Un mari exceptionnel 2 - histoire érotique

Les deux sursautent et regardent L'oncle en faisant une moue. Maurice demande :

-Tu veux que mon frère et moi rejoignons tante dans sa chambre, mais elle va nous tuer !

Olivier éclate de rire et dit :

-Non, c'est un cadeau que je veux lui faire, nous, en avons parlé un peu hier, aller tentez votre chance, puisque vous dites qu'elle est bandante votre tante, alors profitez de l'occasion, je vous accompagne !

Les trois montent dans la chambre de Marion, Olivier avant d'ouvrir la porte dit :

-Vous mes garçons, restez hors de la chambre, je vais tâter le terrain avant, je vous appellerai !


Olivier entre dans la chambre, il s'assoit sur le bord du lit et repousse les draps, il découvre le corps de sa femme qui est entièrement nue, elle dort sur le dos. Le coquin lui caresse doucement le ventre en approchant lentement du puits d'amour. Lorsque ses doigts glissent sur la chatte, qu'il a copieusement arrosé la veille, avec sa semence qui a séché depuis, rend les poils un peu rêches.

Il passe plusieurs fois ses doigts sur la fente encore humide. Mais dès qu'il touche à boule magique, Marion en poussant un soupir se réveille. Elle sourit en regardant son mari. Il se penche sur elle et l'embrasse fougueusement. Lorsqu'il se redresse, il dit :

-Ma chérie, hier soir, cela a été magique, pour te remercier, je t'offre un cadeau, qui va te combler de bonheur !


Marion a les yeux qui se mettent à pétiller, elle demande :

-C'est quoi le cadeau mon chéri !

Olivier en souriant va jusqu'à la porte et l'ouvre, il fait signe aux neveux d'entrer. Marion sursaute et tente de remonter les draps. Elle regarde son mari et dit :

-Je ne comprends pas mon chéri, qu'est-ce qui se passe !


Olivier repousse les draps, redécouvre le corps de sa femme et dit :

-C'est mon cadeau, profites-en ma chérie, éclate-toi, ils ont aussi envie de toi, que toi d'eux, ne laisse pas passer cette occasion !

Il repose sa main sur ma chatte et la caresse devant les neveux voyeurs occasionnels. Marion commence à trembler, elle s'agrippe aux draps en se cabrant légèrement. Les doigts de son mari s'enfoncent profondément dans son vagin et le fouillent en la faisant geindre. Olivier regarde les deux jeunes et leur dit :

-Ne restez pas plantés là, foutez-vous à poils !

Sans se le faire répéter, les deux sont rapidement nus, ils se placent de chaque côté de leur tante et posent leurs mains sur elle. Elle ferme les yeux honteusement. Mais ne les repousse pas. Olivier retire ses doigts et va s'asseoir sur une chaise dans un coin, c'est maintenant aux jeunes de faire jouir leur tante. Les mains moites de Maurice s'emparent des seins et les malaxent avec de plus en plus d'assurance. Marion, soupir profondément, en gardant les yeux fermés.


Aron lui s'intéresse au bas-ventre, ses doigts caressent les poils raidis pas le sperme de son mari. Il se penche et hume avec force la vulve qui a subi la veille de nombreux assauts, l'odeur qui s'en dégage l'excite. La tante machinalement ouvre les jambes, avec des gestes encore malhabiles, Aron taquine les grandes lèvres, en cherchant la boule de tous les plaisirs. Dès qu'il la trouve, il écarte les grandes lèvres et sort de son écrin la perle précieuse. Il la presse entre ses deux pouces en faisant cabrer sa tante.



La tante pousse un gémissement, Maurice vient de gober les mamelons et les rudoie fortement, les aspirations qu'il fait, font geindre Marion, qui enfin ouvre les yeux. Elle est rouge de honte, mais les sens prennent le dessus. Ses mamelons deviennent durs et épais, à chaque succion dessus, la tante gémit comme une bête blessée. Soudain, elle se cambre fortement, Aron vient de lui gober le clito et le suce comme un affamé. Marion croit mourir, sa boule de chair est terriblement gonflée. Les voraces neveux la font défaillir. Ses paroles sont hachées, elle bègue fortement :

-Oliv, Olivi, Olivier, je, je, vais, mou, mourir, mon mon Dieu, je jou, jou, jouis, ouah !

Une jouissance fantastique lui secoue les entrailles, Maurice offre aux lèvres de sa tante sa verge tendue. Les yeux de la tante sont embués terriblement, elle saisit la bite raide comme du bois et ouvre la bouche. Elle donne quelques coups de langue bien ajustés sur le gland marbré, avant de le gober. Elle suce et tète comme une affamée. Son mari est émerveillé de la voir si audacieuse, il l'encourage :

-Vas-y ma chérie, vide les couilles à ce jeune novice, oui, oui, continue, tu es sublime avoir ma chérie !

La bouche de Marion fait un travail d'enfer sur la queue de son neveu. Le bougre grogne comme un fauve, la tante reçoit sa récompense, Maurice lui remplit la bouche de sa semence. Marion sent le liquide onctueux glisser dans sa gorge :

Son mari qui assiste en voyeur, lui conseille de tout avaler. En déglutissant bruyamment, Marion avale jusqu'à la dernière goutte le nectar précieux. Elle est obligée de recracher la bite, car Aron vient de lui enfoncer trois doigts dans la chatte et la lui ramone énergiquement. Marion se tend comme un arc en gémissement, comme une agonisante. Une seconde jouissance la fait vibrer, ses râles sont indescriptibles, le lit est noyé de cyprine. Aron veut aussi se faire sucer, il retire ses doigts du temple en feu et approche sa bite de la bouche de la jouisseuse.

La tante saisir l'objet et lui fait subir le même traitement qu'à Maurice. La fellation ne dure pas longtemps, une puissante décharge remplit la bouche de la tante qui l'avale sans rechigner. Olivier commence à s'agiter sur sa chaise, il hausse le ton et criant :

-Baisez-la, elle n'en peut plus, baisez-la bon Dieu !

C'est Aron qui plonge entre ses cuisses et lui enfonce sa bite au plus profond du ventre. Pendant la pénétration, un long gémissement se fait entendre. La tante s'accroche à son neveu en râlant de plaisir. La bite vigoureuse lui remplit bien la chatte, mais dès que les chevaux sont lâchés, c'est la féria. Marion crie comme une bête, agite son bassin en hurlant :

-Oui, oui, plus fort mon chéri, oh que ta bite est bonne, vas-y bourre bien tata, fait la jouir mon chéri !

Aron baise comme un beau diable, les vœux de sa tante sont exhaussés, elle se cabre et explose de jouissance. Le jeune amant continue de la déglinguer sous les yeux des deux hommes attentifs à ce qui se passe. Le neveu amant, pousse un grognement et remplit le ventre de sa tante agonisante de plaisir, avec son sperme brûlant. Maurice veut aussi sa part du gâteau. Il repousse son frère et regarde la chatte laisser échapper le surplus de sperme, en disant :

-Oh la vache, tonton, il l'a bien arrangé tata le cochon. Moi aussi, je vais lui remplir le ventre !

Olivier bande comme un poney, il hurle :

-Oui, ouvre lui bien la chatte, remplis lui le ventre de ton sperme, vas-y, vas-y, c'est jour de fête pour ta tante, travaille lui bien la chatte !