Un coup de coeur!

Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur .
- • 151 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Renifleur ont reçu un total de 1 001 487 visites.

Cette histoire de sexe a été affichée 732 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Un coup de coeur!
Sitôt sortis de chez Julie, le goût de sa chatte encore en bouche, je me rends dans le bistro où se rend Dani, son compagnon.
D’ailleurs je le trouve attablé devant le comptoir.
-Salut ! Me fait-il en me reconnaissant.
-Toi ici, je lui réponds en lui tendant perfidement la main qui a taraudé le cul de sa copine, pour le saluer.
C’est plus fort que moi ! Je suis de ce genre pervers et pas question de me changer.
-Tu prends quelque chose ? Me fait-il.
-Va pour une pression.
-Sers-nous ça Momo, s’il te plaît ! Fait-il au barman. Qu’est-ce que tu fais dans les parages ? Ajoute-t-il.
-Tu me connais, je virevolte…
-Oui c’est ça ! Une femme là-dessous ?
-Va savoir !
-J’espère que ce n’est pas avec ma femme ?
-Tu sais que j’aime que les vieilles !
-Je me sens là, soulagé. Tant pis pour elle, je lui dirai !
-Arrête tes conneries, fais-je en prenant une gorgée de bière. Par contre, j’ajoute, je ne dirai pas non pour ta belle-mère !
-Surtout qu’elle doit être en manque. Ça fait bien trois ans que je ne lui connais pas une relation.
-Je ne comprends pas pourquoi, je la trouve consommable, tu n’es pas d’accord avec moi Dani ?
-Je reconnais que oui…
-Dis-moi de toi à moi, tu ne te la ferais pas, toi ?
-Tu déconnes là ! La mère de ma femme, arrête la bière mon vieux !
-Et alors, ça reste en famille. Tu ne peux pas le savoir, mais moi, j’ai eu une relation très prolongée avec ma belle-mère.
-Je ne te crois pas !
-Comme je te l’ai dit. D’ailleurs, à quelques jours près, j’ai accroché fille et mère en même temps.
-Explique, tu m’intéresses !
-Eh bien j’ai fait connaissance avec celle qui est devenue ma femme un vendredi soir. Le samedi j’étais invité à dîner chez ses parents. Comme nous n'étions pas dans l’état à prendre le volant, nous sommes restés dormir dans l’ancienne chambre de ma femme. Le lendemain, sous l’insistance persistante de ma future belle-mère, rebelote pour la nuit suivante.
-Et pourquoi ? Me coupe Danis.
-Attend, un peu de patience, j’y arrive…
-Donc, pour continuer, le fameux lundi matin, peu à peu tout le monde est parti travailler, et je me suis retrouvé seul avec la mère de ma femme. Là, devant une tasse de café, elle me confesse que je suis avec sa fille juste pour du cul. Que notre histoire est éphémère. Que d’ailleurs elle nous a entendu baiser à travers la cloison.
-Waouh, comme elle est allée ! Lâche Dani
-Oui… oui, attend la suite. Là, je lui lance si ce n’est pas la jalousie qui lui fait dire tout cela. Ou alors un manque de baise. Là, elle se lève. Je m’attends à prendre une baffe, et non, voilà qu’elle fait disparaître ses mains sous sa blouse et tire vers le bas, son collant et sa culotte. Elle sache à coups de pieds ses deux chaussons et fini par ce séparer de ses sous-vêtements. Ceci fait, la voilà qu’elle installe son fessier à même sur la table de sapin.
-Ça te tente ? Me fait-elle.
-Et alors ? Fait Dani impatient.
-Je l'ai baisé.
-Non, je ne crois pas !
-De la pure vérité.
-Et votre relation a duré combien de temps ?
-Jusqu’au divorce avec sa fille. D’ailleurs, la coquine a été jusqu’à me proposer de venir la saluer si je passais dans les environs. Ce que son mari a tout de suite refusé ! Je pense que je ne l’aurais pas fait.
-Ah oui, et pourquoi ?
-Une fois divorcé je n’avais plus l’excitation.
-Si j’ai bien compris, tu préférais la pratiquer alors qu’elle était encore ta belle-mère ?
