UN JEU DE DUPES
Récit érotique écrit par Tamalou [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-08-2020 dans la catégorie Dans la zone rouge
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UN JEU DE DUPES
"Oh, mon Dieu, bébé, oui c'est ça, comme tu es fort, oh oui, pousse bien au fond, bébé, défonce-moi bien profond. Allez mon chéri, baise-moi plus fort, vas-y !"
Ses cheveux noir de jais étaient étalés en éventail sur la taie d'oreiller blanche; ses jambes étaient largement écartées et ses pieds, toujours avec ses talons hauts, pointaient droit vers le plafond. L'homme qui la baisait, David, martelait sa chatte avec l’énergie du désespoir. Elle lui griffait le dos et ses ongles laissaient des marques rouges sur sa peau.
"Allez, bébé, c’est ça, oui, baise-moi fort, fais-moi jouir. Emmène-moi là-bas, défonce-moi !"
Ma bite était aussi dure qu'un roc tandis que je regardais l'action sur le lit, mais je ne me caressais pas, car j'avais besoin de mes deux mains pour maintenir la caméra vidéo.
Encore des encouragements : "Oh oui, oh oui, fais-moi jouir, bébé, fais-moi jouir !"
Il faut dire à sa décharge qu’elle l’avait sucé au salon avant de l’amener dans la chambre, sans présumer de ce qu’elle lui avait fait subir pendant le trajet, et que le gars David avait du mal à recharger ses batteries.
"Baise-moi profondément bébé, tape dans le fond, n’aie pas peur. Crache ton jus sur mes œufs bébé, donne-moi un fils, bébé, remplis-moi de ta semence."
Il a donné une dernière poussée et s'est bloqué profondément en elle pendant que son sperme jaillissait du bout de sa bite et courait vers ses ovules. Il resta immobile pendant un moment, puis il se retira et roula sur le lit à côté d'elle. Ils sont restés silencieux le temps de reprendre leur souffle, puis David a dit:
"Si tu es enceinte, comment vas-tu nommer l'enfant, comme moi ?"
"Ne sois pas idiot, bébé. Je vais lui donner le nom de mon mari. Ce sera Robert Junior."
"Et si c'était une fille ?"
"Ne dis pas de bêtises, pas avec un papa fort et viril comme toi."
"Et si c'était le bébé de ton mari ?"
"Cette bite molle ne pourrait pas me mettre enceinte, même à mon meilleur jour. Sa petite bite ne lui sert qu’à faire pipi."
"Je ne comprends pas. Si tu as une si basse opinion de lui, pourquoi restes-tu mariée avec lui ?"
"Parce qu'il gagne vraiment beaucoup d'argent et qu'il est le mari idéal pour moi."
"Le mari idéal, comment ça ?"
"Je le tiens en laisse. Laisse courte. Il fait tout ce que je veux, quand je lui demande, il sourit et me dit :" Oui, chérie."
"Cela ne ressemble pas à un homme. "
"Il n'a pas besoin d’être un homme. J’ai un amant pour ça, c'est pour ça que je t'ai, chéri."
David regarda sa montre : " Je ferais mieux d'y aller. Il va bientôt rentrer à la maison."
Elle attrapa sa bite amollissante : " Oh non, tu ne pars pas, bébé. J'ovule, tu dois me mettre enceinte."
"Et si ton mari rentre à la maison et que je suis toujours là ?"
"La mauviette ira se cacher en pleurant dans le garage jusqu'à ce que tu partes. Maintenant laisse-moi te rendre dur !" Elle recommença à lécher sa queue. Elle l'a fait lever, elle a écarté les cuisses, et de longues minutes plus tard, elle l'a fait descendre, puis elle a suggéré qu'il était temps pour lui de partir.
"Robert se cachera dans le garage parce qu’il aura peur de toi, si tu es toujours là quand il rentrera à la maison, même s’il croira toutes les histoires que je lui raconterai. Mais il est préférable d’éviter la situation. Je suis épuisée bébé, tu m’as crevée, tu connais le chemin, hein ? Je vais mettre cet oreiller sous mon cul et laisser ton jus couler jusqu'à mes œufs. Appelle-moi demain et nous verrons pour programmer notre prochaine séance de baise."
David a quitté la pièce et j'ai éteint l'appareil photo que j'ai caché sous une pile de vêtements. J'ai entendu la porte d'entrée se fermer, puis Sophie m’a appelé : "Tu peux sortir maintenant." J'ai quitté le placard et j'ai regardé ma femme allongée sur le lit, les jambes écartées et sa chatte dégoulinante du jus de son amant.
"C'était ce que tu voulais, bébé? As-tu obtenu ce que tu voulais ?"
"Oh oui mon amour, j'ai juste ce que je voulais."
"Bien. Maintenant, viens sur moi me donner ma récompense. Fais-moi oublier ce petit trou du cul."
En m’allongeant sur elle, je luttais pour ne pas jeter mes biscuits. Je devais baiser cette pute, lui faire croire que je l’aimais, mais je ne devais pas m’enflammer. Je devais la garder heureuse jusqu'à ce que j'aie fini ce que j'avais à faire.
Tout avait commencé un mardi pluvieux. Il pleuvait fort toute la journée, et la roulotte de chantier avait connu des jours meilleurs. À bout de forces, le toit et deux des fenêtres ont décidé d'abandonner le combat. L'eau a rampé sur les parois et court-circuité l’électricité, j'ai éteint l’informatique juste avant que les dégâts ne soient sévères.
Dehors, la forte pluie transformait le sol en une soupe boueuse, alors j'ai dit aux gars d'arrêter et de prendre leur journée. Normalement, un jour de pluie, je retournais au bureau et je rattrapais mon retard de paperasse, mais je n'avais vraiment pas envie ce jour-là. Non, ai-je pensé, rentre à la maison et pourchasse Sophie dans toute la maison.
Il y avait une voiture inconnue dans l’allée, alors j'ai supposé que Sophie était avec une copine et que ma séance de sport en chambre était foutue. J'ai laissé ma voiture dans la rue pour que la voiture dans l'allée puisse sortir.
Quand je suis entré dans la maison, ce fut un choc de découvrir les vêtements épars sur le chemin menant du séjour à l’étage. Pour confirmer mon appréhension, les bruits qui me parvenaient de la chambre éclairaient ma lanterne.
Des soupirs, des gémissements, les grincements du sommier et ce bruit horrible de la tête de lit qui heurte le mur.
Découvrir que votre tendre femme, douce et aimante, aime quelqu'un d'autre. Ma première impulsion a été de monter à l'étage et de tuer tout le monde. Mais en tant que dirigeant d’une entreprise, j’ai appris à contrôler mes humeurs.
Malgré la rage froide qui me tordait le ventre, je suis ressorti calmement de la maison. J’ai déplacé ma voiture jusqu'à une place de parking d’où je pouvais surveiller l’entrée. Environ deux heures plus tard, un inconnu est sorti de chez moi, est monté dans la voiture garée dans l'allée, puis il est parti.
Pendant ces deux heures où j’attendais, je me posais beaucoup de questions. Depuis combien de temps ? Combien de fois ? Avec qui ? Pourquoi ? Ouais, grands dieux, pourquoi ? Sophie et moi n'étions mariés que depuis deux ans !
Comment diable ce putain de mariage avait-il pu chier en si peu de temps? Nous n’avions aucun problème d'argent, mon entreprise marche très bien. Sexuellement, tout allait bien, du moins de mon point de vue. Nous nous aimions toujours comme des jeunes mariés. Manifestement, quelque chose clochait, mais je ne comprenais pas de quoi il s'agissait.
J'ai essayé de me souvenir d’un détail qui pourrait me donner une idée du moment où Sophie a commencé à être infidèle, mais rien ne me vint à l'esprit. Aucun signe; pas d’appel téléphonique suspect, d’absence inexpliquée, la décroissance des rapports. Rien de tout cela ne s'était produit.
Le vendeur de la boîte d’électronique m'a bien expliqué ce dont j'avais besoin et comment m’en servir.
En fin de semaine, ma maison était connectée pour le son. J'avais plusieurs enregistreurs activés par le son.
Ils étaient cachés aux endroits stratégiques, le séjour, la chambre et le téléphone. Indétectables.
Même avant de commencer à faire ce que le vendeur avait appelé "la collecte d'informations", je me suis occupé de conditionner Sophie.
Ce soir-là, après une rude séance de baise, j'ai demandé : "As-tu des fantasmes ?"
"Bah, tout le monde en a, non ?"
"Je ne sais pas. Quels sont les tiens ?"
"Gagner à la loterie, me faire baiser par une star de cinéma, qu’un génie m'accorde trois souhaits, que mes seins restent fermes, pourquoi ?"
"Juste curieux. Une star de ciné, hein? Et les autres gars ?"
