Une colocation très chaude. 7

- Par l'auteur HDS Mlkjhg39 -
Récit érotique écrit par Mlkjhg39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Une colocation très chaude. 7 Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-10-2019 dans la catégorie Pour la première fois
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Une colocation très chaude. 7
UNE COLOCATION TRES CHAUDE. 7

Je prends la main de Dory avec douceur et la pose sur ma verge, j’ouvre ses doigts et les referme sur ma verge flasque.
-Mets ta main à coté de celle de Dory.
Elle hésite à peine et m’obéit.
-Alors ?
-Alors ? C’est chaud, c’est assez ferme et souple.
-Un peu de bravoure, les filles ! Vous avez vu comment ont fait vos copines, Essayez de réveiller la bête !
-Mais, s’interroge Dory, Tu as déjà bien donné et on n’arrivera jamais à…-Qui ne tente rien n’a rien, je lui rétorque, l’essayer c’est l’adopter.

Suite :Je détaille les traits de Lee. Elle répond aimablement à mon regard. Elle a les yeux noirs en amande avec des paillettes dorées, dans un visage ovale à la peau veloutée, jaune. Une boucle noire tombe sur son front. Ses habits enveloppent très étroitement son corps et en soulignent ses formes. Elle est mince et musclée.
Les deux jeunes femmes, d'une vingtaine d'années, sont vraiment mignonnes. Dory a la peau mate, de longs cheveux noirs de jais noués en une tresse qui lui arrive au milieu du dos et la peau très fine.

LeeJe finis par le branler doucement avec ma douceur féminine, je n’ai jamais fais ça mais je dois dire que ça me fait de l’effet. Il a passé ses bras autour de nos épaules. Mais sa main remonte doucement vers mon cou, je sens sa main, légère, empoigner délicatement ma nuque pour diriger ma bouche vers la sienne. Ma poitrine s'appuie contre son corps dénudé. Les battements de mon cœur s’accélèrent. Sa main glisse dans mon dos, et me presse de plus en plus fort contre lui. Contrairement à ce que je croyais, la verge de Claude reprend vie, sa bite splendide bien que pas encore complètement dressée grandit de centimètre en centimètre, elle semble avoir doublé de taille, ma petite main ne peut plus en faire le tour, la hampe est devenue plus grosse que mon poignet.
Le plus impressionnant, c'est ce gland énorme, ce gros champignon qui coiffe cette matraque. Comme un automate, ma main s'active, non pas que j'aie envie de sexe, rien à voir, c'est autre chose, une expérience, de la curiosité, et certainement de la bêtise. Mes doigts fins s'enroulent autour de la hampe blanche, la soupèse et commence à la caresser. Quelle vision étrange que ces deux mains délicates de filles prudes glissant le long de ce sexe disproportionné, lourd, qui sous nos caresses, revient encore une fois à la vie, gonfle et grandit encore, se dressant doucement, fièrement, sur ce corps qui ne correspond pas à une telle chose.
On étreint la grosse queue comme si on avait peur qu’elle disparaisse, que le miracle s’arrête, d’abord avec hésitation puis avec plus de détermination.
Claude grogne de contentement.

- Oh oui, c’est bien, allez-y franchement! Branlez-moi mieux que ça !
- Qu’elle est grosse et dure ! Ajoute dans un souffle Dory.

On s’active maintenant avec encore plus de vigueur. Nos deux mains courent sur l’incroyable colonne de chair. Un trouble profond m’habite, ma respiration devient haletante, mon regard se trouble, rivé sur le magnifique pieu, mes lèvres, entrouvertes, témoignent de l’envie que j’ai de le sucer. Régulièrement à présent, l’énorme gland vient à la rencontre de nos bouches béantes qui se sont rapprochées, visiblement tentées de happer la verge tendue, excitées au plus au point. Mais Dory me devance :
- Je peux la sucer ?
- Oh oui ! Vas-y, ma chérie, pompe-la, elle n’attend que ça ! Lui répond Claude, donnant un ample mouvement du bassin en avant pour présenter d’un coup l’énorme pal contre les lèvres humides de Dory.

Le cœur battant, je vois alors le gland congestionné entrer dans la bouche gourmande de ma concurrente ! Plus rien n’existe maintenant pour elle ! Sans retenue, elle s’efforce de faire disparaître le plus possible de la belle queue toujours prisonnière de nos mains dans sa gorge. Plus rien ne compte, semble-il, pour elle, que ce plaisir qu’elle prend à s’enfoncer profondément la bite gonflée. Sa bouche, maintenant distendue, s’efforce d’en avaler le plus possible, dans un bruit de succion de plus en plus sonore, mais sa bouche n’arrive à en saisir que quelques malheureux centimètres en dessous du gland. Elle le libère pour reprendre son souffle :
-Qu’elle est bonne ! Qu’elle est grosse ! Je ne peux en goûter que la gueule !
-A toi maintenant Lee ! Ordonne Claude en donnant un coup de reins pour porter son gland à l’approche de mes lèvres luisantes, les effleurant.

L’excitation m’emportant, j’agrippe son sexe géant de mes deux mains pour faire des allers-retours sur cette verge monstrueuse aux veines saillantes… Je mets ma bouche autour de son gland et arrive avec d’énormes difficultés à le gober en entier sans oser franchir le Rubicon. À vrai dire, j’en suis déjà assez fière, vu la grosseur de la tête de cet engin, ne pouvant aller plus loin. Je m’évertue sur le chapeau violet, mais ce n’est visiblement pas assez pour lui. Frustré, après une minute d’attente, il met ses mains sur ma tête et pousse le plus loin possible sa verge, jusqu’à ce que son gland bute au fond de ma gorge. Je crois défaillir, j’étouffe et ai des haut-le-cœur, me retenant de mordre à pleines dents dedans. J’ai peur qu’il m’ait décroché la mâchoire.
Pendant un temps infini, nous nous relayons sur ce pic que nous n’arrivons pas à faire cracher.
Soudain, Claude nous repousse et se masturbe avec énergie devant nous. Le gros nœud est luisant, splendide et triomphant. Un filet blanc ténu s’échappe de son extrémité. Il explose enfin en un geyser de foutre dont les retombées recouvrent nos hauts ainsi que le cou et le visage des bienheureuses victimes consentantes que nous sommes qui en font leur régal, ouvrant notre bouche très large pour recueillir le précieux nectar.
Comment peut-il encore expulser autant de foutre après toutes ses éjaculations précédentes ?

-Bien les filles ! J’ai gagné mon pari ! Et se tournant vers nous. -Le cours est fini pour aujourd’hui mais je vous attends toutes les deux après-demain à 21h00 dans ma chambre. OK ?

Nous nous regardons, Dory et moi, et après un instant d’hésitation, lui donnons notre accord.

A suivre…

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Y a du depucelage dans l'air



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