-Tu as tout compris ! J’avoue avoir passé de bonnes parties de baise vec la belle doch. Tu vois, tu loupes peut-être quelque chose avec Catherine. Je suis sûr que c’est un bon coup.
-Catherine, un bon coup ? Je ne crois pas trop. D’ailleurs, elle n’a pas pu retenir son mari.
-Il préférait la bouteille que le beau cul de sa femme.
-Comment ça, beau cul ?
-T’es con ou aveugle. Ne me dis pas que pas une fois ton regard s’est posé sur son fessier ?
-Jamais !
-Menteur ! Et bien moi, si tu veux le savoir, je ne me gêne pas. Il m’arrive même de fantasmer dessus. Je me vois bien lui enfoncer ma queue dans la pastille.
- Tu es ce genre-là ? Toi ?
-Et comment, j’adore cela. Tiens, sens-moi ça ! Je lui fais, en lui tendant l’index qui a branlé le cul de sa Julie !
-Arrête… qu’est-ce que tu fais !
-Sens-moi ça, une pure merveille ! Si tu avais vu comme elle aimait ça, se faire tarauder le cul.
-Alors tu l’avoues… tu sors d’un rendez-vous de cul ?
-Eh oui, fais-je en portant mon verre à mes lèvres. Et t’ajouter : elle a adoré ça la salope.
-Une femme mariée, je parie ?
-Les meilleurs coups pour moi ! Son mec est un parfait con, qui ne s’occupe pas d’elle.
-Oui, il y en a des comme ça !
-Ce n’est pas ton cas à toi, dis-moi ? Avec Julie ?
-Non… bien sûr que non. A part…
-À part quoi ?
-Non rien !
-Aller accouche, qu’est-ce que tu voulais dire.
-Que tu ne la laisses pas insensible. Murmure-t-il, comme si il ne voulait pas que cela s’entende.
-C’est elle qui ta dit cela ?
-Oui, mais elle était excitée !
-Tu veux me faire comprendre que c’était pendant un acte sexuel ? Coquin !
-Oui… comme tu dis…en plein délire…
-Et c’était pour un trio avec moi comme partenaire, je parie…… serais-tu du genre partageur, mon Dani.
-Non, pas du tout ! Enlève-toi cette idée de la tête. Mon genre premièrement, je le garde pour moi, par contre ce que je peux te dire, c’est que si un jour la tentation se fait, j’aimerais baisé ma femme devant un voyeur qui nous regarde en se branlant.
-Tu as choisi ton voyeur ?
-Pas du tout. Je ne sais même pas si je pourrais passer à l’acte !
-Tu veux que je joue le voyeur pour vous.
-Ça ne va pas, tu serais capable de baiser ma Julie. Ou alors tu irais tout raconter à Catherine.
-Tant pis pour toi ! Bon, avec tout ça l’heure tourne, il est temps que je rentre.
-Salut, n’oublie pas de te laver le doigt ! Bonjour à ta femme !
-Merci pour elle.
Quelques jours se passent, avant que le hasard, ou pas, me fasse croiser Dani sur ma route. Avec sa tête des mauvais jours.
Après les saluts d’usage, voilà qu’il me propose de prendre un verre dans le bar, tout proche.
-Non, merci Dani, mais je suis pressé ce soir.
-J’ai quelque chose d’important à te dire.
-Tu as choisis le voyeur ?
-Va savoir !
Tout de suite, l’idée que Julie lui a tout révélé me vient à l’esprit. Impatient de le savoir, j’accepte son invitation, et rentre avec lui dans le bar. Pas de comptoir aujourd’hui, il m’entraîne jusqu’à une table, un peu à l’écart. Il attend d’avoir deux pressions devant nous pour se lancer.
-J’ai bien réfléchi pour ce que tu sais, ce qu’on a parlé la dernière fois, murmure-t-il.
-Tu veux parler de Catherine.
-Non, je m’en fous de cette conne ! Je parle de l’autre chose.
-Du voyeur ?
-Oui, par si fort, on pourrait nous entendre.
-Mais Dani, personne ne nous connaît ici.
-On ne sait jamais.
-Bon, je t’écoute !
-La nuit portant conseil, j’ai longuement réfléchi et cela m’intéresse.
-On parle bien du voyeur ?
-Non !
-Je ne suis plus là.
