UN ETE EN BONNE COMPAGNIE

- Par l'auteur HDS Renifleur -
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Récit libertin : UN ETE EN BONNE COMPAGNIE Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-03-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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UN ETE EN BONNE COMPAGNIE
Marie Louise est la cousine de ma mère, mais aussi une femme extravagante aux cheveux roux. Aux yeux en amandes marron, avec un corps à faire rêver n’importe lequel jeune homme comme moi, surtout en rut.
Son maquillage lui donne cet air de garce qui dévorerait tous les hommes à portée de la main.
Et c’est elle qui occupe la salle de bains, alors que je suis à mon poste d’observation. Ce qui n’était pas prévus dans des discussions lors du petit déjeuner. C’était Joséphine qui aurait dû être là sous mes yeux de voyeur. Une des quatre sœurs de ma mère. La seule dont je n’ai pas eu encore la joie d’apercevoir nue dans la salle de bains. Toutes les autres, donc les trois autres sœurs, et bien sûr à leur insu, m’en dévoiler leur anatomie. Et si je dois les classer, je me mets Christiane sur la plus haute marche et Dominique à la dernière. La seule qui épile sa chatte, alors que les autres sont brutes de pomme.
Mais revenant à Marie-Louise, qui s’examine dans le miroir. Pas très intéressé par la vision de son corps nue, je décide de quitter le lieu. Et c’est à cet instant que je me fais repérer. Le parquet vient de craquer sous mon pied.
- Qui est là ? Me fait-elle.
Je reste sans bouger, retenant ma respiration.
- Fabrice, Alain, Eric… non c’est toi Jean François. Cochon ! Tu es venue de rincer l’œil, c’est ça ? J’ai bien remarqué ton manège. Je t’ai vue me reluquer à plusieurs reprises.
-Tient ?
Et là, elle fait balancer ses hanches de gauche à droite, sur une cadence improvisée. Elle se caresse par-dessus sa culotte, que la transparence de sa nuisette me permet d’apercevoir. Le ventre, les seins, de manière de plus en plus sensuelle et chaude. Mon regard se rive sur ses mains. Qu’ils jouent avec les bretelles de sa nuisette.
- Je vais te montrer mes nichons. Tu veux voir mes nichons ?
Elle fait glisser une sangle. Dénudant par ce geste son épaule.
-Tu ne dis rien ?
Elle ne tarde pas d’en faire de même, avec l’autre. L’instant d’après, voilà que la coquine laisse glisser l’étoffe jusqu’à sa poitrine. L’exhibitionniste fait débordée du textile ses gros seins, avant de laissé tomber la nuisette à ses pieds. Sous l’action sa poitrine se balance sur son buste
Je n’en perds pas une miette, je dévore ses nichons des yeux. Heureux de n’être pas parti.
-Alors qu’est-ce que tu en dis ? Murmure-t-elle en entreprenant de caresser doucement leurs tétons.
- Tu es toujours-là au-moins ? Oui tu es là !
Les yeux clos, elle se caresse les seins sous mon œil intéressé. Je ne vous dis pas dans l’état où je me trouvais par cette vision inattendue. Ce spectacle devient très vite quasi insoutenable. Et tout en la matant je déboutonne mon short, pour faire sortir mon sexe dur de son logement. Je me retiens bien de me branler pour ne pas jouir précipitamment. Marie Louise, pour sa part, continue son exhibition obscène. Les mouvements qu’elle imprime à sa main me fait encore plus tendre ma verge. Comme rarement j’avais connu ces derniers temps avec les sœurs de maman. Elle se tortille.
-Alors qu’en dis-tu ? Il te plaise mes nichons ?
Elle fait onduler son corps. Prenant même des poses coquines. Elle abaisse sa culotte peu à peu, que je devine en expert, être en nylon. Qu’elle agite devant le trou de serrure après s’en être séparé. Tout en dandinant ses fesses. Puis elle se retourne, m‘offrant ainsi son dos. Là, elle prend bien soin de se pencher pour me dévoiler ses fesses rebondies. Elle pivote sur elle-même pour ce placer de nouveau face à moi. Mettant une main pour cacher sa foufoune que j’ai entrevue abondante.