"Non, bébé, ce ne sont que des fantasmes. Tu es mon homme. Le seul, l’unique. Qu'est-ce qui t’a amené là ?"
"Rien de précis, juste une curiosité soudaine."
"Pas de conneries, je te connais bien. Tu as un fantasme et tu t'es demandé si je l'avais aussi. Qu'est-ce que c'est, bébé, dis-le moi ?"
"Non je ne pense pas."
"Hé! Je t'ai dit le mien, tu dois me dire le tien. Sinon c'est pas juste."
"Tu n'aimeras pas ça. Ça va t’énerver et je vais passer un mois en travaux manuels parce que tu vas me jeter hors de la chambre."
"Oh allez, bébé, arrête tes mélodrames. Dis-le moi, chéri, ou je te mords !"
J'ai feint d’hésiter une seconde, et j'ai dit : "Mon fantasme, c’est de te voir faire l'amour avec un autre homme."
" ?"
"Je ne sais pas, un étranger je suppose. Je ne pense pas que je voudrais que ce soit quelqu'un que je connais."
"Et tu serais où ? Assis sur une chaise, au pied du lit ? Perché sur une échelle, espionnant par la fenêtre de la chambre? Ou caché dans le placard ?"
"Je préfère caché dans le placard; je ne voudrais pas qu'il sache que je suis là."
"Bon alors, comment ça se passe ? Tu me ramènerais quelqu'un à la maison, ou est-ce que c’est moi qui ferais la tournée des bars, pour voir ce que je peux ramasser ?"
"Tu choisirais le mec. Bon sang, je n'aurais aucune idée de comment trouver un mec, et de lui demander d'avoir des relations sexuelles avec ma femme. Toi, tu n'aurais aucun problème pour pécho."
"Et pourquoi donc ?"
"Les filles savent naturellement comment captiver les gars."
"Depuis combien de temps as-tu ce fantasme?"
"Longtemps ..."
"Pourquoi ? Pourquoi voudrais-tu me voir baiser avec un autre homme ?"
"Pour que je puisse voir des choses que je ne peux pas voir quand je te fais l'amour."
"Comment ça ?"
"Ben … Est-ce que tes orteils se courbent quand tu as un orgasme ? Est-ce que tes pieds bougent ou pointent droit vers le ciel ? À quoi ressemble ta chatte quand elle saisit la bite qui la pénètre ? Quand je suis sur toi, je ne peux pas voir comment tu bouges. Je peux te sentir bouger, mais je ne peux pas le voir. Ton visage, est-il différent lorsque nous sommes en levrette, ou est-ce le même que lorsque nous sommes en position missionnaire ? Il y en a probablement beaucoup d’autres, mais ce sont ceux qui viennent à l'esprit maintenant."
"Fascinant. T’es vraiment tordu, comme mec."
"Quoi ?"
"Tu voudrais me voir baiser un autre homme ? Moi ? Ta femme ?"
"Eh bien, ce n'est qu'un fantasme, je ne m'attends pas à ce que cela se produise."
"Mais tu le veux vraiment, n'est-ce pas? Je peux dire d'après le ton de ta voix, et la façon dont tu en parles, que tu veux vraiment que cela se produise !?"
Je l'ai regardée pendant un long moment et j'ai dit : "Ouais, je suppose que je le veux vraiment."
"Je ferais n'importe quoi pour toi bébé, et tu le sais, mais j’aimerais mieux mourir que de voir un type glisser une bite en moi. Après, tu me mépriserais, tu me détesterais."
"Maintenant, de toute façon, Sophie, tu es toute ma vie. Rien de ce que tu pourrais faire, ne pourrait m’éloigner de toi. Jamais je ne pourrais te mépriser ou te détester !"
"Tu accepterais vraiment ça ? C’est pas une blague ?"
"Ouais, bébé, je te le jure."
"Eh bien, je vais y réfléchir, mais je ne peux pas te faire de promesse ..!"
Le lendemain soir, après le repas, Sophie m'a dit qu'elle allait chez sa mère pour quelques heures, et qu'elle serait de retour pas trop tard. Dès qu'elle est montée en voiture, j'ai récupéré mes enregistrements sur l’ordinateur et je les ai écoutés.
J'ai entendu l’interphone, des murmures inaudibles, puis des sons qui de rapprochent et deviennent intelligibles :
"Dépêche-toi, bébé, assieds-toi sur le canapé et sors-moi ton jouet. Tu sais que j'adore avoir ta bite dans ma bouche."
"Tu vas encore ressentir cette émotion, quand nous serons mariés ?"
"Oh, putain, oui, bébé. Hum, regarde comme c’est gentil, il est déjà tout droit pour moi !"
Puis j'ai entendu des bruits de succion bruyante pendant plusieurs minutes : "Putain, bébé, tu avais les couilles bien pleines, j'en ai avalé un litre. Allez, bébé, maintenant qu’on a purgé le trop-plein, viens me baiser dans la chambre."
Les bruits se sont estompés lorsqu’ils ont quitté la pièce. En changeant d’enregistrement, j'ai réfléchi à la phrase "Quand nous nous marierons" que j'avais entendue. Cela annonçait soit mon divorce, soit ma mort.
Le suivant était celui de la chambre, mais il n'y avait rien d'autre que des bruits de baise. Des gémissements, des encouragements, le sommier qui grince, la tête de lit qui tape contre le mur. Il avait la baise rude, et elle aimait ça.
Celui relié à la ligne téléphonique était le dernier. Il a eu six appels en tout : un faux numéro, deux télévendeurs, un bavardage avec sa sœur, un appel de son amant lui demandant si la voie était libre et s’il pouvait venir, et le dernier appel de Sophie était pour sa mère. Le dernier appel était le plus intéressant :
"- Allô ?
- Bonjour maman.
- Salut ma chérie. Tu m’appelles parce que tu as encore besoin de quelque chose ?
- J'ai besoin de toi pour me couvrir ce soir, au cas où mon mari t'appellerait pour savoir où je suis.
- Qui rencontres-tu, Bruno ou David ?
- Bruno.
- Un de ces jours, tu vas te faire prendre, Sophie. Tu le sais que tu joues un jeu dangereux, non?
- Mais non, ça ne craint rien, il est trop bête, et bientôt tu n'auras plus besoin de me couvrir.
- Vous allez enfin divorcer?
- Non. J'ai encore besoin d'un peu de temps pour être sûre de connaître tous les actifs.
- Ne sois pas aussi avide, chérie ! Sors-toi de là avant de te faire prendre.
- Quelques mois, maman, ça veut dire quelques millions de plus ! En outre, je n'aurai plus à m'inquiéter de me faire prendre. Robert m’est parfaitement soumis. Il me mange dans la main. Il veut être mon cocu. De son plein gré. Je vais me faire baiser par Bruno et David juste devant lui.
- Chérie, j'y réfléchirais longuement avant de jouer à ce jeu. Mon conseil, c’est de ne pas le faire. Jouer à ce petit jeu pourrait se retourner contre toi.
- Non maman, tout ira bien, tu verras. Alors, tu vas rester à la maison pour pouvoir me couvrir, ce soir?
- Très bien, ma chérie. Quelle est l'excuse pour ce soir ?
- Et si je t'aidais à faire une courtepointe pour Papa pour son anniversaire ?
- D'accord. Bisous, ma chérie !
- Merci maman, je t'aime !"
Et moi qui avais toujours pensé que la mère de Sophie m’appréciait. Cet appel m'a convaincu que mon mariage n'était pas en difficulté. Cela m'a apprit que je n'avais pas de mariage. Ce que j'avais, c'était un jeu de dupes, un jeu de con.
Et j'en étais la cible. L’imbécile qu’on épouse pour son argent pendant qu’on batifole avec ses amants. Avec la complicité de sa mère. Ma seule pensée cohérente était: "Quelles salopes ! La mère et la fille. Quand j'en aurai fini avec vous deux, vous regretterez ..."
La semaine suivante, j'ai collecté des enregistrements de Sophie se confiant à sa mère, ou parlant avec ses deux amants. D’ailleurs, je me suis rapidement aperçu que chacun ignorait l’existence de l'autre.
Et bien sûr, toute la baise et toute la merde qui se passait dans le séjour et la chambre
Je savais que Sophie avait mordu à l’hameçon. Cela l’excitait, l’idée de baiser ses amants devant moi.
Cela rajoutait un peu de piment. Avoir un cocu soumis, pour cette salope, c’était l’idéal !
Tout ce que j’avais à faire, c’était d'attendre. Le vendredi, en rentrant du travail, j’ai trouvé Sophie équipée d'une minijupe fendue, d'un chemisier très révélateur, et juchée sur ses talons les plus hauts.
"On sort ce soir ?"
"Pas nous, bébé, juste moi."
"Oh ? Et où vas-tu, habillée comme ça ?"
"Tu aimes ? Est-ce que j’ai l'air sexy ?"
