Une Bonne Leçon
Récit érotique écrit par Tamalou [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-04-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Une Bonne Leçon
Bérengère n’aurait pas dû avoir de stupéfiants sur elle lorsque ce flic l’a contrôlée. Elle avait trop à perdre. Elle n'avait pas d’autre choix que de conclure un arrangement avec ce porc …
«Sortez de cette voiture, s'il vous plaît, madame.»Bérengère était dans la merde.
Quelques instants plus tôt, son désormais ex-petit ami l’avait larguée salement.
Ne jamais faire confiance à un homme, même s'il vous paraît amusant ou excitant.
Lentement, anxieuse, elle baissa la fenêtre manuelle. «Y aurait-il un problème, monsieur l’officier ?»
Sa question obséquieusement formulée reçue un accueil glacial. Mutisme total. Regard d’acier.
Sans autre choix, elle est sortie de son véhicule. Heureusement, ils étaient dans une ruelle sombre, personne n'était là pour assister à sa déconfiture. «Savez-vous que vous conduisez avec un feu arrière cassé et éteint ?»Oh, merde, ce n’est que ça ?
Même s'il faisait sombre, elle pouvait distinguer l’imposante carrure de colosse.
Elle le savait, bien sûr, mais elle n'avait ni le temps ni l'argent pour s’occuper de ce problème mineur«Non monsieur l’officier, je l’ignorais.»«Je sens une odeur de stupéfiant. Auriez-vous des stupéfiants ?»Putain de merde !
«Je vais devoir vous fouiller.»Sa voix se durcit d’un ton. «Veuillez vous appuyer contre le véhicule de police.»Merde, merde, et merde. Non seulement Bernard l'a laissée tomber, mais il l'a vraiment baisée dans tous les sens du terme.
Chaque pas qui la rapprochait de l’imposant véhicule de police semblait plus difficile que le précédent.
Dans sa tête, les idées se bousculaient. Comment s’échapper ?
Soudain, ses jambes ont cédé et son corps a violemment heurté le capot de la voiture. Le policier lui avait fait un croc-en-jambe et l'a projetée sur le capot, avant de saisir ses poignets, et de les menotter dans le dos. La douleur la fit gémir lorsque le métal mordit sa chair.
«Je vais devoir vous fouiller pour m’assurer que vous ne faites pas de contrebande.» Sans attendre de réponse, l'officier a commencé à palper Bérengère. Il était proche, tout contre elle, elle sentait la chaleur de son corps l'englober tout entière. Même dehors, avec la fraîcheur de la nuit, elle sentait la chaleur de son corps. Une fraction de seconde, elle fut tentée de ruer comme un cheval, de s’enfuir. Mais où aller ?
Surtout avec les menottes ? C'était une illusion de combat et de fuite. Sa présence seule était imposante, dominante. Il n'y avait pas d'échappatoire. Mieux vaut la passivité.
Ses grandes et fortes mains lui tapotaient fermement le corps, ne laissant rien au hasard. Elle remarqua que la fouille était plus minutieuse sur ses seins et sur ses fesses.
Avec ses pieds, il lui força à écarter ses jambes, pour palper l’intérieur de ses cuisses.
Ses tétons durcissaient. À cause du froid ?
Elle se moquait d'elle-même, de ce corps qui réagissait au moindre stimuli.
Ses doigts épais et rugueux troussaient sa jupette, tâtonnaient près de sa culotte. Il lui envoyait des pulsions de plaisir illicite, et elle espérait qu'il ne s’apercevrait pas de l’humidité de sa culotte.
«Et ça, c'est quoi, ça ?» demanda-t-il en sortant un petit sac de substance brune de la poche de son manteau.
Merde. C'était le manteau de Bernard.
Elle le portait parce que le chauffage ne fonctionnait pas dans cette putain de voiture.
Et qu’elle refusait de rentrer chez elle en se gelant les miches.
«Ce n'est pas le mien. Ce n'est pas mon manteau, c'est celui de mon petit copain.»«Votre petit ami est un dealer ?»«Non, enfin, je veux dire, j’en sais rien.»
Sa voix prit un ton menaçant. «Vous savez ce que je déteste le plus? Les trafiquants de drogue. Ces bâtards sont un fléau pour la jeunesse.»Son cœur battait fort dans sa cage thoracique. Elle n'avait même jamais eu une contravention pour excès de vitesse auparavant. «S'il vous plaît, c'est un malentendu.»