- Cela te ferait plaisir que je me touche la foufoune ? Dis-le ? Aller je veux t’entendre me le dire. Tu n’oses pas. Tu es comme dirait, timide ?
Ses longs doigts effleurent sa vulve, sa respiration devient profonde, sa poitrine se gonfle. Je distingue distinctement, qu’elle s’insère un doigt entre ses grandes lèvres. Elle se caresse aussi doucement que l’aurait fait ma langue. Puis, elle épluche son clitoris rosé pour l’exposer, alors qu’avec son autre main elle se caresse l’extrémité de son vagin. Ses gestes sont des plus sensuels et gracieux.
- Tu aimes mon cochon ? Aller dis-le, tu aimes voir Marie-Louise se donner du plaisir. Fait-elle d‘une voix chaude et mélodieuse à la fois. Avec ses doigts, elle écarte sa vulve.
- Regarde, comment je me montre à toi, que je m’ouvre à toi. J’espère que tu le garderas pour toi.
Puis elle se masturbe. La paume de la main imprimant un rythme lent sur son clitoris. Ses doigts s’enfoncent sans retenue en elle. J’ai l’impression de vivre un rêve.
Mon souffle se fait court. Ma respiration s’accélère. J’ai chaud, très chaud même. Je freine l’action de mes doigts sur ma queue. Cela ne m’empêche pas de me sentir proche du septième ciel. Alors je stoppe tout. Et cela pour quelques secondes. Pour mieux reprendre l’instant d’après, quand mon envie de foutre est retombée. Je reprends ma caresse, jusqu’à ce que la suivante montée lente du plaisir diffus mais bien réel pointe son nez. Cet exercice, je l’ai renouvelé plusieurs fois. Jouant ainsi à ne pas franchir la limite où le chavirement deviendrait trop totalitaire. De l’autre côté de la serrure, Marie-Louise intensifie sa séance de branlette, par des petits gémissements coquins et sensuels.
- J’espère que tu aimes, toi aussi ?
Ses doigts s’attardent sur sa perle d’amour. Avec des caresses circulaires, qui devient de plus en plus rythmées. Elle gémit en étouffant son plaisir.
-J’espère que tu en fais de même de ton côté ? Dis-rien, je le devine !
Ses doigts se font plus insistants sur son bouton que je devine bien enflé. Son souffle est court, alors que ses lèvres tremblent. Je me trouve sur le point de ne plus pouvoir me contrôler, et c’est alors que j’entends des pas s’approcher.
Je remballe mes trois pièces et file au plus vite me réfugier dans la première chambre situé dans le couloir. Grâce à la porte entrouverte je peux m’apercevoir qu’il s’agit de Joséphine. Qui tombe nez à nez avec Marie-Louise, qui voulait se rendre à son tour dans la salle de bains.
- Tu parlais à qui ? Fait Joséphine à la cousine. En la voyant seule dans la salle de bains.
- Avec qui voulais-tu que je parle ? À moi-même.
-Mais tu es dingue, ma pauvre fille…
-Tu ne le savais pas ? Fait Marie-Louise en s’éloignant.
Je profite de la situation qui m’est allouée, pour de nouveau coller mon œil dans le trou de serrure. Et je ne suis pas déçu de mon audace. Joséphine a déjà baissé le pantalon de son pyjama. Je suis témoin de la chute de sa culotte le long de ses jambes. J’ai devant mes yeux un beau parterre de poils. La pression de son sous-vêtement les a aplatis. Elle est si près du trou de serrure que je vois parfaitement tout son anatomie, comme si j’étais avec elle. Sa fente grimpe haut sur le bas-ventre. Avec la petite bosse très marquée du capuchon du clitoris. Ainsi que les grandes lèvres entre lesquelles je devine les lamelles enchevêtrées des nymphes.