"Tu n’as pas besoin de ça pour être sexy, mais là, tu es superbe !"
"Bien. C'est l'idée. Ce soir, tu auras ton fantasme, mon chéri. C’est ma tenue pour appâter les matous, et si je ne me fais pas aborder dans les cinq minutes qui suivent mon entrée dans le bar, mon ego sera au fond des toilettes."
"Pourquoi n'en avons-nous pas parlé avant que tu prennes ta décision ?"
"Parce que si nous en discutions avant, je crains de me déballonner et de ne plus avoir le courage de le faire. Tu le désires tellement, je sais que c’est ton plus cher désir, et je t’aime tant, mais malgré cela il m'a fallu une semaine pour trouver le courage de le faire. Je dois le faire maintenant que je suis décidée, sinon je risque de perdre mon audace."
Elle m'a pris dans ses bras et m'a étourdi avec un baiser passionné.
Dès qu'elle a quitté l'allée, j'ai vérifié tous mes enregistrements. Rien de passionnant dans le séjour ni dans la chambre. Un seul appel intéressant sur le téléphone. Cet appel m'a expliqué son plan pour la nuit:
"- Allô ?
- Salut, bébé. Ma chatte affamée réclame ta merveilleuse bite. Tu veux me baiser ce soir ?
- Tu sais bien que je refuse jamais, mais tu m’avais dit que tu n’étais jamais libre le soir ?"
- Un déplacement imprévu. Mon cocu part loin de la ville jusqu'à demain. On se retrouve où ?
- Dans ce cas, je serai au bar où l’on s’est connu, ce soir vers sept heures. Nous pourrons prendre un verre puis je te baiserai dans ton lit conjugal. Je sais à quel point tu aimes baiser dans le lit de ton mari.
- D'accord bébé, je te rejoins vers sept ..."
C'était une heure avant que je reçoive son appel téléphonique.
"J'ai attrapé un gros matou. Je devrais être à la maison d’ici quinze minutes, alors tiens-toi prêt à sauter dans le placard."
Onze minutes plus tard, Sophie se garait dans l'allée, et une autre voiture s'est arrêtée derrière elle. J'ai emménagé dans le placard, et je me suis installé pour être à l'aise. Je me suis assuré que le caméscope avait le bon angle sur le lit, puis j'ai attendu.
Sophie est entrée dans la pièce, enlacée par Bruno. Il la maintenait tendrement, et elle lui offrait sa bouche.
Elle s’est dégagée en riant pour se déshabiller, en lui disant : "Dépêche-toi, bébé, j'en ai vraiment besoin. Sors-moi ta bite et mets-la moi !"
Je m'attendais à ce que ce soit comme dans une vidéo porno, mais ce n'était pas le cas. Il n'y avait pas de musique, pas de cris falsifiés, ni ces stupides coups de bite sur le visage ou le ventre.
J'ai entendu des chuchotements, des gémissements, des grognements, même des encouragements. J’ai bien entendu le lit aussi, grincer et taper contre mur. Mais je savais au son de sa voix que Sophie ne simulait pas. Elle a aimé chaque coup de bite qu’elle a reçu.
Quand j'avais fait mes plans, je n'y avais pas réalisé combien de temps j'allais devoir rester dans le placard. Bruno a baisé Sophie, en position du missionnaire, puis ils ont fait un soixante-neuf, et quand Bruno est redevenu dur, il l’a baisée de nouveau. Ensuite, Bruno a mangé sa chatte jusqu'à ce qu'il soit raide et il l’a baisée une troisième fois, puis Sophie l'a sucé pour la remise en forme et elle s'est positionnée à genoux:
"Dans mon cul, bébé, cette fois je te veux dans mon cul."
Dire que je n’avais jamais osé lui demander d’utiliser cet orifice, persuadé qu’elle n’aimait pas cela, à cause du sursaut qu’elle avait eu lorsque j’avais aventuré mon doigt là-dedans.
Elle a enfouit son visage dans l’oreiller, et Bruno a commencé à se glisser dans son petit trou. L'oreiller étouffait ses gémissements, je ne savais pas si c’était de douleur ou de plaisir, mais peu m’importait puisque c’est elle qui l'avait demandé. Lorsque Bruno fut complètement entré en elle, il a commencé à la baiser agréablement jusqu'à ce qu'elle relève la tête de l'oreiller et lui dise:
"Plus fort, putain, baise-moi plus fort, j’aime pas quand c’est mollasson!"
Bruno l’a attrapée par sa tignasse, lui tirant la tête en arrière pour lui cambrer le dos. Il la baisait sauvagement, les chairs claquaient, et de temps en temps, avait sa main libre, il lui giflait le cul. Sophie était positionnée face au placard et je pouvais voir la convoitise briller sur son visage, et son regard de défi posé sur moi.
"Ouais, baise-moi fort, chéri, casse-moi le cul, bébé, j’aime ça !"
Dans son regard, je pouvais voir tout le mépris qu’elle avait pour moi, parce que cette salope aimait l’amour qui fait mal, et que j’étais beaucoup trop doux, trop respectueux envers elle. Je savais qu’elle pensait :
"Espèce de petite merde stupide. Je baise mon amant devant toi, avec ta bénédiction, et je suis sûre que tu es en train de te branler. " Mais elle avait tort à ce sujet, et elle n'avait pas la moindre idée de ce qui l’attendait.
Quand Bruno eut fini et qu’il a sorti sa bite ramollie d'elle, Sophie regarda sa montre:
"Tu dois y aller, bébé."
"Mais j'avais l'intention de passer la nuit avec toi. Tu m'avais dit que ton mari était hors de la ville et ..."
Sophie a posé sa bouche sur la sienne pour le faire taire : "Chut, bébé. Je ne t'ai jamais promis une nuit blanche. Ma sœur vient passer la nuit avec moi. Elle va quitter la soirée avec ses copines. Elle sera là dans une demi-heure. Tu dois partir. Maintenant ! Allez, ouste, pas de dispute, fiche le camp. Allez, allez! " et elle l’a aidé à se rhabiller en le houspillant.
Sophie l'a raccompagné jusqu'à la porte et pendant qu'elle était absente, j’ai caché la caméra. J'étais allongé au milieu du lit défait, lorsque Sophie est revenu dans la pièce.
"Oh bébé !" dit-elle en regardant ma bite dressée : "Je vois que tu as aimé le spectacle. On pourra parler de ton fantasme plus tard, bébé, pour l'instant laisse ta petite femme s'occuper de toi."
Mélange d’émotions diverses et variées ! J'étais dur comme fer parce que regarder Sophie se faire baiser aussi durement avait été un spectacle sacrément excitant, mais je n’avais plus aucun sentiment pour cette pute. En même temps, je craignais d’éveiller ses soupçons si je ne la baisais pas maintenant.
Les femmes sont équipées d’une sorte de signal d’alarme qui se déclenche lorsqu’on ne fait pas ce qu’elles attendent de nous. Je n'avais pas d'autre choix que de prendre mon tour et de la baiser sauvagement. Quand ce fut fini et que nous étions allongés l'un à côté de l'autre sur le lit, Sophie a dit :
"Waouh ! Eh bien, ton fantasme t’a plu, bébé, c'était ce que tu voulais ?"
"Heu, oui et non ! C'était bien, Sophie, mais ce n'était pas ce que j’attendais."
"Oh mon Dieu, bébé, tu n'as pas aimé ! Tu vas me détester. Oh mon Dieu, je savais que je n'aurais pas dû le faire !"
Aussi difficile que cela soit pour moi de jouer cette comédie, je l'ai prise dans mes bras pour la rassurer :
"Je ne te déteste pas, bébé. Comment le pourrais-je, quand tu m'aimes tellement que tu as fait tout cela pour moi. Non, chérie, ce que je voulais dire, c'est qu'il me manquait quelque chose. Quelque chose auquel je n'avais même pas pensé avant de te regarder depuis le placard."
"Quoi, bébé? Qu'est-ce que je n'ai pas fait? Je lui ai même donné mon cul. Tu n'aimes pas l'anal, mais c'était pour toi. Pour que tu vois toutes les choses dont tu parlais, et celles dont tu ne parles pas. Qu’est-ce que je n'ai pas fait ?"
"Ce n'est pas quelque chose que tu n'as pas fait, chérie, tout ce que tu as fait, c’était super. C'est juste quelque chose que j’ignorais de moi, jusqu'à ce que je te regarde faire."
"Dis-moi ce que c'est, bébé? Dis-le moi ! Tu sais que je vais le faire pour toi, parce que je t’aime."
