Une belle-soeur adorable 2

Récit érotique écrit par linsee [→ Accès à sa fiche auteur]
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Une belle-soeur adorable 2
Soudain, Laureen se lève et dit :
-Je regrette ce qu'il vient de se passer, je ne sais pas ce qui m'a pris !
Mathias ne comprend plus rien. Il tente de la retenir et dit avec beaucoup d'émotions :
Laureen, laissons parler nos sens, je sais que tu as envie, comme moi, de faire l'amour !
Mais elle ne m'écoute pas et se rend d'un pas décidé à la salle de bain. Elle en ressort quelque temps plus tard. S'enfonce dans les draps et se met en chien de fusil. Mathias est déboussolé, il remonte son boxer et se plaque contre sa belle-sœur, qui le dissuade de tenter quelque chose. Il se tourne sur le côté, rumine un long moment avant de s'endormir.
Le lendemain, Laureen fait comme s'il ne c'était rien passé, ils prennent leur petit déjeuner et se remettent en route. Ils arrivent au mas qu'ils ont loué, font l'état des lieux avec le propriétaire, et prennent chacun possession d'une chambre. Laureen coquette, se change. Elle enfile une jupe légère, et un corsage qui laisse voir une partie du large sillon qui sépare les seins. Mathias la dévore des yeux et en salivant et ne peut s'empêcher de lui dire :
-Ouah, Laureen, tu es en beauté, je ne sais pas si je vais pouvoir résister longtemps à ton charme !
Elle lui répond par un sourire. Mais il faut faire les courses pour le diner. Ils flânent, achètent ce qu'il faut et s'installent à la terrasse dans un café. À la table à côté, il y a un couple, Mathias et Laureen les saluent, les deux inconnus répondent au salut en souriant. Pendant qu'ils consomment, les quatre échangent de nombreux sourires. Ils ne finissent pas se mettre à la même table. La femme se prénomme Éléonore, l'homme Charles. Ils sympathisent rapidement et papotent longuement. Mais l'heure tourne, il est temps de rentrer.
Pendant que Mathias s'occupe du barbecue, Laureen dresse la table. Le repas se passe dans une bonne ambiance. Mais la fatigue de la route, se fait ressentir. Laureen s'excuse, et va prendre une douche, avant de rejoindre sa chambre. Mathias traine un peu avant de monter à l'étage. Dans le couloir, en passant devant la chambre de sa belle-sœur, il entend des bruits étranges. Pensant que celle-ci étant souffrante, il colle son oreille à la porte de la chambre. Il sursaute, des gémissements autres que de douleur, lui chatouillent les tympans. Il est certain qu'elle se fait un plaisir solitaire.
En effet, Laureen se maltraite le clito, elle l'agite férocement en grimaçant, elle l'écrase fortement pour le stimuler au maximum, avant reprendre un branlage vigoureux. À la recherche d'une jouissance, qui tarde à venir, elle se martyrise le clito avec violence. Soudain, elle se cambre, pousse un long gémissement et explose de jouissance. Son corps retombe lourdement sur le lit. Elle halète fortement en cherchant un second souffle.
Mathias se pince les lèvres et rejoint sa chambre, il se jette nu sur son lit, et pense sa belle-sœur, à son corps, et à la fellation qu'elle lui a fait la veille. Il saisit sa verge d'une main, l'agite férocement, en se remémorant l'instant magique passé à l'hôtel avec sa belle-sœur. C'est en grimaçant qu'il s'inflige une violente masturbation. C'est en gémissant comme une bête, qu'il envoie dans les airs sa semence visqueuse, qui retombe sur son ventre.
Il essuie le liquide gluant avec un mouchoir en papier, avant de s'endormir.
