VENGEANCE
Récit érotique écrit par Tamalou [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-06-2018 dans la catégorie Dans la zone rouge
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VENGEANCE
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
La cérémonie du mariage avait été un enchantement, nous étions à présent tous à la réception, festoyant joyeusement.
Tout la noce était là, nos familles et nos amis s'amusaient bien. Ma jeune épouse Blanche était magnifique, ses longs cheveux noirs tranchant sur sa courte robe blanche. Elle avait choisi cette robe parce qu'elle mettait en valeur ses formes, et parce qu'elle pourrait s'en servir dans le futur comme robe de cocktail.
J'étais heureux que Jean ait accepté d'être mon témoin, parce qu'il avait été fiancé à Blanche dans le passé, avant qu'elle ne soit mienne. C'était la preuve pour moi qu'il nous avait pardonné. Il avait fait un excellent travail, s'étant même investi dans la réservation de la chambre de l'hôtel pour la nuit de noces et notre séjour pour la lune de miel dans les Iles. Par contre, la sœur de Jean, Térésa ne nous avait pas pardonné.
Elle ne m'avait jamais beaucoup aimé, mais me détestait depuis que j'étais en couple avec Blanche. Térésa est une maîtresse femme, ancienne volleyeuse, de plus d'1,85 m. Athlétique, avec des épaules d'homme. J'avais l'air d'un nain rabougri à côté d'elle ... Toute la journée, elle m'avait regardé méchamment, et je l'évitais, parce qu'elle m'impressionne toujours un peu.
Au milieu de la nuit, les convives s'éclipsant les uns après les autres, Jean et moi prenions un dernier verre, Térésa accompagna Blanche jusqu'à notre chambre. Nous les avons rapidement suivies, j'avais hâte de me retrouver seul avec ma dulcinée. En ouvrant la porte, Jean m'a bousculé d'une bourrade dans le dos, et j'ai trébuché dans la moquette épaisse.
A coté du lit, j'ai vu Blanche avec sa robe remontée autour de sa taille. Contre elle, collé à son dos, un noir gigantesque, entièrement nu, enlaçait ma chérie, une main sur son sein, l'autre main étant enfoncée dans sa culotte en dentelle blanche, jouant avec sa chatte. Térésa se tenait à côté d'eux, regardant le spectacle. Je m'élançait instinctivement pour essayer de venir en aide à ma femme, mais Jean et Térésa m'attrapèrent, me firent chacun une clé au bras et me clouèrent au sol près du lit.
"Que faites-vous? Vous êtes fous!" J'ai demandé, choqué par cette vision devant moi.
"Tu as volé la femme de mon frère," m'expliqua Térésa. "Maintenant, c'est l'heure de la vengeance. Cet étalon noir, Tony, est un jeune mâle très viril, il est là pour féconder ta salope de femme. Il va lui juter son sperme fertile dans sa chatte féconde, elle va avoir un bébé noir, pour que tout le monde, vos familles, vos amis et vos cercles de relations sachent que ta femme est une pute à blacks, qu'elle t'a fait cocu. T'auras du mal à expliquer çà, n'est-ce pas, petite larve visqueuse, tu ne seras plus capable de marcher la tête haute après leur avoir volé leur femme!""Vous ne pouvez pas faire çà, vous n'êtes pas sérieux!" Je me suis exclamé.
"Non, tu ne peux pas me faire ça!" ajouta Blanche. "C'est notre nuit de noces, ce devait être le plus beau jour de ma vie!" Elle a lutté pour échapper à Tony, mais il était beaucoup plus fort qu'elle.
"Tu as trompé mon frère, tu n'es qu'une salope!" cracha Térésa. "Tony va te baiser, que tu le veuilles ou non, et crois-moi, il va te féconder ... Même si ce n'est pas ce soir, parce qu'il vient en lune de miel avec vous. J'ai réservé une grande suite avec deux chambres à coucher, il aura tout le loisir de te baiser jour et nuit pendant les deux semaines de votre lune de miel. Ton mari sera autorisé à compter les coups, mais n'aura pas accès à ton corps de salope jusqu'à votre retour à la maison."Tony retourna Blanche pour lui faire face. Ses yeux se posèrent involontairement sur sa queue en semi-érection, et elle frissonna.
"S'il vous plaît, soyez gentil, ne me faites pas de mal," suppliait-elle. "Je ne veux pas être enceinte d'un bébé noir, et d'ailleurs votre pénis est bien trop gros."Ignorant ses supplications, Tony obligea Blanche à caresser sa bite. Terrorisée, elle obéit, et sa main blanche paraissait minuscule alors qu'elle empoignait le monstre. Elle l'a caressé doucement, jusqu'à ce qu'il se dresse.
"As-tu déjà sucé une bite noire?" Tony lui a demandé.
"Non", répondit-elle. "Je ne suce pas de bite, c'est révoltant.""Eh bien, blanchette, tu vas me sucer maintenant," affirma Tony, alors qu'il la contraignait à s'agenouiller.
"Comment pouvez-vous m'obliger à faire une chose pareille, pour ma nuit de noces, devant mon mari?" elle a supplié, mais Tony l'a forcée à prendre sa bite en bouche, lui intimant l'ordre de sucer.
«Regarde ses lèvres pulpeuses étirées par cette grosse bite qu'elle suce avec délectation», rigola Térésa. "Ta femme, ta jeune épouse, c'est une salope, elle suce un homme qu'elle connaît à peine, t'aurais pensé ça de cette pute?" J'étais malade de jalousie à la vue de ma femme avec une bite noire remplissant sa bouche.
Quand Tony fut satisfait, il jeta Blanche sur le lit. Lui ordonnant d'écarter les jambes, il s'approcha de sa chatte vierge.
"NON" a hurlé Blanche, essayant de s'échapper.
"Plus tu te débats, plus ton mari sera battu" grogna Tony "Térésa!"Térésa me balança son poing au foie. J'ai perdu le souffle et j'ai été pris de nausées. Recroquevillé au sol, j'ai eu un moment de vertige suite à ce coup à terrasser un bœuf.
