Virée nocturne sur Marseille
Récit érotique écrit par Passud [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur .
- • 351 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Passud ont reçu un total de 1 538 695 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-03-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
Cette histoire de sexe a été affichée 4 020 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Virée nocturne sur Marseille
Ce soir là, je vis encore une soirée parfaite de rires et de beuverie entre potes, sur Marseille.
On quitte la brasserie, pour marcher en plaisantant sans cesse.
Un ami veut nous emmener dans un nouveau bar, ou la musique nous plaira davantage.
La nuit est fraiche, et je regrette de ne pas avoir été pisser avant de partir.
"Fred ? C'est encore loin, ton bar ? J'ai trop envie de pisser !".
"Ah, ah ! C'est la bière ! Encore une demi heure de marche, mais, on à tout notre temps, non ! Pisses contre un mur !".
Je vois un bosquet dans un jardin public, et les prévient de ma future absence.
"Je vais me soulager dans le petit bois, ne m'attendez pas, je vous rejoins !".
"Oh ! Il aime pas qu'on le voit pisser ! Petite nature !".
Je deviens leur sujet de moquerie, alors que je m'enfonce dans le petit jardin.
Je m'approche d'un arbre, et me libère de ma fermeture éclair.
Je n'entend plus mes copains.
Paradoxalement, en déversant mon urine chaude contre l'arbre, mon corps se réchauffe.
Je me sens mieux, je retrouve un peu de lucidité aussi.
Je commence à penser que j'ai trop bu, et que je vais me calmer sur ce point !
Des bruits de brindilles écrasées, me révèlent la présence d'une autre personne.
Je fais un tour d'horizon et découvre la silhouette d'un homme âgé qui se branle la queue.
Il s'approche, je fixe sa bite, entre ses doigts.
Manque de chance, pour lui et moi, il n'est pas assez membré pour m'exciter.
Je remonte ma braguette et me retourne pour m'éloigner.
Mais je me retrouve nez à nez, avec un autre homme d'une soixantaine d'années.
Je baisse les yeux pour découvrir qu'il tient une magnifique verge, épaisse et un peu longue, entre ses doigts.
"T'as pas envie de baiser ? Elle te plait pas ma queue ?".
Il faut que je réagisse rapidement ! Mes potes vont m'attendre, mais je suis en train de fondre devant sa bite, qui m'excite de plus en plus !
"Euh... si, mais j'ai pas beaucoup de temps !".
"Alors, suces-moi un peu, pour commencer !".
Je me baisse devant la verge de l'inconnu.
Ses proportions dans ma gorge me font gémir de plaisir cérébral.
L'autre homme s'impose, et glisse sa bite dans ma bouche, également.
Je comprends qu'ils se connaissent bien, ils prennent un plaisir vicieux à m'humilier en m'insultant, pendant que je les suce avec avidité.
Je suis encore sous l'effet de l'alcool, je me lâche complètement, et entre dans leur dialogue pervers.
Le moins membré s'éloigne et me soulève les fesses.
"Je vais t'enculer comme une salope ! Tu le mérites !".
"Oh, oui, j'attends que ça ! Baisez-moi !".
L'air frais sur mon cul dénudé, est désagréable, mais je sais, que ce n'est que temporaire !
L'inconnu pousse déjà entre mes fesses, sa longue verge fine me pénètre enfin.
Je gémis, en m'enfonçant la gorge, sur la grosse bite de son copain.
Mon corps est secoué, au centre des deux queues en moi.
Mes fesses se sont réchauffées au contact du ventre de l'inconnu, qui tape encore et encore.
Mes râles étouffés, sont couverts par ceux de mes deux amants d'un soir.
"Arhhhhhhh ! C'est bon, Marc ?".
"Orhh ! Oui, il est bon, ce p'tit con ! Arhhhhhhh ! J'adore son cul !".
"Dépêches toi ! Alors, j'ai hâte de l'enculer, moi aussi !".
"Oh, putain, Arhhhhhhh ! Tu vas te régaler ! Oh, la vache, c'est bon ! Arhhh !".
Finalement, c'est bien qu'il m'encule en premier !
Malgré sa finesse, il me fait très bien orgasmer du cul, pendant que je me fais défoncer la gorge !
"Hummm ! T'as l'air d'aimer ça ! P'tite salope !".
"Mmmmm ! Oui, encore ! Arghhhhhhh ! Je joui ! Arghhhhhhh ! Arghhhhhhh !...".
Marc se régale lui aussi, il apprécie ma mouille anale sur sa longue bite, au fil des longues minutes de sodomie qu'il m'impose.
