Une belle-soeur adorable 1 - histoire érotique

Laureen, séparée d'un mari volage, depuis plus de deux ans, se bat pour oublier, cette période néfaste. Elle se voue tellement à son travail, qu'elle en oublie de vivre. Ses seules distractions sont la télévisons, faire les courses et le ménage. Sa vie monotone est sans surprise. Quelques fois, elle se permet de petites masturbations.

Heureusement, de temps en temps, son beau-frère Mathias, avec qui elle a gardé le contact, vient lui rendre visite.

Bien qu'il soit beaucoup plus jeune qu'elle, les deux semblent s'apprécier énormément. Laureen le considère comme son petit frère. Mathias, en voyant l'état de tristesse de sa belle-sœur, la persuade, de partir en vacances. Laureen trouve l'idée séduisante, mais partir seule, ne l'enchante pas tellement. Pour combler cette lacune, Mathias propose de l'accompagner. Laureen sursaute, se pince les lèvres et après un moment de réflexion, finit par dire :

-Pourquoi pas, soyons fous, partons ensemble se faire bronzer !


Mathias, ravit par la décision de Laureen, dit en souriant :

-Je fais les réservations, et tu poseras tes congés !

Quelques jours plus tard, ils se lancent sur la route. Après de longues heures, ils décident de passer la nuit à l'hôtel, pour prendre du repos avant de reprendre la route. Mais en plein mois d'aout, il est difficile de trouver un hôtel. Par chance, ils ont trouvé un, mais il n'y a qu'une chambre de libre. Les deux se regardent, puis décident de la prendre. Ils déposent leurs valises dans la chambre, et décident de prendre un verre avant de diner. Ils se rendent au bar de l'hôtel.

Les deux très fusionnels, prennent place à une table et commandent une boisson. Mathias, jette des regards brûlants et des sourires dévastateurs. À sa belle-sœur. Laureen est un peu gênée, car le bel âtre pourrait être son fils. Mais elle se prête au jeu, en répondant à ses sourires. Les deux trinquent, parlent de tout et de rien, Matthias aborde un sujet délicat, il demande en regardant sa belle-sœur droit dans les yeux :

-Laureen, depuis que tu es séparée, le sexe ne te manque pas ?

Laureen, surprise par la demande, répond en poussant un gros soupir :


-Pour être franche, oui quelques fois le sexe me manque !

-Puis elle ajoute en souriant :

-Mais pour compenser, j'ai mes doigts !

Le regarde, de Mathias, se fait plus intense, il esquisse un petit sourire vicieux, en se pinçant les lèvres. Il ajoute :

-Comment qu'une belle femme comme toi est encore seule après tant de mois de célibat !

Laureen réplique :

-Il y a un proverbe qui dit :

-Chat échaudé, craint l'eau froide, et moi, j'ai déjà donné, maintenant, je suis vaccinée !

Mathias lui prend la main et l'embrasse longuement. Laureen trésaille, ravale sa salive, et fortement troublée, retire sa main qui tremble. Le diner se passe parfaitement, épuisés par le voyage, ils montent dans la chambre. Laureen regarde le seul lit qu'il y à et dit :

-À la guerre, comme à la guerre !

Elle va dans la salle de bain, en emportant avec elle sa nuisette, et prend une douche. Elle en ressort vêtue de sa nuisette transparente très courte. Mathias écarquille les yeux, Laureen est nu dessous. Au travers du fin tissu, il aperçoit la toison qui semble bien soyeuse, et les mamelons épais, qui appuient fortement sur le tissu comme pour le forer. Le bougre salive en voyant le corps magnifique de sa belle-sœur.
Elle s'approche du lit, ouvre les draps et se glisse dedans. Mais en entrant entre les draps, sa nuisette remonte en découvrant son bas-ventre. Les yeux de Mathias font tilt. Il regarde sa belle-sœur, remonter les draps jusque sous son menton. Très ému et rouge comme une pivoine, il va prendre sa douche.

Il en ressort avec comme seul vêtement un boxer. Il se glisse dans le lit délicatement. L'un à côte de l'autre, ils n'osent se toucher. Mais la chaleur qu'émane les corps met en émoi Mathias. Sa jambe est en contact avec celle de Laureen. Les cuisses sont l'une contre l'autre. Laureen se met sur le flanc en tournant le dos à Mathias, qui lui aussi se met sur le flanc, et intentionnellement, place son bas ventre contre le fessier de Laureen, qui n'ose pas bouger.

