Une femme à la hauteur 1

- Par l'auteur HDS linsee -
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Récit libertin : Une femme à la hauteur 1 Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-05-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Une femme à la hauteur 1
Une femme à la hauteur, chapitre 1

Marc marié depuis de nombreuses années avec Olga, vit l'amour parfait avec elle. Mais un jour des circonstances malheureuses, font qu'il bande mou. Pour lui c'est la pire des calamitées. Car, sa femme est lui sont très portés sur le sexe. Pendant plusieurs mois il déprime, malgré le réconfort de sa femme, cela ne s'arrange pas. Malgré qu'il fait des efforts, il culpabilise. Il juge que sa bouche, ses doigts et les objets qu'il a acheté pour faire l'amour à sa femme, ne suffissent plus.


Ce qu'il faut à Olga pour s'épanouir sexuellement, c'est de la bite, et de la bonne bite encore. Bien que cela lui manque, elle n'en parle jamais. Marc un soir après lui avoir sucé le clito et le branler jusqu'à ce qu'elle jouisse, lui propose :

-Ma chérie, c'est terrible pour moi de te dire cela, mais il faut que tu prennes des amants. Je sens ton corps réclamer en plus de mes doigts et de ma bouche, de la bite, il lui faut de la bite !

Olga sursaute, elle regarde fixement son mari dans les yeux et dit avec étonnement :

-Mais mon chéri, tu me suffis, je n'ai pas besoin d'amants, je t'assure !

En la serrant fortement dans ses bras, il lui dit tendrement :

-C'est gentil de dire cela, mais là ma chérie, tu n'en penses pas un mot, je te connais assez pour savoir lorsque tu mens !

Olga baisse les yeux en rougissant, et répond honteuse :

-Oui, c'est vrai, mon chéri je mens. Souvent je pense à me faire prendre par un membre puissant qui me laboure le ventre, en me faisant jouir comme une grosse salope !

Marc lui donne un gros baiser et dit :

-Je te permets de m'être infidèle, de t'éclater avec qui tu veux, ce que je veux c'est que tu sois pleinement heureuse sexuellement !

Olga très gênée répond :

-Mais mon chéri, je ne suis pas une pute, pour coucher avec n'importe qui !

En souriant, Marc réplique :

-Alors deviens-le, soit une bonne pute ma chérie !

Olga est surprise de la réponse de son mari, mais en y réfléchissant, elle constate qu'il l'aime comme un fou pour lui autoriser de devenir, comme il dit, une bonne pute !

Elle passe une nuit agitée, elle se pose beaucoup de questions, pèse le pour et le contre, tourne la question dans tous les sens, soupire constamment, et finit par s'endormir. Le lendemain, comme c'est samedi, c'est repos. Elle descend l'escalier vêtue de sa nuisette transparente ultra courte. Elle balance son bassin comme un félin, ses traits sont tirés, de grosses cernes soulignent ses yeux. Marc la regarde descendre, il dit en lui souriant :

-Je crois ma chérie, que tu as passée une nuit de merde, vu dans l'état que tu es !

En poussant un gros soupir elle répond :

-Effectivement mon chéri, une nuit comme tu dis de merde. Je n'ai pas cessé, de méditer à ta proposition, et cela m'a troublée toute la nuit !

Marc admire les courbes de sa femme qui se déhanche à chacun de ses pas. Il lui dit en lui faisant un large sourire :

-Alors ma chérie, tu as pris une décision !

-Honnêtement, tu me vois partir en chasse comme une prostituée, racoler des personnes, pour moi c'est l'humiliation totale !


Marc l'enlace, il la serre très fort dans ses bras et en souriant lui dit :

-Ma chérie, pour racoler comme tu dis, il y a le net, c'est discret, un clic, et tu seras dans les bras d'une personne, qui te fera jouir comme une dingue. Prends ton petit déjeuner, nous surferons après, à la recherche de l'homme idéal !

