UN JEU D’ANGE HEUREUX - histoire érotique

Jessica, ma tendre épouse, sort de la salle de bains après sa toilette, portant seulement une petite culotte.
Sa poitrine insolente se trémousse et se balance tandis qu'elle sèche ses longs cheveux noirs avec une serviette. Elle s'assoit devant la coiffeuse, dans la chambre, et commence à brosser ses cheveux. Je regarde son reflet dans le miroir. Impossible pour moi de résister à la vue de ces seins arrogants ! 
Comme le papillon attiré par la lumière, je me glisse derrière elle. Je me penche, l'embrassant légèrement dans le cou, sous la nuque, tout en capturant ses seins dans mes mains.
Elle me repousse : "Bas les pattes, sale type ! Pas le temps pour la rigolade! Va t'habiller. Robert sera là dans un instant."
Robert est un de nos meilleurs amis. Il est toubib. Sa femme, Mélanie, passe le week-end chez sa mère. Robert reste ici parce qu'il est d’astreinte. Nous l'avons invité à passer la soirée chez nous.

"Ouais, Robert peut attendre!" Je réponds. "Une si belle opportunité, je ne vais pas la rater !" Je pince et je tire légèrement sur ses mamelons. Réaction immédiate, les bouts s’érigent.

"Plus tard, chéri ! N'hésite pas à me le rappeler. Mais plus tard, habille-toi. Obéis !" dit-elle fermement. Elle commence à arranger son soutien-gorge.
"Ce truc est vraiment nécessaire ?" Je demande en montrant le soutien-gorge.

"Tu veux que je m’exhibe devant le monde sans soutien-gorge ?" Son regard est interrogateur.
"Hé, c'est juste Robert! Un toubib, tu te rappelles? Il a vu plus de mamelles que n'importe quel autre de nos copains, le bâtard ! Il ne le remarquera même pas. Et s'il le remarque, c’est un gentilhomme, il détournera son regard. Ce n'est pas comme si je te demandais de le séduire ou quoi que ce soit … !?"
"Est-ce que tu me demandes de flirter avec lui?" s'enquiert-elle, coquine.
"Et pourquoi pas ? Vas-y, flirte autant que tu veux! Tu n’as aucune chance, il est bien trop amoureux de sa femme !D’ailleurs, j’aimerais bien voir sa réaction. Allez! Sois une tentatrice ! Provoque-le un peu !" Je la taquine.

"Je ne peux pas croire que j'entends ça !" dit-elle et elle laisse tomber le soutien-gorge sur la coiffeuse. Elle enfile son chemisier et se regarde dans le miroir. "Pas moyen! Ce chemisier est totalement transparent !""C'est seulement parce que tu sais que tu ne portes pas de soutien-gorge. Tout est dans la tête !" 
Je réponds en regardant son reflet dans le miroir. Ses mamelons sombres sont clairement visibles à travers le fin tissu.
"Bon, d'accord, mais souviens-toi que je ne fais ça que parce que tu as insisté." Elle répond. Elle enfile sa mini-jupe noire plissée si sexy sur ses longues jambes.

Puis la sonnette de l’entrée retentit. "Ce doit être Robert. Va l’accueillir pendant que je termine." elle m’ordonne.
Je défais le premier bouton du haut de son chemisier, l'embrasse sur la joue, puis je descends en me demandant si elle aura le culot de descendre sans soutien-gorge. J'ouvre la porte d'entrée, invite Robert à entrer et verse des boissons.
Nous nous asseyons dans le salon et nous commençons à bavarder.

Jessica descend les escaliers, jolie comme un cœur. Ses seins fermes tressautent à chaque pas qu'elle fait. Il faudrait être aveugle pour ne pas remarquer qu'elle ne porte pas de soutien-gorge. Ces mamelons sombres sont clairement visibles ! Ses tétons poussent contre le fin tissu. Elle a laissé le bouton supérieur de son chemisier défait. Ses longues jambes sont divines, mises en valeur par la courte jupe plissée.

Je scrute Robert. Clairement, il apprécie ce qu'il voit ! On dirait qu'il vient de voir Jessica pour la première fois.

"Salut, Robert. Tu te sens un peu seul avec Mélanie absente ?" Galamment, il se lève pour la saluer. Le baiser, moitié sur la joue, moitié dans le cou, est appuyé.
"Tu es magnifique ce soir, Jessica ! Très en beauté !" Elle le remercie avec un petit rire de gorge.