Blanche a cessé de se débattre, et Tony a attendu que je reprenne mes esprits pour placer sa queue à l'entrée de sa chatte.
Ils tenaient absolument que j'assiste au spectacle.
"Vas-y en douceur, Tony" suggéra Térésa. "Non pas pour dévirginiser cette salope en douceur, mais pour que Michel profite bien du spectacle de voir la chatte de sa femme souillée par un noir pendant sa nuit de noces!"Tony fit coulisser son gland dans la fente plusieurs fois avant de commencer à pousser, et je regardais, misérable, ce monstre entrer, petit à petit, dans la chatte de ma femme, détruisant ce que nous avions de plus précieux.
Il la pénétra lentement, sans accélération ni temps d'arrêt, jusqu'à ce qu'il soit totalement à l'intérieur, ses couilles contre ses fesses. Toute la pénétration fut rythmée par les pleurs de Blanche, qui se lamentait.
Lentement, Tony se retira presque hors d'elle, ne laissant que le gland qui lui distendait les lèvres, puis repris sa pénétration lente, sa queue effectuant comme un arc de cercle devant la difficulté de pénétrer cette chatte serrée.
Malgré ses supplications et ses protestations, ses pleurs s'espacèrent, sa respiration devint plus lourde et il me semblait qu'elle écartait un peu plus les cuisses.
Au bout d'un moment, Térésa lui demanda de baiser Blanche plus fort, et c'est alors qu'elle changea de vocalises: "Ooh, salaud," haleta-t-elle, "tu vas me faire jouir devant mon pauvre mari. Comment pouvez-vous? Notre nuit de noces. Ooh, je suis désolée, Michel, mais je ne peux pas m'en empêcher"Tony accéléra encore son rythme, les cris de ma jeune femme devenait de plus en plus aigus et ses cuisses de plus en plus ouvertes. Elle se cramponnait aux épaules de son violeur lorsqu'il annonça qu'il allait jouir.
"Non, non, s'il te plait" supplia Blanche "pas dans ma chatte, moi, je ne veux pas être enceinte!""Donne-lui tout" cria Térésa, la voix sifflante "féconde cette chienne!"Dans un râle, Tony se crispa et libéra sa semence dans le ventre fertile de ma femme.
Elle a jouit bruyamment, puis elle a sangloté en réalisant que son ventre était imprégné par le sperme d'un noir.
Tony s'est retiré et Térésa m'a saisi par les cheveux, me propulsant entre les cuisses de Blanche.
"Si tu ne veux pas qu'elle soit enceinte, tu ferais mieux de sucer et d'avaler tout ce sperme qui remplis la chatte de ta salope infidèle" me conseilla-t-elle "OUI" hurla blanche "Ôte-moi tout ça, ne me laisse pas tomber enceinte!" Un mélange de jus clairs et gluants commençaient à suinter de sa chatte, j'ai refusé, disant que je ne pouvais pas le faire, que c'était trop dégueulasse.
"FAIS-LE, PETITE BITE, SUCE-MOI, DÉBARRASSE-MOI DE TOUTE CETTE MERDE!" hurla Blanche, elle m'a attrapé par les oreilles et a pressé mon visage contre son ventre. À contrecœur, je léchais et suçais jusqu'à ce que j'aie nettoyé tout le sperme qui coulait de sa chatte.
Tony a ensuite déshabillé totalement Blanche et s'est allongé à côté d'elle.
"Nous allons nous embrasser et tu vas me câliner un peu, le temps que mon érection revienne" lui dit-il.
"Et tu ferais bien d'être enthousiaste" a averti Térésa "sinon je botte les couilles de ton mari jusqu'à ce qu'elles éclatent!" Blanche comprit que Térésa ne plaisantait pas, alors elle enlaça Tony et ouvrit sa bouche pour l'embrasser.
La séance de baisers a duré longtemps, et je trouvais que Blanche simulait vraiment bien, on aurait juré qu'elle y prenait du plaisir. Tony lui prit la main et la posa sur sa queue semi érigée.
Elle l'a caressé amoureusement, et il a commencé à durcir.
"Tu vas encore me baiser?" elle lui a chuchoté. "j'aimerais te sucer un peu avant"Tony s'est étendu sur le dos, elle s'est accroupie contre lui, et lui a sucé la queue en caressant ses bourses.
Cette fois, j'ai trouvé qu'elle y mettait beaucoup de cœur pour jouer la comédie!
La couchant sur le dos, il s'installa entre ses cuisses ouvertes, prêt à la pénétrer.
"Vas-tu encore éjaculer dans mon vagin?" elle a demandé. Tony hocha la tête avec un sourire.
"Prépare-toi à me sucer Michel," me dit-elle. "Je compte sur toi pour ne pas tomber enceinte." J'ai été de nouveau forcé à assister aux ébats de ma femme et de ce colosse noir. Mais cette fois, la participation de Blanche a été bien plus active. Elle a enserré les reins de son violeur entre ses jambes, s'est accrochée à ses épaules musclées, le caressant pendant l'acte, avant d'enfouir son visage dans son cou pour masquer sa jouissance. Elle s'est faite donner plusieurs orgasmes puissants par son violeur noir, avant que j'accomplisse ma tâche humiliante de lui lécher son foutre qui coulait de sa chatte distendue.
Tony l'informa qu'ils ne baiseraient plus cette nuit-là, car ils avaient encore deux semaines de sexe sauvage devant eux.
Il a prévenu Blanche qu'ils passeraient le reste de la nuit ensemble. Blanche lui a ouvert les bras sans protester pour qu'il s'y blottisse.
Je jetais un dernier coup d'œil aux deux corps noir et blanc entrelacés sur le lit, et Térésa m'a entraîné dans sa chambre pour passer du temps avec ma tête entre ses jambes.
"J'ai vu que tu savais sucer, alors entraîne-toi avec moi!"Elle m'a saisi par les cheveux afin de plaquer mon visage entre ses jambes écartées.