Olga fronce les sourcils et avale rapidement son petit déjeuner, impatiente de découvrir l'oiseau rare. Marc fait quelques recherches et tombe sur un couple libertin, disposé à assouvir des délires sexuels, avec d'autres personnes. L'homme et bien charpenté, ses tempes grisonnantes lui donne un charme fou. Quant à la femme elle est sublime, elle a un corps aux formes généreuses. Olga regarde le couple et dit avec un regarde soucieux :

-La femme est obligée de participer aussi ?

-Marc souriant, dit :

-Mais ma chérie, c'est un couple libertin, bien sur qu'elle participe aux ébats !

Olga est comme prise de panique :

-Mais, mais, mon chéri je ne suis pas lesbienne, tu me vois bouffer une foufoune !

Marc explose de rire et ajoute :

-Mais c'est l'occasion de s'y mettre ma chérie, d'ailleurs je suis curieux de voir cela. Deux femmes ensembles, doit être merveilleux à voir, tu ne crois pas !

Olga se pince les lèvres et répond :

-Je ne te savais pas voyeur Marc, mais je pense que tu as raison, c'est une expérience à tenter. Plus j'y pense, plus je regarde cette femme, plus j'ai envie de faire l'amour avec elle, c'est vrai, qu'elle est magnifique !

Après avoir parler de son manque d'érection, le couple accepte, la photo d'Olga leur plait. Bien que très gênée, Olga échangent avec le couple des photos nues avec des postures différentes. Un rendez-vous est prit pour le samedi prochain après midi, 15 heures. Olga ne cesse de regarder souvent les photos du couples nus. Son mari, en souriant lui dit :

-Tu as vu sa queue même au repos, comme elle est impressionnante, tu vas te régaler ma chérie, et la femme regarde ce cul, et ses seins hum !

Effectivement, la verge au repos, arrive à mi-cuisses. Marc ose demander à l'homme une photo en érection. Quelques minutes plus tard, il reçoit la photo. Olga manque de tomber à la renverse. Le membre est monstrueux, les doigts de sa compagne ne peuvent en faire le tour complétement, tellement elle est grosse. Olga commence à se poser beaucoup de questions, elle regarde encore la photo, en ravalant sa salive, puis elle dit avec une certaine angoisse :

-Mais jamais elle n'entrera dans mon corps, elle va me déchirer les entrailles, mon Dieu elle est géante !

Mais le couple envoie une seconde photo, ou sa compagne est embrochée jusqu'aux couilles. Marc sourit et dit :

-Eh bien tu vois que cela rentre, et bien profond encore, alors ne t'inquiète pas ma chérie, tout va bien se passer tu vas t'éclater !

Olga répond :

-Ou, me faire éclater, tu veux dire Marc !

Marc se pince les lèvres pour ne pas rire. Le matin du jour fatidique, Olga passe la majeure partie de son temps, dans sa salle de bain et sa coiffeuse. Elle est dans un état de stresse maximal, sans son rendre compte, elle prend plusieurs douches, change plusieurs fois de vêtements. Son mari la voyant dans cet état, lui conseille de ne pas mettre de sous vêtements, juste une jupe et un corsage. Olga enfile quand même une culotte. L'attente est un calvaire pour Olga, qui est très nerveuse, elle se demande si elle doit franchir le pas. Elle est dubitative, serre les poings plusieurs fois en marmonnant des paroles inaudibles.

Elle se demande, si elle sera à la hauteur de l'événement, eux ce sont des habitués, de faire l'amour avec d'autres, mais pas elle. Olga sursaute, la sonnette de la porte d'entrée, retentit. Marc fait entrer les invités, Olga pas très rassurée, les observe un long moment. Ils sont plus beaux que sur les photos. La femme est plus âgée que l'homme, de petites rides sous les yeux la rend encore plus jolie. Olga est fascinée, envoutée, par cette femme, qui va surement lui apprendre les rudiments des plaisirs lesbiens.