"Ça m'est venu à l'esprit pendant que j'étais dans ce placard, et que je te regardais souffrir et t’escrimer pour me faire plaisir. J’aurais voulu vraiment était être puni, pour t'avoir obligée à baiser cet inconnu. Pas une punition physique, mais une torture mentale. J'avais besoin ... tu aurais dû m'humilier ! Tu sais, des insultes, comme me traiter de mauviette, disant que ma bite était trop courte et trop molle, que je ne parvenais pas à te pénétrer, que j’étais un éjaculateur précoce. Tu sais, tout ces trucs, et que c'est pourquoi tu devais prendre des inconnus pour te satisfaire. Leur demander leur semence, pour que tu sois enceinte, parce que je n'étais pas assez fertile pour le faire."
"Tu voudrais vraiment que je fasse ce genre de choses ?"
"Oui, c’est ce que je voudrais."
"Mais rien de tout ça n'est vrai, bébé. Tu n'es pas une mauviette, et ta bite est merveilleuse. Et d'où ça vient, ce truc de pas assez un homme pour me foutre en cloque ? Nous ne voulons pas d'enfants, pas maintenant, et nous n'avons même pas essayé !"
"Je sais bébé, tout cela est mental, mais j’aimerais que ton amant reparte en pensant que je suis une lopette, incapable de satisfaire sa propre femme."
"Eh bien, si c'est ce que tu veux, d'accord. Je peux le faire, mais ça ne me semble pas correct. Tu es sûr que tu vas bien avec ce bébé ? Ça ne va pas nous faire de mal, n'est-ce pas ?"
"Non, ma chérie, ça ne nous fera aucun mal."
N’empêche, cette idée de me traiter de lopette lui plaisait bien, parce qu’elle avait recommencé à secouer ma bite, toujours blottie contre moi. Me voyant me redresser, elle s’est penchée pour me sucer le gland pendant qu’elle me massait les bourses. Bientôt, je glissais ma bite dans sa chatte gluante, en lui sifflant :
"Ma petite bite n'est bonne que pour pisser ?"
"Oh, ouais, bébé, ta bite minuscule ne vaut rien. Comment ton petit zizi tout mou se sent-il, en train de tremper dans le sperme d'un vrai mâle ?"
"Putain de salope, sale pute !" je grognais en lui bourrant durement ma bite.
"Je sais que je suis une salope, bébé, mais je t'aime, donc même si tu ne vaux rien au lit, je resterai avec toi. Tu devras t'habituer à te branler, car je sortirai tous les soirs et je ramènerai un bel étalon capable de me satisfaire."
"Putain de salope, sale pute !"
"Ouais, bébé, je suis ta salope et tu es mon cocu soumis. La prochaine fois que je ramènerai un mâle viril, tu devras sucer le sperme de mon amant qui sort de ma chatte, avant que je te laisse tremper ta petite nouille pour me baiser, compris ?"
"Oui chérie," dis-je.
Le samedi soir, ce fut le tour de David. Pas la peine que je vous le raconte une deuxième fois, vous connaissez déjà l’histoire. Mais baiser ses deux amants devant moi avait surchargé émotionnellement ma femme, et elle ne pouvait pas me laisser seul pour le reste du week-end. Elle était tout le temps collée à moi, à me tripoter la bite.
J’aurais voulu la repousser ou lui cracher dessus, mais j'ai dû me forcer à me comporter en mari amoureux. J'avais besoin de garder les choses en place jusqu'à ce que je sois prêt à lâcher le marteau sur elle.
Lundi matin, j'ai honoré le rendez-vous que j'avais pris avec un avocat spécialisé du divorce. Je lui ai donné une copie des enregistrements audio et vidéo. Il les a vus et m'a demandé ce que je voulais.
"Lors du divorce, je ne veux pas que cette pute reparte avec quoi que ce soit. Pas de pension alimentaire, pas de dédommagement, rien. Elle peut partir avec ce qu'elle a apporté, son nom de jeune fille, ses frusques, c'est tout."
"Elle va se battre, non? Avec ce que nous avons, le divorce sera prononcé à ses torts, mais la plupart des juges accordent quelque chose à la femme."
"Sur la partie de l’enregistrement audio, lorsqu'elle parle à sa mère de m’escroquer en me volant tous mes actifs, cela montre qu'elle ne m'a épousé que pour mon argent. Ne serait-ce pas une tentative d’escroquerie ?"
"Difficile à plaider, je doute que le procureur puisse déposer une accusation. Nous pourrions peut-être lui faire peur avec la menace d’association de malfaiteurs, en prétendant que l’on va poursuivre sa mère."
"Comment sont nos chances si nous poursuivions sa mère ?"
"Elles seront nulles, mais elle n’a pas besoin de le savoir, c’est juste pour l’effrayer."
"Peut-être que la menace sera suffisante."
"Je vais déposer la demande."
Cette nuit-là et la suivante, Sophie était encore super excitée de son week-end et, aussi pénible que ce fût pour moi, je devais la contenter. Mercredi en soirée, Sophie m'a demandé ce que je ressentais à l'idée qu'elle poursuivre ses expérimentations sur mon fantasme.
"Bruno m'a appelé aujourd'hui et m'a dit qu'il voulait me revoir."
"Tu semblais l'apprécier, tellement bien, pourquoi pas ? Un seul détail cependant, tu ne pourras pas le faire ici."
"Pourquoi ?"
"Parce que demain, tu n’habiteras plus ici."
"Qu'est-ce que tu racontes ? C’est quoi cette nouvelle lubie ?"
"J'ai juste un truc à te montrer. Je reviens tout de suite."
Je suis allé dans mon bureau, j'ai pris ma mallette, et je suis retourné dans la cuisine. J'ai posé mon appareil sur la table. J'avais assemblé des extraits de conversations, de sons, de bruits, etc ... J'ai pressé le bouton PLAY.
"- Dépêche-toi, bébé, assieds-toi sur le canapé et sors-moi ton jouet. Tu sais que j'adore avoir ta bite dans ma bouche.
- Tu vas encore ressentir cette émotion, quand nous serons mariés ?
- Oh, putain, oui, bébé. Hum, regarde comme c’est gentil, il est déjà tout droit pour moi !"
Il y eut une pause, je levais les yeux vers Sophie, son visage était blême. Le morceau suivant a enchaîné:
"- J'ai besoin de toi pour me couvrir ce soir, au cas où mon mari t'appellerait pour savoir où je suis.
- Qui rencontres-tu, Bruno ou David ?
- Bruno.
- Un de ces jours, tu vas te faire prendre, Sophie. Tu le sais que tu joues un jeu dangereux, non?
- Mais non, ça ne craint rien, il est trop bête, et bientôt tu n'auras plus besoin de me couvrir.
- Vous allez enfin divorcer?
- Non. J'ai encore besoin d'un peu de temps pour être sûre de connaître tous les actifs."
J'ai pressé le bouton STOP en surveillant la stupéfaction de Sophie. Profitant de son état de choc, j'ai sorti une enveloppe de ma mallette, et je lui ai tendue :
"Maintenant, voilà ce qui se passe. Tu pars sans contester, et je ne ferai pas de misères à ta mère. Je te laisse ta voiture, avec l’assurance payée pour un an. Je te donne cinq mille euros pour ton départ."
Je lui ai laissé le temps d’assimiler ma proposition :
"Si tu veux faire des complications, je poursuivrai ta mère, Bruno, et David en justice, pour association de malfaiteurs, complicité de tentative d’escroquerie, etc..."
"Mon avocat prétend qu’en cas de jugement en ma faveur, je peux me faire un paquet d’oseille … Peut-être même, mettre tes parents sur la paille !"
"Le mieux, c’est que tu t’occupes de faire tes valises. J’aimerais que tu quittes cette maison demain."
Sophie était suffisamment secouée pour ne pas réfléchir, elle a fait ses valises et elle est retournée chez ses parents, le temps de se remettre. Elle a parlé à sa mère de mes menaces, ce qui a provoqué une crise de panique chez sa mère.
Le beau-père voulait savoir pourquoi j’avais répudié sa fille, et pourquoi sa femme pleurait, alors il est venu chez moi pour m’insulter :
"Tu t’es comporté comme un salaud avec ma fille, et tu fais des menaces à ma femme ?"
J'appréciais bien le beau-père, et je détestais lui faire ça, mais je n'avais pas l'intention de passer pour un salaud. Alors j'ai sorti mes enregistrements pour lui éclairer sa lanterne. Il a écouté stupéfait sa femme et sa fille comploter contre moi.
Il est parti sans dire un mot. J'ai su plus tard qu'il avait jeté Sophie dehors, et quand sa femme a essayé de l'empêcher, il l’a menacée de faire pareil avec elle.
Sophie a accepté le divorce sans combattre, et l’année suivante, elle a épousé Bruno. Elle a appris à ses dépens que Bruno était un mari jaloux et violent. Plusieurs personnes qui la connaissait bien m’ont dit l’avoir vue avec des stigmates, portant des lunettes de soleil ou des foulards pour cacher ses ecchymoses.
Certains m’ont assuré qu’elle avait beaucoup changé, portant des tenues plus discrètes et beaucoup moins sexy.