Elle m'a gardé là pendant deux heures, à lécher et sucer sa chatte sirupeuse, pendant qu'elle avait trois orgasmes.
J'ai ensuite été forcé de m'allonger contre son corps nu, raide et frustré par tous les événements de la nuit.
Le lendemain matin, Tony était parti et Blanche était habillée et finissait les valises pour notre voyage.
L'atmosphère était tendue, car nous ne savions pas quoi nous dire.
Finalement, Blanche a rompu le silence pour m'informer que Tony allait la baiser jour et nuit pendant les deux prochaines semaines, et que je n'aurai pas accès à son corps.
"Nous devons faire contre mauvaise fortune bon cœur", dis-je faiblement.
"Tu n'es vraiment qu'une mauviette, n'est-ce pas?" et c'est tout ce qu'elle m'a dit.
Jean et Térésa nous ont conduits à l'aéroport. Tony, Blanche et moi étions à l'arrière, Blanche entre nous. Tout au long du trajet, la main de Tony était entre les cuisses de Blanche. J'étais plutôt contrarié par le fait qu'elle ne semblait effarouchée par ce contact. Dans l'avion, Tony avait le siège près de la fenêtre, Blanche à son côté, et j'avais le troisième siège côté couloir. Quand l'avion a atteint son altitude de croisière, Tony a recouvert ses jambes et celles de Blanche avec une couverture. Avant que Tony ne remonte la couverture plus haut, j'ai vu Blanche remonter sa robe jusqu'à la taille et dévoiler qu'elle n'avait pas de culotte. Bien évidemment, même avec la couverture, j'ai parfaitement vu Blanche débraguetter Tony et caresser sa queue pendant qu'il jouait avec sa chatte nue et offerte.
Leur manège a duré quelque temps, accompagné de baisers passionnés, et de soupirs de Blanche.
Un peu plus tard, Blanche s'est tournée vers moi.
"Tony veut me baiser dans les toilettes" m'annonça-t-elle. "Tu viens avec nous, tu m'attendras devant, pour que tu puisses me sucer quand il en aura fini avec moi." Je suivais docilement derrière eux. Après un long moment de cris étouffés et de chocs contre la cloison, Tony émergea, zippant son pantalon.
"À ton tour," sourit-il. Je suis entré dans les toilettes retrouver ma femme, les jambes écartées, dégoulinante de sperme.
"Dépêche-toi, ça coule!"Je m'agenouillais devant elle et la nettoyais du mieux que je pouvais avant de retourner à nos sièges.
Il était tard quand nous sommes arrivés à notre hôtel, nous avons eu un cocktail de bienvenue, puis immédiatement ensuite le dîner. Blanche ne manifesta aucune résistance quand Tony lui prit la main et l'emmena dans sa chambre.
Je m'allongeais sur notre lit, écoutant les bruits provenant de la chambre voisine, la porte de communication étant restée ouverte à dessein. Quand ils eurent fini, elle revint dans notre chambre entièrement nue et se mit à califourchon sur mon visage pour que je puisse nettoyer ses fesses.
Elle s'est allongée à côté de moi. Je lui ai dit que je la désirais tant, que je n'avais pas pu consommer notre mariage.
"Je sais bien, mon chéri" répondit-elle "Mais Tony ne le permettra pas, j'ai promis que seule sa bite me prendrait jusqu'à ce que nous rentrions à la maison. Oh, d'ailleurs, demain, nous passerons toute la journée ensemble, juste lui et moi. Il veut mieux me connaître, il est si gentil avec moi, je n'ai pas pu refuser."Je n'aimais pas ça, mais à son ton, je compris qu'il était inutile de protester.
Ils sont partis tôt le lendemain matin, pour visiter le pays. J'ai passé la journée à traîner, assis près de la piscine.
Ils n'étaient pas revenus à minuit, alors je suis allé me coucher mais sans trouver le sommeil.
Plus tard, j'ai entendu la porte s'ouvrir et les deux amants entrer en riant.
J'entendis Blanche dire qu'elle le rejoindrai bientôt, puis elle vint dans notre chambre.
Elle alluma la lumière et il était évident qu'elle avait bu. Elle se tenait devant le lit, souriante, et effeuilla sensuellement ses vêtements. Elle se tint devant moi, les mains sur les hanches, hautaine.
Je pouvais voir ses seins et l'intérieur de ses cuisses couverts de traces d'amour, griffures et suçons.
"Il marque sa femelle quand il la baise, tu vois?" elle souriait, fière de me montrer son infidélité.
Je lui ai dit que je ne pouvais pas supporter ça, la pensée d'un autre homme la baisant me rendait fou.
"Oh, ça va, arrête de pleurnicher," dit-elle. "Il y a certaines choses que tu dois comprendre: premièrement, ma chatte appartient à Tony pour le reste du séjour, il me baise où, quand, et comme il veut, et tu dois aussi savoir que j'adore faire l'amour avec Tony, il a une queue magnifique et il sait comment l'utiliser, je m'éclate avec lui, et avec la quantité de sperme que Tony m'a déjà donné, il est probable que je suis déjà enceinte. Même si ce n'était pas encore le cas, je le serai d'ici la fin du séjour, donc tu ferais mieux de t'habituer à l'idée d'élever un bébé noir."J'étais décontenancé par le fait qu'elle acceptait tout si calmement.
"Est-ce que ça veut dire que tu ne veux plus que je te suce?""C'est ça," confirma-t-elle, "à l'avenir je passerai toutes les nuits dans le lit de Tony. Maintenant, si tu veux bien m'excuser, il y a une grosse bite bien raide dans la chambre à côté qui a besoin d'être baisée!"En riant, elle retourna dans les bras de son amant.
Le lendemain matin, je déjeunais quand Tony vint me parler. Il m'expliqua qu'il avait laissé Blanche dormir, car il lui avait donné une dure nuit, et me raconta longuement ce qu'il lui avait fait ...
Ma femme émergea longtemps après, les yeux bordés de reconnaissance, et vêtue d'une courte robe de soie verte sexy.
M'ignorant, elle alla droit vers Tony lui donna un long et profond baiser.