«Je pense que nous allons régler ça au poste. J'espère que vous avez un avocat.»La peur bouillonnait au fond de son ventre. Cela ne peut pas m’arriver. Pas maintenant, pas avec ce concours d’entrée dans l’administration.
Elle venait de quitter l'université, elle était promise à un brillant avenir.
Sa mère s’était saignée aux quatre veines pour que sa fille fasse de brillantes études.
Une condamnation, un casier judiciaire, c’était le tombeau de ses illusions perdues.
«S'il vous plaît» supplia-t-elle. «S'il vous plaît, soyez conciliant, ne vous précipitez pas, réfléchissons ensemble à un arrangement, je ne peux pas aller au poste !»«Vous essayez de me soudoyer ?»C’était sorti comme ça, sans réfléchir, Bérengère n'avait pas imaginé le sous-entendu.
«Je … juste… j'essaye seulement d’éviter les ennuis ... ma mère serait tellement déçue … Peut-être pourrait-on trouver un autre châtiment. Me donner une leçon d'une autre manière ?»
Sa grosse main dansait sur l’intérieur de ses cuisses. Si proche, elle était certaine qu'il pouvait sentir la chaleur émanant de sa chatte.
«S'il vous plaît, monsieur l’officier.»Bérengère était surprise de son audace, elle voulait échapper à la sanction, et elle était prête à se livrer à ce rustre.
Mais céder si facilement ? Était-elle contrainte ou complaisante ?
Elle n'a jamais rencontré un homme aussi sûr de sa force. Maître de la situation.
D’habitude, les garçons essayaient de l'impressionner pour la séduire.
Ce type, ce flic, il n'essayait pas de l'impressionner. Il allait juste se servir. La prendre.
Voulait-elle être prise ? Oui, sans doute.
Toujours penchée sur le capot de la voiture, elle se mordait les lèvres pendant que le flic palpait ses jambes.
Les deux mains sous sa jupe, ses pouces accrochèrent sa culotte et la baissèrent. Elle palpitait tandis que l’humidité de sa chatte frissonnait sous l'air froid de l'hiver.
«Tu vas recevoir ta leçon, sale petite garce !» grogna-t-il. Il la repoussa fort, le bruit sourd de son corps qui heurtait le capot résonna dans la ruelle sombre.
Soudain, elle sentit le froid mordre sa peau lorsque le flic souleva d’un seul geste le manteau et la jupette.
Des doigts rugueux et coriaces ont écarté les plis de chair pour sonder sa chatte, déclenchant des traînées de feu d’excitation. Elle gémit sans contrôle.
«Putain de salope, tu es trempée d’excitation. Tu pensais pouvoir me cacher ça ?»Elle entendit le zip de sa fermeture éclair.
Puis elle le sentit. Dans sa fente. Presque en elle.
«C’est ça que tu veux, petite pute ?»«...»Il tapotait sa chatte humide et sensible avec sa verge. Elle claquait contre elle.
Bérengère réalisa à quel point il était énorme. Grand et épais. Il allait l’estropier.
«Non, c'est trop gros !» protesta-t-elle, essayant d'ignorer sa chatte qui réclamait.
«Tu vas aimer. Tourne-toi.»Elle a obéi, mais quand elle a vu le monstre, elle a gémi d’angoisse. C'était épais, épais et long. À peu près comme l’avant-bras de la pauvre fille. Le flic savait à quoi elle pensait et il crânait.
«Ouais, mignonne, t’as pas choisi le bon flic pour te faire choper.»
Il la saisit par son chignon pour la forcer à s’agenouiller sur les graviers froids et humides qui lui blessaient les rotules.
«Maintenant, suce-moi avant que je t’emmène au poste. Et là, toute l’équipe de nuit te passera dessus.»Bérengère pensa que plus vite elle s’y mettrait, plus vite ce sera fini, et plus vite elle sera débarrassée de ce porc. Elle n'était pas prête à admettre qu'elle était subjuguée par ce rustre égocentrique et vigoureux.
Elle savait sucer la bite. Déjà, elle avait une petite réputation auprès de sa bande de potes. Mais elle n'avait jamais œuvré sur un tel monstre auparavant. La crainte et l’anxiété lui tordaient l’estomac comme si c'était sa première fois. Avec respect, elle caressait cet arbre herculéen avec sa langue. C’était chaud, musclé, épais, brutal.
