Un voyeurisme qui tourne en candaulisme forcé pour Bruno. 3
Récit érotique écrit par Mlkjhg39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 559 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.9 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.3
- • L'ensemble des récits érotiques de Mlkjhg39 ont reçu un total de 4 234 176 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-06-2021 dans la catégorie Plus on est
Cette histoire de sexe a été affichée 6 413 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Un voyeurisme qui tourne en candaulisme forcé pour Bruno. 3
Le voyeurisme de Bruno tourne au candaulisme forcé quand il se rend compte que le jeune étalon laboure Lucie, son ex femme. 3
Je m’appelle Bruno, je sais que c’est difficile à vivre pour ma femme Lucie, mais je ne peux m’empêcher de la tromper dès que c’est possible. D’ailleurs, mon mariage est en train de voler en éclat. (Pour ceux qui voudraient avoir plus de détails, il faudra lire ou relire les premiers épisodes de cette saga : Mon beau-père fait mon éducation sexuelle).
Un détail me titille, est-ce que ? Je prends le joystick et zoom sur le dessous du sein gauche de l’inconnue. Cette tache, ce grain de beauté, je le connais, c’est celui de… de ma femme !!!!!! C’est mon ex, là, dans la pièce d’à coté ! Je tambourine sur le miroir, hurle, mais la salle est si bien insonorisée qu’ils ne doivent rien entendre et continuent leur dépravation. Ce n’est pas possible ! PAS POSSIBLE !!! Ça ne peut pas être Lucie. Elle ne peut pas me faire cocu en direct. Pas ça, pas comme ça !!!
Suite :
Je connais par ouï-dire la réputation de Claude. Je sais ce qu’il fait aux femmes, et qu’elles en redemandent. J’imagine ce qu’il va faire à mon ex. Il va jouer avec elle et ses copines, la prendre dans toutes les positions, peut-être même la sodomiser, tout ce qu’elle m’a toujours refusé. Je suis persuadé qu’elle préfère sa grosse bite que mon zob ridicule en comparaison de cocu de mari, enfin ex… J’imagine déjà cette énorme queue qui coulisse dans sa chatte pleine de mouille sous ses hurlements de plaisir.
Ils changent de position, poussant une banquette devant le miroir de leur coté. Les trois femmes se mettent à plat ventre dessus, les genoux au sol. Le queutard les prend l’une après l’autre dans un drôle de jeu musical, son pieu défonçant celle du milieu et ses mains s’occupant chacune d’une chatte et d’un anus. Le pouce dans le cul et deux doigts dans la vulve jusqu’à la fourche de ses mains.
Les filles commentent :
-Hum…salaud, c’est bon d’avoir une grosse bite dans la chatte…
-Et d’être doigtée en attendant son tour…
Je réalise soudain que même si je fulmine de honte et de colère, je bande comme un âne, merde ! Je hais ce type qui laboure ma femme et en même temps j’admire cet étalon infatigable qui saillit deux pouliches et une jument sur le retour. J’ai essayé une fois de contenter deux filles mais l’expérience n’a pas été concluante car je n’ai pas pu tenir la distance. A chaque coup de bite, il visite la planète, de l’Afrique à l’Asie tout en explorant le nouveau ou l’ancien monde.
Sa queue est si longue qu’aucune des trois filles ne peut supporter la totalité de son chibre.
Ils changent de position encore une fois pour reprendre le même exercice mais cette fois j’ai devant moi les visages des chaudasses. J’ai en gros plan les rictus de la fille qui se fait mettre par un tel organe. Le pire, c’est quand c’est le tour de Lucie et qu’elle me fait un doigt d’honneur. Putain ! Cette salope doit savoir que je suis derrière la glace à la regarder se faire labourer par ce petit con.
