WEEKEND AMOUREUX

- Par l'auteur HDS Tamalou -
Récit érotique écrit par Tamalou [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : WEEKEND AMOUREUX Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-06-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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WEEKEND AMOUREUX
Julia et moi travaillons dans la même entreprise depuis plus d'un an. Nous avons parlé de notre sexualité et même de notre attirance réciproque, mais n'avons jamais franchi le pas. Nous sommes mariés chacun de notre côté et n'avons aucun besoin de nous compliquer la vie avec une relation extra-conjugale, mais nous sommes bien ensemble.
En fin de journée, nous discutions, je lui ai raconté que ma femme allait partir en voyage du jeudi au lundi suivant et, en disant cela, j'ai vu une étrange lumière s'allumer dans les yeux. Julia m'interrompit d'un geste de la main et me demanda:
"Ta femme, en voyage, tout ce week-end?" les yeux brillants.
"Oui, c'est ce que j'ai dit, pourquoi?"
"Carlos part samedi matin, pour tout le week-end!"
Bizarrement, je ressentis un sentiment mélangé à cet instant-là, de l'excitation, de la crainte, de l'envie et de l'appréhension, le sentiment que mon souhait le plus cher allait se réaliser, et la peur de ne pas savoir le gérer.
Le samedi matin, stressé, la tête vide, pris de frénésie, programmer le renvoi d'appel sur mon portable, préparer mon sac de sport, refaire dix fois le tour de la maison pour vérifier si je ne laissais pas une traînée suspecte dans mon sillage. J'ai conduit deux heures jusqu'à la station de sport d'hiver, machinalement, sans prêter attention à la route, l'esprit obnubilé par toutes les choses qui pourraient arriver, ou presque.
En me garant sur le parking, j'ai vu que la voiture de Julia était déjà là et, soudainement pris d'angoisse, j'ai pensé que j'étais en train de faire une connerie et j'ai failli rebrousser chemin. J'ai surmonté mes craintes, je me suis garé, j'ai attrapé mes affaires et je me suis dirigé vers la réception.
Julia était avec le réceptionniste, je me suis approché, je l'ai enlacée et je l'ai embrassée sur la joue.
"M. Steward, parfait timing, j'étais sur le point d'accompagner Mme Steward jusqu'à votre chambre"
Je jetai un regard interrogatif à Julia qui se contenta de sourire. Une fois dans la chambre, j'ai demandé à Mme Steward l'origine de notre nom et elle m'a confié en riant que "Steward" était le nom sur l'étiquette de son bagage, la compagnie de bagages Steward, depuis 1887.
Tandis que je déballais mon sac pour ranger mes affaires, Julia s'est dirigée vers la salle de bain pour se doucher.
J'ai hésité sur le pas de porte de la salle de bain, je pouvais voir Julia derrière le verre translucide, ses formes pleines et voluptueuses. Nous n'avions pas vraiment posé de règles de vie pour cette fin de semaine, et j'ai pensé que ce genre de mouvement prématuré pouvait l'effaroucher.
Je me suis assis devant la fenêtre quand elle est sortie de la salle de bain drapée dans un peignoir et je la regardais subrepticement tandis qu'elle s'habillait, ne la dévisageant jamais, mais désireux de découvrir ses trésors.
Pendant le déjeuner, je lui ai "avoué" avoir hésité à la rejoindre sous la douche, et Julia m'a dit de me "détendre" et que je devrais "agir" la prochaine fois que j'aurai une envie, puis elle m'a confié qu'elle avait pensé à la même chose pendant qu'elle se douchait, et avoir attendu ma "visite". Nous avons continué à parler au sujet d'être nerveux, d'avoir des doutes, et que nous étions ici pour prendre du bon temps. Je ne pus m'empêcher de remarquer que Julia regardait par-dessus mon épaule, et j'ai appris plus tard qu'elle suivait des yeux un athlétique noir qui traversait le restaurant.
Après le déjeuner, pendant la promenade, Julia pris l'initiative. À l'improviste, elle se serra dans mes bras et m'enlaçant, elle m'embrassa sur la bouche. "Revenons à notre chambre, maintenant."
Je ne répondis même pas, je fis demi-tour et marchais rapidement, main dans la main avec Julia jusqu'à l'hôtel.