La femme au nom de Maryse, semble à l'aise, elle est très souriante. Son compagnon ce prénom Luc, il est très bel homme. Olga le dévisage, en ravalant sa salive, ses yeux se portent automatiquement sur son entrejambe. Une bosse naturelle gonfle le pantalon. Marc installe les invités au salon et leur sert un verre. Maryse est en face d'Olga, elle n'arrête pas de lui sourire. Pendant qu'ils prennent un verre, les langues se délient. Maryse apprend, que c'est la première fois qu'Olga se livre à d'autres personnes. Elle remarque son embarras, pour la mettre en confiance décide d'agir en l'excitant. lentement elle écarte les jambes en fixant du regarde Olga. En ouvrant les cuisses, d'une main, elle remonte sa jupe, pour qu'Olga voit son entre jambe, elle se cambre comme pour lui offrir sa vulve.

Olga se fige, elle voit la culotte de dentelle, qui insérée entre les grandes lèvres, les moule parfaitement. Habilement, Maryse commence à faire voyager sa main sur sa vulve. Ses gestes sont très lents, et précis.
Olga déglutit bruyamment, ses yeux cherchent ceux de son mari, qui souriant, lui fait un clin d'œil d'approbation. Elle croise ceux de Luc qui lui dit doucement :

-Profite du spectacle, c'est une allumeuse, qui sait chauffer ses proies, fais comme elle, cela te mettra en confiance !

Olga pose sa main sur sa cuisse, et sans quitter des yeux la femme, la glisse doucement sous sa jupe. Elle ouvre les cuisses, et délicatement se caresse la fente qui suinte, la preuve en est, c'est que sa culotte est trempée. Luc se lève, et s'approche d'Olga, il lui retrousse la jupe sur le hauts des cuisses et l'encourage :

-C'est ça, continue ma chérie, ouah tu mouilles, c'est bon pour la suite ça !

Maryse, écarte sa culotte, et saisit son clito d'une main. Elle l'agite en se cambrant davantage pour qu'Olga ne loupe pas une image. Olga à les yeux écarquillés, elle ose écarter sa culotte, et commence à se masturber. Maryse cesse de se branler le clito, se lève, et s'approche d'Olga. Elle s'accroupit juste en face d'elle, et pose sa main sur la sienne, elle donne un rythme plus rapide au branlage. Olga se tend elle commence à geindre. Marc est aux anges, enfin Olga va pouvoir profiter de ses amants. Maryse lâche la main d'Olga qui continue de se branler. Elle saisit sa culotte et lentement la fait glisser sur ses longues jambes, pour enfin la déposer au sol. Sans brusquerie, elle lui ouvre les jambes et avance sa tête entre les cuisses, qu'Olga ouvre au maximum, en lâchant sa boule magique.

Maryse pose doucement sa bouche sur le fruit trop mûr, qui rejette son jus. Elle aspire le liquide au goût suave et l'avale. Agilement, elle enfonce sa langue dans le conduit détrempé, et le fouille en faisant geindre Olga. Chaque recoins n'est pas oubliés, la langue s'acharne dans le conduit brulant. Pour Olga c'est le nirvana, c'est la première fois qu'une langue féminine lui fouille la chatte. Elle mouille comme une fontaine, se cabre pour bien offrir à son amante, son fruit gorgé de bon jus. Mais lorsque Maryse lui aspire le clito, elle se cambre en poussant un gémissement terrible :


-Oui, oui, mon Dieu, cette femme est le démon en personne, Marc, Marc, regarde, comme elle me dévore !

Marc est ravit de voir que sa femme subir avec son consentement, l'attouchement buccal, qui semble féroce. Luc lentement se met nu, il bande comme un poney. Mais dès qu'il baisse son slip, sa verge se détend comme un ressort, et oscille sur son bas-ventre un bon moment avant de se stabiliser. En effet le bougre est très bien armé, il est fière de ses attributs, il l'agite en souriant, tout en regardant le couple en action. Il attend patiemment son tour, sans trop faire violence à sa verge. Maryse Tire fortement, sur les fesses de sa proie, pour bien la plaquer contre sa bouche vorace. Olga délire, elle ne cesse de répéter :

-On, mon Dieu, mon Dieu, Maryse tu me tues, je vais jouir, je vais jouir !

