigts fait naitre un nouvel épanchement de liqueur. Mes doigts pénètrent le cul de Fabrice avec aisance. Il est hors de lui. Je sens sa queue vibré. Puis s'agiter de soubresauts. Puis, vient alors la première giclée. À l’aide de mes doigts, je presse fort. Il crie. Une seconde giclée s’en suit. Ainsi que la troisième, la quatrième au rythme de ma caresse interne.
- Encore. Oui, branle moi. Fais moi jouir, je coule. J’en peu plus. Ouiiiii !… Je jouis… je jouis… c'est bon !
Fabrice se vide. Agité de spasmes. Il lâche tout son foutre. Son cul s'ouvre et se ferme. Je retire mes doigts. C’est au tour de Barbara de jouir. Les doigts enfoncés dans sa chatte.
Oui... Oui.. oui... oui... c'est bon je jouis… je jouis. S’exclame-t-elle, en astiquant son clito comme une folle.
Lançant son ventre en avant. Inondant d’un long jet le visage de Fabrice. Elle hurle, agitée de convulsions avant de retomber épuisée. Fabrice a le visage inondé.
Mon plaisir est en train de me ronger le ventre. Il faut absolument que je jouisse. Barbara regarde ma queue. Son regard est plein de vice, d'envies indicibles. Elle est dans un trip cul où tout est possible. Barbara s'empare de mes tétons. Qu’elle serre doucement au début puis elle m'écrase les pointes. Les tord. Il n’en faut pas plus à ma queue d’être agitait de soubresauts. Barbara avance sa langue et récupère ma queue. Je sens le déluge arriver. Je m’entends crier, quand mon sperme jaillit. Barbara prend mon plaisir dans sa bouche.
Je m’étends sur le sol et récupère. Il m’a bien fallu un bon quart d’heure avant de reprendre vie. Fabrice assis le dos en appui sur le divan à le maquillage qui a coulé sur son visage. Barbara ronfle sur son fauteuil. Je fais signe à Fabrice qu’il est tend de prendre congé. Sur une feuille je donne rendez-vous à Barbara pour le lendemain.
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