Un mari exceptionnel
Récit érotique écrit par linsee [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-07-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Un mari exceptionnel
Neveux de Marion, Aron et Maurice sont deux frères, leurs parents sont en instance de divorce, à la maison, c'est intenable. Les deux jeunes âgés respectivement de 18 et 19 ans sont en fac, mais heureusement ce sont les vacances. Marion reçoit, ses neveux en attendant une accalmie. Elle habite avec son mari une petite fermette au flanc d'une montagne, ils élèvent des chèvres et vivent de la vente de leurs produits.
Cela fait quelques jours que les neveux sont arrivés. Ils s'adaptent facilement, tout ce passe à merveille, les deux jeunes aident à la petite fermette du mieux qu'ils peuvent d'ailleurs, cela semble leur plaire.
Marion leur propose une randonnée en montagne, elle connait un endroit où se trouve une magnifique petite cascade en amont. Son mari, Olivier, va s'occuper des animaux pendant leur escapade. Comme la journée s'annonce ensoleillée, elle prépare un petit pic-nique. Cela fait déjà quelques heures qu'ils gravissent les pentes abruptes. Lorsqu'un orage éclate, souvent en montagne le temps change rapidement.
Les éclairs zèbrent le ciel noircît par de nombreux nuages. Marion connait à quelques centaines de mètres une cabane de berger, malgré qu'ils pressent le pas, des trombes d'eau s'abattent sur eux. Enfin, ils atteignent la cabane. Elle est inoccupée pour le moment, les trois randonneurs sont trempés du pied à la tête. Dans la petite cabane, Marion allume une lampe à pétrole, il y a de quoi faire du feu. Quelques bûches sont mises dans l'âtre pour faire une bonne flambée. Soudainement, la tante commence à ôter ses vêtements.
Elle invite ses neveux à faire de même, car il faut faire sécher les vêtements pour ne pas attraper du mal. Timidement, les deux s'effeuillent, en ne quittant pas du regard leur tante. Marion ôte ses habits à l'exception de sa culotte qui, malgré qu'elle soit trempée, la garde sur elle. Les deux regardent discrètement les seins généreux qui pendent sur le torse de Marion. Cela ne dérange pas d'être torse nue devant ses neveux. Elle trouve une serviette dans un placard et se frotte énergiquement le torse, le ventre et les jambes. Mutuellement, ils s'essuient le dos. Aron et Maurice admirent les courbes quasi parfaites de leur tante. Comme on dit, elle ferait bander un mort.
Elle s'approche du feu et prend place devant les flammes qui s'agitent dans le foyer, elle se frotte les bras pour avoir plus chaud. Les deux jeunes font de même. Toujours en épiant la tante. L'orage redouble en intensité. Le tonnerre fait trembler la cabane de bois. Les deux jeunes ne sont pas rassurés, à chaque coup qui ébranle la cabane, ils sursautent. Ils se jettent sur la paillasse qui sert de couche au berger, les deux tremblent de peur. Marion se veut rassurante, elle dit que cela va vite se terminer et qu'ils pourront reprendre leur randonnée.
Il commence à faire une douce chaleur dans la pièce unique de la cabane. Marion déballe le pic-nique sur la table, ses neveux ne sont pas aptes à avaler quoi que ce soit tellement ils sont mal à l'aise. Cela fait sourire la tante qui constate que ses neveux manquent de courage. Elle va les rejoindre sur la couche, ils lui font une place entre eux, et se collent directement contre elle en se blottissant contre son corps.
Le corps chaud de Marion contre les leurs, semble leur faire reprendre courage. Elle les entend ronronner comme des félins. Elle se crispe un peu lorsqu'une main se pose sur son estomac. Une autre sur sa culotte humide. Marion ne bouge pas, les deux visiteuses caressent doucement l'endroit où elles se sont posées. Marion frissonne, elle soupire en serrant les poings. Une main monte délicatement vers sa poitrine, l'autre remonte en suivant le même parcours.
Les bas-ventres des deux jeunes hommes, appuyer contre ses cuisses, commence à s'agiter doucement. La tante est troublée parce qui se passe, et surtout par ce qu'elle ressent. Elle ne comprend pas pourquoi qu'elle ne les repousse pas. Les mains butent contre sa poitrine, Marion se cambre légèrement. Les mains baladeuses glissent sur ses lobes, les enserrent. De douces pressions sur ses seins la font cabrer. Les deux jeunots profitent de l'occasion, leurs doigts s'emparent des mamelons, et les roulent en les écrasant de temps en temps pour les stimuler. La tante gémit en se mordant la main pour ne pas gémir trop fort.