"Qu'est-ce qu'il m'a mis, cette nuit!" dit-elle en me regardant, "j'espère que nous ne t'avons pas empêché de dormir!" Ma bouche était trop sèche de jalousie pour répondre, elle continuait à me défier en cajolant son amant noir.
"Tony doit s'absenter ce matin. Nous pourrons passer la matinée au bord de la piscine. Pars devant réserver quelques chaises longues, je vais te rejoindre."J'ai attendu près d'une heure avant que Blanche ne me rejoigne, exposée dans un mini bikini blanc, qui ne cachait presque rien.
"Il m'a baisée avant de partir, tu sais? Il est très résistant, sa queue est toujours prête à servir, et j'aime tellement quand il me baise, comment pourrais-je lui résister?"Elle souriait, heureuse. "Je suis accro à sa queue, je la voudrais dans ma bouche ou dans ma chatte tout le temps!" Elle savait que cela me bouleversait.
Pour le reste du séjour, Blanche se livrait corps et âme à Tony, elle avait perdu toutes ses inhibitions.
Nous cherchions des plages désertes, et elle s'offrait à lui sans pudeur, que je sois présent ou pas. Elle réclamait sa bite, pour le sucer ou pour qu'il la nique en face de moi. Elle le chevauchait, et rebondissait sur son sexe jusqu'à ce qu'elle lui vide les couilles. C'était pareil à l'hôtel. Elle errait d'une chambre à l'autre, profitant de chaque occasion pour s'offrir à Tony, que je sois là ou pas.
Finalement, la comédie prit fin, et Jean et Térésa nous attendaient à l'aéroport.
Nous avons laissé Tony d'abord, et Blanche a passé un long moment dans ses bras, l'embrassant et le suppliant de lui donner des nouvelles. Il lui a expliqué qu'il serait absent trois semaines, mais qu'ensuite il pourrait la rejoindre.
De retour chez nous, Blanche a invité Jean et Térésa à entrer.
"Je sais que nous avons eu des différents" a-t-elle dit. "Mais je vous suis si reconnaissante de m'avoir présenté à Tony, c'est un homme merveilleux et un amant exceptionnel.""Alors," continua-t-elle souriante, "pour te remercier, Jean, si tu voulais m'accompagner à l'étage et me baiser? Michel peut rester ici et sucer Térésa comme il l'a fait lors de notre nuit de noces."Je commençai à protester, mais Térésa m'interrompit: "Tu n'as pas le choix,"dit-elle en se ôtant sa culotte.
Après avoir le dîner ce soir-là, nous étions tous les deux seuls, j'ai dit à Blanche que je la désirais plus que jamais.
"Tu es mon mari et je ne peux pas refuser mon devoir conjugal, Michel, mais tu dois savoir. Je ne dois pas toucher ou sucer ta bite, et tu dois toujours porter un préservatif. Je dois rester saine pour mon amant Tony, je dois me préserver pour lui, tu n'aura jamais le droit de me souiller!"Cela convenu, nous sommes montés à l'étage, et j'étais impatient d'avoir ma première baise avec mon épouse depuis notre mariage. Nous nous sommes déshabillés chacun de notre côté, puis Blanche s'est allongée sur le lit. Elle m'a demandé de la lécher pour la préparer, ensuite j'ai mis le préservatif, je l'ai pénétrée facilement, elle était tellement large, et je ne durais pas longtemps à cause de mon abstinence, mais elle demeura immobile et silencieuse.
Une fois fini, je me suis plaint de son manque d'enthousiasme.
"Si tu avais une bite d'homme, comme Tony, et que tu baises comme lui, j'aurais de l'enthousiasme" cracha-t-elle méchamment. Bien que je savais tout cela, ses mots m'ont blessé. Au cours des trois semaines suivantes, nous avons eu peu de relations sexuelles. A chaque fois, c'était la même histoire. Son manque d'entrain me réfrigérait, le préservatif m'emmerdait, et je me libérais très vite de cette corvée. Elle passait beaucoup de temps à pleurer, son amant lui manquait. Finalement, un soir, il vint à la maison, et elle se jeta dans ses bras pour l'embrasser. Elle portait une minuscule nuisette de soie noire, sans rien dessous. Et pendant qu'ils se câlinaient devant moi, elle lui annonça:"C'est confirmé, je suis enceinte, je vais nous donner un magnifique bébé noir, tu vas être papa, mon chéri!" Ils ont tous les deux crié et sauté de joie, et j'avais une boule dans le ventre.
"On va monter à l'étage et tu vas me baiser toute la nuit pour fêter ça!" lui dit-elle.
"Et toi, Michel, tu vas dormir en bas, sur le canapé parce qu'on va être bruyants!" Une fois de plus, j'ai passé la nuit seul à écouter les cris de ma femme et les ressorts du sommier.
Le lendemain matin, après le départ de Tony, Blanche est venue me parler au salon.
"Tony et moi avons réalisé après cette séparation de trois semaines que nous ne pouvions pas nous passer l'un de l'autre", m'a-t-elle annoncé. "Nous allons vivre ensemble, nous à l'étage, toi en bas. On mettra un petit lit dans le bureau, il y a assez de place. Nous voulons baiser ensemble tout le temps, je ne veux plus être privée de sa bite, tu dois juste accepter d'être cocu. Si ça ne te plaît pas, tu peux t'en aller, je m'en fous!" Je pense que je le savais déjà, mais je me sentais humilié et jaloux.
Tout cela dure depuis deux ans. Tony Junior est un beau bébé de quinze mois, et le ventre de Blanche est maintenant gonflé avec le deuxième enfant de Tony. Mon travail consiste à s'occuper du bébé pendant qu'ils baisent autant qu'ils veulent. Blanche ne me refuse jamais le sexe, mais c'est sans plaisir et sans passion. En fait, elle ne me permet même plus de l'embrasser maintenant, elle préserve sa bouche uniquement pour la bouche ou le sexe de Tony.
Je ne peux pas prétendre être heureux, mais je dois accepter l'inévitable pour empêcher ma femme de me quitter.