Elle ne pouvait pas s'empêcher d'imaginer les dommages que ce monstre allait causer dans sa petite chatte.
«Tu vas me léchouiller encore longtemps ? Allez, suce, salope.»Ses paroles étaient cruelles et humiliantes. En d’autres temps, en d’autres lieux, elle manifestait contre les brutalités policières. Mais là, agenouillée devant ce porc, elle devait respecter ses engagements.
Une partie d'elle était choquée, l’autre partie était ravie d'être traitée comme une pute par le colosse.
Bérengère a sorti sa langue et l'a promenée sur toute la longueur de l’arbre. Sa langue était agile, elle suivait chaque veine le long de sa bite. Elle appréciait le goût âcre, le musc poivré du mâle en rut. Au bout du gland, une épaisse goutte perlait.
Instinctivement, elle la lécha, ronronnant de plaisir.
Le flic la regardait s’activer : «T’aimes ça, n'est-ce pas? Comme toutes ces salopes d’étudiantes, à l’université, vous passez votre temps à sucer les garçons.»Bérengère aurait voulu protester, mais en ouvrant la bouche, le flic qui n’avait pas lâché son chignon a planté sa bite dans sa bouche.
Ses lèvres s'étirèrent douloureusement pour l'accueillir, des larmes lui montèrent aux yeux.
«Allez, suce, et n’essayes pas d’utiliser tes dents.»Bérengère essayait d’utiliser sa langue. Il se pressait maladroitement dans sa bouche.
Elle devait travailler avec le peu d'espace qu’il lui laissait. Le remugle dû à l'excitation l’aguichait elle aussi. Avec ses mains menottées, elle ne pouvait pas jouer avec sa propre chatte, mais elle se savait trempée pour ce gros porc.
Sa mâchoire s’accoutumait, laissant la bite surdimensionnée évoluer plus facilement de sa bouche. Elle se dégoûtait elle-même. Totalement docile, elle se laissait houspiller par ce gros porc, et cela l’émoustillait.
Même la douleur causée par cette main crispée dans ses cheveux, pour lui donner la cadence, était délicieuse.
Brusquement, il a bloqué sa bite au fond de sa bouche et un torrent de sperme a frappé sa gorge.
«Avale !» grogna-t-il.
Ses esprits dans un brouillard cotonneux, Bérengère lui obéit, avalant autant de sperme qu'elle le pouvait. Mais c'était trop abondant. Elle s’étouffait et il s'écarta, le sperme jaillissant sur son visage.
Bérengère n'avait jamais laissé un garçon l’humilier ainsi, la dégrader en éjaculant dans sa bouche et sur son visage.
Pas jusqu'à ce soir.
«Là, es-tu satisfait ? Puis-je partir maintenant ?» ronchonna-t-elle, en essayant de se relever.
«Je n'en ai pas encore fini avec toi.»Sa bite était toujours aussi raide et dressée.
«Je ne suis pas un de ces gamins que tu fréquentes. Ma bite a besoin de beaucoup plus pour être rassasiée. Elle est faite pour baiser, elle ne sera pas satisfaite tant qu'elle n'aura pas baisé ta chatte.»
Il l’aida à se relever, mais pour la propulser de nouveau sur le capot. De nouveau, il souleva sa jupette et déchira sa culotte. Merde, le salaud, une culotte de ce prix !
Elle sentit la bite fouiller sa chatte, à la recherche de l’entrée, avant de la poignarder par l’arrière.
Elle a crié sans dignité maintenant, la chatte étirée au-delà du raisonnable. C'était si volumineux qu'elle ne pouvait ressentir aucun plaisir.
Elle ne connaissait même pas ce type, ni l’endroit où ils se trouvaient.
Sa seule préoccupation, c’était que cette énormité allait l’estropier, la déchirer, la démonter.
«Putain de salope» grognait-il en s'enfonçant plus profond. Les mains cramponnées aux hanches de la fille, il tentait de maîtriser l’asticot qui se débattait en essayant de s’enfuir.
Il était grand. Grand et gros. Impressionnant. Plus gros sexe de sa jeune vie.
C'était comme garer un camion dans un parking à vélos.