Marion sent contre ses cuisses les verges prendre du volume, les deux neveux s'agitent de plus en plus. Soudain un coup de tonnerre plus fort que les autres fait sursauter les deux jeunes, qui s'écarte de leur tante. Marion réagit fermement, elle saisit brusquement les deux bites en érections et commence à les branler au travers le slip. Aron et Maurice, surpris pas cet assaut, restent sur le dos en ouvrant leurs jambes. Malgré le carcan de tissu qui emprisonne les bites, Marion branle énergiquement les mâts qui prennent encore plus de formes.
D'un geste habile, elle libère les manches de chair de leur prison de tissu et les agite en grimaçant. Le branlage est féroce, les gémissements des neveux sont bruyants. Marion cesse de branler les bites, elle les regarde un bon moment, et s'amuse à les décalotter à tour de rôle. D'une seule voix, les deux jeunes hommes geignent :
-Oh tante, tante, continue, c'est trop bon !
Marion reprend la masturbation avec plus de rage, les deux membres, en même temps, envoient dans les airs leurs semences épaisses, elles retombent sur les ventres dénudés des deux neveux gémissants de plaisir, en engluant aussi les mains de Marion. Elle se lève, se lave les mains. Et prend place à table pour manger. Aron, regarde son frère, les deux font une moue de personnes déçues, et se lèvent aussi. Ils se lavent le ventre et remonte leurs slips pour passer aussi à table. Pendant le cours repas, les jeunots ne cessent de regarder sans dire un mot. Leur tante prend enfin la parole :
-Ce qui vient de se passer, c'est un dérapage malencontreux, je vous demande de garder le silence !
L'orage entre temps a cessé. Les trois après avoir remis de l'ordre dans la cabane, s'habillent et reprennent leur balade. Ils arrivent à la cascade qui valait le détour. L'endroit est magnifique, mais tout a une fin, il faut rentrer. Ils arrivent, juste pour diner, Olivier le tonton avait préparé le repas. Après avoir parlé de leurs péripéties, sans parler du branlage de la tante. Il est temps de prendre une douche et de se coucher.
Marion passe une nuit atroce, elle est très agitée, elle se remémore les queues des neveux, qu'elle a branlé jusqu'à l'éjaculation. Ses sens s'enflamment. Elle passe sa main sous sa nuisette et se caresse la vulve en soupirant fortement, Marc sent la main de sa femme s'agiter sous les draps. Il les repousse, Marion continue de se masturber, ses yeux sont vitreux, Olivier lui demande :
-Oh ma chérie, il s'est passé quelque chose aujourd'hui, tu sais que tu peux tout me dire !
C'est avec des trémolos dans la voix que Marion lui raconte tout. Marc sursaute et s'interroge, il dit en écarquillant les yeux :
-Tu as branlé les neveux, et tu y as pris du plaisir en le faisant ma chérie !
-En soupirant, Marion répond :
-Oh oui, j'ai mouillé comme une dingue, je me suis levée pour ne pas chevaucher les petits cochons, oh comme j'avais honte mon chéri !
Olivier ne semble pas perturbé, en souriant, il lui dit :
-Moi, à ta place, je l'aurais fait !
Sa femme sursaute, fronce les sourcils et réplique :
-Eh bien, tu m'en bouches un coin, cela ne t'aurait rien fait, si j'avais baisé avec Aron et Maurice !
Marc toujours en souriant répond :
-Oh, j'aurais bien voulu voir ça, ici ce n'est pas toujours la piste aux étoiles, nous voyons jamais personne, j'avoue que je ne suis pas un foudre de guerre sexuellement et souvent, tu restes sur ta faim, oh comme j'aurais voulu vraiment voir ça !
Marion rougit, elle continue avec plus de rage de se masturber, entre deux souffles, elle dit :
-Oh, tu es un vrai cochon Olivier, ne retourne pas le couteau dans la plaie !
Il l'embrasse fougueusement, c'est à ce moment-là que Marion jouit. Il la regarde et en lui relevant le menton avec deux doigts lui dit :
-C'est en pensant à eux que tu as joui, avoue !