Je bénéficie d'un second orgasme, puis il me rejoint.
"Arhhhh ! Putain ! Jean-Pierre ! Je lui rempli la chatte ! Arhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhh !".
"Vas-y ! Mets lui tout ! Ca glissera mieux, quand je lui metterai ma bite !".
Je gémis en me faisant inséminer longuement, leurs mots vulgaires m'excitent.
Marc se secoue le bassin encore quelque fois, puis recule pour admirer son foutre clair qui coule hors de mon cul.
La lune fait briller son jus entre mes fesses.
"Ouaaahhh, c'était bon ! Merci jeune !".
La queue de Jean-Pierre quitte déjà ma gorge.
Son gros pieu m'écartèle d'un coup.
Je pousse un long cri, il est entré trop vite, mais j'aime ça aussi !
"Oh putain ! Elle est grosse ta queue ! Arghhhhhhh !".
"Je te fais mal ?".
"Non, au contraire ! C'est trop bon ! Défonces-moi !".
Je vis rapidement un troisième orgasme anal, bien plus puissant qu'avec son copain.
Marc se fait laver la bite avec ma bouche, pendant que je joui sans cesse, avec son pote.
Il me demande:
"On t'as jamais vu ici ! T'es du coin ?".
"Arghhhhhhh ! Arghhhhhhh ! Non ! Je suis à Toulon !".
"Dommage ! On t'aurait bien baiser encore ! Pas vrai, Jean-Pierre ?".
"Orhhhhh ! Ouais ! T'es une bonne salope, comme on les adore ! Putain, j'ai la bite pleine de foutre ! J'adore ça ! Tu lui as mis une sacrée dose, salaud !".
Leurs commentaires augmentent mon plaisir anal, je subis une nouvelle montée d'orgasme, plus cérébral.
Le gros gland de Jean-Pierre, cogne puissamment dans le fond de mon cul, me faisant un peu mal.
Je me redresse en me cambrant, pour le recevoir plus profondément.
Ses couilles touchent enfin mon cul, dans cette position, il coulisse plus aisément.
Le passage est fait, je peux me baisser et le laisser coulisser en moi, sans souci, ni douleur.
Son énorme gland me stimule le fond de l'anus, j'aime ce plaisir là !
Ma petite queue se met à enfler, et atteindre une taille normale.
Je pousse des hurlements de plaisir en éjaculant sur les feuilles mortes, pendant qu'il m'encule toujours à fond.
Mon sphincter se resserre sur sa bite, pendant que je me déverse sous mon corps, décuplant mon orgasme.
Les dernières gouttes tombent au sol, mon anus se détend enfin, et reprend le chemin du plaisir anal.
Marc me soutient, pour aider son ami à me défoncer plus aisément.
Jean-Pierre annonce son éjaculation:
"Arghhhhhhh ! Je vais jouir ! Putain ! Quelle salope ! Oh, j'ai envie de lui remplir la gueule ! Ouvres la bouche, salope ! J'arrive !".
Je me tourne dans une certaine précipitation, après quelques rectifications de direction, sa grosse verge me comble la gorge.
Ses flots de sperme couvrent rapidement, le gout de celui de son copain, présent autour de sa bite.
J'ai un réflexe de rejet, le déversement est trop rapide, j'avale alors, plus rapidement ses effluves.
Jean-Pierre crie son bonheur de jouir dans ma bouche, j'aime plus que tout l'entendre jouir en m'abreuvant de son jus gluant et chaud !
Je fais durer notre plaisir commun, en léchant sa grosse verge longuement, et en absorbant ses dernières coulées de foutre.
"Hummmm ! Putain ! Même ça, tu le fais bien ! T'es une bonne petite chienne ! Dommage que tu sois pas d'ici !".
"Hummmm ! Merci ! Ca me fait plaisir d'entendre ça ! Vous êtes pas mal, vous aussi ! J'ai pris mon pied avec vous !".
Marc me donne de quoi essuyer ma bouche et mon cul, puis on se quitte, avec regret.
Je me presse pour rattraper mes amis.
Ils sont trop loin, je dois demander mon chemin à des jeunes de mon âge, en leur donnant le non du bar.
Je repense à la baise que j'ai vécu, en marchant vite.
Finalement, je m'y attendais pas, mais j'ai adoré me faire enculer, ce soir !
Et avaler du foutre bien chaud et épais, est parfait entre deux verres d'alcool !
Lors de mon arrivée, les amis me chambrent sur mon retard.