Elle n'avait jamais été baisée par un inconnu dans les minutes qui ont suivi leur première rencontre. Totale domination. «S'il vous plaît… doucement.» plaida-elle. C'était sa voix mais elle n'avait pas l'impression que c'était elle qui disait ces mots.
Il poussait de plus en plus profond, par à-coups, les parois de sa chatte s’ouvrant docilement. Finalement, il arriva au but, entièrement en elle, et lui accorda un répit.
Mais il n’avait pas toute la nuit,à lui consacrer.
Il ressortit presque totalement, comme pour prendre son élan, avant de l’envahir violemment, d’une seule poussée. Faisant crier de douleur la pauvre gamine.
Au début, il restait un moment planté au fond de sa vulve. Pour l’habituer ? Pour lui donner la leçon ?
Progressivement, il augmentait son rythme. Il la pompait de plus en plus vite.
Il ne lui faisait pas l'amour. Il l’éduquait. Lui apprenait ce qu’était un homme. Un vrai.
Bérengère n'avait jamais rien connu de semblable. Aucun de ses amants n’avaient ces capacités.
Il la traitait comme une poupée gonflable, solidement maintenue par ses mains puissantes, entièrement envahie par ce sexe monstrueux, couchée sur le capot, à la merci de gros porc libidineux.
Il se fichait de ses émotions, et pourtant …
Cette totale domination commençait à l’émoustiller. La douleur s’apaisait, remplacée par une forme de plaisir.
Pas celui qu’elle connaissait, que lui procurait la bistouquette de son copain, quelque chose de plus sauvage.
La sensation étrange d’une femelle asservie, dominée, et heureuse de l’être.
«Oh, putain !» disait-elle, savourant le traitement qu’elle recevait.
«Tu aimes être baisée comme une salope ?»
«Oh, oui, baise-moi, plus fort, comme une salope !» Elle le suppliait. Bérengère n'avait jamais supplié personne.
«Je vais te remplir, salope !»«Quoi ? Non, pas question ! Je ne suis pas protégée !»Brusquement, elle paniquait. Il est cinglé, ce mec !
Mais ses craintes ne servaient qu'à l'énerver encore plus.
«Putain, ouais, je vais te foutre en cloque, salope.»«Stop, arrête, non je ne veux pas !» Morte de honte, elle en aurait pleuré de rage.
La menace d'être imprégnée par un gros porc de flic de merde lui foutait la trouille.
Sa chatte se contractait de peur autour de sa bite douloureuse.
Par contre, le flic, lui, était ravi. Sa bite enserrée dans ce gant de velours se sentait merveilleusement bien.
Bérengère, baisée sur le capot d'une voiture de police par un gros flic lubrique, dans une ruelle sombre, sentait le tempo de son tourmenteur s’accélérer encore. Il allait l’imprégner, et elle ne pouvait rien faire d’autre que subir.
Le flic grogna, incapable de se contenir plus longtemps.
Ses doigts s’enfonçaient douloureusement dans la chair tendre de ses hanches. Vague après vague, le sperme chaud se déversait dans sa chatte fertile.
Bon prince, il passa sa main sous elle pour frotter son clitoris, et déclencher son orgasme salvateur.
Elle tremblait et vibrait, son corps écrasée par la masse du colosse, la tension accumulée se libérait d’un coup.
Tout son corps se crispait sous la violence de son orgasme, elle n’en avait jamais connu de semblable auparavant.
Avec ses copains, qu’elle obligeait à utiliser des préservatifs, elle ne connaissait pas cette sensation d’être montée à cru.
Ce rustre l’avait emmenée dans un univers qu’elle ne connaissait pas.
Prise de force, dominée, humiliée, ensemencée et comblée par un merveilleux orgasme.
Elle n'avait pas eu le choix. Sans l'exultation sexuelle, elle se serait dégoûtée elle-même.
Libérée de ses menottes et du colosse qui l’écrasait, Bérengère glissa du capot et s'effondra sur le sol.
Une quantité impressionnante de sperme s'échappait de sa chatte. Le flic refermait sa braguette.
«Tu es une bonne petite salope» ricanait-il. Le flic lui a jeté sa carte de visite comme on jette un os à un chien. «Appelle-moi, si tu veux t’envoyer en l’air !»Il monta dans sa voiture et partit, la laissant pantelante sur le sol, toute seule dans la ruelle sombre.
