Une Tante Tentée

- Par l'auteur HDS Tamalou -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Une Tante Tentée Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-08-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Une Tante Tentée
Bérengère Martin a chaviré dans une rêverie érotique en regardant l’adolescent tondre la pelouse devant sa maison. À quelques mètres d’elle, juste devant la fenêtre de sa cuisine, son neveu, vêtu d’un slip de bain, restait indifférent aux émotions qui tourmentaient sa tante. Ses muscles roulaient sous sa peau bronzée et luisante de sueur. Cachée derrière ses rideaux vaporeux, Bérengère ne quittait pas des yeux le corps musclé du jeune homme, en surveillant tout particulièrement la bosse qui déformait le devant de son maillot.

Les seins de Bérengère s’éveillaient, ses tétons s’érigeaient, inconsciemment elle a glissé une main sous sa légère robe d’été pour tenter d’apaiser les bouleversements causées par les papillons qui bruissaient dans son ventre. Même en jouant distraitement avec sa féminité, presque du bout des doigts, son trouble ne faisait qu’accroître son attirance.

Même si elle ne pratiquait qu’exceptionnellement la masturbation, son émoi était si intense qu’elle a exulté très vite. Envahie par son fantasme, accaparée par le mâle objet de son désir, Bérengère ne s’était pas aperçue de la présence de son mari, debout dans l'embrasure de la porte. 
Lorsque les spasmes de Bérengère se calmèrent, Jacques Martin s’approcha : "Fascinant ! Tu es merveilleuse."
Bérengère a sursauté et son visage s’est empourpré en réalisant qu'elle avait été prise la main dans le pot à confiture, si j’ose m’exprimer ainsi. Son trouble la faisait bégayer :
"Mon Dieu ! Jacques ! Tu m'as fait peur !"
"Est-ce la vision de mon neveu qui te mets dans des états pareils ?" demanda calmement son mari.

"Oh... eh bien, non... Kevin me rappelle toi, quand tu avais cet âge !" expliquait-elle d'un air penaud.

"Oh, vraiment ? Si je m’étais promené aussi dévêtu que lui, même à cet âge, tu m’aurais demandé de me rhabiller !"
"Chéri, je suis désolée" s’excusa Bérengère. "Je ne voulais pas aborder un sujet douloureux."
Le sexe n'était pas un sujet douloureux dans la famille Martin, mais ce n'était pas non plus un sujet glorieux … surtout pour Jacques. À cinquante-deux ans, son appétit sexuel avait fortement diminué, tout comme ses performances. D'un autre côté, sa femme subissait l'une de ces mystérieuses bizarreries de l’âge, car son appétit sexuel s’était développé en atteignant la ménopause. Curieusement, tandis que l’un déclinait, l’autre se trouvait dotée d’un appétit féroce.

Ce n'était pas la première fois que Jacques éprouvait des soupçons, au sujet de la fidélité de sa femme. Elle était toujours aussi séduisante, l’âge n’avait pas de prise sur elle, et elle avait tellement de facilités pour se faire de nouveaux amis. Toujours souriante, agréable, bavarde, et parfois si naïve ...

Mais il ne l’avait jamais imaginée en train de fantasmer sur un jeune homme qui pourrait être son fils. Même si ce n'était pas la première fois qu'il essayait de la confondre, de trouver un indice qui étayerait ses doutes, il n’avait jamais pu avoir un début de preuve.

Il aurait aimé pouvoir profiter de la situation, la contraindre à avouer ses turpitudes, lui raconter ses fantasmes, ses émois de femme mûre, mais … Mais il était beaucoup trop excité pour cela. Jacques a saisi Bérengère par le poignet et l’a entraînée, malgré ses protestations, droit dans la chambre à coucher.

Il l’a littéralement propulsée à plat ventre en travers du lit conjugal, l’a troussée, et s’est jetée sur elle, comme sur une fille de mauvaise vie. Elle était suffisamment excitée pour l’accepter sans douleur, il était suffisamment tendu pour la pénétrer sans attendre. Malheureusement, la précipitation est mauvaise conseillère, et la chevauchée fantastique qu’ils imaginaient s’est rapidement brisée, laissant Bérengère sur sa faim, la chatte en feu.