-C’est que ce n’est pas facile à dire. Bon, je me lance, j’aimerais faire ça avec un homme. Bravo ça y est, je l’ai dit ! Qu’est-ce que tu en penses !
-Avec Julie ?
-Non ! Sans elle.
-Mais je croyais que c’était ton fantasme ?
-Mon fantasme, c’est toi ! ça aussi c’est dit. Je te choque ?
-Ça devrait ?
-C’est tout ce que ça te fait.
-Tu t’attendais à quoi ?
-Je ne sais pas, au pire, mais sûrement pas à ça.
Il attend un moment, tout en finissant son verre avant de revenir à la charge.
-Tu veux y réfléchir.
-C’est tout réfléchi.
-Et alors ?
-J’ai quoi en échange ?
-Tu veux quoi ?
-Ta Julie…
-Catherine…
-Julie…
-Pas question !
-Bon alors, quoi ?
-Montre-moi ta queue.
-Si tu veux, fais-je, en finissant mon verre. Allons dans ta voiture.
Une fourgonnette de service, pour être plus précis. Nous nous installons bien sûr à l’arrière. Je profite qu’il s’occupe de verrouiller la portière pour sortir ma queue de sa cachette de toile. Exhibant ainsi une belle verge raide.
-Mais mon cochon, tu bandes ?
-C’est la situation qui me fait ça. Montre-moi la, ta bite. Tu aimes les mots crus ?
Il obtempère, extrait la verge raide de son carcan. Le pantalon sur ses pieds, il saisit sa queue. Un beau sexe chauve de bonne taille, rougi, surmonté d'un gland du calibre d'une balle de golf, qui a l'air tout aussi dur. Je ressens alors de plus en plus l'excitation en moi. Je suis comme transporté par le cumul de fortes sensations. Son gland devient rutilant à mes yeux. Il brille tellement, le sang s’y afflux sous sa caresse. Je le regarde fixement.
-T’aimes bien te branler ? Je lui fais.
-Quand l’envie me vient. Et toi ?
-Ouais, j’aime ça, à défaut d’autre chose.
-Et te faire sucer la queue ?
-À ton avis ? Vas-y, branle-toi bien, la vache, t’es raide toi aussi.
Il pose sa main sur mon crâne.
-Non, je ne veux pas te sucer, enfin, pas maintenant. Continue à te masturber, j’adore cela.
-Je ne te demandais pas de me sucer. J’avais juste besoin de ta salive.
Je place ma bouche à quelques centimètres au-dessus de sa verge et lâche un long filet de bave qui vient s’étaler sur le bout violacé. Il reprend sa branlette. Une odeur musquée monte jusqu’à moi. Il clôt les paupières par intermittence, sinon me regarde directement dans les yeux, jetant de temps à autre un coup d’œil sur ma queue.
Excité comme jamais, je me penche pour placer la queue à hauteur de ma bouche. Je retrouve dès lors, la chaleur et la douceur d’une queue.
Que je me saisis pour la lécher plus commodément. Je la parcours de l’extrémité jusqu’à la racine. Tantôt de la pointe, tantôt du plat de la langue. J’insiste sur la minuscule fente qui entaille le gland. Dani donne des coups de reins. Il est écarlate.
Il appuie sur ma tête, me forçant à continuer. Encore quelques sucions, et voilà qu’il ne tarde pas à faire fuser sa jouissance du méat.
C’est épais. J’entame un va-et-vient avec mes lèvres serrées. En même temps, j’appuie par saccades sur ses couilles, provoquant encore des giclées que je n’avale pas. J’éprouve un plaisir pervers à laisser le liquide crémeux couler aux coins de mes lèvres et voir sur mon menton. Très vite, il me repousse. Il halète. Ses yeux brillent comme ceux d’un fou. Il me lâche :
- J’en étais sûr !
-C’est-à-dire ?
-Je savais que tu étais un expert. Ajoute-t-il en prenant position, sur le dos, les jambes contre son torse, s’offrant sans ambiguïté.
-Encule-moi, Alain.
