Une belle-mère merveilleuse ! - histoire érotique

Je signale que ce récit a été écrit en duo avec Valériane, mon amie


Michel, soixante-sept ans, vient de prendre en deuxième noce Aurore, Cette femme de quarante et un ans, a un corps quasi-parfait. Sur son passage les regards se posent sur elle, les murmures vont bon train, (un vieux avec une femme plus jeune, quelle honte, elle est avec lui pour son fric). Aurore au début en avait gros sur le cœur. Mais depuis, elle ne prête plus attention aux ragots, elle hausse les épaules lorsqu'elle entend les langues de vipères cracher leurs venins à son passage, mais heureusement pas tous le sont. Très sympathique, elle répond aux bonjours, et aux sourires qu'on lui adresse.


Aurore est une femme facile à vivre, elle s'entend parfaitement avec Sylvain le fils de Michel qu'il a eut de son premier mariage. Son beau-fils a maintenant vingt-trois ans, comme il poursuit encore des études, il vit avec eux. L'entente entre le trio est au top. Ce sont les vacances, comme chaque année, ils les passent ensemble. Le petit Mas qu'ils louent est parfait, il possède une petite piscine. À tour de rôle, les hommes s'occupent du barbecue, pendant qu'Aurore prépare les entrées.


Ils prennent le petit déjeuner à l'ombre sous un olivier, Michel et Sylvain sont déjà en maillot de bain. Aurore, elle, porte une courte jupe légère de saison, avec un corsage qui cache mal sa poitrine, on devine qu'elle ne porte pas de soutien-gorge. Ses mamelons épais appuient fortement sur le fin tissu comme pour le percer. Michel lui est souriant, pour Sylvain, c'est le plaisir des yeux. Il plonge souvent son regard dans le profond sillon en salivant. L'heure tourne, avant le déjeuner, les trois décident de prendre l'apéro, les verres se suivent, Michel, Aurore et Sylvain sont un peu grisés. Ils décident de piquer une tête dans la piscine.


Aurore s'absente un instant pour mettre son maillot. Elle réapparaît vêtue d'un maillot deux pièces ultra court blancs. Les yeux de sylvain manquent de se décrocher, il dévore sa belle-mère des yeux tellement elle est sexy dans son maillot. La culotte bien ajustée, c'est inséré dans la fente, en séparant les grandes lèvres. Sylvain déglutit bruyamment, mais lorsque qu'Aurore se retourne, il défaille, le tissu ne peut cacher totalement le fessier bien rebondit. Le sang du beau-fils se met à bouillir, dans ses veines, le soutien-gorge, découvre largement les lobs mammaires en les mettant en valeur.


Michel sourit en regardant sa femme et dit :

-Ouah chérie, tu es magnifique, Sylvain ne te quitte pas des yeux le coquin, ne l'excites pas quand même, c'est mon fils !


Les trois plongent dans le bain, ils barbotent et jouent comme des enfants. Les minutes passent. Michel fatigue vite, vu son âge, il trouve comme prétexte pour s'éclipser qu'il doit préparer le barbecue. Aurore et son beau-fils continuent de patauger en s'éclaboussant, en faisant de petits sprints, en riant aux éclats. Aurore s'accroche au bord du bassin. Sylvain la rejoint, il s'agrippe à elle en riant, les blagues fusent. Les deux corps sont l'un contre l'autre. Le bassin du jeune mâle est appuyé contre les fesses d'Aurore, qui ne cesse de rire.


Sylvain la saisit sans brusquerie par les hanches et la serre très fort contre lui. Il en profite pour lui donner un baiser très appuyé sur le cou. Lentement, Aurore se retourne et fait face à son beau-fils. Les rires cessent, les deux se regardent sans dire. Sylvain, lui reprend les hanches et la plaque doucement contre lui. Les deux bassins sont en contacte. Malicieusement, Sylvain commence à frotter son bas-ventre contre celui de sa belle-mère, qui sur le coup trouve cela agréable. Les pressions se font plus intenses, Aurore sent contre son bas-ventre une érection naissante. Elle se trouble et commence à béguer :


- Je, je crois que le déjeuner est prêt, il serait temps de sortir Sylvain !

Mais le bougre ne répond pas, il tire encore plus fort sur les hanches de sa belle-mère pour lui faire sentir le désir qu'elle provoque chez lui. Aurore comprend dans quel état d'excitation est son beau-fils, le membre qui appuie contre son ventre semble de bonne taille. Avec des gestes habiles, Aurore réussit à écarter le beau-fils audacieux. Elle prend appuie sur le bord du bassin et comme une sportive, s'élève hors du bassin, à la force du poignet. Une fois hors de l'eau, Sylvain n'en croit pas ses yeux, le Maillot blanc d'Aurore est devenu transparent avec l'eau. Elle s'éloigne en se déhanchant avec la souplesse d'un félin.