Bérengère Martin n’a eu aucune difficulté à oublier cet épisode embarrassant, mais Jacques ne pouvait pas le chasser de son esprit. L’abstinence échauffait ses pensées lubriques. Moins il pratiquait le sexe, plus il y pensait. Il fantasmait souvent, et chaque fois qu’il évoquait cet épisode croustillant, sa bite redevenait dure.

Plusieurs fois, les jours suivants, Jacques s’est inspiré du souvenir de cette scène coquine pour honorer sa femme. Bien qu'elle n'ait aucun regret avec l’intérêt nouveau de son mari, Bérengère a remarqué le changement, et elle était curieuse au sujet de cette bonne fortune . 
En temps normal, elle devait travailler longuement l’objet de son désir, de la bouche et de la main, avant d’obtenir une érection suffisante. Et même alors, elle n’était jamais vraiment sûre d’avoir le temps d’en profiter. Il lui fallait s’activer afin de maintenir l’outil en parfait état de marche.

C'était grâce à la situation financière confortable de Jacques, que Kevin passait du temps à l’entretien du jardin. Kevin avait besoin d'argent pour l’université et Jacques était heureux de l’aider. Mais son frère, Jean, n’acceptait pas la généreuse philanthropie de son aîné. Il voulait que son fils apprenne la valeur de l’argent, et qu’il travaille pour l’obtenir.

"Fais-le bosser. S’il veut plus d’argent, qu’il le gagne" c’était le commentaire explicite de Jean, alors Kevin s'occupait de la piscine, du jardin, et de plein d'autres choses autour de la maison. Jacques était ravi de ne plus faire ces travaux.

Chaque samedi matin, Kevin venait pour faire les travaux de jardinage. Il commençait toujours par l’entretien de la piscine, c’est pourquoi il avait ce slip de bain minimaliste. Et entre deux travaux plus fatigants, il retournait piquer une tête dans la piscine.

Ce matin-là, Jacques attendait la réaction de sa femme et fut déçu qu'elle reste dans son bureau, à l'étage, semblant ne pas prêter d’attention au jeune étalon. Il a décidé d'attirer son attention sur la présence de Kevin, juste au cas où elle ne l'aurait pas entendu arriver, mais Bérengère l'a rabroué.

"Et alors ? Je suis sûre qu'il fera son travail sans avoir besoin de ma supervision !" répliqua sa femme sèchement. Bérengère était importunée par cette allusion à son comportement précédent.

"Je suis sûr qu'il est capable" contra Jacques. "Comme tu étais tellement intéressée par mon neveu, la semaine dernière, je pensais que tu serais heureuse de le regarder travailler !"
"Jacques, j'aimerais beaucoup que tu cesses de me rappeler cet épisode malencontreux" le fustigea Bérengère.

"Désolé. Je ne pensais pas t’accabler" dit Jacques en refermant la porte du bureau, et en redescendant dans la cuisine. Il ne savait pas quoi penser du comportement capricieux de sa femme.

Il y a un endroit dans le couloir, à l'étage de la maison des Martin, où le sol grince légèrement chaque fois que quelqu'un marche dessus. Jacques lisait son journal dans la cuisine, lorsqu’il entendit le son caractéristique de cet endroit. Sa femme marchait à pas feutrés dans le couloir. Où allait-elle ? Voulait-elle descendre pour le rejoindre ? Pour mater Kevin ? Elle ne venait pas, curieux il replia son journal et retira ses chaussures pour monter silencieusement les escaliers.

Jacques ne laissa dépasser que sa tête à l’angle du couloir. Bérengère regardait par la fenêtre dans le jardin. Elle devait observer Kevin. Sa robe troussée, elle s’activait entre ses cuisses. Même de dos, Jacques pouvait deviner sa main masser sa chatte entre ses cuisses légèrement écartées. Jacques a regardé et écouté les soupirs de sa femme.

Il s'est senti particulièrement excité et sa main est venue naturellement masser la bosse qui se formait dans son pantalon. Lorsque les soupirs de Bérengère sont devenus des gémissements, Jacques bouillait d’impatience. Comme la semaine précédente, il s’est précipité sur elle pour l’entraîner dans une chambre proche.