Pas le temps d’en voir plus. Je viens d’être pris en flagrant délit. Et pas par l’importe qui, par Marie-Louise. Elle me pince l’oreille et me traîne jusqu’à la chambre où je m’étais réfugié quelques minutes avant.
-Alors c’était toi ?
-Tu parles de quoi ?
-Ne fais pas l’idiot ! Ne me mens pas, c’était bien toi ?
-Oui c’était bien moi !
-Et alors ? Me fait-elle.
-C’était merveilleux ! Jamais je ne l’oublierais !
-J’espère que tu garderas ça pour toi ?
-Promis ! Je peux partir maintenant ?
-Non… attends ! Montre-moi ce que tu cache sous ton short ? Murmure-t-elle, tout de même mal à l’aise.
Dans mon élément, et pas mécontent de sa demande, je baisse short et slip, et exhibe hardiment ma queue. Ma verge, pas plus toucher que ça par le méfait, reste tout de même convenable.
Je revois encore aujourd’hui, son mouvement de surprise, ainsi que son regard brillant se poser sur ma queue. Elle ne se défend même pas de tripoter mes couilles, et de dire :
- Tu as bien grandi, mon cochon depuis la dernière fois.
Elle parle sans doute de mon exhibition et celle de mes cousins lors d’un été, pour savoir qui avait la plus grosse devant une alliance composé de ma grand-mère, l’organisatrice et celle aussi qui va remettre la prime de dix balle au gagnant, il y avait ma mère et mais aussi deux tantes, ainsi que la grande cousine, Marie-Louise, toujours dans les bons coups.
Sur ce, elle me demande de déguerpir, d’un air sévère. Croyez-moi, je n’ai pas demandé mon reste. Les jours suivant, voilà que Marie-Louise ne se prive pas de faire traîner sa main comme par mégarde sur mon ventre, mais aussi entre mes cuisses. Et je l’avoue, pour mon plus grand plaisir. Conséquence, chaque fois, cela me fait frémir, à en trembler de désir.
Un jour la mère de Marie-Louise nous surprit, et dit à sa fille, d’un air à la fois sévère et gêné :
- Ce n’est pas des manières, Marie-Louise.
La nuit qui suivante, je suis réveillé par le bruit de la porte de la chambre s’ouvrant. A la silhouette qui s’approche, je reconnais tout de suite Marie Louise. Elle s’agenouille pour porter sa bouche à hauteur de mon oreille et là elle me murmure, pour ne pas éveiller la curiosité de mes cousins qui dorment à mes côtés. Je me suis demandé un instant si je ne rêvais pas. Mais non ! Puisqu’elle la voilà qui relève le drap. Sans un mot elle baisse mon slip et tout de suite après je sens ses mains erraient sur mon bas ventre pressant mes couilles.
La coquine va jusqu’à poser ses lèvres sur ma queue. Elle me la lèche avec de petits grognements de plaisir. Je suis envahie par une chaleur connue que je trouve très agréable. Très vite elle arrive à ses fins. Avant de partir elle m’embrasse sur la bouche.
Un matin elle insiste pour que je lui tienne compagnie lors d’une promenade. Mais surtout, en toute discrétion. Elle prend même la peine de refouler son fils qui voulait se joindre à elle. Nous marchons un moment en silence. Je réfléchis à la marche à suivre. Est-ce que je prends l’initiative de faire quelque chose ou alors j’attends ?
Attisé par l’excitation j’ôte pour la première solution. Alors d’une bourrade, je la fais tomber sur le sol. J’en profite pour m’affaler sur elle. Elle abuse de la situation pour me couvrir mon torse nu, de baisers, se frottant à mon ventre. Je hisse le bas du tee-shirt qu’elle porte pour atteindre sa forte poitrine. Tout de suite je me mets à lui sucer ses seins vierges de tout sous-vêtement.
-Mais…mais c’est que tu t’y prends bien mon cochon ! Je dois sans doute cela à tes copines ?