Le lendemain, toujours en boxer, il se lève le premier, et prépare le petit déjeuner, en attendant avec impatience Laureen. Enfin, elle apparait avec sa nuisette transparente comme à l'hôtel, elle est nue en dessous. En haut de l'escalier, elle s'étire comme un félin, et descend les marches en balançant son bassin comme une danseuse orientale. Mathias la dévore des yeux, il la suit du regard jusqu'à ce qu'elle l'embrasse pour le saluer. Elle prend place à table et entame son petit déjeuner, les deux échangent de nombreux sourires. Le petit déjeuner prend fin, Laureen débarrasse la table, et se rend à l'évier. Mathias lui emboite le pas. Penchée sur l'évier, Laureen s'affaire, Mathias l'enlace et la serre contre lui, et lui donne une multitude de baisers sur la nuque et le cou. Laureen cesse toutes activités, pousse de gros soupirs en se cramponnant à l'évier.
Elle sent contre son fessier, le bassin de Mathias s'agiter. De longs frissons parcourent son corps fébrile. Le bougre accentue, les pressions de son bas-ventre contre les fesses bien rondes de sa belle-sœur défaillante Mais ce qui devait arriver, arriva. Une formidable érection fait dresser le membre de l'audacieux beau-frère. Laureen ne peut ignorer, le manche qui cherche à s'insérer dans le large sillon.
D'une main habille, Mathias extirpe de son boxer sa verge qu'il dirige vers le temple de Sodome. Il saisit sa belle-sœur par les hanches et pousse doucement, il tente de se frayer un passage dans le canal étroit, en entrainant malheureusement le tissu avec.
Laureen se cabre et se retourne brusquement pour faire face à son agresseur. Les yeux dans les yeux, elle dit :
Mais Mathias, tu es fou, je ne suis pas un jouet, je pourrais être ta maman !
Le coquin, hausse les épaules et la serre très fort contre lui, et lui appuie très fort sa verge tendue contre le bas-ventre de Laureen qui pousse un gros soupir bruyant. Mathias n'en reste pas là, il pose ses lèvres fiévreuses sur celles de sa belle-sœur. Sa langue audacieuse s'enfonce dans la bouche entrouverte de Laureen et se noue à la sienne comme deux reptiles qui cherchent à s'accoupler, les langues s'agitent, Laureen est sans force. Sans savoir pourquoi, elle répond au baiser de son beau-frère. Un échange de salive se fait.
Profitant de la faiblesse de sa belle-sœur, d'une main, il lui retrousse la nuisette, et place contre la vulve trempée son membre plein de vie. Il pousse sans cesser de l'embrasser. Lentement l'engin s'enfonce dans la gaine détrempée. Laureen pousse un long gémissement, que le baiser étouffe en partie. Mathias prend sa belle-sœur comme un sauvage contre l'évier. Sa verge puissante voyage dans la gaine brûlante, en arrachant à Laureen des gémissements de bêtes. Elle s'accroche à son jeune amant, en marmonnant des phrases inaudibles. Les coups de reins qu'il donne, la font geindre comme un animal tombé dans un piège.
La verge épaisse racle les parois sensibles, en faisant défaillir Laureen de plaisir. Une violente jouissance la fait hurler, elle plante ses ongles dans les hanches de son amant, qui grimace. Mathias lui défonce la chatte comme un forcené. Il lui travaille le ventre, jusqu'à ce qu'elle jouisse une seconde fois. Enfin, il déverse dans le ventre de sa maitresse son sperme épais. Avant de se retirer, il donne encore quelques estocades pour bien vider la hampe de son jus.
Toujours embrochée jusqu'à la garde, Laureen regarde son amant, et lui dit avec des trémolos dans la voix :
-Oh mon chéri, cela faisait plus de deux ans que je n'avais joui comme cela !
Pour le remercier, elle l'embrasse fougueusement. Malgré les apparences, le coquin est costaud. Il la saisit à bras le corps et l'emmène jusqu'au salon, il la dépose sur la petite table, et lui arrache la nuisette, qui tombe en lambeaux sur le sol. Laureen, surprise par cette attaque, elle, regardant son amant, en esquisse un large sourire. Elle aime ce côté violent, elle adore être rudoyée. Mathias lui replie les jambes sur son ventre, et s'agenouille face à elle. Il regarde la chatte béante rejeter le surplus de semence.