Je les ai rassuré en leur disant que j’étais heureux qu'elle ait pu épouser l'homme de ses rêves.
Ses cheveux noir de jais étaient étalés en éventail sur la taie d'oreiller blanche; ses jambes étaient largement écartées et ses pieds, toujours avec ses talons hauts, pointaient droit vers le plafond. L'homme qui la baisait, David, martelait sa chatte avec l’énergie du désespoir. Elle lui griffait le dos et ses ongles laissaient des marques rouges sur sa peau.
"Allez, bébé, c’est ça, oui, baise-moi fort, fais-moi jouir. Emmène-moi là-bas, défonce-moi !"
Ma bite était aussi dure qu'un roc tandis que je regardais l'action sur le lit, mais je ne me caressais pas, car j'avais besoin de mes deux mains pour maintenir la caméra vidéo.
Encore des encouragements : "Oh oui, oh oui, fais-moi jouir, bébé, fais-moi jouir !"
Il faut dire à sa décharge qu’elle l’avait sucé au salon avant de l’amener dans la chambre, sans présumer de ce qu’elle lui avait fait subir pendant le trajet, et que le gars David avait du mal à recharger ses batteries.
"Baise-moi profondément bébé, tape dans le fond, n’aie pas peur. Crache ton jus sur mes œufs bébé, donne-moi un fils, bébé, remplis-moi de ta semence."
Il a donné une dernière poussée et s'est bloqué profondément en elle pendant que son sperme jaillissait du bout de sa bite et courait vers ses ovules. Il resta immobile pendant un moment, puis il se retira et roula sur le lit à côté d'elle. Ils sont restés silencieux le temps de reprendre leur souffle, puis David a dit:
"Si tu es enceinte, comment vas-tu nommer l'enfant, comme moi ?"
"Ne sois pas idiot, bébé. Je vais lui donner le nom de mon mari. Ce sera Robert Junior."
"Et si c'était une fille ?"
"Ne dis pas de bêtises, pas avec un papa fort et viril comme toi."
"Et si c'était le bébé de ton mari ?"
"Cette bite molle ne pourrait pas me mettre enceinte, même à mon meilleur jour. Sa petite bite ne lui sert qu’à faire pipi."
"Je ne comprends pas. Si tu as une si basse opinion de lui, pourquoi restes-tu mariée avec lui ?"
"Parce qu'il gagne vraiment beaucoup d'argent et qu'il est le mari idéal pour moi."
"Le mari idéal, comment ça ?"
"Je le tiens en laisse. Laisse courte. Il fait tout ce que je veux, quand je lui demande, il sourit et me dit :" Oui, chérie."
"Cela ne ressemble pas à un homme. "
"Il n'a pas besoin d’être un homme. J’ai un amant pour ça, c'est pour ça que je t'ai, chéri."
David regarda sa montre : " Je ferais mieux d'y aller. Il va bientôt rentrer à la maison."
Elle attrapa sa bite amollissante : " Oh non, tu ne pars pas, bébé. J'ovule, tu dois me mettre enceinte."
"Et si ton mari rentre à la maison et que je suis toujours là ?"
"La mauviette ira se cacher en pleurant dans le garage jusqu'à ce que tu partes. Maintenant laisse-moi te rendre dur !" Elle recommença à lécher sa queue. Elle l'a fait lever, elle a écarté les cuisses, et de longues minutes plus tard, elle l'a fait descendre, puis elle a suggéré qu'il était temps pour lui de partir.
"Robert se cachera dans le garage parce qu’il aura peur de toi, si tu es toujours là quand il rentrera à la maison, même s’il croira toutes les histoires que je lui raconterai. Mais il est préférable d’éviter la situation. Je suis épuisée bébé, tu m’as crevée, tu connais le chemin, hein ? Je vais mettre cet oreiller sous mon cul et laisser ton jus couler jusqu'à mes œufs. Appelle-moi demain et nous verrons pour programmer notre prochaine séance de baise."
David a quitté la pièce et j'ai éteint l'appareil photo que j'ai caché sous une pile de vêtements. J'ai entendu la porte d'entrée se fermer, puis Sophie m’a appelé : "Tu peux sortir maintenant." J'ai quitté le placard et j'ai regardé ma femme allongée sur le lit, les jambes écartées et sa chatte dégoulinante du jus de son amant.
"C'était ce que tu voulais, bébé? As-tu obtenu ce que tu voulais ?"
"Oh oui mon amour, j'ai juste ce que je voulais."
"Bien. Maintenant, viens sur moi me donner ma récompense. Fais-moi oublier ce petit trou du cul."
En m’allongeant sur elle, je luttais pour ne pas jeter mes biscuits. Je devais baiser cette pute, lui faire croire que je l’aimais, mais je ne devais pas m’enflammer. Je devais la garder heureuse jusqu'à ce que j'aie fini ce que j'avais à faire.
Tout avait commencé un mardi pluvieux. Il pleuvait fort toute la journée, et la roulotte de chantier avait connu des jours meilleurs. À bout de forces, le toit et deux des fenêtres ont décidé d'abandonner le combat. L'eau a rampé sur les parois et court-circuité l’électricité, j'ai éteint l’informatique juste avant que les dégâts ne soient sévères.
Dehors, la forte pluie transformait le sol en une soupe boueuse, alors j'ai dit aux gars d'arrêter et de prendre leur journée. Normalement, un jour de pluie, je retournais au bureau et je rattrapais mon retard de paperasse, mais je n'avais vraiment pas envie ce jour-là. Non, ai-je pensé, rentre à la maison et pourchasse Sophie dans toute la maison.
Il y avait une voiture inconnue dans l’allée, alors j'ai supposé que Sophie était avec une copine et que ma séance de sport en chambre était foutue. J'ai laissé ma voiture dans la rue pour que la voiture dans l'allée puisse sortir.
Quand je suis entré dans la maison, ce fut un choc de découvrir les vêtements épars sur le chemin menant du séjour à l’étage. Pour confirmer mon appréhension, les bruits qui me parvenaient de la chambre éclairaient ma lanterne.
Des soupirs, des gémissements, les grincements du sommier et ce bruit horrible de la tête de lit qui heurte le mur.
Découvrir que votre tendre femme, douce et aimante, aime quelqu'un d'autre. Ma première impulsion a été de monter à l'étage et de tuer tout le monde. Mais en tant que dirigeant d’une entreprise, j’ai appris à contrôler mes humeurs.
Malgré la rage froide qui me tordait le ventre, je suis ressorti calmement de la maison. J’ai déplacé ma voiture jusqu'à une place de parking d’où je pouvais surveiller l’entrée. Environ deux heures plus tard, un inconnu est sorti de chez moi, est monté dans la voiture garée dans l'allée, puis il est parti.
Pendant ces deux heures où j’attendais, je me posais beaucoup de questions. Depuis combien de temps ? Combien de fois ? Avec qui ? Pourquoi ? Ouais, grands dieux, pourquoi ? Sophie et moi n'étions mariés que depuis deux ans !
Comment diable ce putain de mariage avait-il pu chier en si peu de temps? Nous n’avions aucun problème d'argent, mon entreprise marche très bien. Sexuellement, tout allait bien, du moins de mon point de vue. Nous nous aimions toujours comme des jeunes mariés. Manifestement, quelque chose clochait, mais je ne comprenais pas de quoi il s'agissait.
J'ai essayé de me souvenir d’un détail qui pourrait me donner une idée du moment où Sophie a commencé à être infidèle, mais rien ne me vint à l'esprit. Aucun signe; pas d’appel téléphonique suspect, d’absence inexpliquée, la décroissance des rapports. Rien de tout cela ne s'était produit.
Le vendeur de la boîte d’électronique m'a bien expliqué ce dont j'avais besoin et comment m’en servir.
En fin de semaine, ma maison était connectée pour le son. J'avais plusieurs enregistreurs activés par le son.
Ils étaient cachés aux endroits stratégiques, le séjour, la chambre et le téléphone. Indétectables.
Même avant de commencer à faire ce que le vendeur avait appelé "la collecte d'informations", je me suis occupé de conditionner Sophie.
Ce soir-là, après une rude séance de baise, j'ai demandé : "As-tu des fantasmes ?"
"Bah, tout le monde en a, non ?"
"Je ne sais pas. Quels sont les tiens ?"
"Gagner à la loterie, me faire baiser par une star de cinéma, qu’un génie m'accorde trois souhaits, que mes seins restent fermes, pourquoi ?"
"Juste curieux. Une star de ciné, hein? Et les autres gars ?"
"Non, bébé, ce ne sont que des fantasmes. Tu es mon homme. Le seul, l’unique. Qu'est-ce qui t’a amené là ?"
"Rien de précis, juste une curiosité soudaine."
"Pas de conneries, je te connais bien. Tu as un fantasme et tu t'es demandé si je l'avais aussi. Qu'est-ce que c'est, bébé, dis-le moi ?"