Bérengère n'a pas apprécié l’intervention de son mari. Elle a crié, s’est débattue, essayant d’échapper au coït non désiré. Mais sa volonté de le repousser s’est heurté à la force brutale du mâle en rut. Il l’a jetée sans ménagement sur le lit, s’est laissé tomber sur elle, en forçant l’ouverture de ses cuisses avec son genou.

Elle a essayé de le raisonner, de le supplier, mais Jacques était comme fou. Il a ouvert sa braguette, a sorti sa bite, et l’a pénétrée sans cérémonie. Les protestations et les ruades de Bérengère ont immédiatement cessé.

"Ma femme s’excite comme une salope en matant le jeune et athlétique corps de mon neveu, tu t’imaginais déjà te pâmant entre ses bras musclés ? Tu vas l’avoir ta baise sauvage, mais avec moi, pas avec un autre !" Jacques a grondé en pompant sa bite bien raide dans la chatte trempée de sa femme.

Bérengère n'a pas répondu aux insultes de son mari. Elle était embrasée par la sensation enivrante d'une baise vraiment énergique. Ce n'est que lorsque le calme est revenu, que les mots de son mari l’ont vraiment blessée.

"Jacques, comment peux-tu dire des choses pareilles ?" protesta-t-elle en reprenant son souffle.

"Dis quoi ?" Il avait déjà oublié.

"Que je suis une salope excitée par Kevin ! Ce sont des choses horribles ! Tu ne peux pas me dire çà !"
"Ah ouais ? Alors dis-moi à quoi tu pensais en te caressant. En faire ton partenaire de bridge, peut-être ?"
Bérengère, songeuse, ne répondit rien.

"Où est le problème? Ce n'est pas comme si j’étais fâché après toi. Tu ne comprends pas que je suis ravi de te voir fantasmer devant un jeune homme, même si c’est mon neveu. OK ?"
"Tu n'es pas fâché ?" demanda Bérengère, interloquée. "Non, je vois bien que tu ne l'es pas ! Mais pourquoi ne l'es-tu pas? Au contraire, cela t’excite, cochon !"
Jacques n'avait pas la réponse. Il savait qu'il était reconnaissant pour toute cette énergie sexuelle retrouvée. De nouveau, il éprouvait du désir pour sa femme. Fini cette énorme pression qu’il ressentait lorsqu’il ne parvenait plus à satisfaire sa femme. Non seulement son désir pour elle retrouvé, mais sa performance s'était considérablement améliorée au cours de ces derniers jours. Plusieurs fois cette semaine, il avait réussi à la contenter.

Bérengère ramassa ses affaires et se dirigea vers la salle de bain pour prendre une douche. Elle se sentait soudain extrêmement sordide. Il lui était difficile d’admettre ces pensées lubriques qui la déroutaient. Elle s'était imaginée en train de sucer la bite de Kevin ... Une bite qu’elle imaginait charnue... Et Jacques l'avait interrompue juste au moment crucial, lorsqu’elle imaginait Kevin s'enfonçant dans sa chatte. Le simple souvenir de son fantasme l'a de nouveau excitée, ses tétons se sont dressés, sa chatte s’est humidifiée. Bérengère a saisi le pommeau de la douche, et elle a dirigé le jet droit sur sa chatte pour se soulager.

"Jacques a raison, je me conduis comme la dernière des salopes" pensait Bérengère en s'essuyant avec une serviette. "Ce n'est pas une façon pour une femme de mon âge de se comporter."
Pendant que sa femme s’interrogeait sur sa conduite singulière, Jacques gambergeait. Il était très doué pour cela. Directeur commercial chez un importateur de matériel high-tech, il avait l’habitude de manipuler les gens. Il aimait l’intrigue, l’espionnage, et il avait beaucoup d’intuition. La plupart des éléments étaient déjà en place.