Il avance sa tête, et plaque sa bouche sur le clito horriblement gonflé. Il le suce et le tète comme un vorace. Laureen se cambre, geint comme une bête malade, la bouche de son amant la rend folle de plaisir. Elle sursaute, lorsque sa langue, enfonce profondément dans son conduit gorgé de semence visqueuse, et le fouille en lui arrachant des gémissements terribles. Soudain, un long gémissement, sort de la gorge de la soumise qui se cabre encore plus, Mathias commence à lui, lécher l'anus. Habilement, sa langue tourne autour du muscle rectal. La bouche vorace aspire l'anus avec une violence extrême. C'est si violent que l'anus sort de son logement de trois centimètres. Mathias le suce et le tète en faisant couiner sa belle-sœur de plaisir, pour elle c'est démentiel, jamais, elle n'a subi un tel délire rectal.
Lorsque la langue s'enfonce dans le conduit anal, pour le fouiller, elle pousse un long râle, en se cramponnant à la table pour ne pas chuter sur le sol. Mathias se redresse et présente, à l'anus, secoué de frémissements incontrôlables, son engin fortement veiné, qu'il enfonce doucement dans la gaine étroite, en faisant grimacer sa belle-sœur. Il s'accroche à elle et commence un va-et-vient qui devient au fil des minutes plus rapide. La verge voyage dans la gaine en la dilatant sensiblement. Les gémissements de Laureen prouvent qu'elle y prend beaucoup de plaisir. L'enculage et très long, les longues minutes de pénétrations font défaillir Laureen, qui marmonne :
-Oui, oui, c'est bon, oh putain, je vais jouir, oui, oui, ça vient !
Laureen ressent comme une brûlure lui traverser le ventre, jamais, elle n'avait ressenti une chose pareille. Une jouissance anale extraordinaire, la fait hurler. Après un long moment de sodomie, Mathias déverse dans l'intestin de sa belle-sœur un flot de sperme.
-Je regrette ce qu'il vient de se passer, je ne sais pas ce qui m'a pris !
Mathias ne comprend plus rien. Il tente de la retenir et dit avec beaucoup d'émotions :
Laureen, laissons parler nos sens, je sais que tu as envie, comme moi, de faire l'amour !
Mais elle ne m'écoute pas et se rend d'un pas décidé à la salle de bain. Elle en ressort quelque temps plus tard. S'enfonce dans les draps et se met en chien de fusil. Mathias est déboussolé, il remonte son boxer et se plaque contre sa belle-sœur, qui le dissuade de tenter quelque chose. Il se tourne sur le côté, rumine un long moment avant de s'endormir.
Le lendemain, Laureen fait comme s'il ne c'était rien passé, ils prennent leur petit déjeuner et se remettent en route. Ils arrivent au mas qu'ils ont loué, font l'état des lieux avec le propriétaire, et prennent chacun possession d'une chambre. Laureen coquette, se change. Elle enfile une jupe légère, et un corsage qui laisse voir une partie du large sillon qui sépare les seins. Mathias la dévore des yeux et en salivant et ne peut s'empêcher de lui dire :
-Ouah, Laureen, tu es en beauté, je ne sais pas si je vais pouvoir résister longtemps à ton charme !
Elle lui répond par un sourire. Mais il faut faire les courses pour le diner. Ils flânent, achètent ce qu'il faut et s'installent à la terrasse dans un café. À la table à côté, il y a un couple, Mathias et Laureen les saluent, les deux inconnus répondent au salut en souriant. Pendant qu'ils consomment, les quatre échangent de nombreux sourires. Ils ne finissent pas se mettre à la même table. La femme se prénomme Éléonore, l'homme Charles. Ils sympathisent rapidement et papotent longuement. Mais l'heure tourne, il est temps de rentrer.