"Non je ne pense pas."
"Hé! Je t'ai dit le mien, tu dois me dire le tien. Sinon c'est pas juste."
"Tu n'aimeras pas ça. Ça va t’énerver et je vais passer un mois en travaux manuels parce que tu vas me jeter hors de la chambre."
"Oh allez, bébé, arrête tes mélodrames. Dis-le moi, chéri, ou je te mords !"
J'ai feint d’hésiter une seconde, et j'ai dit : "Mon fantasme, c’est de te voir faire l'amour avec un autre homme."
" ?"
"Je ne sais pas, un étranger je suppose. Je ne pense pas que je voudrais que ce soit quelqu'un que je connais."
"Et tu serais où ? Assis sur une chaise, au pied du lit ? Perché sur une échelle, espionnant par la fenêtre de la chambre? Ou caché dans le placard ?"
"Je préfère caché dans le placard; je ne voudrais pas qu'il sache que je suis là."
"Bon alors, comment ça se passe ? Tu me ramènerais quelqu'un à la maison, ou est-ce que c’est moi qui ferais la tournée des bars, pour voir ce que je peux ramasser ?"
"Tu choisirais le mec. Bon sang, je n'aurais aucune idée de comment trouver un mec, et de lui demander d'avoir des relations sexuelles avec ma femme. Toi, tu n'aurais aucun problème pour pécho."
"Et pourquoi donc ?"
"Les filles savent naturellement comment captiver les gars."
"Depuis combien de temps as-tu ce fantasme?"
"Longtemps ..."
"Pourquoi ? Pourquoi voudrais-tu me voir baiser avec un autre homme ?"
"Pour que je puisse voir des choses que je ne peux pas voir quand je te fais l'amour."
"Comment ça ?"
"Ben … Est-ce que tes orteils se courbent quand tu as un orgasme ? Est-ce que tes pieds bougent ou pointent droit vers le ciel ? À quoi ressemble ta chatte quand elle saisit la bite qui la pénètre ? Quand je suis sur toi, je ne peux pas voir comment tu bouges. Je peux te sentir bouger, mais je ne peux pas le voir. Ton visage, est-il différent lorsque nous sommes en levrette, ou est-ce le même que lorsque nous sommes en position missionnaire ? Il y en a probablement beaucoup d’autres, mais ce sont ceux qui viennent à l'esprit maintenant."
"Fascinant. T’es vraiment tordu, comme mec."
"Quoi ?"
"Tu voudrais me voir baiser un autre homme ? Moi ? Ta femme ?"
"Eh bien, ce n'est qu'un fantasme, je ne m'attends pas à ce que cela se produise."
"Mais tu le veux vraiment, n'est-ce pas? Je peux dire d'après le ton de ta voix, et la façon dont tu en parles, que tu veux vraiment que cela se produise !?"
Je l'ai regardée pendant un long moment et j'ai dit : "Ouais, je suppose que je le veux vraiment."
"Je ferais n'importe quoi pour toi bébé, et tu le sais, mais j’aimerais mieux mourir que de voir un type glisser une bite en moi. Après, tu me mépriserais, tu me détesterais."
"Maintenant, de toute façon, Sophie, tu es toute ma vie. Rien de ce que tu pourrais faire, ne pourrait m’éloigner de toi. Jamais je ne pourrais te mépriser ou te détester !"
"Tu accepterais vraiment ça ? C’est pas une blague ?"
"Ouais, bébé, je te le jure."
"Eh bien, je vais y réfléchir, mais je ne peux pas te faire de promesse ..!"
Le lendemain soir, après le repas, Sophie m'a dit qu'elle allait chez sa mère pour quelques heures, et qu'elle serait de retour pas trop tard. Dès qu'elle est montée en voiture, j'ai récupéré mes enregistrements sur l’ordinateur et je les ai écoutés.
J'ai entendu l’interphone, des murmures inaudibles, puis des sons qui de rapprochent et deviennent intelligibles :
"Dépêche-toi, bébé, assieds-toi sur le canapé et sors-moi ton jouet. Tu sais que j'adore avoir ta bite dans ma bouche."
"Tu vas encore ressentir cette émotion, quand nous serons mariés ?"
"Oh, putain, oui, bébé. Hum, regarde comme c’est gentil, il est déjà tout droit pour moi !"
Puis j'ai entendu des bruits de succion bruyante pendant plusieurs minutes : "Putain, bébé, tu avais les couilles bien pleines, j'en ai avalé un litre. Allez, bébé, maintenant qu’on a purgé le trop-plein, viens me baiser dans la chambre."
Les bruits se sont estompés lorsqu’ils ont quitté la pièce. En changeant d’enregistrement, j'ai réfléchi à la phrase "Quand nous nous marierons" que j'avais entendue. Cela annonçait soit mon divorce, soit ma mort.
Le suivant était celui de la chambre, mais il n'y avait rien d'autre que des bruits de baise. Des gémissements, des encouragements, le sommier qui grince, la tête de lit qui tape contre le mur. Il avait la baise rude, et elle aimait ça.
Celui relié à la ligne téléphonique était le dernier. Il a eu six appels en tout : un faux numéro, deux télévendeurs, un bavardage avec sa sœur, un appel de son amant lui demandant si la voie était libre et s’il pouvait venir, et le dernier appel de Sophie était pour sa mère. Le dernier appel était le plus intéressant :
"- Allô ?
- Bonjour maman.
- Salut ma chérie. Tu m’appelles parce que tu as encore besoin de quelque chose ?
- J'ai besoin de toi pour me couvrir ce soir, au cas où mon mari t'appellerait pour savoir où je suis.
- Qui rencontres-tu, Bruno ou David ?
- Bruno.
- Un de ces jours, tu vas te faire prendre, Sophie. Tu le sais que tu joues un jeu dangereux, non?
- Mais non, ça ne craint rien, il est trop bête, et bientôt tu n'auras plus besoin de me couvrir.
- Vous allez enfin divorcer?
- Non. J'ai encore besoin d'un peu de temps pour être sûre de connaître tous les actifs.
- Ne sois pas aussi avide, chérie ! Sors-toi de là avant de te faire prendre.
- Quelques mois, maman, ça veut dire quelques millions de plus ! En outre, je n'aurai plus à m'inquiéter de me faire prendre. Robert m’est parfaitement soumis. Il me mange dans la main. Il veut être mon cocu. De son plein gré. Je vais me faire baiser par Bruno et David juste devant lui.
- Chérie, j'y réfléchirais longuement avant de jouer à ce jeu. Mon conseil, c’est de ne pas le faire. Jouer à ce petit jeu pourrait se retourner contre toi.
- Non maman, tout ira bien, tu verras. Alors, tu vas rester à la maison pour pouvoir me couvrir, ce soir?
- Très bien, ma chérie. Quelle est l'excuse pour ce soir ?
- Et si je t'aidais à faire une courtepointe pour Papa pour son anniversaire ?
- D'accord. Bisous, ma chérie !
- Merci maman, je t'aime !"
Et moi qui avais toujours pensé que la mère de Sophie m’appréciait. Cet appel m'a convaincu que mon mariage n'était pas en difficulté. Cela m'a apprit que je n'avais pas de mariage. Ce que j'avais, c'était un jeu de dupes, un jeu de con.
Et j'en étais la cible. L’imbécile qu’on épouse pour son argent pendant qu’on batifole avec ses amants. Avec la complicité de sa mère. Ma seule pensée cohérente était: "Quelles salopes ! La mère et la fille. Quand j'en aurai fini avec vous deux, vous regretterez ..."
La semaine suivante, j'ai collecté des enregistrements de Sophie se confiant à sa mère, ou parlant avec ses deux amants. D’ailleurs, je me suis rapidement aperçu que chacun ignorait l’existence de l'autre.
Et bien sûr, toute la baise et toute la merde qui se passait dans le séjour et la chambre
Je savais que Sophie avait mordu à l’hameçon. Cela l’excitait, l’idée de baiser ses amants devant moi.
Cela rajoutait un peu de piment. Avoir un cocu soumis, pour cette salope, c’était l’idéal !
Tout ce que j’avais à faire, c’était d'attendre. Le vendredi, en rentrant du travail, j’ai trouvé Sophie équipée d'une minijupe fendue, d'un chemisier très révélateur, et juchée sur ses talons les plus hauts.
"On sort ce soir ?"
"Pas nous, bébé, juste moi."
"Oh ? Et où vas-tu, habillée comme ça ?"
"Tu aimes ? Est-ce que j’ai l'air sexy ?"
"Tu n’as pas besoin de ça pour être sexy, mais là, tu es superbe !"
"Bien. C'est l'idée. Ce soir, tu auras ton fantasme, mon chéri. C’est ma tenue pour appâter les matous, et si je ne me fais pas aborder dans les cinq minutes qui suivent mon entrée dans le bar, mon ego sera au fond des toilettes."