Elle se penche sur la table basse pour prendre sa boisson, offrant à Robert une vue plongeante dans son décolleté. Il regarde les deux orbes fermes tendre le tissu de son chemisier. Elle s'assoit à côté de moi sur le canapé. Nous continuons de papoter et je me lève de temps en temps pour servir d’autres boissons.
Jessica s’occupe des collations, on a prévu un apéritif dînatoire. Je remarque qu’elle se penche un peu plus que nécessaire chaque fois qu'elle sert à Robert quelque chose à manger.
Robert apprécie le spectacle et contemple maintenant sans retenue sa poitrine.

Jessica se rassied et se blottit contre moi sur le canapé, tandis que Robert et moi parlons sport. Elle participe peu à la conversation, mais elle croise et décroise ses jambes de temps en temps. Robert, qui est assis en face de nous, a du mal à me regarder dans les yeux pendant qu'il me parle.

La soirée se prolonge et nous déjà vidé pas mal de godets.
Je suis curieux de voir jusqu'où Jessica osera pousser son petit jeu et je décide de lui créer une opportunité. Je m'excuse, prétendant un excès de fatigue et qu’en plus je dois me lever tôt le matin. Je demande à Jessica de tenir compagnie à Robert pour le reste de la soirée. Elle sait que je travaille beaucoup en ce moment et que le soir je ne tiens pas le coup, mais elle me lance un regard perplexe, et ne pipe pas mot. Je présente mes civilités et monte les escaliers vers ma chambre. Là, je me déshabille et enfile mon pyjama. 
J'éteins toutes les lumières du deuxième étage et je branche le système de surveillance.
C’est un système de sécurité que j’ai fait installer récemment. Jessica n’en maîtrise pas encore complètement le fonctionnement assez complexe. Normalement, on ne le branche que quand on quitte la maison.
Elle sait le mettre en route et le déconnecter, mais elle n’en contrôle pas encore toutes les subtilités.
J’allume mon ordinateur portable, j’ai une vision globale grâce aux trois caméras, le son du casque est parfait.

Robert revient du bar avec deux verres. Il en offre un à Jessica et s'assied sur le canapé à côté d'elle. Elle enlève ses chaussures et allonge ses jambes sur la table basse.
Ils bavardent et gloussent un peu. Il est évident qu’ils sont très embrumés par l'alcool ingurgité. Robert s’est penché pour lui chuchoter quelque chose à l'oreille. Ça l’a fait rire et elle lui a envoyé une tape sur la cuisse.

Finalement, Robert a passé son bras au-dessus d'elle sur le canapé, caressant légèrement son épaule. Il se penche et lui chuchote de nouveau quelque chose à l'oreille. Je ne peux pas comprendre ce qu'il lui dit, mais elle répond par "Oh, vilain garçon! " et croise ses bras sur sa poitrine. Cela a peut-être un rapport avec le fait qu'elle ne porte pas de soutien-gorge. Il écarte le haut de son chemisier pour exposer son épaule nue. Il affiche un sourire triomphant quand il ne voit aucune bretelle de soutien-gorge.

Par pudeur, Jessica remet son chemisier sur son épaule. Il laisse son bras autour d'elle, sa main se balançant dangereusement près de sa poitrine. Puis il lui caresse le cou très légèrement tandis qu'il lui parle. Un autre coup d’œil sur son décolleté lui fait remarquer le pendentif suspendu dans entre ses seins dévoilés. Il joue avec le pendentif et ses doigts effleurent accidentellement le haut de sa poitrine. Soit elle ne le remarque pas, soit cela ne la dérange pas, à moins que ça ne lui plaise ... 
Ils discutent encore un moment et ses doigts se déplacent du pendentif au bouton supérieur de son chemisier. Il joue négligemment avec. Soudain, elle s’aperçoit qu'il tente de défaire le bouton. Elle gifle sa main tout en plaisantant avec un "vilain garçon!" et essaie de retirer sa main. Il ne lâche pas et ils commencent à chahuter en riant. Il lui murmure quelque chose à l'oreille.

