Vive les vacances 2 - histoire érotique

Remy, caresse le dos de sa tante en faisant de petits cercles avec sa main, elle frémit, sa peau est brûlante, le soleil chauffe déjà.
Jennifer soupire, le bougre vient de faire sauter l'agrafe du soutien-gorge.
La main douce de son neveu glisse sur sa colonne vertébrale et descend vers sa croupe. Ses doigts habilement dénouent les flots de tissu qui se trouvent sur les hanches et qui maintiennent le maillot sur les hanches. Il tire sur le tissu que plus rien ne retient. Comme par miracle, les fesses doucement se dévoilent


Dès que les visiteurs se posent à l'entrée du large sillon, Jennifer se cabre. Deux doigts s'enfoncent entre les lobes charnus, et approchent dangereusement de l'œillet brun. Quelques petites pressions sur lui font souffler, la tante réagit promptement. D'un bon, elle se met sur le dos. Le mouvement rapide fait, que le maillot tombe sur le sable. Remy peut admirer un cours instant la chatte découverte malencontreusement, et les seins lourds balancer sur le torse.


D'un geste rapide, ses doigts s'enfoncent dans la toison. Sa tante a un geste de défense, elle pose sa main sur celle de son neveu et stoppe sa progression. Remy doit renoncer pour l'instant à caresser la vulve attirante. Pour se consacrer au buste lourdement chargé. Jennifer garde sa main sur sa vulve, serre les cuisses, et ferme les yeux.

Mais le neveu, entêté, promène sa main sur le torse, en l'approchant lentement des seins. Il sent la peau de sa tante frémir sous ses doigts. Louis qui est couché juste à côté de sa femme, l'entend soupirer fortement. Il tourne la tête et voit son neveu caresser sa femme. Il sourit et donne un coup de coude à sa nièce qui se redresse. Elle écarquille les yeux en voyant la main de son frère s'approcher des seins de sa tante.

Soudain Jennifer, sûrement excitée, se met assise, et se voile le corps avec une serviette. Elle regarde les voyeurs en haussant les épaules. Louis lui fait un grand sourire et lui dit :

-Souviens-toi de ce que je t'ai dit, penses-y ma chérie !

Jennifer reste un moment sans rien dire, son regard transperce son mari, puis d'un geste rapide, retire la serviette et se couche sur son neveu, le bougre n'attendait que cela, il enlace sa tante, les lèvres se cherchent et se joignent. Murielle reste coite un instant, elle regarde son oncle, et dit en béguant :

-Mais tonton, tu les laisses faire, ils te cocufient devant toi, et toi, tu approuves !

Louis en souriant répond :

-Je te l'ai déjà dit ma chérie, je n'ai plus de libido pour elle, il faut bien qu'elle prenne du plaisir ou elle le trouve, oui, je suis d'accord, la vie est si courte qu'il faut en profiter, mais pour toi, j'en ai même un peu trop de libido !

En disant cela, il lui caresse la cuisse. Murielle sursaute, elle regarde sa tante et son frère se dévorent la bouche. Remy roule sur sa tante et commence à lui sucer les mamelons. Louis demande à sa nièce :

-Ça ne te tente pas ma chérie !

-Murielle, se pince les lèvres et répond :

— Il y a trop de monde sur cette plage !

Louis remarque qu'en effet beaucoup de personnes viennent aussi profiter de la mer. Il dit :

-Les amoureux, ils ne faut pas rester ici, ça devient chaud, rentrons, nous serons plus à l'abri !

Le couple enlacé se sépare, Jennifer remet son maillot et ramasse ses affaires, les quatre font le chemin inverse, en se tenons la main pour rejoindre le mas.

Une fois juste devant le mas, Remy fait sauter le maillot de bain de sa tante et le sien, il la bascule sur l'herbe jaunit par le soleil, et entreprend de lui malaxer les seins.
Louis sort une bouteille de rosée et sert un verre, Il prend place à côte de sa nièce, à la table sous l'olivier, et en compagnie de Murielle, tout en trinquant, les deux matent les amants.