La cérémonie du mariage avait été un enchantement, nous étions à présent tous à la réception, festoyant joyeusement.
Tout la noce était là, nos familles et nos amis s'amusaient bien. Ma jeune épouse Blanche était magnifique, ses longs cheveux noirs tranchant sur sa courte robe blanche. Elle avait choisi cette robe parce qu'elle mettait en valeur ses formes, et parce qu'elle pourrait s'en servir dans le futur comme robe de cocktail.
J'étais heureux que Jean ait accepté d'être mon témoin, parce qu'il avait été fiancé à Blanche dans le passé, avant qu'elle ne soit mienne. C'était la preuve pour moi qu'il nous avait pardonné. Il avait fait un excellent travail, s'étant même investi dans la réservation de la chambre de l'hôtel pour la nuit de noces et notre séjour pour la lune de miel dans les Iles. Par contre, la sœur de Jean, Térésa ne nous avait pas pardonné.
Elle ne m'avait jamais beaucoup aimé, mais me détestait depuis que j'étais en couple avec Blanche. Térésa est une maîtresse femme, ancienne volleyeuse, de plus d'1,85 m. Athlétique, avec des épaules d'homme. J'avais l'air d'un nain rabougri à côté d'elle ... Toute la journée, elle m'avait regardé méchamment, et je l'évitais, parce qu'elle m'impressionne toujours un peu.
Au milieu de la nuit, les convives s'éclipsant les uns après les autres, Jean et moi prenions un dernier verre, Térésa accompagna Blanche jusqu'à notre chambre. Nous les avons rapidement suivies, j'avais hâte de me retrouver seul avec ma dulcinée. En ouvrant la porte, Jean m'a bousculé d'une bourrade dans le dos, et j'ai trébuché dans la moquette épaisse.
A coté du lit, j'ai vu Blanche avec sa robe remontée autour de sa taille. Contre elle, collé à son dos, un noir gigantesque, entièrement nu, enlaçait ma chérie, une main sur son sein, l'autre main étant enfoncée dans sa culotte en dentelle blanche, jouant avec sa chatte. Térésa se tenait à côté d'eux, regardant le spectacle. Je m'élançait instinctivement pour essayer de venir en aide à ma femme, mais Jean et Térésa m'attrapèrent, me firent chacun une clé au bras et me clouèrent au sol près du lit.
"Que faites-vous? Vous êtes fous!" J'ai demandé, choqué par cette vision devant moi.
"Tu as volé la femme de mon frère," m'expliqua Térésa. "Maintenant, c'est l'heure de la vengeance. Cet étalon noir, Tony, est un jeune mâle très viril, il est là pour féconder ta salope de femme. Il va lui juter son sperme fertile dans sa chatte féconde, elle va avoir un bébé noir, pour que tout le monde, vos familles, vos amis et vos cercles de relations sachent que ta femme est une pute à blacks, qu'elle t'a fait cocu. T'auras du mal à expliquer çà, n'est-ce pas, petite larve visqueuse, tu ne seras plus capable de marcher la tête haute après leur avoir volé leur femme!""Vous ne pouvez pas faire çà, vous n'êtes pas sérieux!" Je me suis exclamé.
"Non, tu ne peux pas me faire ça!" ajouta Blanche. "C'est notre nuit de noces, ce devait être le plus beau jour de ma vie!" Elle a lutté pour échapper à Tony, mais il était beaucoup plus fort qu'elle.
"Tu as trompé mon frère, tu n'es qu'une salope!" cracha Térésa. "Tony va te baiser, que tu le veuilles ou non, et crois-moi, il va te féconder ... Même si ce n'est pas ce soir, parce qu'il vient en lune de miel avec vous. J'ai réservé une grande suite avec deux chambres à coucher, il aura tout le loisir de te baiser jour et nuit pendant les deux semaines de votre lune de miel. Ton mari sera autorisé à compter les coups, mais n'aura pas accès à ton corps de salope jusqu'à votre retour à la maison."Tony retourna Blanche pour lui faire face. Ses yeux se posèrent involontairement sur sa queue en semi-érection, et elle frissonna.
"S'il vous plaît, soyez gentil, ne me faites pas de mal," suppliait-elle. "Je ne veux pas être enceinte d'un bébé noir, et d'ailleurs votre pénis est bien trop gros."Ignorant ses supplications, Tony obligea Blanche à caresser sa bite. Terrorisée, elle obéit, et sa main blanche paraissait minuscule alors qu'elle empoignait le monstre. Elle l'a caressé doucement, jusqu'à ce qu'il se dresse.
"As-tu déjà sucé une bite noire?" Tony lui a demandé.
"Non", répondit-elle. "Je ne suce pas de bite, c'est révoltant.""Eh bien, blanchette, tu vas me sucer maintenant," affirma Tony, alors qu'il la contraignait à s'agenouiller.
"Comment pouvez-vous m'obliger à faire une chose pareille, pour ma nuit de noces, devant mon mari?" elle a supplié, mais Tony l'a forcée à prendre sa bite en bouche, lui intimant l'ordre de sucer.
«Regarde ses lèvres pulpeuses étirées par cette grosse bite qu'elle suce avec délectation», rigola Térésa. "Ta femme, ta jeune épouse, c'est une salope, elle suce un homme qu'elle connaît à peine, t'aurais pensé ça de cette pute?" J'étais malade de jalousie à la vue de ma femme avec une bite noire remplissant sa bouche.
Quand Tony fut satisfait, il jeta Blanche sur le lit. Lui ordonnant d'écarter les jambes, il s'approcha de sa chatte vierge.
"NON" a hurlé Blanche, essayant de s'échapper.
"Plus tu te débats, plus ton mari sera battu" grogna Tony "Térésa!"Térésa me balança son poing au foie. J'ai perdu le souffle et j'ai été pris de nausées. Recroquevillé au sol, j'ai eu un moment de vertige suite à ce coup à terrasser un bœuf.
Blanche a cessé de se débattre, et Tony a attendu que je reprenne mes esprits pour placer sa queue à l'entrée de sa chatte.