"D'accord, si vous insistez. Mais un seul !" Elle agite son index en l’air, semblant vouloir l’intimider. Elle se redresse pour lui permettre de défaire le bouton le plus haut de son chemisier. Il passe immédiatement au bouton suivant. Elle attrape sa main : "J'ai dit un seul !" Elle paraît sévère. Elle essaie de retirer sa main, mais il ne lâche pas. Dans la lutte qui suivi, quelques boutons de plus sont défaits et au moment où elle parvient à retirer sa main, son chemisier est déboutonné jusqu’au nombril.

"S'il vous plaît, allez me chercher un autre verre. Après ça, j'en ai vraiment besoin!" 
Il se lève pour prendre deux verres de plus, elle se couvre la poitrine avec son chemisier, mais sans prendre la peine de le reboutonner. Elle se lève et monte l'escalier. Je range mon matériel, me couche, et simule un profond sommeil. 
Elle vient dans la chambre, écoute, et convaincue que je dors profondément, elle entre dans la salle de bain. Bientôt, j'entends le bruit d'un fort jet de pisse qui frappe la cuvette des toilettes. Puis elle se rajuste et redescend au salon. Je remets mon poste d’observation en place.

Elle s'assoit à côté de lui et il lui tend son verre. Elle n’a pas reboutonné son chemisier.
Il passe son bras autour d'elle et sa main glisse nonchalamment dans son chemisier et il saisit sa poitrine nue. Elle est prise par surprise et pose son verre. Elle essaie ensuite de retirer sa main de sa poitrine, sans succès. Ils luttent un moment, elle se lève difficilement pour s'éloigner, mais il l’amène contre lui. 
Elle perd l’équilibre et tombe sur lui, à cheval sur ses genoux. Elle reste dans cette position, tenant fermement son chemisier dans le but de couvrir ses seins. Sa jupette est remontée jusqu'à sa taille. Mais que diable ..? Ce peut-il ..? Elle ne porte pas de culotte ! Je peux clairement voir son cul nu !

Il l’enlace et pose ses mains sur son derrière joufflu. Surpris, il lui chuchote quelque chose à l'oreille. Elle se cambre et répond : "Bien sûr que j’en ai une !""Mais non, t'en portes pas !" il a répondu.
"J’ai !" elle affirme.
"Eh bien, prouve-le alors!" il ose.
Elle se redresse et soulève sa jupette. Elle fait une volte rapide devant lui. Elle porte un string!
"Ah, magnifique ! Jetons un autre coup d’œil à tout ça !" il s’exclame.
"Tu peux toujours rêver, mon gars !" Elle tente de s'esquiver.

Il glisse ses mains sous sa jupette et entreprend de lui ôter son string. 
Elle se débat pour préserver sa dignité, mais avec ses deux mains luttant contre celles de Robert, elle ne peut rien faire pour empêcher que ses seins ne sortent de son chemisier déboutonné. Robert voit les deux orbes parfaits se balancer devant son visage. Il ne peut pas en croire sa chance! 
Sans plus tarder, il bloque ses jambes pour l’empêcher de s’échapper et, dans le même mouvement, sa bouche happe son mamelon droit. Je peux entendre la forte inspiration de son souffle. Pendant un instant, elle le laisse faire, sacrifiant ses seins pour préserver sa culotte. Il défait le reste de ses boutons et elle ne s'y oppose toujours pas. Il repousse le chemisier sur ses épaules et le laisse glisser au sol.

Est-ce qu'elle va vraiment le laisser la baiser ?! Je ne peux pas croire ce que je vois ! Le plus étrange, c'est le fait que je suis vraiment excité par tout ça ! Mon érection est bien dure et lancinante en regardant un autre mec sucer les seins de ma femme ! Je libère ma bite raide des contraintes du pyjama et commence à me caresser lentement, attentif au déroulement des péripéties.

Il glisse à nouveau sa main sous sa jupette et caresse sa chatte fendue à travers le tissu mince du string. Cela semble lui rendre sa conscience. Avec un "NON!" ferme, elle le repousse et se penche pour ramasser son chemisier.

Mais tripoter sa chatte a évidemment réveillé le fauve en lui! Il l'attrape par la taille et, dans la lutte qui s'ensuit, elle trébuche et tombe sur le tapis. Il la suit, tombe sur elle, allonge ses jambes entre les siennes. Il bloque ses bras au-dessus de sa tête avec ses mains, et gobe avec sa bouche vorace son sein rond.