L'appétit sexuel accru de sa femme, et ses exigences pour la satisfaire devenaient de plus en plus un fardeau pour lui. La découverte récente de l’intérêt de Bérengère pour son neveu Kevin lui plaisait. Indéniablement, cette attirance l’arrangeait. Cela agissait sur lui comme un catalyseur. Un regain d’énergie salace qui lui permettait d’honorer sa femme. Pour combien de temps ?

Il lui fallait bousculer un peu l’ordre des choses. Bérengère avait du désir pour Kevin. Kevin avait besoin d’argent. Le seul obstacle c’était d'amener Kevin à penser à Bérengère d'une manière charnelle. La différence d'âge ne pouvait être un obstacle. Bérengère était suffisamment aguichante pour faire tomber dans ses filets n’importe qui. Et depuis plus d’un an, elle s’amusait à tourmenter Jacques en soulignant son intérêt pour les autres mâles, comme pour le punir de ses carences sexuelles.

Donc, pour arriver à ses fins, il devait faire oublier à Kevin la notion de péché et de tabou qu’il pouvait ressentir envers sa tante. Cela pouvait nécessiter un travail préparatoire minutieux, et pouvait prendre un certain temps. Il fallait les confronter dans une situation équivoque, afin que Bérengère passe du fantasme à la réalité. Elle sera tout à fait capable de dévergonder son neveu.

Enfin, pour en retirer un bénéfice, il fallait qu’il puisse obtenir une visualisation du spectacle. La maison était équipée d’un système de vidéo surveillance au top. Normal pour un type qui travaille là-dedans. Bérengère ignorait le fonctionnement du système. Innocemment, elle pensait les caméras ne fonctionnaient pas lorsque le procédé était à l’arrêt. De plus, elle ne connaissait pas l’emplacement de toutes les caméras. Certaines étaient soigneusement cachées.

Son idée était toute simple. Les vacances d’été débutaient, pour permettre à Kevin de gagner plus d’argent, et pour lui laisser son week-ends libre, il lui a proposé de venir travailler en semaine, quand il aurait le temps. Sans en informer Bérengère.

"Peu importe si je suis absent, et inutile de prévenir ta tante, elle te verra bien arriver ! Tu viens quand tu peux, tu fais ce que tu veux, tu comptes tes heures, et je te paierai en fin de semaine !"
Et laisser le destin lui donner un coup de pouce, si j’ose m’exprimer ainsi. Le lundi soir, en rentrant du travail, Jacques s’est enfermé dans son bureau pour "travailler". En fait, il a passé du temps à visionner les enregistrements vidéo. Kevin n’est pas venu. Bérengère a passé du temps au bord de la piscine. Bronzage recto-verso avec un maillot deux pièces. À plusieurs reprises, elle a enlevé le haut, ou elle a rentré sa culotte dans la raie des fesses, quand elle était à plat ventre.

Spectacle révélateur d’une femme seule, et qui sait qu’elle ne peut pas être vue, la cour arrière étant cernée de hauts murs, et d’arbres centenaires. Spectacle charmant, mais bon, Jacques avait espéré mieux.

Le mardi soir, en rentrant du travail, Jacques s’est enfermé dans son bureau. Kevin est passé dans l’après-midi. Il a fait le tour de la maison, sans doute pour aller récupérer les outils dans la cabane au fond du jardin. Arrivé à l’angle de la maison, il s’est arrêté, stupéfié, par le spectacle qui s’offrait à ses yeux ébahis. Bérengère était allongée, à plat ventre sur son transat, elle avait ôté son haut et rentré sa culotte dans la raie des fesses.

Voluptueuse, jambes écartées, elle profitait du chaud soleil pour bronzer un maximum de peau. Elle avait mis ses écouteurs dans ses oreilles, et elle somnolait, inconsciente de la présence de son neveu. Elle s’exposait dans une attitude érotique et immorale au regard innocent du jeune homme.