Ils tenaient absolument que j'assiste au spectacle.
"Vas-y en douceur, Tony" suggéra Térésa. "Non pas pour dévirginiser cette salope en douceur, mais pour que Michel profite bien du spectacle de voir la chatte de sa femme souillée par un noir pendant sa nuit de noces!"Tony fit coulisser son gland dans la fente plusieurs fois avant de commencer à pousser, et je regardais, misérable, ce monstre entrer, petit à petit, dans la chatte de ma femme, détruisant ce que nous avions de plus précieux.
Il la pénétra lentement, sans accélération ni temps d'arrêt, jusqu'à ce qu'il soit totalement à l'intérieur, ses couilles contre ses fesses. Toute la pénétration fut rythmée par les pleurs de Blanche, qui se lamentait.
Lentement, Tony se retira presque hors d'elle, ne laissant que le gland qui lui distendait les lèvres, puis repris sa pénétration lente, sa queue effectuant comme un arc de cercle devant la difficulté de pénétrer cette chatte serrée.
Malgré ses supplications et ses protestations, ses pleurs s'espacèrent, sa respiration devint plus lourde et il me semblait qu'elle écartait un peu plus les cuisses.
Au bout d'un moment, Térésa lui demanda de baiser Blanche plus fort, et c'est alors qu'elle changea de vocalises: "Ooh, salaud," haleta-t-elle, "tu vas me faire jouir devant mon pauvre mari. Comment pouvez-vous? Notre nuit de noces. Ooh, je suis désolée, Michel, mais je ne peux pas m'en empêcher"Tony accéléra encore son rythme, les cris de ma jeune femme devenait de plus en plus aigus et ses cuisses de plus en plus ouvertes. Elle se cramponnait aux épaules de son violeur lorsqu'il annonça qu'il allait jouir.
"Non, non, s'il te plait" supplia Blanche "pas dans ma chatte, moi, je ne veux pas être enceinte!""Donne-lui tout" cria Térésa, la voix sifflante "féconde cette chienne!"Dans un râle, Tony se crispa et libéra sa semence dans le ventre fertile de ma femme.
Elle a jouit bruyamment, puis elle a sangloté en réalisant que son ventre était imprégné par le sperme d'un noir.
Tony s'est retiré et Térésa m'a saisi par les cheveux, me propulsant entre les cuisses de Blanche.
"Si tu ne veux pas qu'elle soit enceinte, tu ferais mieux de sucer et d'avaler tout ce sperme qui remplis la chatte de ta salope infidèle" me conseilla-t-elle "OUI" hurla blanche "Ôte-moi tout ça, ne me laisse pas tomber enceinte!" Un mélange de jus clairs et gluants commençaient à suinter de sa chatte, j'ai refusé, disant que je ne pouvais pas le faire, que c'était trop dégueulasse.
"FAIS-LE, PETITE BITE, SUCE-MOI, DÉBARRASSE-MOI DE TOUTE CETTE MERDE!" hurla Blanche, elle m'a attrapé par les oreilles et a pressé mon visage contre son ventre. À contrecœur, je léchais et suçais jusqu'à ce que j'aie nettoyé tout le sperme qui coulait de sa chatte.
Tony a ensuite déshabillé totalement Blanche et s'est allongé à côté d'elle.
"Nous allons nous embrasser et tu vas me câliner un peu, le temps que mon érection revienne" lui dit-il.
"Et tu ferais bien d'être enthousiaste" a averti Térésa "sinon je botte les couilles de ton mari jusqu'à ce qu'elles éclatent!" Blanche comprit que Térésa ne plaisantait pas, alors elle enlaça Tony et ouvrit sa bouche pour l'embrasser.
La séance de baisers a duré longtemps, et je trouvais que Blanche simulait vraiment bien, on aurait juré qu'elle y prenait du plaisir. Tony lui prit la main et la posa sur sa queue semi érigée.
Elle l'a caressé amoureusement, et il a commencé à durcir.
"Tu vas encore me baiser?" elle lui a chuchoté. "j'aimerais te sucer un peu avant"Tony s'est étendu sur le dos, elle s'est accroupie contre lui, et lui a sucé la queue en caressant ses bourses.
Cette fois, j'ai trouvé qu'elle y mettait beaucoup de cœur pour jouer la comédie!
La couchant sur le dos, il s'installa entre ses cuisses ouvertes, prêt à la pénétrer.
"Vas-tu encore éjaculer dans mon vagin?" elle a demandé. Tony hocha la tête avec un sourire.
"Prépare-toi à me sucer Michel," me dit-elle. "Je compte sur toi pour ne pas tomber enceinte." J'ai été de nouveau forcé à assister aux ébats de ma femme et de ce colosse noir. Mais cette fois, la participation de Blanche a été bien plus active. Elle a enserré les reins de son violeur entre ses jambes, s'est accrochée à ses épaules musclées, le caressant pendant l'acte, avant d'enfouir son visage dans son cou pour masquer sa jouissance. Elle s'est faite donner plusieurs orgasmes puissants par son violeur noir, avant que j'accomplisse ma tâche humiliante de lui lécher son foutre qui coulait de sa chatte distendue.
Tony l'informa qu'ils ne baiseraient plus cette nuit-là, car ils avaient encore deux semaines de sexe sauvage devant eux.
Il a prévenu Blanche qu'ils passeraient le reste de la nuit ensemble. Blanche lui a ouvert les bras sans protester pour qu'il s'y blottisse.
Je jetais un dernier coup d'œil aux deux corps noir et blanc entrelacés sur le lit, et Térésa m'a entraîné dans sa chambre pour passer du temps avec ma tête entre ses jambes.
"J'ai vu que tu savais sucer, alors entraîne-toi avec moi!"Elle m'a saisi par les cheveux afin de plaquer mon visage entre ses jambes écartées.
Elle m'a gardé là pendant deux heures, à lécher et sucer sa chatte sirupeuse, pendant qu'elle avait trois orgasmes.
J'ai ensuite été forcé de m'allonger contre son corps nu, raide et frustré par tous les événements de la nuit.