Marion ne se retient plus, elle dit presque en hurlant :
-Oui, oui, c'est pour eux mon chéri, et toi qui pousses à la roue !
Olivier en l'embrassant à nouveau dit :
-Franchis le pas ma chérie, fais-toi plaisir !
Elle l'enlace et elle répète :
-Oh mon chéri, mon chéri, tu es vraiment le meilleur des maris, je viens de te tromper digitalement et toi, tu m'encourages à le faire réellement !
Marc ôte son pyjama et fait l'amour à sa femme comme une bête. Il la défonce somme jamais il ne l'avait fait, il lui malmêne la chatte à grands coups de reins. Elle a de multiples jouissances avant de s'endormir, épuisée par cet acte démentiel.
Au petit matin, Olivier se lève très tôt pour s'occuper des animaux, il laisse sa femme faire la grâce matinée, car hier soir, elle s'est donnée à fond sexuellement, et elle doit récupérer. Il a déjà préparé le petit déjeuner lorsque ses neveux se lèvent. Les trois se saluent et prennent place autour de la table. Olivier les regarde en souriant, le fantasme de voir sa femme prise par les jeunots, mûrit dans sa tête. Puis, il dit :
-Alors mes cochons tante branle bien hein !
Les deux neveux sursautent, ils savent que la tante a parlé. Ils rougissent et en béguant, Maurice répond en regrettant ce qui s'est passé :
-Oh tonton, ce n'est qu'un pur hasard, la journée se passait très cool, mais le destin en a décidé autrement. Lorsque l'orage a éclaté et que l'ont, c'est réfugié dans la cabane, c'est là que tante, c'est mise torse nue devant nous pour faire sécher ses vêtements. C'est ce qui a tout déclenché !
Olivier ajoute :
-Vous là trouvez comment votre tante !
Là, c'est Aron qui parle :
-Oh quel corps elle a la tata, rien qu'en y repensant, j'ai des fourmis dans le caleçon !
Olivier éclate de rire et ajoute :
-Pourquoi ne pas profiter que cela te démange, pour aller la retrouver dans sa chambre !
Cela fait quelques jours que les neveux sont arrivés. Ils s'adaptent facilement, tout ce passe à merveille, les deux jeunes aident à la petite fermette du mieux qu'ils peuvent d'ailleurs, cela semble leur plaire.
Marion leur propose une randonnée en montagne, elle connait un endroit où se trouve une magnifique petite cascade en amont. Son mari, Olivier, va s'occuper des animaux pendant leur escapade. Comme la journée s'annonce ensoleillée, elle prépare un petit pic-nique. Cela fait déjà quelques heures qu'ils gravissent les pentes abruptes. Lorsqu'un orage éclate, souvent en montagne le temps change rapidement.
Les éclairs zèbrent le ciel noircît par de nombreux nuages. Marion connait à quelques centaines de mètres une cabane de berger, malgré qu'ils pressent le pas, des trombes d'eau s'abattent sur eux. Enfin, ils atteignent la cabane. Elle est inoccupée pour le moment, les trois randonneurs sont trempés du pied à la tête. Dans la petite cabane, Marion allume une lampe à pétrole, il y a de quoi faire du feu. Quelques bûches sont mises dans l'âtre pour faire une bonne flambée. Soudainement, la tante commence à ôter ses vêtements.
Elle invite ses neveux à faire de même, car il faut faire sécher les vêtements pour ne pas attraper du mal. Timidement, les deux s'effeuillent, en ne quittant pas du regard leur tante. Marion ôte ses habits à l'exception de sa culotte qui, malgré qu'elle soit trempée, la garde sur elle. Les deux regardent discrètement les seins généreux qui pendent sur le torse de Marion. Cela ne dérange pas d'être torse nue devant ses neveux. Elle trouve une serviette dans un placard et se frotte énergiquement le torse, le ventre et les jambes. Mutuellement, ils s'essuient le dos. Aron et Maurice admirent les courbes quasi parfaites de leur tante. Comme on dit, elle ferait bander un mort.
Elle s'approche du feu et prend place devant les flammes qui s'agitent dans le foyer, elle se frotte les bras pour avoir plus chaud. Les deux jeunes font de même. Toujours en épiant la tante. L'orage redouble en intensité. Le tonnerre fait trembler la cabane de bois. Les deux jeunes ne sont pas rassurés, à chaque coup qui ébranle la cabane, ils sursautent. Ils se jettent sur la paillasse qui sert de couche au berger, les deux tremblent de peur. Marion se veut rassurante, elle dit que cela va vite se terminer et qu'ils pourront reprendre leur randonnée.