Kevin était fasciné par la vue de cette femme si sensuelle. Lentement, Kevin s’est approché de quelques pas, sans doute pour mieux profiter du panorama. Il s’est même baissé pour avoir une meilleure vision de son entrejambe. Jacques était ravi de voir que son neveu n’était pas indifférent au spectacle dénudé de sa tante. Son plan n'allait pas être aussi compliqué à mettre en œuvre qu'il ne l'avait imaginé. 
Mais un geste de Bérengère pour chasser un insecte qui l’importunait a effrayé Kevin. Il a battu rapidement en retraite pour se dissimuler derrière l’angle du mur. Il est resté invisible un moment, sans doute pour cacher son trouble, puis il est revenu, probablement en claquant violemment le portillon du jardin, ou en faisant un bruit quelconque pour alerter sa tante. Bérengère a sursauté vivement et s’est enroulée dans son drap de bain.

Jacques regrettait de ne pas avoir le son, juste l’image. Il s’est noté mentalement de résoudre ce problème au plus vite. Kevin est réapparut à l’angle de la maison et s’est trouvé nez-à-nez avec sa tante. Lequel était le plus gêné des deux ?

Ils ont discuté un moment. De quoi ? Bérengère se faisait chatte, Kevin semblait troublé. Elle s’est approchée pour l’embrasser sur les deux joues. Elle tenait le jeune homme par la taille, lui parlait en restant serrée contre lui, ne semblait pas vouloir le lâcher. Elle semblait s’amuser de son embarras.

Le drap de bain ne tenait pas bien, il dévoilait une partie de sa lourde poitrine. Bientôt, une jambe est apparue entièrement dans l’ouverture. Kevin n’en perdait pas une miette. La caméra ne permettait pas de voir si le neveu avait un début d’érection, le corps de sa tante le cachait à la vue. Jacques a noté mentalement "plus de caméras".

Cette visite inattendue ne prenait pas de court Bérengère, et sa première réaction était de profiter de cette occasion pour draguer ouvertement son neveu. Elle savait bien que Kevin regardait son corps, et elle n’était pas gênée par sa tenue légère. Elle a fait mine de remonter le drap de bain glissant, et elle en a profité pour glisser son index entre ses seins. Kevin avait maintenant du mal à avaler sa salive.

Depuis toujours, Kevin adorait venir chez son oncle et sa tante. Oncles Jacques était toujours très généreux avec Kevin, et dans cette maison, il flottait comme un air de liberté. Bonbons et sodas à profusion, jeux à volonté, par rapport à l’atmosphère stricte qui régnait chez ses parents, c’était le paradis. Et puis, il y avait les câlins de sa tante. Lorsqu’elle le pressait sur sa voluptueuse poitrine. Enfant, il aimait être cajolé par Bérengère. Mais à l’adolescence, les gros nichons de sa tante le faisaient chavirer de bonheur.

Bérengère, fine mouche, connaissait tout des émois qu’elle provoquait à son neveu. Le zizi tout dur, les soupirs d’aise, elle jouait avec lui depuis si longtemps. Elle le connaissait par cœur. Désormais, c’était l’effet retour ! C’est le jeune homme, à peine adulte, qui faisait fantasmer sa tante !

Mais bientôt, les tourtereaux ont rompu leur étreinte. Kevin s’est dirigé vers la cabane à outils, et Bérengère a opté pour une tenue plus sage pour continuer sa bronzette. Jacques était un peu déçu, mais pas trop. La réaction de Kevin en voyant sa tante presque nue, celle de Bérengère qui s’était jetée dans les bras de son neveu, tout cela contenait du positif, même si Jacques avait espéré une évolution plus rapide de la situation.

Jacques a dû faire défiler deux bonnes heures de vidéo, avant que Bérengère et Kevin ne reprennent contact. Elle avait préparé une orangeade et elle invitait son neveu à venir se rafraîchir à l’intérieur. Abandonnant ses outils, le garçon l’a suivie à l’intérieur.

Jacques a basculé sur la caméra du séjour. Elle l’a invité à prendre place dans le canapé, et s’est assise tout près de lui. Elle passait sa main sur la peau nue du jeune homme, couverte de sueur. Elle s’est levé et l’a invité à le suivre. Où ? Jacques zappait comme un fou sur toutes les caméras disponibles pour les suivre dans la maison. La salle de bain. Elle voulait qu’il prenne une douche rafraîchissante.