"Je me suis perdu ! Je connais pas Marseille ! Moi !".
On quitte la brasserie, pour marcher en plaisantant sans cesse.
Un ami veut nous emmener dans un nouveau bar, ou la musique nous plaira davantage.
La nuit est fraiche, et je regrette de ne pas avoir été pisser avant de partir.
"Fred ? C'est encore loin, ton bar ? J'ai trop envie de pisser !".
"Ah, ah ! C'est la bière ! Encore une demi heure de marche, mais, on à tout notre temps, non ! Pisses contre un mur !".
Je vois un bosquet dans un jardin public, et les prévient de ma future absence.
"Je vais me soulager dans le petit bois, ne m'attendez pas, je vous rejoins !".
"Oh ! Il aime pas qu'on le voit pisser ! Petite nature !".
Je deviens leur sujet de moquerie, alors que je m'enfonce dans le petit jardin.
Je m'approche d'un arbre, et me libère de ma fermeture éclair.
Je n'entend plus mes copains.
Paradoxalement, en déversant mon urine chaude contre l'arbre, mon corps se réchauffe.
Je me sens mieux, je retrouve un peu de lucidité aussi.
Je commence à penser que j'ai trop bu, et que je vais me calmer sur ce point !
Des bruits de brindilles écrasées, me révèlent la présence d'une autre personne.
Je fais un tour d'horizon et découvre la silhouette d'un homme âgé qui se branle la queue.
Il s'approche, je fixe sa bite, entre ses doigts.
Manque de chance, pour lui et moi, il n'est pas assez membré pour m'exciter.
Je remonte ma braguette et me retourne pour m'éloigner.
Mais je me retrouve nez à nez, avec un autre homme d'une soixantaine d'années.
Je baisse les yeux pour découvrir qu'il tient une magnifique verge, épaisse et un peu longue, entre ses doigts.
"T'as pas envie de baiser ? Elle te plait pas ma queue ?".
Il faut que je réagisse rapidement ! Mes potes vont m'attendre, mais je suis en train de fondre devant sa bite, qui m'excite de plus en plus !
"Euh... si, mais j'ai pas beaucoup de temps !".
"Alors, suces-moi un peu, pour commencer !".
Je me baisse devant la verge de l'inconnu.
Ses proportions dans ma gorge me font gémir de plaisir cérébral.
L'autre homme s'impose, et glisse sa bite dans ma bouche, également.
Je comprends qu'ils se connaissent bien, ils prennent un plaisir vicieux à m'humilier en m'insultant, pendant que je les suce avec avidité.
Je suis encore sous l'effet de l'alcool, je me lâche complètement, et entre dans leur dialogue pervers.
Le moins membré s'éloigne et me soulève les fesses.
"Je vais t'enculer comme une salope ! Tu le mérites !".
"Oh, oui, j'attends que ça ! Baisez-moi !".
L'air frais sur mon cul dénudé, est désagréable, mais je sais, que ce n'est que temporaire !
L'inconnu pousse déjà entre mes fesses, sa longue verge fine me pénètre enfin.
Je gémis, en m'enfonçant la gorge, sur la grosse bite de son copain.
Mon corps est secoué, au centre des deux queues en moi.
Mes fesses se sont réchauffées au contact du ventre de l'inconnu, qui tape encore et encore.
Mes râles étouffés, sont couverts par ceux de mes deux amants d'un soir.
"Arhhhhhhh ! C'est bon, Marc ?".
"Orhh ! Oui, il est bon, ce p'tit con ! Arhhhhhhh ! J'adore son cul !".
"Dépêches toi ! Alors, j'ai hâte de l'enculer, moi aussi !".
"Oh, putain, Arhhhhhhh ! Tu vas te régaler ! Oh, la vache, c'est bon ! Arhhh !".
Finalement, c'est bien qu'il m'encule en premier !
Malgré sa finesse, il me fait très bien orgasmer du cul, pendant que je me fais défoncer la gorge !
"Hummm ! T'as l'air d'aimer ça ! P'tite salope !".
"Mmmmm ! Oui, encore ! Arghhhhhhh ! Je joui ! Arghhhhhhh ! Arghhhhhhh !...".
Marc se régale lui aussi, il apprécie ma mouille anale sur sa longue bite, au fil des longues minutes de sodomie qu'il m'impose.
Je bénéficie d'un second orgasme, puis il me rejoint.
"Arhhhh ! Putain ! Jean-Pierre ! Je lui rempli la chatte ! Arhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhh !".
"Vas-y ! Mets lui tout ! Ca glissera mieux, quand je lui metterai ma bite !".