Dans la chambre, nous nous sommes déshabillés mutuellement, explorant nos corps agrippés l'un à l'autre, fouillant les chairs, explorant nos orifices et bientôt nous fumes haletants, excités et pervers. Nous nous écroulâmes ensemble sur le lit, enlacés et la bouche pleine de la bouche de l'autre, mais bientôt je me dégageais pour lui dévorer les seins aux tétons érectiles, avant de descendre sur son ventre sans m'arrêter, pour atteindre le Graal, sa chatte juteuse. Alors que ma langue explorait son ouverture et que mes lèvres taquinaient son clitoris, elle agrippa mes cheveux, haletante, creusant ses reins, écartant ses cuisses, attendant la vague de l'orgasme, puis pressa mon visage contre elle, cessant de respirer, tremblante, en explosant de jouissance.
Ses yeux avides se fixèrent sur moi "Soulève-toi et viens ici, je dois sucer cette bite."
Elle m'a parlé les dents serrées, impatiente et lubrique, je me suis agenouillé près de sa tête, elle s'est jetée sur ma queue les deux mains en avant, m'a saisi et m'a fourré dans sa bouche, elle m'a sucé, m'a léché en ronronnant, je ne rappelle pas avoir jamais vu une femelle sucer une bite avec un tel appétit, un tel besoin, comme si sa survie en dépendait, d'avaler ma semence, de me consommer. Elle était tellement passionnée que je n'ai pas pu résister longtemps, je suis venu dans cette bouche vorace, et tandis que je sentais ma bite éjaculer d'épaisses charges de foutre dans sa bouche, je pouvais l'entendre déglutir et la sentir me lécher et me sucer, ne laissant rien perdre. Je suis tombé contre elle, j'ai regardé ses yeux brillants d'émotion "Tu m'as bluffé!"
Après une sieste rapide, nous nous sommes rhabillés et sommes descendus au bar de l'hôtel prendre un verre en discutant du programme de la nuit. Quand on nous a apporté le menu du dîner, j'ai réalisé qu'il était 19H30 et que j'avais consommé un petit peu plus d'alcool que de raison. Nous nous sommes dirigés d'un pas hésitant vers le restaurant où nos avons mangé en continuant à boire et en poursuivant notre conversation faisant référence à ce qui s'était passé, ou à ce qui allait se passer ce soir.
Discrètement, les lumières se tamisèrent progressivement et la musique, insidieusement, se fit plus forte, le restaurant se transformant en une sorte de dancing. Les couples se levaient, attirés par la piste de danse, et j'allais inviter ma cavalière lorsque je m'aperçus de son intérêt pour un grand noir, athlétique et beau garçon. Je l'interrogeais sur cet homme qu'elle suivait des yeux à travers la pièce, et elle m'a confié l'avoir remarqué plus tôt au déjeuner.
La serveuse est venue proposer une autre boisson et j'ai refusé. Julia s'est moquée en demandant si j'avais peur d'être saoul, et j'ai ri en lui disant que je fomentais un plan.
"Un plan secret, ou je peux être mise dans la confidence?" demanda Julia, espiègle.
"Oh, ce n'est pas un secret, je pensais à ton intérêt pour cet homme accoudé au bar, le noir là, oui celui-là, je te défie d'aller le chauffer et d'obtenir une danse, ou plus, cela pourrait pimenter notre nuit"
Julia se figea. D'abord réticente, ses yeux suivait chaque geste de cet adonis, sans prononcer une parole. Puis, semblant revenir sur terre, me regardant droit dans les yeux, elle se lécha les lèvres et releva le défi.
"Tu veux bien?" J'ai demandé avec un sourire.
"Je pense pouvoir le faire" murmura-t-elle en se tortillant sur son siège.
Beaucoup de couples avaient maintenant envahis la piste de danse et la salle semblait plus bondée et bruyante.
Je ne suis pas sûr d'avoir pris la bonne décision, mais je me suis entendu dire:
"Vas-y, installe-toi à côté de lui, et attire son attention!"
Julia me regarda l'air perplexe, mais ne répondit rien, se leva et traversa la salle. Quand elle se hissa sur un tabouret à côté de lui, j'ai réalisé à quel point il était vraiment grand. Juchée sur ce haut tabouret de bar, les pieds loin du sol, elle paraissait toute petite aux côtés de ce géant noir.