Bien. Bonne idée, et bon début. Jacques était ravi, et tout excité. Elle voulait qu’il se déshabille devant elle ? Il hésitait. Elle l’a aidé, avant de se déshabiller elle-même, l’a poussé dans la douche. Ils étaient nus, tous les deux, dans la douche, et elle a ouvert l’eau. Très vite, la caméra s’est couverte de buée. Vacherie ! Jacques fulminait après ce matériel de m… !

Jacques a dû attendre longtemps avant de retrouver une image claire des deux tourtereaux. Kevin était dans le jardin, rhabillé, il rangeait les outils dans la cabane. Un dernier chaste câlin avec sa tante, et il est parti. Pas de baiser langoureux, pas de geste équivoque. "Ils n’ont même pas consommé !" se lamentait Jacques.

Jacques était impatient de voir Bérengère conclure ses travaux de dévergondage, mais ce n’était pas aussi facile pour elle qu’il le croyait. Longtemps, Bérengère était restée fidèle à son mari. Récemment, depuis quelques mois, peut-être deux ans, elle avait commencé à regarder ailleurs. Devant le désintérêt de son mari, travaillée par une libido de plus en plus exigeante, elle avait été emportée par le regard sombre et pénétrant d’un bellâtre.

Elle avait suivi les yeux noirs dans un hôtel proche, et s’était offerte comme une fille à la cuisse légère, heureuse de découvrir le plaisir à plusieurs reprises. Pendant qu’elle reprenait des forces dans la baignoire, il avait disparut sans un adieu. Peut-être avait-il peur d’avoir eu affaire à une semi-professionnelle, et d’avoir à mettre la main au portefeuille.

Depuis, chaque fois qu’un bel homme l’accostait, elle l’écoutait débiter ses fadaises, et pour peu qu’il soit habile, elle le suivait. Mais jamais elle n’avait pris l’initiative. Et c’était ça qui la retenait avec Kevin. Comment ne pas aller trop loin, sans l’effrayer, l’amener doucement dans son lit, pour jouir de sa jeunesse, et de sa vaillance qu’elle devinait virile.

Elle ignorait tout de l’attirance de Kevin pour ses nichons tout ronds, et qu’il fantasmait sur elle depuis si longtemps. Rentré chez lui, furieux contre lui-même, de ne pas avoir osé saisir sa chance, de s’être laissé faire, sans prendre l’initiative. Avoir laissé passer une telle occasion, non mais quel crétin ! Elle s’était trouvée nue, sous la douche, juste à côté de lui. Elle lui savonnait le dos, et il était resté plaqué contre le mur pour lui cacher son érection honteuse.

Demain, il retournera chez elle, sous n’importe quel prétexte, et il franchira le pas. Il ne doutait pas de son courage, demain … oui, demain, il osera ! Mais le lendemain, sa mère avait besoin de lui. Pour l’accompagner en courses, au centre commercial, pour pousser le chariot, porter les packs d’eau …
"Donner un coup de main à ta mère, tu es en vacances, tu peux bien faire ça !"
Il attendait sa mère devant le salon de coiffure, elle avait demandé un coup de peigne, juste cinq minutes … Il l’attendait patiemment, en la regardant à travers la vitrine lorsque, dans le reflet de la vitre, il a vu passer sa tante au bras d’un monsieur qu’il ne connaissait pas. Interloqué, il les a suivi du regard, songeur.

C’était bien tante Bérengère, pas d’erreur possible. Qu’est-ce qu’elle fabriquait avec ce type ? Il est rentré en coup de vent dans la boutique, expliquer à sa mère qu’il avait vu ses potes, et qu’il allait les rejoindre. Elle a accepté, finalement ça l’arrangeait, elle pourrait prendre son temps, et avoir mieux qu’un coup de peigne.

Il s’est précipité à leur suite, au mépris de toute prudence, sans aucune discrétion, et les a vu de loin disparaître dans l’entrée d’un hôtel. Il est passé devant à plusieurs reprises, scrutant l’entrée éclairée de l’hôtel, comme s’il pouvait deviner la réponse à la question qui le turlupinait. Qu’est-ce qu’elle foutait là-dedans ?