Son regard se concentra sur la carte de visite qu'il lui avait jeté.
Elle tendit la main pour s’en emparer.
«Sortez de cette voiture, s'il vous plaît, madame.»Bérengère était dans la merde.
Quelques instants plus tôt, son désormais ex-petit ami l’avait larguée salement.
Ne jamais faire confiance à un homme, même s'il vous paraît amusant ou excitant.
Lentement, anxieuse, elle baissa la fenêtre manuelle. «Y aurait-il un problème, monsieur l’officier ?»
Sa question obséquieusement formulée reçue un accueil glacial. Mutisme total. Regard d’acier.
Sans autre choix, elle est sortie de son véhicule. Heureusement, ils étaient dans une ruelle sombre, personne n'était là pour assister à sa déconfiture. «Savez-vous que vous conduisez avec un feu arrière cassé et éteint ?»Oh, merde, ce n’est que ça ?
Même s'il faisait sombre, elle pouvait distinguer l’imposante carrure de colosse.
Elle le savait, bien sûr, mais elle n'avait ni le temps ni l'argent pour s’occuper de ce problème mineur«Non monsieur l’officier, je l’ignorais.»«Je sens une odeur de stupéfiant. Auriez-vous des stupéfiants ?»Putain de merde !
«Je vais devoir vous fouiller.»Sa voix se durcit d’un ton. «Veuillez vous appuyer contre le véhicule de police.»Merde, merde, et merde. Non seulement Bernard l'a laissée tomber, mais il l'a vraiment baisée dans tous les sens du terme.
Chaque pas qui la rapprochait de l’imposant véhicule de police semblait plus difficile que le précédent.
Dans sa tête, les idées se bousculaient. Comment s’échapper ?
Soudain, ses jambes ont cédé et son corps a violemment heurté le capot de la voiture. Le policier lui avait fait un croc-en-jambe et l'a projetée sur le capot, avant de saisir ses poignets, et de les menotter dans le dos. La douleur la fit gémir lorsque le métal mordit sa chair.
«Je vais devoir vous fouiller pour m’assurer que vous ne faites pas de contrebande.» Sans attendre de réponse, l'officier a commencé à palper Bérengère. Il était proche, tout contre elle, elle sentait la chaleur de son corps l'englober tout entière. Même dehors, avec la fraîcheur de la nuit, elle sentait la chaleur de son corps. Une fraction de seconde, elle fut tentée de ruer comme un cheval, de s’enfuir. Mais où aller ?
Surtout avec les menottes ? C'était une illusion de combat et de fuite. Sa présence seule était imposante, dominante. Il n'y avait pas d'échappatoire. Mieux vaut la passivité.
Ses grandes et fortes mains lui tapotaient fermement le corps, ne laissant rien au hasard. Elle remarqua que la fouille était plus minutieuse sur ses seins et sur ses fesses.
Avec ses pieds, il lui força à écarter ses jambes, pour palper l’intérieur de ses cuisses.
Ses tétons durcissaient. À cause du froid ?
Elle se moquait d'elle-même, de ce corps qui réagissait au moindre stimuli.
Ses doigts épais et rugueux troussaient sa jupette, tâtonnaient près de sa culotte. Il lui envoyait des pulsions de plaisir illicite, et elle espérait qu'il ne s’apercevrait pas de l’humidité de sa culotte.
«Et ça, c'est quoi, ça ?» demanda-t-il en sortant un petit sac de substance brune de la poche de son manteau.
Merde. C'était le manteau de Bernard.
Elle le portait parce que le chauffage ne fonctionnait pas dans cette putain de voiture.
Et qu’elle refusait de rentrer chez elle en se gelant les miches.
«Ce n'est pas le mien. Ce n'est pas mon manteau, c'est celui de mon petit copain.»«Votre petit ami est un dealer ?»«Non, enfin, je veux dire, j’en sais rien.»
Sa voix prit un ton menaçant. «Vous savez ce que je déteste le plus? Les trafiquants de drogue. Ces bâtards sont un fléau pour la jeunesse.»Son cœur battait fort dans sa cage thoracique. Elle n'avait même jamais eu une contravention pour excès de vitesse auparavant. «S'il vous plaît, c'est un malentendu.»
