Une maman formidable 2 - histoire érotique

Miriam, supplie son fils d'être raisonnable. Aurélien retire sa main, déçu, il se lève, enfile un boxer et quitte la chambre. Peu de temps après, sa maman retire sa culotte humide, s'essuie la vulve trempée, et toujours, en nuisette, descend à son tour. Elle essuie ses yeux rougis, en se dirigeant vers la salle de bain, elle se penche sur le lavabo. Aurélien qui la suit des yeux, la rejoint. Il se trouve derrière elle, l'enlace et en lui donnant plusieurs baisers sur la nuque et le cou, lui dit :


-Je te demande pardon maman, j'ai agi comme un idiot !

Elle lui repond tendrement :

-C'est déjà oublié mon chéri !


Il la serre très fort, mais malgré lui la tentation est trop forte, l'odeur du corps de sa maman l'emballe, c'est plus fort que lui. Il se met à onduler du bassin contre le fessier de sa maman, qui pousse un gros soupir. Il agite son bas-ventre en la serrant dans ses bras. Elle sent sur sa nuque le souffle chaud, de son fils, elle tressaille en soupirant profondément, elle s'accroche au lavabo. Elle se raidit un peu, car elle sent contre ses fesses l'érection naissante d'Aurélien. Mal à l'aise, elle défaille. Le bougre d'enfant tire sur les hanches de sa maman en donnant quelques petits coups de reins en mimant un va-et-vient. Sa verge est de plus en plus dure, il ne tient plus, il est comme fou.
Il baisse son boxer, et approche sa verge du fessier rebondi de sa maman qui reste figée contre le lavabo sans aucune volonté. Il la passe sous la nuisette et la monte doucement. Miriam sent le manche de chair glisser contre le sillon charnu de ses fesses, elle serre les dents. Elle se cabre, en tentant de serrer les fesses, le gland appuie contre son anus, mais ne le force pas.


Avec douceur, la verge tendue, glisse sous ses fesses et s'approche de l'antre humide. Le gland appuie sur les grandes lèvres, elles s'écartent et laisse le passage au cèpe qui s'engage très lentement dans le vagin. Miriam se cambre en poussant un grognement, lentement la verge puissante prend possession des lieux en s'enfonçant dans la gaine vaginale. Miriam dit entre deux souffles :

-Mon chéri, tu es fou, non, il ne faut pas !

Pour toute réponse, Aurélien donne un coup de reins et enfonce sa queue profondément dans le ventre de sa maman, qui pousse un grand râle en se cabrant :

-Oui, oui, oh mon Dieu !

Aurélien commence un va-et-vient qui prend de la vitesse, sa maman geintes de plus en plus fort, elle ne savait plus ce que c'était si bon de se faire prendre. Elle agite doucement sa croupe en marmonnant :

-Oh mon chéri, tu fais de moi une damnée, une incestueuse, oh continue, continue, c'est trop bon !

Aurélien ne retient plus ses coups de bélier, il tire sur les hanches de sa maman soumise en donnant des coups de reins terribles. Miriam qui avait même oubliée ce que c'était jouir avec une verge en soi, se cabre en poussant un grognement de fauve, explose sous la puissance du pilonnage. Elle jouit comme jamais, ses doigts n'ont pu le faire. Elle geint en continuant d'agiter sa croupe, la coquine semble apprécier la levrette. Aurélien la besogne comme un soudard, il devient même brutal. Il ressort entièrement sa queue du ventre maternel et la replonge violemment jusqu'aux couilles, Miriam se cabre à chaque assaut en gémissant de plaisir. Soudain, son fils se bloque, pousse un rugissement et remplit le ventre de sa maman avec sa semence épaisse.

Enfin, il se retire, sa maman se retourne, elle n'ose croiser son regard tellement elle a honte. Il lui prend la main et l'entraine au salon. Elle suit son jeune amant comme un robot, sans dire un mot. Avec douceur, il lui retire la nuisette, et la regarde longuement, il ne peut s'empêcher de dire :

-Ce que tu es belle maman, je vais t'aimer comme tu dois l'être !

Sans le regarder, elle se jette dans ses bras, le bougre cherche ses lèvres, qu'elle ne peut lui refuser. Le baiser qu'ils échangent est un vrai baiser d'amour, les langues se nouent, les salives se mêlent. Une fois le baiser, terminer, Aurélien bascule sa maman sur le canapé, il retire son boxer et exhibe sa verge fièrement en disant :

-Maman chérie, être à moi, fais de moi l'homme le plus heureux du monde !


Miriam sourit timidement, elle sait que c'est immoral, mais l'amour platonique qu'elle avait pour son fils à complètement changer en quelques heures. Elle sait maintenant qu'elle a besoin d'Aurélien et qu'il sera son amant autant de fois que le désir se fera sentir.
Il regarde amoureusement sa maman, s'agenouille face à elle, il pose ses mains sur ses genoux et les écarte doucement. Sa maman ferme les yeux en ouvrant les jambes, il avance sa tête entre les cuisses ouvertes, hume fortement les effluves odorantes que la vulve dégoulinante de sperme laisse échapper. Il pose sa bouche dessus et enfonce sa langue profondément dans la gaine en surchauffe. Il fouille chaque recoin, et aspire le jus suave en grognant de plaisir. Miriam est heureuse, elle geint faiblement en caressant les cheveux de son enfant amant. Elle sursaute, le gredin de fils vient de lui gober le clito et lui fait subir les pires outrages. La boule de chair est devenue monstrueuse, Aurélien la dévore en faisant gémir fortement sa maman. Le bougre y met tant d'ardeur que sa maman se tend comme un arc et jouit en gémissant comme une bête blessée. Mais ce n'est que le début de ses jouissances