Elle sent sur sa nuque le souffle chaud de son beau-frère, qui ose poser sa main sur sa hanche. Laureen se raidit légèrement, sans repousser la main qui doucement se met à lui caresser la hanche. Elle frissonne, la main devient de plus en plus audacieuse. Elle glisse sur sa cuisse et lentement s'engage sous sa nuisette. Laureen pousse un gros soupir bruyant.

Le coquin appuie son bas-ventre contre ses fesses, et agite doucement son bassin. Il ne faut pas attendre longtemps, pour qu'une érection se reproduise. Le membre dur appuie sur les fesses bien fermes de la belle-sœur qui se cabre en disant faiblement sans en penser un seul mot :

-Mathias, qu'est-ce qui te prend, veux-tu cesser ce petit jeu malsain !

Mais c'est le contraire qui se produit, le coquin s'accroche à ses hanches et mime une lente pénétration. la verge épaisse, qui est emprisonnée dans le boxer, Laureen, la sent coulisser entre ses lobes fessiers. Elle serre les dents, il y a longtemps qu'une verge ne s'est pas intéressée à elle, et celle-là semble bien dure. Son corps se parcourt de frissons incontrôlables. Elle ravale sa salive, et se met brusquement sur le dos, repousse les draps avec ses pieds, son souffle est rapide. Elle regarde le plafond en soupirant de nombreuses fois. Mathias aussi se met sur le dos. Les yeux de sa belle-sœur se posent sur la bosse énorme qui déforme son boxer. Mathias, pose sa main dessus et la caresse doucement sans cesser de regarder Laureen. Il entend les déglutitions bruyantes qu'elle fait.

Mathias s'arme de courage, il saisit doucement la main de sa belle-sœur, et la pose sur la bosse monstrueuse qui ne cesse de gonfler. Laureen a un geste de recul, mais Mathias replace la main fuyarde sur son sexe dur. Instinctivement, Laureen le presse plusieurs fois, elle le trouve bien gros, puis sans savoir pourquoi, commence à l'agiter au travers le tissu. Mathias lâche la main de sa belle-sœur et se laisse faire.
La verge emprisonnée dans son carcan de tissu devient douloureuse. Mathias, repousse la main de Laureen, et baisse brusquent son boxer. La verge se détend comme un ressort, oscille un instant sur son bas-ventre velu, avant de se stabiliser. Il reprend la main de sa belle-sœur, et la repose sur son mât dressé.

Avant de l'agiter, Laureen le regarde un instant, ses yeux sont écarquillés au maximum. Elle décalotte le gland, l'observe longuement, puis commence à l'agiter. Des perles de rosée, s'échappent du méat ouvert, Laureen accélère la masturbation. Elle est en admiration, devant le gland qu'elle décalotte à chaque descente de son poignet. Elle serre les dents en agitant le manche de chair vivant, qu'elle sent battre dans sa main.


Mathias serre les dents, grimace, la tension monte de plus en plus dans son corps. C'est en grognon qu'il dit :

-Ça vient, ça vient !

Laureen donne des coups de poignets plus violents, soudain Mathias se cabre, et de sa verge est expulsée, plusieurs jets de sperme, qui retombent lourdement sur son ventre, et les doigts de Laureen qui continue d'agiter la verge, qui rejette encore sa semence. Elle est fascinée par les jets visqueux, que la hampe éjecte. Ses yeux brillent, cela faisait longtemps qu'elle n'avait assisté à un tel spectacle. Elle regarde le gland gluant, et avance sa tête vers le geyser qui semble calmé. Elle donne quelques coups de langues sur le champignon de chair, titille le frein, avant que sa langue ne fasse plusieurs fois le tour du gland.

Mathias gémit doucement, jamais, il n'aurait imaginé sa belle-sœur oserait, lui faire une gâterie. Il pousse un râle plus long, lorsque Laureen, lui gobe le gland. Elle suce et tète sans se poser de questions, elle savoure la boule de chair, en faisant des aspirations monstrueuses. Elle se crispe, elle vient de recevoir dans la bouche, un flot de sperme. Elle repousse Mathias, le regard intensément, en se pinçant les lèvres, et avale par petites gorgées la crème onctueuse.

Mathias est aux anges, il regarde amoureusement sa belle-sœur, qui vient de lui prouver que c'est une bonne suceuse.