J’encaisse sa demande avec un frisson. Comme toujours quand il est question de cul, je ne me dérobe pas. Fiévreux, je prends mon sexe en main pour le poser sur l’anneau qui m’hypnotise. Je pousse doucement, m’attendant à une douleur initiale pour Dani. Mais il n’en fut rien. Après une très légère résistance initiale, mon sexe progresse lentement dans un fourreau aussi accueillant qu’un vagin étroit. Mon gland disparaît. Ses mains s’agrippent à mon cou. Peu à peu, je sens le cul se dilater sous ma poussée.
Nous gémissons de concert. J’entreprends de quitter lentement le fondement de Dani pour revenir rapidement l’instant d’après. Puis je me mets alors à faire entrer et sortir ma queue de son fondement, de plus en plus vite, de plus en plus fort.
Ses cuisses se contractent, sa tête se penche en arrière. J’entends un soupir profond sortir de sa bouche, légèrement entrouverte. Je n’arrive pas à dévier mes yeux de ma queue qui pilonne son anus. Des gémissements courtois résonnent dans la cabine, traduisant notre plaisir. Je prends un pied fou à être presque brutal dans mes coups de boutoirs. Mon partenaire apprécie et réagit à chaque choc par des cris plus sonores.
Les yeux fermés, se laissant sodomiser avec un plaisir évident. Ce spectacle dope mon excitation déjà à son comble. Me donnant l’idée de devenir tyrannique avec mon jeune complice.
-Branle-toi, Dani, branle-toi.
Bientôt sa main saisit sa hampe épaisse pour une masturbation au rythme calqué sur celui de mon bassin. Je gémis de plus belle en admirant ce tableau plein de sensualité et de soumission. Mes coups de bassin se font encore plus rapides, laissant augurer une jouissance proche. D’un cri enroué, je jouis dans le cul de Dani. De longs jets de sperme. Le corps en sueur, je me tétanise tandis que Dani se masturbe furieusement pour me rejoindre dans la jouissance, de longs jets de sperme qui jaillit de son méat et qui vont s’écraser où ils peuvent.
Sur mon nuage, je me laisse retomber sur son corps, mon sexe dressé toujours fiché au fond de son cul.
J’attends qui ramollisse pour me retirer.
-Alors ? Je lui fais.
-Alors quoi ?
-Pour Julie ?
-Tu m’en merde avec ça !
-C’est bien ce que tu m’as fait, je lui fais en lui désignant ma queue maculée de trace rouille !
D’ailleurs je le trouve attablé devant le comptoir.
-Salut ! Me fait-il en me reconnaissant.
-Toi ici, je lui réponds en lui tendant perfidement la main qui a taraudé le cul de sa copine, pour le saluer.
C’est plus fort que moi ! Je suis de ce genre pervers et pas question de me changer.
-Tu prends quelque chose ? Me fait-il.
-Va pour une pression.
-Sers-nous ça Momo, s’il te plaît ! Fait-il au barman. Qu’est-ce que tu fais dans les parages ? Ajoute-t-il.
-Tu me connais, je virevolte…
-Oui c’est ça ! Une femme là-dessous ?
-Va savoir !
-J’espère que ce n’est pas avec ma femme ?
-Tu sais que j’aime que les vieilles !
-Je me sens là, soulagé. Tant pis pour elle, je lui dirai !
-Arrête tes conneries, fais-je en prenant une gorgée de bière. Par contre, j’ajoute, je ne dirai pas non pour ta belle-mère !
-Surtout qu’elle doit être en manque. Ça fait bien trois ans que je ne lui connais pas une relation.
-Je ne comprends pas pourquoi, je la trouve consommable, tu n’es pas d’accord avec moi Dani ?
-Je reconnais que oui…
-Dis-moi de toi à moi, tu ne te la ferais pas, toi ?
-Tu déconnes là ! La mère de ma femme, arrête la bière mon vieux !
-Et alors, ça reste en famille. Tu ne peux pas le savoir, mais moi, j’ai eu une relation très prolongée avec ma belle-mère.
-Je ne te crois pas !
-Comme je te l’ai dit. D’ailleurs, à quelques jours près, j’ai accroché fille et mère en même temps.
-Explique, tu m’intéresses !
-Eh bien j’ai fait connaissance avec celle qui est devenue ma femme un vendredi soir. Le samedi j’étais invité à dîner chez ses parents. Comme nous n'étions pas dans l’état à prendre le volant, nous sommes restés dormir dans l’ancienne chambre de ma femme. Le lendemain, sous l’insistance persistante de ma future belle-mère, rebelote pour la nuit suivante.