Michel regarde sa femme s'approcher de lui, il éclate de rire et dit :

-Ma chérie ton maillot est magnifique de transparence, c'est un pousse au viol, je l'adore !

Sylvain rejoint le duo, il prend place en face de sa belle-mère. Au travers de la culotte mouillée, il voit nettement la fine toison taillée comme un ticket de métro, le tissu fortement inséré entre les grandes lèvres laisse deviner, juste au-dessus du sillon, la forme d'un clito bien développé. Sylvain ne peut contrôler son érection. Son caleçon de bain est affreusement déformé par une grosse bosse. Aurore jette de temps en temps un regard dessus, plus la bosse prend du volume, plus, elle blêmit. Elle se verse un verre qu'elle avale cul sec, puis le remplit une seconde fois.

Sylvain voit le trouble de sa belle-mère, pendant que son papa tourne les viandes à quelques mètres de là, il se caresse la verge en la regardant intensément. Aurore ravale sa salive, ses yeux luisent. Sylvain écarte les jambes et, au travers du tissu, se masturbe doucement sans quitter des yeux Aurore. Elle écarquille les yeux, soudain Sylvain baisse d'un coup son caleçon et exhibe sa bite fortement tendue. Sa belle-mère se pince les lèvres et dit en marmonnant :


-Tu es un monstre Sylvain !

Tout en surveillant son papa, il accélère le branlage et se cambre en direction de sa belle-mère qui lui dit entre deux souffles :

-Je te haïs, je te haïs, c'est monstrueux ce que tu fais !

Rapidement, il remonte son caleçon, son papa arrive. Aurore se lève et va en cuisine, Sylvain dit à haute voix :

-Je vais t'aider à porter les plats Aurore !

Il la rejoint à la cuisine, elle lui tourne le dos, penchée sur la table. Le bougre l'enlace, il appuie son bas-ventre contre les fesses de la belle-mère déstabilisée. Elle ne peut ignorer la forte érection de jeune mâle en rut. Sylvain la serre très fort, il donne quelques coups de reins comme pour la pilonner. Aurore souffle comme un dragon, elle dit :

-Sylvain, s'il te plait, cesse de me tourmenter !

Le coquin tout en maintenant la pression, il lui donne des baisers brûlants sur la nuque et sur le cou. Aurore le supplie :

-Cesse Sylvain, ce petit jeu malsain !

Elle s'esquive en le repoussant doucement et sort avec en main un plat. Pendant le repas, Aurore fusille du regard son beau-fils, lui, lui répond par un sourire. Durant le repas, le coquin de Sylvain fait du pied à sa belle-mère, son pied monte le long du mollet, et arrive aux genoux qu'Aurore serre très fort. Sylvain pousse fortement en agitant son pied, lentement les genoux cèdent, le pied avance entre les cuisses, et atteint son but. Aurore serre les dents, elle voudrait hurler, mais le courage lui manque, elle ne veut pas faire de scandale. Les doigts de pied agacent la fente qui rapidement se met à transpirer. Aurore se pince les lèvres, c'en est trop, discrètement, elle passe sa main sous la table et repousse l'agresseur. Déçu, Sylvain retire son pied, et dévisage sa belle-mère qui en croisant son regard se met à rougir.

Entre deux bouchées, elle regarde son beau-fils en soupirant. Une fois le repas terminé, elle va s'allonger au soleil, Michel lui préfère le confort d'un hamac à l'ombre. Sylvain, avant de bouger, boit une rasade, se lève, et va rejoindre Aurore. Il s'allonge à côté d'elle, et commence à chahuter avec elle, les deux s'empoignent et roulent sur le sol en riant. Michel à moitié endormi dit en poussant un gros soupir :

-Eh les enfants, faites moins de bruits, j'ai besoin de faire ma sieste !

Sylvain et Aurore se regardent, en faisant une moue, ils s'étendent l'un près de l'autre en promettant de faire moins de bruit. Aurore est sur le dos, Sylvain sur le ventre. Tout en papotant, il pose sa main sur la cuisse de sa belle-mère qui sursaute de surprise. Doucement la main voyage sur la peau légèrement brunit par le soleil, elle passe sur le ventre plat en faisant de petits cercles. Lentement, l'intrépide, s'avance vers l'entrejambe. Aurore stoppe l'agresseur en disant :

-Pas touche, ce n'est pas à toi petit coquin !