Pendant que Mathias s'occupe du barbecue, Laureen dresse la table. Le repas se passe dans une bonne ambiance. Mais la fatigue de la route, se fait ressentir. Laureen s'excuse, et va prendre une douche, avant de rejoindre sa chambre. Mathias traine un peu avant de monter à l'étage. Dans le couloir, en passant devant la chambre de sa belle-sœur, il entend des bruits étranges. Pensant que celle-ci étant souffrante, il colle son oreille à la porte de la chambre. Il sursaute, des gémissements autres que de douleur, lui chatouillent les tympans. Il est certain qu'elle se fait un plaisir solitaire.
En effet, Laureen se maltraite le clito, elle l'agite férocement en grimaçant, elle l'écrase fortement pour le stimuler au maximum, avant reprendre un branlage vigoureux. À la recherche d'une jouissance, qui tarde à venir, elle se martyrise le clito avec violence. Soudain, elle se cambre, pousse un long gémissement et explose de jouissance. Son corps retombe lourdement sur le lit. Elle halète fortement en cherchant un second souffle.
Mathias se pince les lèvres et rejoint sa chambre, il se jette nu sur son lit, et pense sa belle-sœur, à son corps, et à la fellation qu'elle lui a fait la veille. Il saisit sa verge d'une main, l'agite férocement, en se remémorant l'instant magique passé à l'hôtel avec sa belle-sœur. C'est en grimaçant qu'il s'inflige une violente masturbation. C'est en gémissant comme une bête, qu'il envoie dans les airs sa semence visqueuse, qui retombe sur son ventre.
Il essuie le liquide gluant avec un mouchoir en papier, avant de s'endormir.
Le lendemain, toujours en boxer, il se lève le premier, et prépare le petit déjeuner, en attendant avec impatience Laureen. Enfin, elle apparait avec sa nuisette transparente comme à l'hôtel, elle est nue en dessous. En haut de l'escalier, elle s'étire comme un félin, et descend les marches en balançant son bassin comme une danseuse orientale. Mathias la dévore des yeux, il la suit du regard jusqu'à ce qu'elle l'embrasse pour le saluer. Elle prend place à table et entame son petit déjeuner, les deux échangent de nombreux sourires. Le petit déjeuner prend fin, Laureen débarrasse la table, et se rend à l'évier. Mathias lui emboite le pas. Penchée sur l'évier, Laureen s'affaire, Mathias l'enlace et la serre contre lui, et lui donne une multitude de baisers sur la nuque et le cou. Laureen cesse toutes activités, pousse de gros soupirs en se cramponnant à l'évier.
Elle sent contre son fessier, le bassin de Mathias s'agiter. De longs frissons parcourent son corps fébrile. Le bougre accentue, les pressions de son bas-ventre contre les fesses bien rondes de sa belle-sœur défaillante Mais ce qui devait arriver, arriva. Une formidable érection fait dresser le membre de l'audacieux beau-frère. Laureen ne peut ignorer, le manche qui cherche à s'insérer dans le large sillon.
D'une main habille, Mathias extirpe de son boxer sa verge qu'il dirige vers le temple de Sodome. Il saisit sa belle-sœur par les hanches et pousse doucement, il tente de se frayer un passage dans le canal étroit, en entrainant malheureusement le tissu avec.
Laureen se cabre et se retourne brusquement pour faire face à son agresseur. Les yeux dans les yeux, elle dit :
Mais Mathias, tu es fou, je ne suis pas un jouet, je pourrais être ta maman !
Le coquin, hausse les épaules et la serre très fort contre lui, et lui appuie très fort sa verge tendue contre le bas-ventre de Laureen qui pousse un gros soupir bruyant. Mathias n'en reste pas là, il pose ses lèvres fiévreuses sur celles de sa belle-sœur. Sa langue audacieuse s'enfonce dans la bouche entrouverte de Laureen et se noue à la sienne comme deux reptiles qui cherchent à s'accoupler, les langues s'agitent, Laureen est sans force. Sans savoir pourquoi, elle répond au baiser de son beau-frère. Un échange de salive se fait.