Alors qu'elle tournait la tête et se penchait sur le bar pour regarder derrière, l'homme noir dévisageât Julia, détaillant ses formes de haut en bas. Je pris un verre, suivant leur manège de séduction des yeux et, au début du morceau suivant, il l'invita et la conduisit par la main sur la piste de danse. Je les regardais danser, se parler de temps en temps, se sourire, puis j'ai vu Julia rire et ils semblaient bien s'amuser. Ensuite, il y eut une série de slows et je les ai perdus de vue dans la foule des danseurs, n'apercevant que de temps à autre la tête de l'homme noir émerger au-dessus de la mêlée.
Un long moment a passé, j'ai recommandé une autre boisson plus alcoolisée, la foule s'est légèrement éclaircie et je pouvais les voir en train de danser collé-serré. Je les regardais se déhancher lascivement, sensuellement, le bar semblait plus silencieux, les autres couples sur la piste s'écartaient, admirant leur danse suggestive, évoluant comme s'ils étaient seuls au monde.
Puis j'ai vu ses grandes mains descendre plus bas sur ses reins, et j'ai pu voir Julia pencher la tête en arrière pour lui offrir ses lèvres. Je regardais, comme au ralenti, l'homme noir s'emparer de la bouche de ma copine, l'envahir avec sa langue, tandis que ses mains lui pelotaient les fesses sans vergogne.
Puis il prit Julia par le poignet et il plaqua sa main entre eux, sur le haut de sa cuisse. A cet instant, je sus qu'elle palpait sa bite dans son pantalon.
Le morceau terminé, Julia est revenue à notre table et s'est assise à côté de moi
"Je pense que nous devrions aller dans la chambre, maintenant." elle tremblait, à bout de souffle et d'excitation.
"Est-ce que tout va bien?" J'ai demandé
"Je vais bien, je veux juste aller dans notre chambre et baiser" son très étrange regard me fixait.
Je me penchais à son oreille et murmurais: "As-tu peur, ou es-tu excitée?"
Elle m'a regardé, les yeux écarquillés et m'a dit: "Écoute, je suis tellement excitée, j'ai failli le violer sur la piste de danse, ce mec est une bombe atomique, j'ai failli perdre la tête."
J'ai serré sa main tremblante. "Je pense que s'il t'a mise dans cet état, c'est lui qu'il faut que tu ramènes en haut."
Le regard de Julia devint fixe et son hésitation était palpable. Je sortis de ma poche les deux cartes-clés que le gérant m'avait données à notre arrivée et en remit une à Julia.
"Laisse-moi dix minutes d'avance, et amène-le dans notre chambre." Je me suis levé et je suis parti avant que Julia puisse dire quoi que ce soit.
Une fois à l'intérieur de la chambre, j'ai déverrouillé les portes coulissantes qui donnent sur le balcon, balcon filant sur toute la longueur de la façade, puis j'ai disposé les portes équipées de miroir de manière à pouvoir assister au spectacle. Revenu sur le balcon, j'ai tiré les rideaux et la porte coulissante derrière moi et me suis assis dans un fauteuil de jardin, admirant la vue sur le lac.
Environ une demi-heure plus tard, j'ai vu la lumière s'allumer dans la chambre, j'ai jeté un coup d’œil par la fenêtre de la pièce principale, j'ai entendu l'homme noir demander à Julia où était son mari et elle lui a répondu que le "mari" était parti pêcher, et serait absent jusqu'au lendemain. Je regardais Julia servir à boire à son amant qui se leva, reposa le verre, et vint se coller derrière elle, ses grandes mains s'accrochant à ses seins gonflés de désir. Elle se retourna pour lui tendre ses lèvres et il l'embrassa fougueusement, tout en continuant de la tripoter sur tout le corps.
Après un moment à l'embrasser et à la tripoter, sa robe glissa de ses épaules et il ne perdit pas de temps pour lui ôter ses sous-vêtements. Julia n'était pas en reste, lorsque il s'écarta pour faire glisser sa culotte le long de ses jambes, je pus voir qu'elle lui avait ouvert la braguette et qu'elle tenait sa queue à deux mains, le branlant doucement. Par rapport à la taille de ses mains englobant la colonne de chair noire en semi-érection, je pus m'apercevoir qu'il était monté comme un âne, avec un pénis de concours et des balles lourdes qui pendaient entre ses jambes.