«Je pense que nous allons régler ça au poste. J'espère que vous avez un avocat.»La peur bouillonnait au fond de son ventre. Cela ne peut pas m’arriver. Pas maintenant, pas avec ce concours d’entrée dans l’administration.
Elle venait de quitter l'université, elle était promise à un brillant avenir.
Sa mère s’était saignée aux quatre veines pour que sa fille fasse de brillantes études.
Une condamnation, un casier judiciaire, c’était le tombeau de ses illusions perdues.
«S'il vous plaît» supplia-t-elle. «S'il vous plaît, soyez conciliant, ne vous précipitez pas, réfléchissons ensemble à un arrangement, je ne peux pas aller au poste !»«Vous essayez de me soudoyer ?»C’était sorti comme ça, sans réfléchir, Bérengère n'avait pas imaginé le sous-entendu.
«Je … juste… j'essaye seulement d’éviter les ennuis ... ma mère serait tellement déçue … Peut-être pourrait-on trouver un autre châtiment. Me donner une leçon d'une autre manière ?»
Sa grosse main dansait sur l’intérieur de ses cuisses. Si proche, elle était certaine qu'il pouvait sentir la chaleur émanant de sa chatte.
«S'il vous plaît, monsieur l’officier.»Bérengère était surprise de son audace, elle voulait échapper à la sanction, et elle était prête à se livrer à ce rustre.
Mais céder si facilement ? Était-elle contrainte ou complaisante ?
Elle n'a jamais rencontré un homme aussi sûr de sa force. Maître de la situation.
D’habitude, les garçons essayaient de l'impressionner pour la séduire.
Ce type, ce flic, il n'essayait pas de l'impressionner. Il allait juste se servir. La prendre.
Voulait-elle être prise ? Oui, sans doute.
Toujours penchée sur le capot de la voiture, elle se mordait les lèvres pendant que le flic palpait ses jambes.
Les deux mains sous sa jupe, ses pouces accrochèrent sa culotte et la baissèrent. Elle palpitait tandis que l’humidité de sa chatte frissonnait sous l'air froid de l'hiver.
«Tu vas recevoir ta leçon, sale petite garce !» grogna-t-il. Il la repoussa fort, le bruit sourd de son corps qui heurtait le capot résonna dans la ruelle sombre.
Soudain, elle sentit le froid mordre sa peau lorsque le flic souleva d’un seul geste le manteau et la jupette.
Des doigts rugueux et coriaces ont écarté les plis de chair pour sonder sa chatte, déclenchant des traînées de feu d’excitation. Elle gémit sans contrôle.
«Putain de salope, tu es trempée d’excitation. Tu pensais pouvoir me cacher ça ?»Elle entendit le zip de sa fermeture éclair.
Puis elle le sentit. Dans sa fente. Presque en elle.
«C’est ça que tu veux, petite pute ?»«...»Il tapotait sa chatte humide et sensible avec sa verge. Elle claquait contre elle.
Bérengère réalisa à quel point il était énorme. Grand et épais. Il allait l’estropier.
«Non, c'est trop gros !» protesta-t-elle, essayant d'ignorer sa chatte qui réclamait.
«Tu vas aimer. Tourne-toi.»Elle a obéi, mais quand elle a vu le monstre, elle a gémi d’angoisse. C'était épais, épais et long. À peu près comme l’avant-bras de la pauvre fille. Le flic savait à quoi elle pensait et il crânait.
«Ouais, mignonne, t’as pas choisi le bon flic pour te faire choper.»
Il la saisit par son chignon pour la forcer à s’agenouiller sur les graviers froids et humides qui lui blessaient les rotules.
«Maintenant, suce-moi avant que je t’emmène au poste. Et là, toute l’équipe de nuit te passera dessus.»Bérengère pensa que plus vite elle s’y mettrait, plus vite ce sera fini, et plus vite elle sera débarrassée de ce porc. Elle n'était pas prête à admettre qu'elle était subjuguée par ce rustre égocentrique et vigoureux.
Elle savait sucer la bite. Déjà, elle avait une petite réputation auprès de sa bande de potes. Mais elle n'avait jamais œuvré sur un tel monstre auparavant. La crainte et l’anxiété lui tordaient l’estomac comme si c'était sa première fois. Avec respect, elle caressait cet arbre herculéen avec sa langue. C’était chaud, musclé, épais, brutal.