Il commence à faire une douce chaleur dans la pièce unique de la cabane. Marion déballe le pic-nique sur la table, ses neveux ne sont pas aptes à avaler quoi que ce soit tellement ils sont mal à l'aise. Cela fait sourire la tante qui constate que ses neveux manquent de courage. Elle va les rejoindre sur la couche, ils lui font une place entre eux, et se collent directement contre elle en se blottissant contre son corps.
Le corps chaud de Marion contre les leurs, semble leur faire reprendre courage. Elle les entend ronronner comme des félins. Elle se crispe un peu lorsqu'une main se pose sur son estomac. Une autre sur sa culotte humide. Marion ne bouge pas, les deux visiteuses caressent doucement l'endroit où elles se sont posées. Marion frissonne, elle soupire en serrant les poings. Une main monte délicatement vers sa poitrine, l'autre remonte en suivant le même parcours.
Les bas-ventres des deux jeunes hommes, appuyer contre ses cuisses, commence à s'agiter doucement. La tante est troublée parce qui se passe, et surtout par ce qu'elle ressent. Elle ne comprend pas pourquoi qu'elle ne les repousse pas. Les mains butent contre sa poitrine, Marion se cambre légèrement. Les mains baladeuses glissent sur ses lobes, les enserrent. De douces pressions sur ses seins la font cabrer. Les deux jeunots profitent de l'occasion, leurs doigts s'emparent des mamelons, et les roulent en les écrasant de temps en temps pour les stimuler. La tante gémit en se mordant la main pour ne pas gémir trop fort.
Marion sent contre ses cuisses les verges prendre du volume, les deux neveux s'agitent de plus en plus. Soudain un coup de tonnerre plus fort que les autres fait sursauter les deux jeunes, qui s'écarte de leur tante. Marion réagit fermement, elle saisit brusquement les deux bites en érections et commence à les branler au travers le slip. Aron et Maurice, surpris pas cet assaut, restent sur le dos en ouvrant leurs jambes. Malgré le carcan de tissu qui emprisonne les bites, Marion branle énergiquement les mâts qui prennent encore plus de formes.
D'un geste habile, elle libère les manches de chair de leur prison de tissu et les agite en grimaçant. Le branlage est féroce, les gémissements des neveux sont bruyants. Marion cesse de branler les bites, elle les regarde un bon moment, et s'amuse à les décalotter à tour de rôle. D'une seule voix, les deux jeunes hommes geignent :
-Oh tante, tante, continue, c'est trop bon !
Marion reprend la masturbation avec plus de rage, les deux membres, en même temps, envoient dans les airs leurs semences épaisses, elles retombent sur les ventres dénudés des deux neveux gémissants de plaisir, en engluant aussi les mains de Marion. Elle se lève, se lave les mains. Et prend place à table pour manger. Aron, regarde son frère, les deux font une moue de personnes déçues, et se lèvent aussi. Ils se lavent le ventre et remonte leurs slips pour passer aussi à table. Pendant le cours repas, les jeunots ne cessent de regarder sans dire un mot. Leur tante prend enfin la parole :
-Ce qui vient de se passer, c'est un dérapage malencontreux, je vous demande de garder le silence !
L'orage entre temps a cessé. Les trois après avoir remis de l'ordre dans la cabane, s'habillent et reprennent leur balade. Ils arrivent à la cascade qui valait le détour. L'endroit est magnifique, mais tout a une fin, il faut rentrer. Ils arrivent, juste pour diner, Olivier le tonton avait préparé le repas. Après avoir parlé de leurs péripéties, sans parler du branlage de la tante. Il est temps de prendre une douche et de se coucher.
Marion passe une nuit atroce, elle est très agitée, elle se remémore les queues des neveux, qu'elle a branlé jusqu'à l'éjaculation. Ses sens s'enflamment. Elle passe sa main sous sa nuisette et se caresse la vulve en soupirant fortement, Marc sent la main de sa femme s'agiter sous les draps. Il les repousse, Marion continue de se masturber, ses yeux sont vitreux, Olivier lui demande :
-Oh ma chérie, il s'est passé quelque chose aujourd'hui, tu sais que tu peux tout me dire !