"Pourquoi n'en avons-nous pas parlé avant que tu prennes ta décision ?"
"Parce que si nous en discutions avant, je crains de me déballonner et de ne plus avoir le courage de le faire. Tu le désires tellement, je sais que c’est ton plus cher désir, et je t’aime tant, mais malgré cela il m'a fallu une semaine pour trouver le courage de le faire. Je dois le faire maintenant que je suis décidée, sinon je risque de perdre mon audace."
Elle m'a pris dans ses bras et m'a étourdi avec un baiser passionné.
Dès qu'elle a quitté l'allée, j'ai vérifié tous mes enregistrements. Rien de passionnant dans le séjour ni dans la chambre. Un seul appel intéressant sur le téléphone. Cet appel m'a expliqué son plan pour la nuit:
"- Allô ?
- Salut, bébé. Ma chatte affamée réclame ta merveilleuse bite. Tu veux me baiser ce soir ?
- Tu sais bien que je refuse jamais, mais tu m’avais dit que tu n’étais jamais libre le soir ?"
- Un déplacement imprévu. Mon cocu part loin de la ville jusqu'à demain. On se retrouve où ?
- Dans ce cas, je serai au bar où l’on s’est connu, ce soir vers sept heures. Nous pourrons prendre un verre puis je te baiserai dans ton lit conjugal. Je sais à quel point tu aimes baiser dans le lit de ton mari.
- D'accord bébé, je te rejoins vers sept ..."
C'était une heure avant que je reçoive son appel téléphonique.
"J'ai attrapé un gros matou. Je devrais être à la maison d’ici quinze minutes, alors tiens-toi prêt à sauter dans le placard."
Onze minutes plus tard, Sophie se garait dans l'allée, et une autre voiture s'est arrêtée derrière elle. J'ai emménagé dans le placard, et je me suis installé pour être à l'aise. Je me suis assuré que le caméscope avait le bon angle sur le lit, puis j'ai attendu.
Sophie est entrée dans la pièce, enlacée par Bruno. Il la maintenait tendrement, et elle lui offrait sa bouche.
Elle s’est dégagée en riant pour se déshabiller, en lui disant : "Dépêche-toi, bébé, j'en ai vraiment besoin. Sors-moi ta bite et mets-la moi !"
Je m'attendais à ce que ce soit comme dans une vidéo porno, mais ce n'était pas le cas. Il n'y avait pas de musique, pas de cris falsifiés, ni ces stupides coups de bite sur le visage ou le ventre.
J'ai entendu des chuchotements, des gémissements, des grognements, même des encouragements. J’ai bien entendu le lit aussi, grincer et taper contre mur. Mais je savais au son de sa voix que Sophie ne simulait pas. Elle a aimé chaque coup de bite qu’elle a reçu.
Quand j'avais fait mes plans, je n'y avais pas réalisé combien de temps j'allais devoir rester dans le placard. Bruno a baisé Sophie, en position du missionnaire, puis ils ont fait un soixante-neuf, et quand Bruno est redevenu dur, il l’a baisée de nouveau. Ensuite, Bruno a mangé sa chatte jusqu'à ce qu'il soit raide et il l’a baisée une troisième fois, puis Sophie l'a sucé pour la remise en forme et elle s'est positionnée à genoux:
"Dans mon cul, bébé, cette fois je te veux dans mon cul."
Dire que je n’avais jamais osé lui demander d’utiliser cet orifice, persuadé qu’elle n’aimait pas cela, à cause du sursaut qu’elle avait eu lorsque j’avais aventuré mon doigt là-dedans.
Elle a enfouit son visage dans l’oreiller, et Bruno a commencé à se glisser dans son petit trou. L'oreiller étouffait ses gémissements, je ne savais pas si c’était de douleur ou de plaisir, mais peu m’importait puisque c’est elle qui l'avait demandé. Lorsque Bruno fut complètement entré en elle, il a commencé à la baiser agréablement jusqu'à ce qu'elle relève la tête de l'oreiller et lui dise:
"Plus fort, putain, baise-moi plus fort, j’aime pas quand c’est mollasson!"
Bruno l’a attrapée par sa tignasse, lui tirant la tête en arrière pour lui cambrer le dos. Il la baisait sauvagement, les chairs claquaient, et de temps en temps, avait sa main libre, il lui giflait le cul. Sophie était positionnée face au placard et je pouvais voir la convoitise briller sur son visage, et son regard de défi posé sur moi.
"Ouais, baise-moi fort, chéri, casse-moi le cul, bébé, j’aime ça !"
Dans son regard, je pouvais voir tout le mépris qu’elle avait pour moi, parce que cette salope aimait l’amour qui fait mal, et que j’étais beaucoup trop doux, trop respectueux envers elle. Je savais qu’elle pensait :
"Espèce de petite merde stupide. Je baise mon amant devant toi, avec ta bénédiction, et je suis sûre que tu es en train de te branler. " Mais elle avait tort à ce sujet, et elle n'avait pas la moindre idée de ce qui l’attendait.
Quand Bruno eut fini et qu’il a sorti sa bite ramollie d'elle, Sophie regarda sa montre:
"Tu dois y aller, bébé."
"Mais j'avais l'intention de passer la nuit avec toi. Tu m'avais dit que ton mari était hors de la ville et ..."
Sophie a posé sa bouche sur la sienne pour le faire taire : "Chut, bébé. Je ne t'ai jamais promis une nuit blanche. Ma sœur vient passer la nuit avec moi. Elle va quitter la soirée avec ses copines. Elle sera là dans une demi-heure. Tu dois partir. Maintenant ! Allez, ouste, pas de dispute, fiche le camp. Allez, allez! " et elle l’a aidé à se rhabiller en le houspillant.
Sophie l'a raccompagné jusqu'à la porte et pendant qu'elle était absente, j’ai caché la caméra. J'étais allongé au milieu du lit défait, lorsque Sophie est revenu dans la pièce.
"Oh bébé !" dit-elle en regardant ma bite dressée : "Je vois que tu as aimé le spectacle. On pourra parler de ton fantasme plus tard, bébé, pour l'instant laisse ta petite femme s'occuper de toi."
Mélange d’émotions diverses et variées ! J'étais dur comme fer parce que regarder Sophie se faire baiser aussi durement avait été un spectacle sacrément excitant, mais je n’avais plus aucun sentiment pour cette pute. En même temps, je craignais d’éveiller ses soupçons si je ne la baisais pas maintenant.
Les femmes sont équipées d’une sorte de signal d’alarme qui se déclenche lorsqu’on ne fait pas ce qu’elles attendent de nous. Je n'avais pas d'autre choix que de prendre mon tour et de la baiser sauvagement. Quand ce fut fini et que nous étions allongés l'un à côté de l'autre sur le lit, Sophie a dit :
"Waouh ! Eh bien, ton fantasme t’a plu, bébé, c'était ce que tu voulais ?"
"Heu, oui et non ! C'était bien, Sophie, mais ce n'était pas ce que j’attendais."
"Oh mon Dieu, bébé, tu n'as pas aimé ! Tu vas me détester. Oh mon Dieu, je savais que je n'aurais pas dû le faire !"
Aussi difficile que cela soit pour moi de jouer cette comédie, je l'ai prise dans mes bras pour la rassurer :
"Je ne te déteste pas, bébé. Comment le pourrais-je, quand tu m'aimes tellement que tu as fait tout cela pour moi. Non, chérie, ce que je voulais dire, c'est qu'il me manquait quelque chose. Quelque chose auquel je n'avais même pas pensé avant de te regarder depuis le placard."
"Quoi, bébé? Qu'est-ce que je n'ai pas fait? Je lui ai même donné mon cul. Tu n'aimes pas l'anal, mais c'était pour toi. Pour que tu vois toutes les choses dont tu parlais, et celles dont tu ne parles pas. Qu’est-ce que je n'ai pas fait ?"
"Ce n'est pas quelque chose que tu n'as pas fait, chérie, tout ce que tu as fait, c’était super. C'est juste quelque chose que j’ignorais de moi, jusqu'à ce que je te regarde faire."
"Dis-moi ce que c'est, bébé? Dis-le moi ! Tu sais que je vais le faire pour toi, parce que je t’aime."
"Ça m'est venu à l'esprit pendant que j'étais dans ce placard, et que je te regardais souffrir et t’escrimer pour me faire plaisir. J’aurais voulu vraiment était être puni, pour t'avoir obligée à baiser cet inconnu. Pas une punition physique, mais une torture mentale. J'avais besoin ... tu aurais dû m'humilier ! Tu sais, des insultes, comme me traiter de mauviette, disant que ma bite était trop courte et trop molle, que je ne parvenais pas à te pénétrer, que j’étais un éjaculateur précoce. Tu sais, tout ces trucs, et que c'est pourquoi tu devais prendre des inconnus pour te satisfaire. Leur demander leur semence, pour que tu sois enceinte, parce que je n'étais pas assez fertile pour le faire."