Je ne suis pas allé plus loin ce jour là. Pour cause son gamin nous avait suivis. Heureusement pour nous il ne s’était aperçu de rien.
Un matin Marie-Louise a la fabuleuse idée de m’entraîner dans une salle de bains pas très occupé de la ferme. Sitôt la porte verrouillée la voilà qui dégrafe son corsage.
- Ne traînant pas !
D’où je me trouve, je peux apercevoir par la fenêtre qui donne dans la court, toute la famille.
Quand mon regard retombe sur Marie-Louise, elle est en train de se débarrasser de son tee-shirt et de son short moulant. Elle m’apparait en culotte de nylon. Comme à son habitude elle ne porte pas de soutien-gorge. Sa lourde poitrine ballote sans cesse.
-Tu as pris ta douche ce matin ?
-Non… pas encore !
-Alors à la douche…
Elle se met en devoir de me savonner, alors que je suis installer dans au fond de la baignoire. Elle frotte ma queue. Qui se tend d’envie. D’un revers de coude, elle repousse une mèche de cheveux roux échappée de son bandeau, que la sueur colle à sa joue. Elle se penche au-dessus de ma queue. La position fait pendre ses seins. Sa poitrine pâle se balance à portée de ma bouche. Alors comme lors de la promenade je lui aspire les mamelons en faisant des bruits obscènes avec la bouche.
- Petit effronté. Un peu de tenue.
Comme si je n’aipas entendu, je continue à lui suçoter les pointes. Elle émet un grognement de satisfaction.
- Tu me rends vraiment folle, toi. Oui ! Continue. Tète !
La position accroupie lui évase la chatte. Je m’incline pour observer la vulve poilue qui déborde du slip en nylon. Une odeur de femme excitée remonte de sa chatte comprimée. Je lui palpe l’entrejambe. Elle ne prend même pas la peine de me repousser. Mieux encore, dans un balancement lascif, elle avance le bassin. Je touche le fond trempé du slip, puis renifle mes doigts.
-Mais dis-moi tu es incorrigible toi !
-Oui… c’est bien ça, je suis comme ça !
-Et tu m’en vois ravi !
Elle est excitée, la cochonne. Son odeur de crevette m’affole. Je lèche la mouille sur mes doigts, avant de lui toucher la chatte sous le slip. Sous mes doigts les petites lèvres s’ouvrent. Le vagin avale les doigts qui clapotent. Elle sanglote de plaisir. À un moment, elle pousse même un cri de jouissance, que la nudité carrelée de la salle de bains amplifie.
Pourtant isolé, je crains que ses soupirs alertent quelqu’un. Je profite de la situation pour coller ma bouche contre la sienne. Mes doigts s’agitent dans son con onctueux. La mouille coule le long de mon poignet. Elle suffoque en se cramponnant à mon bras. Ses ongles s’enfoncent dans ma peau. Elle jouit, s’oubliant si bien dans le plaisir qu’elle lâche des jets d’urine.
Elle attends un certain temps, avant de reprendre vie, et de lâcher :
- J’ai pisé dans ma culotte. Je veux ta queue au fond de moi, me supplie-t-elle.
Sans perdre de temps, elle se débarrasser de son slip. Qu’elle expédie à travers la pièce.
J’observe la fente béante. La mouille colle les poils roux qui frisent. Les lèvres rouges, fripées, font penser à des crêtes de cop de mon oncle. Les languettes pendent en tremblotant. Quand elle fait le grand écart au-dessus de moi, des gouttes de pisse tombent dans la baignoire. En experte, elle ajuste ma queue devant l’orifice. Quand elle s’empale, la sensation de chaleur à l’intérieur de son con m’arrache un frisson. Plongé jusqu’aux couilles dans les chairs bouillantes, je me sens défaillir. Enfilée sur moi, elle presse ses mamelles. Elle se les pétrit sans douceur, étirant ses bouts à se les arracher.
Je lui empoigne les fesses pour l’accompagner dans mes va-et-vient. Elle suffoque de jouissance. Quand je lui plante un doigt savonneux dans le cul elle pousse un cri de surprise.