Mais le pire c’est quand elle se met à parler :
-Encore heureux qu’il y ait sur terre des mâles qui savent se servir de leur archet pour jouer sur un violon comme si c’était un Stradivarius, et en vrai chef d’orchestre, d’en faire vibrer plusieurs en même temps pour une symphonie longue, très longue… Pas comme certain… Comme un bijoutier, qui d’une pierre brute, fait briller un diamant à mille facettes… A celui qui écoute derrière ce miroir, je me suis déjà vengée de Brigitte et Léonie, elles ne t’ont rien dit ? Et toi, tu portes un tel paquet de cornes que je me demande comment tu peux encore passer les portes. Mais si tu savais qui a planté les deux premières… Et ne t’avise jamais de t’en prendre à moi ou à Claude, sinon tu auras affaire aux deux gorilles de tout à l’heure, et ils savent se servir de leur bâton qu’il soit de chair ou de bois !
Soudain me revient en mémoire les mots de Claude quand il m’a accueillit, « Vous êtes le premier ». Il savait déjà que Lucie allait venir et de la suite de l’histoire…mais comment ? La seule personne qui savait que j’allais venir aujourd’hui, c’est…c’est mon père Jean ! C’est pas possible ! Il ne peut pas avoir fait ça à son fils, merde ! Mais alors… Si je pousse le raisonnement un peu plus loin, ma première paire de cornes, ce serait…
En voyant ce gourdin fouiller celui de mon ex, je dois avoir au moins dix neuf de tension ! Je la vois se cambrer, gémir de plaisir, il se penche et lui donne un farouche baiser pour l’encourager. Ma femme vient d’avoir un terrible orgasme…sous mes yeux ! Jamais je n’ai réussi à la faire vibrer comme ça ! Je me remémore ce que vantent les groupies de cet étalon et ses performances au lit, il parait qu’il est capable de passer des heures sans débander, et qu’elles n’ont jamais jouis comme ça avec leurs hommes...
-Encore, demande Lucie, fais-nous encore monter au rideau !
-Sucez-moi puis après, je vous encule l’une après l’autre ! Annonce Claude.
-Hum…d’accord, accepte mon ex en s’agenouillant devant lui avec ses deux copines. Tu sais que je ne l’ai jamais fait avec mon mari, mais avec toi ça fera deux fois.
-C’est mieux qu’avec ton cocu, dis que tu as aimé ce que je t’ai fait.
-Oh oui, gémit Lucie, j’aime sucer ta grosse bite, avaler ton foutre, la sentir dans ma chatte, dans mon cul. Tu m’as fait découvrir tout ce que mon mari n’a jamais su faire. Il n’a jamais su se servir d’une femme, de sa femme. Toi, tu devrais lui écrire une notice.
-Je préfère lui rajouter une paire de cornes à ce connard, et te baiser toute la nuit.
Putain de petit merdeux, si je pouvais sortir de cette pièce, j’irais lui casser la gueule…
Je distingue en gros plan l’énorme pieu passer de bouche en bouche ou alors assaillit par les trois furies en même temps. Les trois filles restent collées l’une à l’autre pendant un temps qui me parait fort long mais elles n’arrivent toujours pas à le faire jouir, il y aurait déjà longtemps que j’aurais envoyé la purée si j’étais à sa place…
Il les repousse enfin pour se branler en leurs annonçant :
- Prenez tout mes salopes, deuxième service !
- Ooohh ouiiii ! Ooohh ouiiii ! S’exclament-elles en cœur. Et Lucie de surenchérir : c’est énorme comme ta bite peut cracher
- Oui salopes, prenez bien mon foutre au fond de votre bouche !
Ce petit con débande enfin et sa verge plus molle pend entre ses cuisses, mais elle reste aussi grosse que celles des deux hommes de tout à l’heure. Et ce qu’il leurs demande me sidère :
-Que préférez-vous, les filles ? Voulez-vous en profiter pour que je vous encule avant que je ne reprenne du gourdin ?