Elle ne pouvait pas s'empêcher d'imaginer les dommages que ce monstre allait causer dans sa petite chatte.
«Tu vas me léchouiller encore longtemps ? Allez, suce, salope.»Ses paroles étaient cruelles et humiliantes. En d’autres temps, en d’autres lieux, elle manifestait contre les brutalités policières. Mais là, agenouillée devant ce porc, elle devait respecter ses engagements.
Une partie d'elle était choquée, l’autre partie était ravie d'être traitée comme une pute par le colosse.
Bérengère a sorti sa langue et l'a promenée sur toute la longueur de l’arbre. Sa langue était agile, elle suivait chaque veine le long de sa bite. Elle appréciait le goût âcre, le musc poivré du mâle en rut. Au bout du gland, une épaisse goutte perlait.
Instinctivement, elle la lécha, ronronnant de plaisir.
Le flic la regardait s’activer : «T’aimes ça, n'est-ce pas? Comme toutes ces salopes d’étudiantes, à l’université, vous passez votre temps à sucer les garçons.»Bérengère aurait voulu protester, mais en ouvrant la bouche, le flic qui n’avait pas lâché son chignon a planté sa bite dans sa bouche.
Ses lèvres s'étirèrent douloureusement pour l'accueillir, des larmes lui montèrent aux yeux.
«Allez, suce, et n’essayes pas d’utiliser tes dents.»Bérengère essayait d’utiliser sa langue. Il se pressait maladroitement dans sa bouche.
Elle devait travailler avec le peu d'espace qu’il lui laissait. Le remugle dû à l'excitation l’aguichait elle aussi. Avec ses mains menottées, elle ne pouvait pas jouer avec sa propre chatte, mais elle se savait trempée pour ce gros porc.
Sa mâchoire s’accoutumait, laissant la bite surdimensionnée évoluer plus facilement de sa bouche. Elle se dégoûtait elle-même. Totalement docile, elle se laissait houspiller par ce gros porc, et cela l’émoustillait.
Même la douleur causée par cette main crispée dans ses cheveux, pour lui donner la cadence, était délicieuse.
Brusquement, il a bloqué sa bite au fond de sa bouche et un torrent de sperme a frappé sa gorge.
«Avale !» grogna-t-il.
Ses esprits dans un brouillard cotonneux, Bérengère lui obéit, avalant autant de sperme qu'elle le pouvait. Mais c'était trop abondant. Elle s’étouffait et il s'écarta, le sperme jaillissant sur son visage.
Bérengère n'avait jamais laissé un garçon l’humilier ainsi, la dégrader en éjaculant dans sa bouche et sur son visage.
Pas jusqu'à ce soir.
«Là, es-tu satisfait ? Puis-je partir maintenant ?» ronchonna-t-elle, en essayant de se relever.
«Je n'en ai pas encore fini avec toi.»Sa bite était toujours aussi raide et dressée.
«Je ne suis pas un de ces gamins que tu fréquentes. Ma bite a besoin de beaucoup plus pour être rassasiée. Elle est faite pour baiser, elle ne sera pas satisfaite tant qu'elle n'aura pas baisé ta chatte.»
Il l’aida à se relever, mais pour la propulser de nouveau sur le capot. De nouveau, il souleva sa jupette et déchira sa culotte. Merde, le salaud, une culotte de ce prix !
Elle sentit la bite fouiller sa chatte, à la recherche de l’entrée, avant de la poignarder par l’arrière.
Elle a crié sans dignité maintenant, la chatte étirée au-delà du raisonnable. C'était si volumineux qu'elle ne pouvait ressentir aucun plaisir.
Elle ne connaissait même pas ce type, ni l’endroit où ils se trouvaient.
Sa seule préoccupation, c’était que cette énormité allait l’estropier, la déchirer, la démonter.
«Putain de salope» grognait-il en s'enfonçant plus profond. Les mains cramponnées aux hanches de la fille, il tentait de maîtriser l’asticot qui se débattait en essayant de s’enfuir.
Il était grand. Grand et gros. Impressionnant. Plus gros sexe de sa jeune vie.
C'était comme garer un camion dans un parking à vélos.
Elle n'avait jamais été baisée par un inconnu dans les minutes qui ont suivi leur première rencontre. Totale domination. «S'il vous plaît… doucement.» plaida-elle. C'était sa voix mais elle n'avait pas l'impression que c'était elle qui disait ces mots.