Il s’est assis sur banc, partiellement dissimulé par un buisson. Il cogitait sans comprendre. Il a attendu, longtemps. Deux longues heures. Le type est ressorti, seul. Kevin a encore attendu. Tante Bérengère ne réapparaissait pas. Inquiet, il s’est approché de l’entrée, pour jeter un coup d’œil, et s’est trouvé nez-à-nez avec sa tante.

Elle n’avait pas l’air ravie de le trouver là. Elle l’a attrapé par le bras et l’a entraîné derrière elle, jusqu’à sa voiture, garée au parking souterrain. Elle l’a fait monter à l’arrière, et s’est glissée à côté de lui, sur la banquette arrière.

"Qu’est-ce que tu fais ? Tu m’espionnes ? Tu me surveilles, pour aller me cafarder à ton oncle ?"
Kevin ne comprenait pas sa colère, il n’avait rien fait de mal. Juste de l’étonnement, et de la curiosité. Il restait muet, son attitude l’a rendue folle :
"Promets-moi de ne rien dire à Jacques, et tu auras tout ce que tu veux de moi !"
Joignant le geste à la parole, elle a dégrafé son chemisier, sorti un sein de son bonnet, et l’a présenté à Kevin :
"Tiens, je sais que tu en meurs d’envie !"
Il s’est jeté sur l’objet de sa convoitise, tétant, suçant, et massant le lourd globe comme un bébé se jette sur le sein maternel. Ravie, Bérengère a caressé de sa main légère la nuque de Kevin pour l’encourager. Le jeune homme penché sur elle s’activait sur la lourde mamelle, tandis qu’elle surveillait les alentours d’un coup d’œil circulaire.

L’absence de danger la rendait audacieuse. Elle a pris le visage de Kevin à deux mains pour l’embrasser longuement à pleine bouche. Sa main est descendue, coquine et frivole, jusqu’à la bosse qui gonflait l’avant de son short. Elle l’a repoussé, le dos contre la portière. Elle a fait glisser le short sous ses genoux, avant de se pencher sur l’objet de ses fantasmes.

Son regard sexy et diabolique examinait la bite dressée du garçon pendant qu’elle caressait lentement, pensive, la tige raidie. Avant de plonger, bouche ouverte, pour lui administrer une délicieuse fellation, elle l’a prévenu :
"Surveille en jetant un coup d’œil aux environs, que l’on ne se fasse pas surprendre par la sécurité !"
La bite de Kevin, agitée par les spasmes de l’impatience, pointait droit vers le visage de Bérengère. Elle a écarté les cuisses du garçon avec ses mains pour contempler sa bite avec un regard fasciné. Puis, les yeux dans les yeux, souriante, elle a posé ses lèvres autour de la bite, aspirant pour créer le vide dans sa bouche, creusant ses joues roses.

Elle l'a regardé avec insistance en descendant lentement le long de sa bite, léchant et suçant voluptueusement l’objet de ses fantasmes. Kevin a serré les dents, fermé les yeux, et rejeté la tête en arrière en poussant un cri sexuel et animal. Elle a commencé à faire courir sa bouche tout le long de la bite tendue, tandis que sa main palpait les bourses.

Bérengère était éreintée par sa séance précédente avec son amant, mais la présence de Kevin lui a donné un regain d’énergie. Elle l’a gardé en bouche jusqu’au bout, savourant le délicieux nectar. Repue, elle l’a laissé jouer un moment avec sa lourde poitrine,
Elle l’a raccompagné près de chez lui, avant de lui donner rendez-vous à l’hôtel pour le lendemain. Elle se méfiait un peu de Jacques, de cette étrange excitation qui l’avait saisi en découvrant son attrait pour le corps tonique de son neveu. Et cette manie qu’il avait d’équiper toutes les pièces de la maison de caméras discrètes. Il lui avait expliqué brièvement le fonctionnement, mais la fine mouche avait parfaitement repéré ses nouveaux jouets,
Donc, lorsque Jacques est rentré du travail, il s’est précipité dans son bureau, convaincu que ce jour était un grand jour. Il a examiné les enregistrements les uns après les autres, longuement, soigneusement, avant de comprendre tristement que son neveu n’était pas venu, et que sa femme s’était absentée la majeure partie de l’après-midi.

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