-Et pourquoi ? Me coupe Danis.
-Attend, un peu de patience, j’y arrive…
-Donc, pour continuer, le fameux lundi matin, peu à peu tout le monde est parti travailler, et je me suis retrouvé seul avec la mère de ma femme. Là, devant une tasse de café, elle me confesse que je suis avec sa fille juste pour du cul. Que notre histoire est éphémère. Que d’ailleurs elle nous a entendu baiser à travers la cloison.
-Waouh, comme elle est allée ! Lâche Dani
-Oui… oui, attend la suite. Là, je lui lance si ce n’est pas la jalousie qui lui fait dire tout cela. Ou alors un manque de baise. Là, elle se lève. Je m’attends à prendre une baffe, et non, voilà qu’elle fait disparaître ses mains sous sa blouse et tire vers le bas, son collant et sa culotte. Elle sache à coups de pieds ses deux chaussons et fini par ce séparer de ses sous-vêtements. Ceci fait, la voilà qu’elle installe son fessier à même sur la table de sapin.
-Ça te tente ? Me fait-elle.
-Et alors ? Fait Dani impatient.
-Je l'ai baisé.
-Non, je ne crois pas !
-De la pure vérité.
-Et votre relation a duré combien de temps ?
-Jusqu’au divorce avec sa fille. D’ailleurs, la coquine a été jusqu’à me proposer de venir la saluer si je passais dans les environs. Ce que son mari a tout de suite refusé ! Je pense que je ne l’aurais pas fait.
-Ah oui, et pourquoi ?
-Une fois divorcé je n’avais plus l’excitation.
-Si j’ai bien compris, tu préférais la pratiquer alors qu’elle était encore ta belle-mère ?
-Tu as tout compris ! J’avoue avoir passé de bonnes parties de baise vec la belle doch. Tu vois, tu loupes peut-être quelque chose avec Catherine. Je suis sûr que c’est un bon coup.
-Catherine, un bon coup ? Je ne crois pas trop. D’ailleurs, elle n’a pas pu retenir son mari.
-Il préférait la bouteille que le beau cul de sa femme.
-Comment ça, beau cul ?
-T’es con ou aveugle. Ne me dis pas que pas une fois ton regard s’est posé sur son fessier ?
-Jamais !
-Menteur ! Et bien moi, si tu veux le savoir, je ne me gêne pas. Il m’arrive même de fantasmer dessus. Je me vois bien lui enfoncer ma queue dans la pastille.
- Tu es ce genre-là ? Toi ?
-Et comment, j’adore cela. Tiens, sens-moi ça ! Je lui fais, en lui tendant l’index qui a branlé le cul de sa Julie !
-Arrête… qu’est-ce que tu fais !
-Sens-moi ça, une pure merveille ! Si tu avais vu comme elle aimait ça, se faire tarauder le cul.
-Alors tu l’avoues… tu sors d’un rendez-vous de cul ?
-Eh oui, fais-je en portant mon verre à mes lèvres. Et t’ajouter : elle a adoré ça la salope.
-Une femme mariée, je parie ?
-Les meilleurs coups pour moi ! Son mec est un parfait con, qui ne s’occupe pas d’elle.
-Oui, il y en a des comme ça !
-Ce n’est pas ton cas à toi, dis-moi ? Avec Julie ?
-Non… bien sûr que non. A part…
-À part quoi ?
-Non rien !
-Aller accouche, qu’est-ce que tu voulais dire.
-Que tu ne la laisses pas insensible. Murmure-t-il, comme si il ne voulait pas que cela s’entende.
-C’est elle qui ta dit cela ?
-Oui, mais elle était excitée !
-Tu veux me faire comprendre que c’était pendant un acte sexuel ? Coquin !
-Oui… comme tu dis…en plein délire…
-Et c’était pour un trio avec moi comme partenaire, je parie…… serais-tu du genre partageur, mon Dani.
-Non, pas du tout ! Enlève-toi cette idée de la tête. Mon genre premièrement, je le garde pour moi, par contre ce que je peux te dire, c’est que si un jour la tentation se fait, j’aimerais baisé ma femme devant un voyeur qui nous regarde en se branlant.