"S'il te plaît ... Ne fais pas ...!" plaide-t-elle.
Mais ses appels tombent dans l'oreille d'un sourd. Il suce et tète ses mamelons sans lâcher ses poignets.

Cela commence à devenir ambigu ! Si elle ne veut vraiment pas et qu'il la force à faire quoi que ce soit contre sa volonté, je vais descendre et le jeter dehors. Mais avec ma bite dure comme une barre de fer, je dois attendre un instant ...

Puis il lâche ses seins. Immobilisant ses bras d'une seule main, il utilise sa main libre pour dégrafer son pantalon. Il repousse son pantalon et son slip, puis se couche sur elle. Ses hanches commencent un mouvement de balancement lorsqu'il frotte sa chatte par-dessus le string. Il continue de s’agiter sur elle, tout en suçant ses seins.

"Arrête, maintenant ! S'il te plaît ! Je vais crier !" Menace-t-elle.
"Tu bluffes ! Essaie si tu l’oses ! Je dirai que tu m’as allumé !"
Puis sa main disparaît entre ses jambes. Il essaie de retirer le string de sa chatte, tandis qu'elle se tortille sous lui. Il semble qu'il ait réussi à atteindre son objectif, car il commence à guider sa bite dure vers sa chatte.

D'accord ! Ça suffit ! Maintenant, je vais me fâcher ! Alors que je me lève, prêt à intervenir, elle saisit son sexe et s'efforce de l'empêcher de la pénétrer.

"S'il te plaît, ne me baise pas ! Je vais te branler, ou te faire une pipe. Ne fait rien que tu regretteras demain! plaide-t-elle. Immédiatement, elle commence à lui caresser la bite.

Cela semble le calmer. Il se lève et vient s'asseoir sur le canapé, sa bite dressée en l'air. Il l’aide à se relever et mets ses mains sur sa taille. Il dégrafe sa jupe et la laisse tomber sur ses pieds. Elle ne s'y oppose pas et l’éloigne. Puis il glisse ses doigts dans la ceinture de son string dans le but de l'enlever.

"S'il te plaît ... j'aimerais continuer …" Il en reste là et enlève sa chemise. Il l'attire à côté de lui. Elle s'agenouille sur le canapé à côté de lui et ses doigts se replient autour de son arbre massif. Elle le caresse pendant un moment pendant qu'il s’étend, souriant comme un pacha ! Elle caresse ses énormes couilles avec son autre main. Tout va bien. Elle a le contrôle.

Puis il appuie sur sa tête pour tenter de la persuader de lui faire une pipe. Elle écarte la main de sa tête. Ses seins sont suspendus comme deux fruits murs devant lui. Il tire doucement sur ses mamelons pendant qu'elle le branle. Je sais que ça doit l'allumer. Ça la rend folle quand je lui fais ça!
Je sens à nouveau ce picotement dans mon pyjama. Mon érection est revenue ! Je recommence à me caresser.

Il caresse son dos, ses reins puis ses fesses pour essayer d’atteindre sa chatte. Elle déplace légèrement sur le côté pour lui donner un meilleur accès. Il caresse sa chatte par-dessus son string pendant qu'elle branle fiévreusement sa bite. Il glisse son doigt sous son string et je peux le voir disparaître dans sa chatte humide. Son doigt la baise, je peux voir grâce à sa bouche ouverte et à ses hanches oscillantes qu'elle adore ça !

Puis il la repousse. Il se lève et la remets sur ses pieds. Il attrape l’élastique de son string et le glisse sur ses hanches. Cette fois, elle ne s'y oppose pas. Elle se libère et il l'allonge à côté de lui sur le tapis. Il la fait rouler sur le dos et s’allonge au-dessus d'elle en position tête-bêche.
Il pose sa bouche sur son entrejambe nue, et sa bite pend au-dessus de son visage. 
Il écarte ses cuisses et commence à lécher sa chatte. Elle lève les genoux. Je sais qu'elle aime ça. Ses yeux sont fermés et sa tête roule d'un côté à l'autre. Sa langue entrouvre tout le long de sa chatte. Sa bite lui frappe le visage et elle ouvre les yeux. Elle voit sa bite planer au-dessus de son visage et la gobe instinctivement. Il gémit puis entreprend de baiser sa bouche avec sa bite,
Ses mains s’accrochent sur les hanches de l’homme qui la domine.
Elle ondule des hanches, je réalise qu'elle est sur le point de jouir. Puis elle reçoit un orgasme puissant, son corps tremble de façon incontrôlable. Il lui laisse le temps de récupérer, la tenant tendrement serrée dans ses bras.