Le lendemain matin, Tony était parti et Blanche était habillée et finissait les valises pour notre voyage.
L'atmosphère était tendue, car nous ne savions pas quoi nous dire.
Finalement, Blanche a rompu le silence pour m'informer que Tony allait la baiser jour et nuit pendant les deux prochaines semaines, et que je n'aurai pas accès à son corps.
"Nous devons faire contre mauvaise fortune bon cœur", dis-je faiblement.
"Tu n'es vraiment qu'une mauviette, n'est-ce pas?" et c'est tout ce qu'elle m'a dit.
Jean et Térésa nous ont conduits à l'aéroport. Tony, Blanche et moi étions à l'arrière, Blanche entre nous. Tout au long du trajet, la main de Tony était entre les cuisses de Blanche. J'étais plutôt contrarié par le fait qu'elle ne semblait effarouchée par ce contact. Dans l'avion, Tony avait le siège près de la fenêtre, Blanche à son côté, et j'avais le troisième siège côté couloir. Quand l'avion a atteint son altitude de croisière, Tony a recouvert ses jambes et celles de Blanche avec une couverture. Avant que Tony ne remonte la couverture plus haut, j'ai vu Blanche remonter sa robe jusqu'à la taille et dévoiler qu'elle n'avait pas de culotte. Bien évidemment, même avec la couverture, j'ai parfaitement vu Blanche débraguetter Tony et caresser sa queue pendant qu'il jouait avec sa chatte nue et offerte.
Leur manège a duré quelque temps, accompagné de baisers passionnés, et de soupirs de Blanche.
Un peu plus tard, Blanche s'est tournée vers moi.
"Tony veut me baiser dans les toilettes" m'annonça-t-elle. "Tu viens avec nous, tu m'attendras devant, pour que tu puisses me sucer quand il en aura fini avec moi." Je suivais docilement derrière eux. Après un long moment de cris étouffés et de chocs contre la cloison, Tony émergea, zippant son pantalon.
"À ton tour," sourit-il. Je suis entré dans les toilettes retrouver ma femme, les jambes écartées, dégoulinante de sperme.
"Dépêche-toi, ça coule!"Je m'agenouillais devant elle et la nettoyais du mieux que je pouvais avant de retourner à nos sièges.
Il était tard quand nous sommes arrivés à notre hôtel, nous avons eu un cocktail de bienvenue, puis immédiatement ensuite le dîner. Blanche ne manifesta aucune résistance quand Tony lui prit la main et l'emmena dans sa chambre.
Je m'allongeais sur notre lit, écoutant les bruits provenant de la chambre voisine, la porte de communication étant restée ouverte à dessein. Quand ils eurent fini, elle revint dans notre chambre entièrement nue et se mit à califourchon sur mon visage pour que je puisse nettoyer ses fesses.
Elle s'est allongée à côté de moi. Je lui ai dit que je la désirais tant, que je n'avais pas pu consommer notre mariage.
"Je sais bien, mon chéri" répondit-elle "Mais Tony ne le permettra pas, j'ai promis que seule sa bite me prendrait jusqu'à ce que nous rentrions à la maison. Oh, d'ailleurs, demain, nous passerons toute la journée ensemble, juste lui et moi. Il veut mieux me connaître, il est si gentil avec moi, je n'ai pas pu refuser."Je n'aimais pas ça, mais à son ton, je compris qu'il était inutile de protester.
Ils sont partis tôt le lendemain matin, pour visiter le pays. J'ai passé la journée à traîner, assis près de la piscine.
Ils n'étaient pas revenus à minuit, alors je suis allé me coucher mais sans trouver le sommeil.
Plus tard, j'ai entendu la porte s'ouvrir et les deux amants entrer en riant.
J'entendis Blanche dire qu'elle le rejoindrai bientôt, puis elle vint dans notre chambre.
Elle alluma la lumière et il était évident qu'elle avait bu. Elle se tenait devant le lit, souriante, et effeuilla sensuellement ses vêtements. Elle se tint devant moi, les mains sur les hanches, hautaine.
Je pouvais voir ses seins et l'intérieur de ses cuisses couverts de traces d'amour, griffures et suçons.
"Il marque sa femelle quand il la baise, tu vois?" elle souriait, fière de me montrer son infidélité.
Je lui ai dit que je ne pouvais pas supporter ça, la pensée d'un autre homme la baisant me rendait fou.
"Oh, ça va, arrête de pleurnicher," dit-elle. "Il y a certaines choses que tu dois comprendre: premièrement, ma chatte appartient à Tony pour le reste du séjour, il me baise où, quand, et comme il veut, et tu dois aussi savoir que j'adore faire l'amour avec Tony, il a une queue magnifique et il sait comment l'utiliser, je m'éclate avec lui, et avec la quantité de sperme que Tony m'a déjà donné, il est probable que je suis déjà enceinte. Même si ce n'était pas encore le cas, je le serai d'ici la fin du séjour, donc tu ferais mieux de t'habituer à l'idée d'élever un bébé noir."J'étais décontenancé par le fait qu'elle acceptait tout si calmement.
"Est-ce que ça veut dire que tu ne veux plus que je te suce?""C'est ça," confirma-t-elle, "à l'avenir je passerai toutes les nuits dans le lit de Tony. Maintenant, si tu veux bien m'excuser, il y a une grosse bite bien raide dans la chambre à côté qui a besoin d'être baisée!"En riant, elle retourna dans les bras de son amant.
Le lendemain matin, je déjeunais quand Tony vint me parler. Il m'expliqua qu'il avait laissé Blanche dormir, car il lui avait donné une dure nuit, et me raconta longuement ce qu'il lui avait fait ...
Ma femme émergea longtemps après, les yeux bordés de reconnaissance, et vêtue d'une courte robe de soie verte sexy.
M'ignorant, elle alla droit vers Tony lui donna un long et profond baiser.