"Tu voudrais vraiment que je fasse ce genre de choses ?"
"Oui, c’est ce que je voudrais."
"Mais rien de tout ça n'est vrai, bébé. Tu n'es pas une mauviette, et ta bite est merveilleuse. Et d'où ça vient, ce truc de pas assez un homme pour me foutre en cloque ? Nous ne voulons pas d'enfants, pas maintenant, et nous n'avons même pas essayé !"
"Je sais bébé, tout cela est mental, mais j’aimerais que ton amant reparte en pensant que je suis une lopette, incapable de satisfaire sa propre femme."
"Eh bien, si c'est ce que tu veux, d'accord. Je peux le faire, mais ça ne me semble pas correct. Tu es sûr que tu vas bien avec ce bébé ? Ça ne va pas nous faire de mal, n'est-ce pas ?"
"Non, ma chérie, ça ne nous fera aucun mal."
N’empêche, cette idée de me traiter de lopette lui plaisait bien, parce qu’elle avait recommencé à secouer ma bite, toujours blottie contre moi. Me voyant me redresser, elle s’est penchée pour me sucer le gland pendant qu’elle me massait les bourses. Bientôt, je glissais ma bite dans sa chatte gluante, en lui sifflant :
"Ma petite bite n'est bonne que pour pisser ?"
"Oh, ouais, bébé, ta bite minuscule ne vaut rien. Comment ton petit zizi tout mou se sent-il, en train de tremper dans le sperme d'un vrai mâle ?"
"Putain de salope, sale pute !" je grognais en lui bourrant durement ma bite.
"Je sais que je suis une salope, bébé, mais je t'aime, donc même si tu ne vaux rien au lit, je resterai avec toi. Tu devras t'habituer à te branler, car je sortirai tous les soirs et je ramènerai un bel étalon capable de me satisfaire."
"Putain de salope, sale pute !"
"Ouais, bébé, je suis ta salope et tu es mon cocu soumis. La prochaine fois que je ramènerai un mâle viril, tu devras sucer le sperme de mon amant qui sort de ma chatte, avant que je te laisse tremper ta petite nouille pour me baiser, compris ?"
"Oui chérie," dis-je.
Le samedi soir, ce fut le tour de David. Pas la peine que je vous le raconte une deuxième fois, vous connaissez déjà l’histoire. Mais baiser ses deux amants devant moi avait surchargé émotionnellement ma femme, et elle ne pouvait pas me laisser seul pour le reste du week-end. Elle était tout le temps collée à moi, à me tripoter la bite.
J’aurais voulu la repousser ou lui cracher dessus, mais j'ai dû me forcer à me comporter en mari amoureux. J'avais besoin de garder les choses en place jusqu'à ce que je sois prêt à lâcher le marteau sur elle.
Lundi matin, j'ai honoré le rendez-vous que j'avais pris avec un avocat spécialisé du divorce. Je lui ai donné une copie des enregistrements audio et vidéo. Il les a vus et m'a demandé ce que je voulais.
"Lors du divorce, je ne veux pas que cette pute reparte avec quoi que ce soit. Pas de pension alimentaire, pas de dédommagement, rien. Elle peut partir avec ce qu'elle a apporté, son nom de jeune fille, ses frusques, c'est tout."
"Elle va se battre, non? Avec ce que nous avons, le divorce sera prononcé à ses torts, mais la plupart des juges accordent quelque chose à la femme."
"Sur la partie de l’enregistrement audio, lorsqu'elle parle à sa mère de m’escroquer en me volant tous mes actifs, cela montre qu'elle ne m'a épousé que pour mon argent. Ne serait-ce pas une tentative d’escroquerie ?"
"Difficile à plaider, je doute que le procureur puisse déposer une accusation. Nous pourrions peut-être lui faire peur avec la menace d’association de malfaiteurs, en prétendant que l’on va poursuivre sa mère."
"Comment sont nos chances si nous poursuivions sa mère ?"
"Elles seront nulles, mais elle n’a pas besoin de le savoir, c’est juste pour l’effrayer."
"Peut-être que la menace sera suffisante."
"Je vais déposer la demande."
Cette nuit-là et la suivante, Sophie était encore super excitée de son week-end et, aussi pénible que ce fût pour moi, je devais la contenter. Mercredi en soirée, Sophie m'a demandé ce que je ressentais à l'idée qu'elle poursuivre ses expérimentations sur mon fantasme.
"Bruno m'a appelé aujourd'hui et m'a dit qu'il voulait me revoir."
"Tu semblais l'apprécier, tellement bien, pourquoi pas ? Un seul détail cependant, tu ne pourras pas le faire ici."
"Pourquoi ?"
"Parce que demain, tu n’habiteras plus ici."
"Qu'est-ce que tu racontes ? C’est quoi cette nouvelle lubie ?"
"J'ai juste un truc à te montrer. Je reviens tout de suite."
Je suis allé dans mon bureau, j'ai pris ma mallette, et je suis retourné dans la cuisine. J'ai posé mon appareil sur la table. J'avais assemblé des extraits de conversations, de sons, de bruits, etc ... J'ai pressé le bouton PLAY.
"- Dépêche-toi, bébé, assieds-toi sur le canapé et sors-moi ton jouet. Tu sais que j'adore avoir ta bite dans ma bouche.
- Tu vas encore ressentir cette émotion, quand nous serons mariés ?
- Oh, putain, oui, bébé. Hum, regarde comme c’est gentil, il est déjà tout droit pour moi !"
Il y eut une pause, je levais les yeux vers Sophie, son visage était blême. Le morceau suivant a enchaîné:
"- J'ai besoin de toi pour me couvrir ce soir, au cas où mon mari t'appellerait pour savoir où je suis.
- Qui rencontres-tu, Bruno ou David ?
- Bruno.
- Un de ces jours, tu vas te faire prendre, Sophie. Tu le sais que tu joues un jeu dangereux, non?
- Mais non, ça ne craint rien, il est trop bête, et bientôt tu n'auras plus besoin de me couvrir.
- Vous allez enfin divorcer?
- Non. J'ai encore besoin d'un peu de temps pour être sûre de connaître tous les actifs."
J'ai pressé le bouton STOP en surveillant la stupéfaction de Sophie. Profitant de son état de choc, j'ai sorti une enveloppe de ma mallette, et je lui ai tendue :
"Maintenant, voilà ce qui se passe. Tu pars sans contester, et je ne ferai pas de misères à ta mère. Je te laisse ta voiture, avec l’assurance payée pour un an. Je te donne cinq mille euros pour ton départ."
Je lui ai laissé le temps d’assimiler ma proposition :
"Si tu veux faire des complications, je poursuivrai ta mère, Bruno, et David en justice, pour association de malfaiteurs, complicité de tentative d’escroquerie, etc..."
"Mon avocat prétend qu’en cas de jugement en ma faveur, je peux me faire un paquet d’oseille … Peut-être même, mettre tes parents sur la paille !"
"Le mieux, c’est que tu t’occupes de faire tes valises. J’aimerais que tu quittes cette maison demain."
Sophie était suffisamment secouée pour ne pas réfléchir, elle a fait ses valises et elle est retournée chez ses parents, le temps de se remettre. Elle a parlé à sa mère de mes menaces, ce qui a provoqué une crise de panique chez sa mère.
Le beau-père voulait savoir pourquoi j’avais répudié sa fille, et pourquoi sa femme pleurait, alors il est venu chez moi pour m’insulter :
"Tu t’es comporté comme un salaud avec ma fille, et tu fais des menaces à ma femme ?"
J'appréciais bien le beau-père, et je détestais lui faire ça, mais je n'avais pas l'intention de passer pour un salaud. Alors j'ai sorti mes enregistrements pour lui éclairer sa lanterne. Il a écouté stupéfait sa femme et sa fille comploter contre moi.
Il est parti sans dire un mot. J'ai su plus tard qu'il avait jeté Sophie dehors, et quand sa femme a essayé de l'empêcher, il l’a menacée de faire pareil avec elle.
Sophie a accepté le divorce sans combattre, et l’année suivante, elle a épousé Bruno. Elle a appris à ses dépens que Bruno était un mari jaloux et violent. Plusieurs personnes qui la connaissait bien m’ont dit l’avoir vue avec des stigmates, portant des lunettes de soleil ou des foulards pour cacher ses ecchymoses.
Certains m’ont assuré qu’elle avait beaucoup changé, portant des tenues plus discrètes et beaucoup moins sexy.
Je les ai rassuré en leur disant que j’étais heureux qu'elle ait pu épouser l'homme de ses rêves.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Excellente fin !!! Ca change des sempiternelles pardons du mari ou du mari qui passe de jaloux a heureux que sa femme soit une nympho qui le trompe allègrement