Une maman formidable 3
Récit érotique écrit par linsee [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-09-2023 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Une maman formidable 3
Aurélien se redresse, il regarde sa maman haletante, son corps frissonne, elle est émue. Lui est heureux qu'elle se donne maintenant à lui sans complexes, cela promet des étreintes fabuleuses. Il avance son bas ventre vers le visage de Miriam, qui comprend ce que désir son fils. Elle saisit la verge gluante, là regarde un instant avant de la décalotter. Elle donne quelques coups de langue sur le gland, en fait plusieurs fois le tour avant de le gober. Aurélien se cabre en poussant un grognement, il ignorait que sa maman était une experte en fellation. La coquine sans rechigner suce et tête le manche de chair du mieux qu'elle le peut.
Aurélien est aux anges, les succions que sa maman fait sur son membre le rend fébrile, il geint comme un animal tombé dans un piège. Il saisit les cheveux de sa maman et tire fortement, sa queue s'enfonce jusqu'aux couilles dans la bouche la maman, qui a des hauts le cœur.
La gorge profonde qu'elle subit, elle en avait oublié la pratique. Un filet de bave s'échappe à la commissure de ses lèvres.
Son fils lui baise la bouche en grognant de plaisir. Soudain, il pousse un cri et se raidissant. Il envoie une puissante giclée de sperme dans la gorge de la maman soumise. Qui le repousse brusquement, car elle manque d'étouffer, elle recrache la semence en grimaçant, elle regarde son fils, ses yeux sont embués. Elle dit :
- Mon Dieu mon chéri, tu gicles comme un geyser, tu veux m'étouffer petit vaurien !
Il sourit et l'embrasse sauvagement. Il l'allonge sur la table, lui caresse les seins, agace les mamelons en les faisant doubler de volume. Miriam souffle comme un dragon, elle pousse un gémissement lorsque l'affamé lui gobe à tour de rôle les mats de chair, et les tète férocement. La maman défaille de bonheur, elle avait même oubliée ce que c'était la douceur d'une bouche sur ses seins. La bouche vorace de son fils la fait pâmer, elle dit en murmurant :
-Mon chéri, c'est merveilleux, prends-moi encore, aime-moi fort !
Aurélien, enfant obéissant, délaisse les mamelons qu'il a torturé, pour le plus grand plaisir de sa maman et se place entre les jambes que sa maman instinctivement a ouvertes. Il place son engin contre la fente ruisselante, et lentement l'enfonce jusqu'à la garde. Pendant la lente pénétration, sa maman pousse un long râle, en s'accrochant à son jeune amante, elle dit faiblement :
-Oh que c'est bon mon chéri, fais-moi mal !
Aurélien commence un va-et vient qui augmente en intensité, en suivant les râles rauques que pousse sa maman. Là qui queue voyage dans le ventre, fait couiner la maman de plaisir. Elle agite son bassin, elle donne aussi des coups de reins pour être totalement empalée, sur le pieu puissant de son fils infatigable. Le gland glisse sur les muqueuses sensibles de la gaine brulante en faisant gémir comme une hystérique Miriam, qui se cambre comme un pont et jouit en ne pouvant retenir un hurlement inhumain de plaisir. Elle s'agrippe à son fils en geignant comme un fauve blessé, elle halete fortement en répétant sans cesse :
-Oh mon chéri, mon chéri, tu me fais mourir de plaisir, oh comme je t'aime !
Aurélien la défonce monstrueusement, il ne la manage pas, il veut qu'elle jouisse encore et encore. Sous les assauts répétés, sa maman tendue comme un arc jouit plusieurs fois, son corps et secoué de spasmes violents, de nombreux orgasmes la font délirer :
-Fais-moi mal mon chéri, oui fais-moi mal !
Aurélien s'acharne, il ne reconnait plus sa maman, sûrement le manque de queues qui l'a fait réclamer des choses difficiles à comprendre. Il donne une dernière estocade avant de lui remplir le ventre de son sperme. Enfin, il se retire du puits intarissable, qui rejette sa cyprine mêlée avec des trainées de sperme
Aurélien est aux anges, les succions que sa maman fait sur son membre le rend fébrile, il geint comme un animal tombé dans un piège. Il saisit les cheveux de sa maman et tire fortement, sa queue s'enfonce jusqu'aux couilles dans la bouche la maman, qui a des hauts le cœur.
La gorge profonde qu'elle subit, elle en avait oublié la pratique. Un filet de bave s'échappe à la commissure de ses lèvres.
Son fils lui baise la bouche en grognant de plaisir. Soudain, il pousse un cri et se raidissant. Il envoie une puissante giclée de sperme dans la gorge de la maman soumise. Qui le repousse brusquement, car elle manque d'étouffer, elle recrache la semence en grimaçant, elle regarde son fils, ses yeux sont embués. Elle dit :
- Mon Dieu mon chéri, tu gicles comme un geyser, tu veux m'étouffer petit vaurien !
Il sourit et l'embrasse sauvagement. Il l'allonge sur la table, lui caresse les seins, agace les mamelons en les faisant doubler de volume. Miriam souffle comme un dragon, elle pousse un gémissement lorsque l'affamé lui gobe à tour de rôle les mats de chair, et les tète férocement. La maman défaille de bonheur, elle avait même oubliée ce que c'était la douceur d'une bouche sur ses seins. La bouche vorace de son fils la fait pâmer, elle dit en murmurant :
-Mon chéri, c'est merveilleux, prends-moi encore, aime-moi fort !
Aurélien, enfant obéissant, délaisse les mamelons qu'il a torturé, pour le plus grand plaisir de sa maman et se place entre les jambes que sa maman instinctivement a ouvertes. Il place son engin contre la fente ruisselante, et lentement l'enfonce jusqu'à la garde. Pendant la lente pénétration, sa maman pousse un long râle, en s'accrochant à son jeune amante, elle dit faiblement :
-Oh que c'est bon mon chéri, fais-moi mal !
Aurélien commence un va-et vient qui augmente en intensité, en suivant les râles rauques que pousse sa maman. Là qui queue voyage dans le ventre, fait couiner la maman de plaisir. Elle agite son bassin, elle donne aussi des coups de reins pour être totalement empalée, sur le pieu puissant de son fils infatigable. Le gland glisse sur les muqueuses sensibles de la gaine brulante en faisant gémir comme une hystérique Miriam, qui se cambre comme un pont et jouit en ne pouvant retenir un hurlement inhumain de plaisir. Elle s'agrippe à son fils en geignant comme un fauve blessé, elle halete fortement en répétant sans cesse :
-Oh mon chéri, mon chéri, tu me fais mourir de plaisir, oh comme je t'aime !
Aurélien la défonce monstrueusement, il ne la manage pas, il veut qu'elle jouisse encore et encore. Sous les assauts répétés, sa maman tendue comme un arc jouit plusieurs fois, son corps et secoué de spasmes violents, de nombreux orgasmes la font délirer :
-Fais-moi mal mon chéri, oui fais-moi mal !
Aurélien s'acharne, il ne reconnait plus sa maman, sûrement le manque de queues qui l'a fait réclamer des choses difficiles à comprendre. Il donne une dernière estocade avant de lui remplir le ventre de son sperme. Enfin, il se retire du puits intarissable, qui rejette sa cyprine mêlée avec des trainées de sperme
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Texte standard, il suffit de remplacer maman, par soeur, fille ou voisine ect... Ceci dit, la description des actes sexeuelles est plutôt bien.
A quand la suite de Charles ???
Vous decrivez la scene avec beaucoup d intensite. Bravo et quel plaisir