Il poussait de plus en plus profond, par à-coups, les parois de sa chatte s’ouvrant docilement. Finalement, il arriva au but, entièrement en elle, et lui accorda un répit.
Mais il n’avait pas toute la nuit,à lui consacrer.
Il ressortit presque totalement, comme pour prendre son élan, avant de l’envahir violemment, d’une seule poussée. Faisant crier de douleur la pauvre gamine.
Au début, il restait un moment planté au fond de sa vulve. Pour l’habituer ? Pour lui donner la leçon ?
Progressivement, il augmentait son rythme. Il la pompait de plus en plus vite.
Il ne lui faisait pas l'amour. Il l’éduquait. Lui apprenait ce qu’était un homme. Un vrai.
Bérengère n'avait jamais rien connu de semblable. Aucun de ses amants n’avaient ces capacités.
Il la traitait comme une poupée gonflable, solidement maintenue par ses mains puissantes, entièrement envahie par ce sexe monstrueux, couchée sur le capot, à la merci de gros porc libidineux.
Il se fichait de ses émotions, et pourtant …
Cette totale domination commençait à l’émoustiller. La douleur s’apaisait, remplacée par une forme de plaisir.
Pas celui qu’elle connaissait, que lui procurait la bistouquette de son copain, quelque chose de plus sauvage.
La sensation étrange d’une femelle asservie, dominée, et heureuse de l’être.
«Oh, putain !» disait-elle, savourant le traitement qu’elle recevait.
«Tu aimes être baisée comme une salope ?»
«Oh, oui, baise-moi, plus fort, comme une salope !» Elle le suppliait. Bérengère n'avait jamais supplié personne.
«Je vais te remplir, salope !»«Quoi ? Non, pas question ! Je ne suis pas protégée !»Brusquement, elle paniquait. Il est cinglé, ce mec !
Mais ses craintes ne servaient qu'à l'énerver encore plus.
«Putain, ouais, je vais te foutre en cloque, salope.»«Stop, arrête, non je ne veux pas !» Morte de honte, elle en aurait pleuré de rage.
La menace d'être imprégnée par un gros porc de flic de merde lui foutait la trouille.
Sa chatte se contractait de peur autour de sa bite douloureuse.
Par contre, le flic, lui, était ravi. Sa bite enserrée dans ce gant de velours se sentait merveilleusement bien.
Bérengère, baisée sur le capot d'une voiture de police par un gros flic lubrique, dans une ruelle sombre, sentait le tempo de son tourmenteur s’accélérer encore. Il allait l’imprégner, et elle ne pouvait rien faire d’autre que subir.
Le flic grogna, incapable de se contenir plus longtemps.
Ses doigts s’enfonçaient douloureusement dans la chair tendre de ses hanches. Vague après vague, le sperme chaud se déversait dans sa chatte fertile.
Bon prince, il passa sa main sous elle pour frotter son clitoris, et déclencher son orgasme salvateur.
Elle tremblait et vibrait, son corps écrasée par la masse du colosse, la tension accumulée se libérait d’un coup.
Tout son corps se crispait sous la violence de son orgasme, elle n’en avait jamais connu de semblable auparavant.
Avec ses copains, qu’elle obligeait à utiliser des préservatifs, elle ne connaissait pas cette sensation d’être montée à cru.
Ce rustre l’avait emmenée dans un univers qu’elle ne connaissait pas.
Prise de force, dominée, humiliée, ensemencée et comblée par un merveilleux orgasme.
Elle n'avait pas eu le choix. Sans l'exultation sexuelle, elle se serait dégoûtée elle-même.
Libérée de ses menottes et du colosse qui l’écrasait, Bérengère glissa du capot et s'effondra sur le sol.
Une quantité impressionnante de sperme s'échappait de sa chatte. Le flic refermait sa braguette.
«Tu es une bonne petite salope» ricanait-il. Le flic lui a jeté sa carte de visite comme on jette un os à un chien. «Appelle-moi, si tu veux t’envoyer en l’air !»Il monta dans sa voiture et partit, la laissant pantelante sur le sol, toute seule dans la ruelle sombre.
Son regard se concentra sur la carte de visite qu'il lui avait jeté.
Elle tendit la main pour s’en emparer.
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