Une violente brulure lui traverse le ventre, elle hurle, sa jouissance est fabuleuse. Maryse se redresse, elle ouvre le corsage et dégage les seins de sa proie. Elle les malaxe, les pétrit. Joue avec les mamelons, pour les faire gonfler au maximum, avant de les prendre en bouche. Olga est hors sol, elle est au bord de la syncope. Ses mamelons deviennent douloureux, il sont violacés tellement ils sont sollicites. Maryse est vraiment une experte. Etrangement, Marc ressent, des chatouillements dans son bas-ventre. A entendre et voir sa femme, gémir et jouir, cela produit sur son corps une chose inespérée. Sa verge à une semi-érection.

Il baisse son pantalon et constate qu'effectivement qu'il commence à bander, et que ce n'est pas un rêve. Il est euphorique, et se dit pourvu que cela dure. Luc décalotte son engin, son gland est très large et épais, il l'agite fièrement sous le nez de sa femme, qui le saisit, et le gobe avec difficulté. Elle suce et tète le gland comme une vorace. Un long moment, puis recrache l'engin et dit :

-Vas-y, Olga, fais toi plaisir ma chérie suce lui la queue !

Olga regarde l'engin monstrueux que Maryse lui offre généreusement, elle ravale sa salive, maladroitement le saisit, et ouvre la bouche le plus grand possible. Elle se déboite presque les mâchoires pour gober le gland redoutable. Elle suce et tète comme elle peut, sans rechigner, et fait preuve de bonne volonté en s'activant du mieux qu'elle peut sur le gland qui suinte abondamment. Maryse et satisfaite, elle encourage sa nouvelle amie :

-Lèche-lui la hampe, fais monter ta langue sur cette colonne, qui va te donner beaucoup de jouissances. Presse-lui les couilles, ma chérie, il adore ça !

Olga fait ce que lui demande Maryse, elle rejette de ses mâchoires douloureuses, le gland colossal, et pose sa langue sur la hampe fortement veinée. Elle lèche le mat avec amour, elle sent battre dans les veines le sang. De temps en temps, comme lui a conseillée son amie, elle presse les testicules remplis de semence. Luc, grimace à chaque pression sur ses boules velues. Olga commence à lui sucer les couilles, Maryse en profite, pour reprendre en bouche le gland de son compagnon. Les deux femmes s'acharnent sur les attributs de Luc, qui agite doucement son bassin, en geignant faiblement. Soudain, il grogne, se cambre et envoie dans la bouche de sa femme sa semence, qui recrache brusquement le gland.

Une deuxième giclée, et expulsée brutalement de la verge, suivit d'une autre moins puissante, elles atterrissent sur le visage et les chevaux d'Olga, qui continue de sucer les couilles qui se vident, à chaque éjaculation. Olga se redresse et regarde la verge enduite de sperme, encouragée par Maryse, elle lèche les résidus de semence qui engluent la hampe et le gland. Marc est heureux, de voir sa femme se lâcher, sa verge prend encore un peu de volume.

Maryse se couche sur la table basse du salon, elle ouvre largement les cuisses et invite Olga. Sous le regarde de son mari, elle pose sa bouche sur la chatte dégoulinante de Maryse, et reproduit sur elle tout ce qu'elle lui à fait. Olga semble être une bonne lesbienne, elle apprend vite la coquine. Sa bouche fait gémir Maryse de plaisir. Elle se tend comme un arc et explose, elle jouit fortement. Olga s'enhardit, elle descend sa tête de quelques centimètres, et lève voracement l'anus de Maryse qui se cabre pour jouir une seconde fois.

En fin après lui avoir bien travaillée, la chatte et l'anus, Olga se redresse. Luc n'attendait que ce moment, il avance et présente sa bite au temple dégoulinant de sa femme. Il s'accroche à elle et pousse, bien régulièrement prise par ce pieu vivant, Maryse grimace. Olga regarde avec des yeux exorbités, le manche de chair s'enfoncer dans la gaine, qu'il dilate atrocement. Les grimaces de Maryse prouvent que la pénétration est pénible. Avec beaucoup de précautions, Luc enfonce entièrement les vingt-cinq centimètres de sa bite dans le ventre de sa femme. Qui s'accroche à lui en geignant. Luc entreprend un très lent va-et-vient, il sait que sa femme va s'habituer à son engin et qu'elle va bientôt s'agiter.