Mais il n’est pas humain ce type ! Il vient à peine de se vider qu’il veut déjà y retourner. Comment peut-il tenir une telle cadence de baise ???
Suite…
Je m’appelle Bruno, je sais que c’est difficile à vivre pour ma femme Lucie, mais je ne peux m’empêcher de la tromper dès que c’est possible. D’ailleurs, mon mariage est en train de voler en éclat. (Pour ceux qui voudraient avoir plus de détails, il faudra lire ou relire les premiers épisodes de cette saga : Mon beau-père fait mon éducation sexuelle).
Un détail me titille, est-ce que ? Je prends le joystick et zoom sur le dessous du sein gauche de l’inconnue. Cette tache, ce grain de beauté, je le connais, c’est celui de… de ma femme !!!!!! C’est mon ex, là, dans la pièce d’à coté ! Je tambourine sur le miroir, hurle, mais la salle est si bien insonorisée qu’ils ne doivent rien entendre et continuent leur dépravation. Ce n’est pas possible ! PAS POSSIBLE !!! Ça ne peut pas être Lucie. Elle ne peut pas me faire cocu en direct. Pas ça, pas comme ça !!!
Suite :
Je connais par ouï-dire la réputation de Claude. Je sais ce qu’il fait aux femmes, et qu’elles en redemandent. J’imagine ce qu’il va faire à mon ex. Il va jouer avec elle et ses copines, la prendre dans toutes les positions, peut-être même la sodomiser, tout ce qu’elle m’a toujours refusé. Je suis persuadé qu’elle préfère sa grosse bite que mon zob ridicule en comparaison de cocu de mari, enfin ex… J’imagine déjà cette énorme queue qui coulisse dans sa chatte pleine de mouille sous ses hurlements de plaisir.
Ils changent de position, poussant une banquette devant le miroir de leur coté. Les trois femmes se mettent à plat ventre dessus, les genoux au sol. Le queutard les prend l’une après l’autre dans un drôle de jeu musical, son pieu défonçant celle du milieu et ses mains s’occupant chacune d’une chatte et d’un anus. Le pouce dans le cul et deux doigts dans la vulve jusqu’à la fourche de ses mains.
Les filles commentent :
-Hum…salaud, c’est bon d’avoir une grosse bite dans la chatte…
-Et d’être doigtée en attendant son tour…
Je réalise soudain que même si je fulmine de honte et de colère, je bande comme un âne, merde ! Je hais ce type qui laboure ma femme et en même temps j’admire cet étalon infatigable qui saillit deux pouliches et une jument sur le retour. J’ai essayé une fois de contenter deux filles mais l’expérience n’a pas été concluante car je n’ai pas pu tenir la distance. A chaque coup de bite, il visite la planète, de l’Afrique à l’Asie tout en explorant le nouveau ou l’ancien monde.
Sa queue est si longue qu’aucune des trois filles ne peut supporter la totalité de son chibre.
Ils changent de position encore une fois pour reprendre le même exercice mais cette fois j’ai devant moi les visages des chaudasses. J’ai en gros plan les rictus de la fille qui se fait mettre par un tel organe. Le pire, c’est quand c’est le tour de Lucie et qu’elle me fait un doigt d’honneur. Putain ! Cette salope doit savoir que je suis derrière la glace à la regarder se faire labourer par ce petit con.
Mais le pire c’est quand elle se met à parler :
-Encore heureux qu’il y ait sur terre des mâles qui savent se servir de leur archet pour jouer sur un violon comme si c’était un Stradivarius, et en vrai chef d’orchestre, d’en faire vibrer plusieurs en même temps pour une symphonie longue, très longue… Pas comme certain… Comme un bijoutier, qui d’une pierre brute, fait briller un diamant à mille facettes… A celui qui écoute derrière ce miroir, je me suis déjà vengée de Brigitte et Léonie, elles ne t’ont rien dit ? Et toi, tu portes un tel paquet de cornes que je me demande comment tu peux encore passer les portes. Mais si tu savais qui a planté les deux premières… Et ne t’avise jamais de t’en prendre à moi ou à Claude, sinon tu auras affaire aux deux gorilles de tout à l’heure, et ils savent se servir de leur bâton qu’il soit de chair ou de bois !