Il a plaqué sa grande main sur son pubis et j'ai vu la bouche de Julia s'ouvrir toute grande lorsqu'il a glissé ses doigts à l'intérieur de sa chatte. Elle a balancé sa tête d'un côté à l'autre et finalement elle a lâché sa queue et s'est cramponnée aux montants du lit à baldaquin, et elle s'est mise à trembler sous son emprise.
Julia paraissait en transe, penchée en avant, alors il se plaquait contre ses fesses en plantant son énorme chibre dans sa chatte. Le cri aigu qu'elle a poussé quand le monstrueux engin s'est immiscé dans sa vulve m'a déchiré le cœur. Il n'avait aucune technique, aucune finesse, il s'est contenté de lui bourrer la chatte à grands coups de rein, et il l'a faite crier son plaisir à plusieurs reprises, avant de décharger son foutre au fond de son vagin. La chatte inondée de son sperme, elle s'est assise sur le lit, l'a attirée contre elle, et lui a nettoyé son pénis en le léchant et en le suçant, puis se laissa glisser à genoux pour lui sucer les bourses et finit en le contournant et en le faisant se pencher en avant sur le lit pour lécher consciencieusement sa raie culière.
Le forçant à s'asseoir au bord du lit, Julia s'est agenouillée entre ses jambes et a commencé une fellation de son mandrin. Elle léchait et suçait ses bourses et remontait le long de sa colonne de chair noire jusqu'à glisser le gland violacé dans sa bouche. La bouche distendue par le diamètre du gland, les deux mains le pompant comme elle le pouvait. Après quelques instant de cela, Julia se leva et l'entraîna par la main, jusqu'au canapé, où elle le fit s'asseoir.
Enjambant l’homme assis, elle vint se positionner sur ses cuisses, face à lui. Je la vis saisir son pénis et s'accroupir dessus, au fur à mesure qu'elle s'enfonçait, sa bouche s'ouvrait dans un long cri silencieux. Haletante, elle s'est posée sur ses cuisses, mais il l'a prise par les hanches pour la faire sauter sur ses genoux, la faisant monter et descendre tout le long de sa colonne de chair.
Julia, la tête rejetée en arrière, bouche grande ouverte, haletait, le corps trempé de sueur.
Soudain, l'empoignant à bras le corps, il s'est levé et a commencé à arpenter la chambre de long en large, à grands pas, faisant monter et descendre Julia sur son vit monstrueux. Elle se cramponnait à ses épaules, le visage enfoui dans son cou, haletante et gémissante, tandis qu'il la promenait au travers de la pièce.
Lorsqu'elle était tournée de dos, je pouvais voir sa mignonne petite chatte distendue et déformée par l'énorme mandrin, et je pensais qu'elle allait être inutilisable pour moi le reste du week-end.
Il changea encore d'idée quand il la déposa sur le lit et attrapa ses jambes pour les lui remonter de chaque côté des épaules, et planta profondément dans sa chatte son manche de pioche. J'ai regardé la chatte de Julia transpercée et incroyablement étirée, je l'ai regardé la baiser profondément et lentement, tandis que la tête de Julia ballotait de gauche à droite. Elle était en proie à un délire érotique, ou le plaisir se mêlait à la douleur, complètement sous l'emprise de ce monstrueux mandrin qui l'ouvrait en deux et lui procurait des séries d'orgasmes à répétition.
Julia, les doigts profondément enfoncés dans la couverture, se cramponnait en hurlant sa jouissance pendant qu'il inondait une nouvelle fois son vagin de son foutre fertile. Épuisé, il s'est allongé à côté d'elle, mais Julia, rendu folle de lubricité, s'est jetée sur son pénis encore raide pour le lécher et le sucer, et le rendre tout propre.
Je me suis détourné de la fenêtre, j'ai glissé ma main dans la poche de mon pantalon, mon sexe s'est tendu en le touchant, et j'ai éjaculé mon foutre sans ouvrir mon pantalon.

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