C'est avec des trémolos dans la voix que Marion lui raconte tout. Marc sursaute et s'interroge, il dit en écarquillant les yeux :
-Tu as branlé les neveux, et tu y as pris du plaisir en le faisant ma chérie !
-En soupirant, Marion répond :
-Oh oui, j'ai mouillé comme une dingue, je me suis levée pour ne pas chevaucher les petits cochons, oh comme j'avais honte mon chéri !
Olivier ne semble pas perturbé, en souriant, il lui dit :
-Moi, à ta place, je l'aurais fait !
Sa femme sursaute, fronce les sourcils et réplique :
-Eh bien, tu m'en bouches un coin, cela ne t'aurait rien fait, si j'avais baisé avec Aron et Maurice !
Marc toujours en souriant répond :
-Oh, j'aurais bien voulu voir ça, ici ce n'est pas toujours la piste aux étoiles, nous voyons jamais personne, j'avoue que je ne suis pas un foudre de guerre sexuellement et souvent, tu restes sur ta faim, oh comme j'aurais voulu vraiment voir ça !
Marion rougit, elle continue avec plus de rage de se masturber, entre deux souffles, elle dit :
-Oh, tu es un vrai cochon Olivier, ne retourne pas le couteau dans la plaie !
Il l'embrasse fougueusement, c'est à ce moment-là que Marion jouit. Il la regarde et en lui relevant le menton avec deux doigts lui dit :
-C'est en pensant à eux que tu as joui, avoue !
Marion ne se retient plus, elle dit presque en hurlant :
-Oui, oui, c'est pour eux mon chéri, et toi qui pousses à la roue !
Olivier en l'embrassant à nouveau dit :
-Franchis le pas ma chérie, fais-toi plaisir !
Elle l'enlace et elle répète :
-Oh mon chéri, mon chéri, tu es vraiment le meilleur des maris, je viens de te tromper digitalement et toi, tu m'encourages à le faire réellement !
Marc ôte son pyjama et fait l'amour à sa femme comme une bête. Il la défonce somme jamais il ne l'avait fait, il lui malmêne la chatte à grands coups de reins. Elle a de multiples jouissances avant de s'endormir, épuisée par cet acte démentiel.
Au petit matin, Olivier se lève très tôt pour s'occuper des animaux, il laisse sa femme faire la grâce matinée, car hier soir, elle s'est donnée à fond sexuellement, et elle doit récupérer. Il a déjà préparé le petit déjeuner lorsque ses neveux se lèvent. Les trois se saluent et prennent place autour de la table. Olivier les regarde en souriant, le fantasme de voir sa femme prise par les jeunots, mûrit dans sa tête. Puis, il dit :
-Alors mes cochons tante branle bien hein !
Les deux neveux sursautent, ils savent que la tante a parlé. Ils rougissent et en béguant, Maurice répond en regrettant ce qui s'est passé :
-Oh tonton, ce n'est qu'un pur hasard, la journée se passait très cool, mais le destin en a décidé autrement. Lorsque l'orage a éclaté et que l'ont, c'est réfugié dans la cabane, c'est là que tante, c'est mise torse nue devant nous pour faire sécher ses vêtements. C'est ce qui a tout déclenché !
Olivier ajoute :
-Vous là trouvez comment votre tante !
Là, c'est Aron qui parle :
-Oh quel corps elle a la tata, rien qu'en y repensant, j'ai des fourmis dans le caleçon !
Olivier éclate de rire et ajoute :
-Pourquoi ne pas profiter que cela te démange, pour aller la retrouver dans sa chambre !
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7 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Excellent. C'est un bonheur que d'avoir un mari candauliste!
Très intéressant Hâte de connaitre la suite...
Merci à vous qui aimez mes récits
Très bien écrite cette histoire, on croyait du vécu, la question se pose ?
Il est vrai, que cela remue les sens, merci l'auteure.
Sofiane et Luc
Il est vrai, que cela remue les sens, merci l'auteure.
Sofiane et Luc
Vivement la suite !!!
Vous connaissant Linsee, tata Marion va prendre du plaisir....
Lolo
Vous connaissant Linsee, tata Marion va prendre du plaisir....
Lolo
Hum, j'attends la suite, qui s'annonce très jouissive.
Linsee, je félicite ton imagination débordante.
Mariame
Linsee, je félicite ton imagination débordante.
Mariame
Ouah, j'adore, j'avoue, j'ai mouillé ma culotte.
Lydia
Lydia