Profitant de la faiblesse de sa belle-sœur, d'une main, il lui retrousse la nuisette, et place contre la vulve trempée son membre plein de vie. Il pousse sans cesser de l'embrasser. Lentement l'engin s'enfonce dans la gaine détrempée. Laureen pousse un long gémissement, que le baiser étouffe en partie. Mathias prend sa belle-sœur comme un sauvage contre l'évier. Sa verge puissante voyage dans la gaine brûlante, en arrachant à Laureen des gémissements de bêtes. Elle s'accroche à son jeune amant, en marmonnant des phrases inaudibles. Les coups de reins qu'il donne, la font geindre comme un animal tombé dans un piège.
La verge épaisse racle les parois sensibles, en faisant défaillir Laureen de plaisir. Une violente jouissance la fait hurler, elle plante ses ongles dans les hanches de son amant, qui grimace. Mathias lui défonce la chatte comme un forcené. Il lui travaille le ventre, jusqu'à ce qu'elle jouisse une seconde fois. Enfin, il déverse dans le ventre de sa maitresse son sperme épais. Avant de se retirer, il donne encore quelques estocades pour bien vider la hampe de son jus.
Toujours embrochée jusqu'à la garde, Laureen regarde son amant, et lui dit avec des trémolos dans la voix :
-Oh mon chéri, cela faisait plus de deux ans que je n'avais joui comme cela !
Pour le remercier, elle l'embrasse fougueusement. Malgré les apparences, le coquin est costaud. Il la saisit à bras le corps et l'emmène jusqu'au salon, il la dépose sur la petite table, et lui arrache la nuisette, qui tombe en lambeaux sur le sol. Laureen, surprise par cette attaque, elle, regardant son amant, en esquisse un large sourire. Elle aime ce côté violent, elle adore être rudoyée. Mathias lui replie les jambes sur son ventre, et s'agenouille face à elle. Il regarde la chatte béante rejeter le surplus de semence.
Il avance sa tête, et plaque sa bouche sur le clito horriblement gonflé. Il le suce et le tète comme un vorace. Laureen se cambre, geint comme une bête malade, la bouche de son amant la rend folle de plaisir. Elle sursaute, lorsque sa langue, enfonce profondément dans son conduit gorgé de semence visqueuse, et le fouille en lui arrachant des gémissements terribles. Soudain, un long gémissement, sort de la gorge de la soumise qui se cabre encore plus, Mathias commence à lui, lécher l'anus. Habilement, sa langue tourne autour du muscle rectal. La bouche vorace aspire l'anus avec une violence extrême. C'est si violent que l'anus sort de son logement de trois centimètres. Mathias le suce et le tète en faisant couiner sa belle-sœur de plaisir, pour elle c'est démentiel, jamais, elle n'a subi un tel délire rectal.
Lorsque la langue s'enfonce dans le conduit anal, pour le fouiller, elle pousse un long râle, en se cramponnant à la table pour ne pas chuter sur le sol. Mathias se redresse et présente, à l'anus, secoué de frémissements incontrôlables, son engin fortement veiné, qu'il enfonce doucement dans la gaine étroite, en faisant grimacer sa belle-sœur. Il s'accroche à elle et commence un va-et-vient qui devient au fil des minutes plus rapide. La verge voyage dans la gaine en la dilatant sensiblement. Les gémissements de Laureen prouvent qu'elle y prend beaucoup de plaisir. L'enculage et très long, les longues minutes de pénétrations font défaillir Laureen, qui marmonne :
-Oui, oui, c'est bon, oh putain, je vais jouir, oui, oui, ça vient !
Laureen ressent comme une brûlure lui traverser le ventre, jamais, elle n'avait ressenti une chose pareille. Une jouissance anale extraordinaire, la fait hurler. Après un long moment de sodomie, Mathias déverse dans l'intestin de sa belle-sœur un flot de sperme.
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