"Qu'est-ce qu'il m'a mis, cette nuit!" dit-elle en me regardant, "j'espère que nous ne t'avons pas empêché de dormir!" Ma bouche était trop sèche de jalousie pour répondre, elle continuait à me défier en cajolant son amant noir.
"Tony doit s'absenter ce matin. Nous pourrons passer la matinée au bord de la piscine. Pars devant réserver quelques chaises longues, je vais te rejoindre."J'ai attendu près d'une heure avant que Blanche ne me rejoigne, exposée dans un mini bikini blanc, qui ne cachait presque rien.
"Il m'a baisée avant de partir, tu sais? Il est très résistant, sa queue est toujours prête à servir, et j'aime tellement quand il me baise, comment pourrais-je lui résister?"Elle souriait, heureuse. "Je suis accro à sa queue, je la voudrais dans ma bouche ou dans ma chatte tout le temps!" Elle savait que cela me bouleversait.
Pour le reste du séjour, Blanche se livrait corps et âme à Tony, elle avait perdu toutes ses inhibitions.
Nous cherchions des plages désertes, et elle s'offrait à lui sans pudeur, que je sois présent ou pas. Elle réclamait sa bite, pour le sucer ou pour qu'il la nique en face de moi. Elle le chevauchait, et rebondissait sur son sexe jusqu'à ce qu'elle lui vide les couilles. C'était pareil à l'hôtel. Elle errait d'une chambre à l'autre, profitant de chaque occasion pour s'offrir à Tony, que je sois là ou pas.
Finalement, la comédie prit fin, et Jean et Térésa nous attendaient à l'aéroport.
Nous avons laissé Tony d'abord, et Blanche a passé un long moment dans ses bras, l'embrassant et le suppliant de lui donner des nouvelles. Il lui a expliqué qu'il serait absent trois semaines, mais qu'ensuite il pourrait la rejoindre.
De retour chez nous, Blanche a invité Jean et Térésa à entrer.
"Je sais que nous avons eu des différents" a-t-elle dit. "Mais je vous suis si reconnaissante de m'avoir présenté à Tony, c'est un homme merveilleux et un amant exceptionnel.""Alors," continua-t-elle souriante, "pour te remercier, Jean, si tu voulais m'accompagner à l'étage et me baiser? Michel peut rester ici et sucer Térésa comme il l'a fait lors de notre nuit de noces."Je commençai à protester, mais Térésa m'interrompit: "Tu n'as pas le choix,"dit-elle en se ôtant sa culotte.
Après avoir le dîner ce soir-là, nous étions tous les deux seuls, j'ai dit à Blanche que je la désirais plus que jamais.
"Tu es mon mari et je ne peux pas refuser mon devoir conjugal, Michel, mais tu dois savoir. Je ne dois pas toucher ou sucer ta bite, et tu dois toujours porter un préservatif. Je dois rester saine pour mon amant Tony, je dois me préserver pour lui, tu n'aura jamais le droit de me souiller!"Cela convenu, nous sommes montés à l'étage, et j'étais impatient d'avoir ma première baise avec mon épouse depuis notre mariage. Nous nous sommes déshabillés chacun de notre côté, puis Blanche s'est allongée sur le lit. Elle m'a demandé de la lécher pour la préparer, ensuite j'ai mis le préservatif, je l'ai pénétrée facilement, elle était tellement large, et je ne durais pas longtemps à cause de mon abstinence, mais elle demeura immobile et silencieuse.
Une fois fini, je me suis plaint de son manque d'enthousiasme.
"Si tu avais une bite d'homme, comme Tony, et que tu baises comme lui, j'aurais de l'enthousiasme" cracha-t-elle méchamment. Bien que je savais tout cela, ses mots m'ont blessé. Au cours des trois semaines suivantes, nous avons eu peu de relations sexuelles. A chaque fois, c'était la même histoire. Son manque d'entrain me réfrigérait, le préservatif m'emmerdait, et je me libérais très vite de cette corvée. Elle passait beaucoup de temps à pleurer, son amant lui manquait. Finalement, un soir, il vint à la maison, et elle se jeta dans ses bras pour l'embrasser. Elle portait une minuscule nuisette de soie noire, sans rien dessous. Et pendant qu'ils se câlinaient devant moi, elle lui annonça:"C'est confirmé, je suis enceinte, je vais nous donner un magnifique bébé noir, tu vas être papa, mon chéri!" Ils ont tous les deux crié et sauté de joie, et j'avais une boule dans le ventre.
"On va monter à l'étage et tu vas me baiser toute la nuit pour fêter ça!" lui dit-elle.
"Et toi, Michel, tu vas dormir en bas, sur le canapé parce qu'on va être bruyants!" Une fois de plus, j'ai passé la nuit seul à écouter les cris de ma femme et les ressorts du sommier.
Le lendemain matin, après le départ de Tony, Blanche est venue me parler au salon.
"Tony et moi avons réalisé après cette séparation de trois semaines que nous ne pouvions pas nous passer l'un de l'autre", m'a-t-elle annoncé. "Nous allons vivre ensemble, nous à l'étage, toi en bas. On mettra un petit lit dans le bureau, il y a assez de place. Nous voulons baiser ensemble tout le temps, je ne veux plus être privée de sa bite, tu dois juste accepter d'être cocu. Si ça ne te plaît pas, tu peux t'en aller, je m'en fous!" Je pense que je le savais déjà, mais je me sentais humilié et jaloux.
Tout cela dure depuis deux ans. Tony Junior est un beau bébé de quinze mois, et le ventre de Blanche est maintenant gonflé avec le deuxième enfant de Tony. Mon travail consiste à s'occuper du bébé pendant qu'ils baisent autant qu'ils veulent. Blanche ne me refuse jamais le sexe, mais c'est sans plaisir et sans passion. En fait, elle ne me permet même plus de l'embrasser maintenant, elle préserve sa bouche uniquement pour la bouche ou le sexe de Tony.
Je ne peux pas prétendre être heureux, mais je dois accepter l'inévitable pour empêcher ma femme de me quitter.
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Les avis des lecteurs
Texte nul … aucun intérêt
Mais que c’est nul ! Rien d’autre à dire