- Tu sais y faire… avec les femmes… je ne suis pas la première ?
Je me garde bien de répondre à sa question, faisant celui qui n’a rien entendu. D’ailleurs, heureusement pour moi, elle ne s’attarde pas sur le sujet.
Je me mets à lui mordre le bout des seins. Elle se met à sangloter. Le sperme bouillonne en moi. Et je suis incapable de me retenir. D’ailleurs nous jouissons en même temps. Nous mâchonnons mutuellement la bouche pour ne pas crier.
L’habitude fut alors prise, de nous retrouver fréquemment. Surtout le soir à la tombée de la nuit, dans un coin isolé.
Lors d’une de ses rencontres, je lui demande de se mettre nu. Après l’avoir longuement regarder, je fourre mes doigts, puis mon nez dans sa fourrure rousse et très odorante, avant d’y plonger ma bouche. Fouillant son pubis ainsi que les plis de sa vulve. La cochonne mouille abondamment.
Je l’entends haleter. Je ne suis pas mécontent de moi. Faire jouir la grande cousine avec ma bouche.
Encouragé je m’amuse avec son sexe. Le mordillant, le suçant, le léchant, l’aspirant. Elle gémit à tout va, grognant des mots incompréhensibles. Elle ne tarde pas à jouir. Un orgasme qui lui arc-boute les reins et lui arrache un cri. Je recueille son jus. Je garde toute la nuit son goût qui m’empâte la bouche.
Alors que toute la famille part en promenade, nous profitons de cet instant pour nous isoler dans une grange. Et là entièrement nus sur la paille, il arrive ce qui doit arriver. À force de se presser contre moi, ma verge heurte sa vulve et ma queue à tout naturellement glissé en elle. Je ne peux empêcher mes yeux à rester ouvert tant la sensation est extraordinaire. Pas pur désir, je me mets à bouger, d’avant en arrière. Comme je ne peux me retenir bien longtemps, je me laisse aller à la jouissance, tant l’envie de foutre est énorme. Comme je bande toujours, Marie Louise en profite pour se branler sur ma queue. Je la regarde, fasciné.
Le lendemain, il nous faut, comploter pour enfin nous retrouver isoler. J’ai des frémissements d’impatience dans les jambes. Je prends conscience de l’érection qui tend ma queue. Une sensation d’humidité dans mon slip.
Les doigts de Marie-Louise se glissent sans perdre de temps sous mon short pour toucher ma queue dure comme du bois. A son contact, je crois que je ne vais pas me retenir de gicler dessus.
Sa voix éraillée trahit son excitation. De la sueur perle à son front. Je serre les cuisses en la suppliant mais elle m’empoigne la queue.
- Tais-toi. Sinon je rapporte à ta mère que tu nous regarde nous laver par le trou de serrure.
Je tremble d’effroi. Elle est sans pitié. Une joie perverse illumine son visage. Elle me tient bien en main la cochonne, comme pour m’empêcher de me dérober.
Elle me branle d’un geste mécanique. La jouissance bouillonne au fond de mes couilles. Remonte en une masse compacte entre mes cuisses.
Perdant l’équilibre au moment où mon foutre jaillit avec violence, je m’accroche aux épaules de Marie-Louise. Je lui gicle entre les doigts. Pour mon plus grand plaisir, elle me vide jusqu’à la dernière goutte. Les spasmes deviennent douloureux, ma queue ramollit, mais elle continue toujours à me branler.
Il faut qu’elle s’en lasse, pour enfin cesser sa branle. Elle essuie d’un revers de main la sueur qui mouille son front.
- Petit salaud. Tu m’as mise en nage.
Mais à la suite d’un problème professionnel, mon père a dû raccourcir son séjour de vacance, et nous de même.
J’ai bien revus Marie-Louise a plusieurs reprises, mais jamais, elle a cherché à donné une suite à notre relation, comme si cette dernière n’avait jamais eu lieu.

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