Remy suce avec rage les mamelons de sa tante, qui gémit de plaisir, les bouts plantés au centre de grosses taches brunes, deviennent rapidement énormes. Après un moment de pur bonheur pour sa tante, il délaisse ses lobes charnus pour embrasser chaque parcelle sa peau. Sa bouche descend lentement, s'attarde sur le nombril, puis arrive vers le point visé. Automatiquement, la tante chauffée à blanc ouvre les jambes. Directement la bouche se pose sur le nid d'amour. Quelques coups de langue bien ajustée, font cabrer Jennifer.
Murielle ne perd pas une image, Louis épie sa nièce du coin de l'œil. Sa queue se durcit, d'un geste rapide, il l'extrait de son caleçon de bain. Il lui prend la main et la pose sur son membre tendu.


Sans quitter des yeux les deux amants, Murielle presse plusieurs fois le manche épais. Puis instinctivement se met à le branler. Louis s'avance sur le bord de sa chaise en gémissant doucement.
Remy enfonce sa langue dans la chatte en ébullition, il la fouille en faisant geindre sa tante. Le coquin alterne fouillage de chatte et aspiration du clito. La tante défaille, elle agite son bassin en grognant. Une première jouissance la fait cambrer, elle s'accroche à son neveu en geignant de plaisir. Enfin le neveu peut lui offrir sa queue à sucer.

Murielle, en voyant la queue de son frère dressée, écarquille les yeux, elle l'avait déjà vue à son insu. Déjà au repos, elle lui semblait monstrueuse, mais là aucun mot ne peut la qualifier.
La bite est secouée des spasmes, le gland, large et épais, libère par son méat, quelques perles de rosées. Murielle serre les dents et accélère la masturbation, son oncle est aux anges.
Elle sursaute, lorsqu'elle voit la bite de son frère s'enfoncer dans le ventre de sa tante, elle grimace, c'est comme si c'était elle qui prenait la bite dans la chatte.

Largement dilatée, la chatte de Jennifer s'adapte au calibre de la bite de son neveu. Elle s'accroche à lui en soufflant comme un taureau. Les coups de reins sont terribles, à chaque enfoncement du pieu dans son ventre, la tante pousse un gémissement plus fort que les autres. Murielle tremble en voyant la bite entrer et ressortir du ventre en feu de sa tante. Son maillot s'humidifie sur le bas-ventre, cela prouve que la coquine mouille. Elle branle tellement fort la verge de son oncle qu'il grimace, en serrant les dents.

Un cri incontrôlable sort de la bouche de Jennifer, son ventre s'agite fortement, une puissante jouissance la cloue sur l'herbe.
Murielle se cabre en salivant fortement. Sans demander sans reste, elle se penche sur le bas-ventre de son oncle et avant de lui sucer la bite la décalotte. Les aspirations sur le gland sont redoutables, le tonton geint comme une bête blessée. La bouche efficace fait cabrer le tonton, qui envoie dans la bouche de sa nièce sa semence épaisse. Murielle sent descendre dans sa gorge la crème onctueuse. Elle avale avec gourmandise la liqueur des Dieux. Elle se redresse, ses yeux luisent de bonheur.

Louis la bascule sur la table, avec brutalité, il lui arrache le maillot, il admire la chatte bien rasée aux lèvres fines et bien dessinées. Il lui replie les jambes sur le ventre pour bien voir l'anneau ridé. Il crache dessus, tout en tenant les jambes relevées de sa nièce, il lui salive abondamment l'anus. Murielle, pas accoutumée à un tel attouchement, gémit en se cambrant davantage.




La langue passe plusieurs fois sur l'anus qui semble encore vierge. La langue appuie sur l'anneau qui refuse l'accès à la visiteuse. Louis insiste que l'anneau cède et laisse le passage à une petite partie de la langue rapeuse. Murielle se cabre, jamais encore, elle n'a subi un toucher rectal aussi jouissif. Quelques fois, elle se caressait l'anus avec un doigt, y enfonçait la première phalange, sans oser aller plus loin. Mais là, c'est le bonheur total. Elle se cambre pour que l'accès soit plus aisé, effectivement la langue s'enfonce davantage dans le temple de Sodome.


Murielle défaille, elle souffle comme un dragon en s'accrochant à la table. Cette pénétration anale est révélatrice, la petite coquine adore ça, elle agite doucement sa croupe, elle est au bord de la jouissance. Mais tout a une fin, son oncle se redresse, en laissant sa nièce sur sa fin, mais ce n'est pas fini pour elle.