Je gémis en me faisant inséminer longuement, leurs mots vulgaires m'excitent.
Marc se secoue le bassin encore quelque fois, puis recule pour admirer son foutre clair qui coule hors de mon cul.
La lune fait briller son jus entre mes fesses.
"Ouaaahhh, c'était bon ! Merci jeune !".
La queue de Jean-Pierre quitte déjà ma gorge.
Son gros pieu m'écartèle d'un coup.
Je pousse un long cri, il est entré trop vite, mais j'aime ça aussi !
"Oh putain ! Elle est grosse ta queue ! Arghhhhhhh !".
"Je te fais mal ?".
"Non, au contraire ! C'est trop bon ! Défonces-moi !".
Je vis rapidement un troisième orgasme anal, bien plus puissant qu'avec son copain.
Marc se fait laver la bite avec ma bouche, pendant que je joui sans cesse, avec son pote.
Il me demande:
"On t'as jamais vu ici ! T'es du coin ?".
"Arghhhhhhh ! Arghhhhhhh ! Non ! Je suis à Toulon !".
"Dommage ! On t'aurait bien baiser encore ! Pas vrai, Jean-Pierre ?".
"Orhhhhh ! Ouais ! T'es une bonne salope, comme on les adore ! Putain, j'ai la bite pleine de foutre ! J'adore ça ! Tu lui as mis une sacrée dose, salaud !".
Leurs commentaires augmentent mon plaisir anal, je subis une nouvelle montée d'orgasme, plus cérébral.
Le gros gland de Jean-Pierre, cogne puissamment dans le fond de mon cul, me faisant un peu mal.
Je me redresse en me cambrant, pour le recevoir plus profondément.
Ses couilles touchent enfin mon cul, dans cette position, il coulisse plus aisément.
Le passage est fait, je peux me baisser et le laisser coulisser en moi, sans souci, ni douleur.
Son énorme gland me stimule le fond de l'anus, j'aime ce plaisir là !
Ma petite queue se met à enfler, et atteindre une taille normale.
Je pousse des hurlements de plaisir en éjaculant sur les feuilles mortes, pendant qu'il m'encule toujours à fond.
Mon sphincter se resserre sur sa bite, pendant que je me déverse sous mon corps, décuplant mon orgasme.
Les dernières gouttes tombent au sol, mon anus se détend enfin, et reprend le chemin du plaisir anal.
Marc me soutient, pour aider son ami à me défoncer plus aisément.
Jean-Pierre annonce son éjaculation:
"Arghhhhhhh ! Je vais jouir ! Putain ! Quelle salope ! Oh, j'ai envie de lui remplir la gueule ! Ouvres la bouche, salope ! J'arrive !".
Je me tourne dans une certaine précipitation, après quelques rectifications de direction, sa grosse verge me comble la gorge.
Ses flots de sperme couvrent rapidement, le gout de celui de son copain, présent autour de sa bite.
J'ai un réflexe de rejet, le déversement est trop rapide, j'avale alors, plus rapidement ses effluves.
Jean-Pierre crie son bonheur de jouir dans ma bouche, j'aime plus que tout l'entendre jouir en m'abreuvant de son jus gluant et chaud !
Je fais durer notre plaisir commun, en léchant sa grosse verge longuement, et en absorbant ses dernières coulées de foutre.
"Hummmm ! Putain ! Même ça, tu le fais bien ! T'es une bonne petite chienne ! Dommage que tu sois pas d'ici !".
"Hummmm ! Merci ! Ca me fait plaisir d'entendre ça ! Vous êtes pas mal, vous aussi ! J'ai pris mon pied avec vous !".
Marc me donne de quoi essuyer ma bouche et mon cul, puis on se quitte, avec regret.
Je me presse pour rattraper mes amis.
Ils sont trop loin, je dois demander mon chemin à des jeunes de mon âge, en leur donnant le non du bar.
Je repense à la baise que j'ai vécu, en marchant vite.
Finalement, je m'y attendais pas, mais j'ai adoré me faire enculer, ce soir !
Et avaler du foutre bien chaud et épais, est parfait entre deux verres d'alcool !
Lors de mon arrivée, les amis me chambrent sur mon retard.
"Je me suis perdu ! Je connais pas Marseille ! Moi !".
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Passud
2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Je vous parle d'un temps, disait la chanson !
A cette époque, c'était encore, sans gros risque !
A cette époque, c'était encore, sans gros risque !
Récit existant mais baise sans capotes avec des inconnus pas pour moi