Puis il monte sur elle, ses jambes entre les siennes. Il se penche en avant et commence à pousser.
"Non! Attends! Ne me pénètre pas ! Je préfère te sucer !" Plaide-t-elle.

Mais Robert a d'autres idées en tête. Il est en train de se frotter sur sa chatte humide, essayant de la pénétrer, alors qu'elle se tortille comme une folle dans un ultime effort pour l'empêcher de la pénétrer.
"S'il te plaît, arrête! On ne peut pas faire ça à Greg ? Je ne pourrais jamais lui faire ça … !"
Mais Robert est en émoi ! Son cerveau est pollué par son envie de baiser ma femme, et il pousse sa bite en avant. La pointe de sa bite ouvre sa fente lisse et humide, et vient se loger contre l'ouverture de son vagin. Il se précipite en avant avec ses hanches, et son poteau massif glisse de toute sa longueur dans la chaleur humide. 
"Aïe ! Salaud ! T’es pas doux !"
Il se couche sur elle avec son sexe enfoui jusqu'à la garde dans sa chatte. Elle arrête de lutter. Toute sa réticence disparaît. Elle soulève ses jambes et les enroule autour de sa taille, ses mains s’accrochent à ses épaules, elle soupire bruyamment. Ses lèvres cherchent les siennes et elle l'embrasse passionnément.

Puis il commence à la baiser. Je peux voir son énorme bite disparaître complètement dans sa chatte trempée, pour réapparaître presque immédiatement, humide et scintillant dans la douce lumière du salon! Ses hanches commencent à basculer au rythme des siennes, ses ongles mordant dans la chair de ses épaules. Il la baise passionnément, et ses hanches répondent avec empressement à chaque poussée. Puis il la quitte. Elle lui lance un regard perplexe, presque mécontente.

Il la fait rouler et la positionne à quatre pattes. Il se place derrière elle et enfonce sans effort son énorme bite dans son canal d'amour parfaitement lubrifié. Elle secoue la tête en arrière, la bouche ouverte. Elle est totalement envahie par le ravissement du moment. Il se penche en avant et sa main disparaît sous son ventre, taquinant son clitoris, tandis que l'autre malaxe ses seins qui se balancent. Il la baise durement par derrière, ses couilles claquent à chaque coup. Je devine qu'elle est proche de l’orgasme. Elle convulse avec un gémissement rauque et s'effondre sur le tapis, son corps ébranlé par son orgasme!

Elle est allongée en tas sur le sol. Il se lève et vient s’écrouler sur le canapé. Elle le regarde, sans dire un mot.

Puis elle se lève et vient vers lui. Elle l’enjambe et s’accroupit sur ses genoux.
Elle saisit sa bite dure et la guide dans sa chatte humide. Elle s’empale complètement jusqu'à ce qu'elle puisse sentir ses couilles presser contre son cul. Puis elle commence à le chevaucher! L’angle de vue me permet de voir sa chatte écartelée par son énorme bite.
Elle pénètre et sort entièrement de la chatte de ma femme. Elle est en contrôle et adore chaque engloutissement !

Alors ça devient trop pour lui. Il l'attrape par les hanches et enfonce sa bite au plus profond de sa chatte. Son corps se crispe lorsqu'il tire son jet de sperme chaud dans sa chatte, vidant totalement ses couilles en elle.
Je suis également au-delà du point de non-retour. Je pompe mon sexe avec fureur et tire ma charge de sperme chaud.

Elle se penche en avant et pose sa tête sur son épaule, l’embrassant dans le cou pour le remercier. Puis elle se soulève, sa bite en détumescence glisse hors d'elle. Ils se lèvent et s'habillent tous les deux en silence. Elle le reconduit à la porte et l'embrasse sur la joue.

Je range tout mon matériel et me précipite pour me coucher alors qu'elle se dirige vers les escaliers. Elle entre directement dans la salle de bain et prend une douche. Puis elle vient se mettre au lit. Elle se blottit contre moi, derrière mon dos et me serre très fort. Elle pense que je dors, mais je sais qu'aucun de nous deux ne pourra dormir avant un bon moment !