-Tu as choisi ton voyeur ?
-Pas du tout. Je ne sais même pas si je pourrais passer à l’acte !
-Tu veux que je joue le voyeur pour vous.
-Ça ne va pas, tu serais capable de baiser ma Julie. Ou alors tu irais tout raconter à Catherine.
-Tant pis pour toi ! Bon, avec tout ça l’heure tourne, il est temps que je rentre.
-Salut, n’oublie pas de te laver le doigt ! Bonjour à ta femme !
-Merci pour elle.
Quelques jours se passent, avant que le hasard, ou pas, me fasse croiser Dani sur ma route. Avec sa tête des mauvais jours.
Après les saluts d’usage, voilà qu’il me propose de prendre un verre dans le bar, tout proche.
-Non, merci Dani, mais je suis pressé ce soir.
-J’ai quelque chose d’important à te dire.
-Tu as choisis le voyeur ?
-Va savoir !
Tout de suite, l’idée que Julie lui a tout révélé me vient à l’esprit. Impatient de le savoir, j’accepte son invitation, et rentre avec lui dans le bar. Pas de comptoir aujourd’hui, il m’entraîne jusqu’à une table, un peu à l’écart. Il attend d’avoir deux pressions devant nous pour se lancer.
-J’ai bien réfléchi pour ce que tu sais, ce qu’on a parlé la dernière fois, murmure-t-il.
-Tu veux parler de Catherine.
-Non, je m’en fous de cette conne ! Je parle de l’autre chose.
-Du voyeur ?
-Oui, par si fort, on pourrait nous entendre.
-Mais Dani, personne ne nous connaît ici.
-On ne sait jamais.
-Bon, je t’écoute !
-La nuit portant conseil, j’ai longuement réfléchi et cela m’intéresse.
-On parle bien du voyeur ?
-Non !
-Je ne suis plus là.
-C’est que ce n’est pas facile à dire. Bon, je me lance, j’aimerais faire ça avec un homme. Bravo ça y est, je l’ai dit ! Qu’est-ce que tu en penses !
-Avec Julie ?
-Non ! Sans elle.
-Mais je croyais que c’était ton fantasme ?
-Mon fantasme, c’est toi ! ça aussi c’est dit. Je te choque ?
-Ça devrait ?
-C’est tout ce que ça te fait.
-Tu t’attendais à quoi ?
-Je ne sais pas, au pire, mais sûrement pas à ça.
Il attend un moment, tout en finissant son verre avant de revenir à la charge.
-Tu veux y réfléchir.
-C’est tout réfléchi.
-Et alors ?
-J’ai quoi en échange ?
-Tu veux quoi ?
-Ta Julie…
-Catherine…
-Julie…
-Pas question !
-Bon alors, quoi ?
-Montre-moi ta queue.
-Si tu veux, fais-je, en finissant mon verre. Allons dans ta voiture.
Une fourgonnette de service, pour être plus précis. Nous nous installons bien sûr à l’arrière. Je profite qu’il s’occupe de verrouiller la portière pour sortir ma queue de sa cachette de toile. Exhibant ainsi une belle verge raide.
-Mais mon cochon, tu bandes ?
-C’est la situation qui me fait ça. Montre-moi la, ta bite. Tu aimes les mots crus ?
Il obtempère, extrait la verge raide de son carcan. Le pantalon sur ses pieds, il saisit sa queue. Un beau sexe chauve de bonne taille, rougi, surmonté d'un gland du calibre d'une balle de golf, qui a l'air tout aussi dur. Je ressens alors de plus en plus l'excitation en moi. Je suis comme transporté par le cumul de fortes sensations. Son gland devient rutilant à mes yeux. Il brille tellement, le sang s’y afflux sous sa caresse. Je le regarde fixement.
-T’aimes bien te branler ? Je lui fais.
-Quand l’envie me vient. Et toi ?
-Ouais, j’aime ça, à défaut d’autre chose.
-Et te faire sucer la queue ?
-À ton avis ? Vas-y, branle-toi bien, la vache, t’es raide toi aussi.
Il pose sa main sur mon crâne.