En effet, au bout de quelques minutes, Maryse commence à agiter son bassin en geignant. Luc accélère progressivement le rythme, ses coups de reins deviennent de plus en plus violents. Maryse gémit comme une bête blessée, soudain elle se cabre, et en hurlant explose de jouissance. Olga reste sans voix devant une telle jouissance, elle ravale sa salive, en espérant être à la hauteur de la situation. Luc donne maintenant de violents coups de boutoir, en grognant comme un animal en rut. Il enfonce à fond sa bite dans le ventre de sa femme, qui se cabre en poussant un long râle.

Luc se bloque, et en rugissant, remplit le ventre de sa femme avec sa semence épaisse. Enfin, il retire sa bite du vagin. Olga reste béate devant le trou béant, qui rejette le surplus de semence. Haletante, Maryse avec l'aide de son mari libère la table. Olga y est invitée à prendre la place. Pas très rassurée, elle s'allonge sur la petite table, et doucement ouvre largement les cuisses. Sa vulve regorge de cyprine, elle suinte abondamment. Marc très émue dit :

-Cela va faciliter la pénétration, ma chérie, ouvre-toi bien, j'espère que ta jouissance sera égale à celle de Maryse !

Luc place sa verge gluante contre la chatte très humide. Il saisit Olga par les hanches et pousse doucement. Olga se cambre, elle serre les dents en grimaçant. Le gland charnu, appuie sur les grandes lèvres, les écrase et s'engage doucement dans la gaine vaginale en la dilatant monstrueusement. Olga a l'impression que c'est le poing de Luc qui s'enfonce dans son ventre tellement c'est gros. Ses yeux s'humidifient, des larmes coulent sur ses joues. Luc, enfonce très lentement son mandrin dans le ventre d'Olga, qui souffle comme un dragon. Distendue comme elle ne l'a jamais était, Olga subit courageusement la pénétration monstrueuse, qui lui dilate au maximum le conduit.

Enfin elle sent contre sa chatte, les couilles velues de son amant. La pénétration est totale, Olga s'agrippe à Luc en grimaçant. Comme avec Maryse, Luc attend patiemment qu'Olga s'habitue à son mandrin. Olga plante ses ongles dans les fesses de son amant qui grimace de douleur. Luc, commence un lent aller et retour. Le gland énorme qui racle la gaine sensible, fait couiner Olga, elle s'agrippe en serrant très fort son amant. Son souffle est bruyant, ses grognements inhumains. Marc est émerveillé par ce qu'il voit, il dit :

-Oh ma chérie, tu l'as toute en toi, c'est merveilleux de te voir prendre une bite énorme dans le ventre, mon Dieu, je bande, je bande !

Marc saisit sa bite et l'agite pour la maintenir opérationnelle. Olga tourne la tête vers son mari, est regarde le miracle qui vient de se produire. Elle ne peut dire un mot tellement elle est ouverte. Luc se met en mouvement. Sa verge entre et ressort de la chatte en faisant gémir Olga. Au fur et à mesure, elle semble prendre du plaisir à cet accouplement monstrueux. Elle sent le gland raboter le col de son utérus, cela provoque chez elle comme des décharges électriques. le gland tente de forcer l'utérus, Olga se cabre, en gémissant comme une bête blessée. Une première jouissance, la fait hurler. Luc maintenant lance les chevaux. le va-et-vient est rapide surtout profond, à chaque enfoncement du pal dans son ventre, Olga se cabre en geignant.

Maryse regarde Marc, et lui dit en souriant :

-Oh la vache, ce qu'elle prend bien la queue de mon mari, elle m'étonne ta femme Marc, je crois qu'elle peut faire de grandes choses, elle en a les capacités. Je souhaite qu'elle accepte, que Luc la prenne par le cul, tu verras c'est divin, sa jouissance va être phénoménale !

Une seconde jouissance aussi violente, fait hurler Olga. Elle reçoit dans le ventre un flot de semence, la tiédeur du sperme dans ses entrailles, fait exploser encore une fois Olga, qui croit mourir de plaisir.

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