Soudain me revient en mémoire les mots de Claude quand il m’a accueillit, « Vous êtes le premier ». Il savait déjà que Lucie allait venir et de la suite de l’histoire…mais comment ? La seule personne qui savait que j’allais venir aujourd’hui, c’est…c’est mon père Jean ! C’est pas possible ! Il ne peut pas avoir fait ça à son fils, merde ! Mais alors… Si je pousse le raisonnement un peu plus loin, ma première paire de cornes, ce serait…
En voyant ce gourdin fouiller celui de mon ex, je dois avoir au moins dix neuf de tension ! Je la vois se cambrer, gémir de plaisir, il se penche et lui donne un farouche baiser pour l’encourager. Ma femme vient d’avoir un terrible orgasme…sous mes yeux ! Jamais je n’ai réussi à la faire vibrer comme ça ! Je me remémore ce que vantent les groupies de cet étalon et ses performances au lit, il parait qu’il est capable de passer des heures sans débander, et qu’elles n’ont jamais jouis comme ça avec leurs hommes...
-Encore, demande Lucie, fais-nous encore monter au rideau !
-Sucez-moi puis après, je vous encule l’une après l’autre ! Annonce Claude.
-Hum…d’accord, accepte mon ex en s’agenouillant devant lui avec ses deux copines. Tu sais que je ne l’ai jamais fait avec mon mari, mais avec toi ça fera deux fois.
-C’est mieux qu’avec ton cocu, dis que tu as aimé ce que je t’ai fait.
-Oh oui, gémit Lucie, j’aime sucer ta grosse bite, avaler ton foutre, la sentir dans ma chatte, dans mon cul. Tu m’as fait découvrir tout ce que mon mari n’a jamais su faire. Il n’a jamais su se servir d’une femme, de sa femme. Toi, tu devrais lui écrire une notice.
-Je préfère lui rajouter une paire de cornes à ce connard, et te baiser toute la nuit.
Putain de petit merdeux, si je pouvais sortir de cette pièce, j’irais lui casser la gueule…
Je distingue en gros plan l’énorme pieu passer de bouche en bouche ou alors assaillit par les trois furies en même temps. Les trois filles restent collées l’une à l’autre pendant un temps qui me parait fort long mais elles n’arrivent toujours pas à le faire jouir, il y aurait déjà longtemps que j’aurais envoyé la purée si j’étais à sa place…
Il les repousse enfin pour se branler en leurs annonçant :
- Prenez tout mes salopes, deuxième service !
- Ooohh ouiiii ! Ooohh ouiiii ! S’exclament-elles en cœur. Et Lucie de surenchérir : c’est énorme comme ta bite peut cracher
- Oui salopes, prenez bien mon foutre au fond de votre bouche !
Ce petit con débande enfin et sa verge plus molle pend entre ses cuisses, mais elle reste aussi grosse que celles des deux hommes de tout à l’heure. Et ce qu’il leurs demande me sidère :
-Que préférez-vous, les filles ? Voulez-vous en profiter pour que je vous encule avant que je ne reprenne du gourdin ?
Mais il n’est pas humain ce type ! Il vient à peine de se vider qu’il veut déjà y retourner. Comment peut-il tenir une telle cadence de baise ???
Suite…
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Mlkjhg39
4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Quand je fantasme trop, je regarde les vidéos de l'auteur
En parlant de voyeurisme, je suis toujours béate davant la photo de profil
372: mon mari a trouvé une photo de l'auteur dans sa jeunesse. Encore pire que Claude, le
mec!
mec!
piégé dans sa cage