-Non, je ne veux pas te sucer, enfin, pas maintenant. Continue à te masturber, j’adore cela.
-Je ne te demandais pas de me sucer. J’avais juste besoin de ta salive.
Je place ma bouche à quelques centimètres au-dessus de sa verge et lâche un long filet de bave qui vient s’étaler sur le bout violacé. Il reprend sa branlette. Une odeur musquée monte jusqu’à moi. Il clôt les paupières par intermittence, sinon me regarde directement dans les yeux, jetant de temps à autre un coup d’œil sur ma queue.
Excité comme jamais, je me penche pour placer la queue à hauteur de ma bouche. Je retrouve dès lors, la chaleur et la douceur d’une queue.
Que je me saisis pour la lécher plus commodément. Je la parcours de l’extrémité jusqu’à la racine. Tantôt de la pointe, tantôt du plat de la langue. J’insiste sur la minuscule fente qui entaille le gland. Dani donne des coups de reins. Il est écarlate.
Il appuie sur ma tête, me forçant à continuer. Encore quelques sucions, et voilà qu’il ne tarde pas à faire fuser sa jouissance du méat.
C’est épais. J’entame un va-et-vient avec mes lèvres serrées. En même temps, j’appuie par saccades sur ses couilles, provoquant encore des giclées que je n’avale pas. J’éprouve un plaisir pervers à laisser le liquide crémeux couler aux coins de mes lèvres et voir sur mon menton. Très vite, il me repousse. Il halète. Ses yeux brillent comme ceux d’un fou. Il me lâche :
- J’en étais sûr !
-C’est-à-dire ?
-Je savais que tu étais un expert. Ajoute-t-il en prenant position, sur le dos, les jambes contre son torse, s’offrant sans ambiguïté.
-Encule-moi, Alain.
J’encaisse sa demande avec un frisson. Comme toujours quand il est question de cul, je ne me dérobe pas. Fiévreux, je prends mon sexe en main pour le poser sur l’anneau qui m’hypnotise. Je pousse doucement, m’attendant à une douleur initiale pour Dani. Mais il n’en fut rien. Après une très légère résistance initiale, mon sexe progresse lentement dans un fourreau aussi accueillant qu’un vagin étroit. Mon gland disparaît. Ses mains s’agrippent à mon cou. Peu à peu, je sens le cul se dilater sous ma poussée.
Nous gémissons de concert. J’entreprends de quitter lentement le fondement de Dani pour revenir rapidement l’instant d’après. Puis je me mets alors à faire entrer et sortir ma queue de son fondement, de plus en plus vite, de plus en plus fort.
Ses cuisses se contractent, sa tête se penche en arrière. J’entends un soupir profond sortir de sa bouche, légèrement entrouverte. Je n’arrive pas à dévier mes yeux de ma queue qui pilonne son anus. Des gémissements courtois résonnent dans la cabine, traduisant notre plaisir. Je prends un pied fou à être presque brutal dans mes coups de boutoirs. Mon partenaire apprécie et réagit à chaque choc par des cris plus sonores.
Les yeux fermés, se laissant sodomiser avec un plaisir évident. Ce spectacle dope mon excitation déjà à son comble. Me donnant l’idée de devenir tyrannique avec mon jeune complice.
-Branle-toi, Dani, branle-toi.
Bientôt sa main saisit sa hampe épaisse pour une masturbation au rythme calqué sur celui de mon bassin. Je gémis de plus belle en admirant ce tableau plein de sensualité et de soumission. Mes coups de bassin se font encore plus rapides, laissant augurer une jouissance proche. D’un cri enroué, je jouis dans le cul de Dani. De longs jets de sperme. Le corps en sueur, je me tétanise tandis que Dani se masturbe furieusement pour me rejoindre dans la jouissance, de longs jets de sperme qui jaillit de son méat et qui vont s’écraser où ils peuvent.
Sur mon nuage, je me laisse retomber sur son corps, mon sexe dressé toujours fiché au fond de son cul.
J’attends qui ramollisse pour me retirer.
-Alors ? Je lui fais.
-Alors quoi ?
-Pour Julie ?
-Tu m’en merde avec ça !
-C’est bien ce que tu m’as fait, je lui fais en lui désignant ma queue maculée de trace rouille !
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Renifleur
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...

