A 60 ans, une femme baise (2)

- Par l'auteur HDS Micky -
Récit érotique écrit par Micky [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : A 60 ans, une femme baise (2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-11-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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A 60 ans, une femme baise (2)
Avocate à la retraite, Véronique avait choisi d'occuper son temps libre dans une association humanitaire chargée de l'accueil d'immigrés. Cette grande femme mince aux cheveux argentés coupés court avait d'emblée trouvé sa place dans cette collectivité où sa connaissance des lois et son humanité faisaient merveille. Elle se consacrait plus particulièrement aux réfugiés politiques venus de pays violemment dictatoriaux. C'est ainsi qu'elle fut mise en contact avec un certain Aristide, un Haïtien d'une trentaine d'années, qui stupéfia les dames de l'association par sa beauté. Elles auraient bien pris la place de Véronique pour s'occuper de son cas car certaines de ces dames d'âge mûr, parfois veuves, parfois divorcées, n'étaient pas insensibles au charme un peu sauvage de leurs interlocuteurs. Bien que la consigne était de ne pas mélanger vie privée et action humanitaire, il arrivait parfois que certaines de ces dames accueillent un de ces réfugiés en mal de logements, qui finissaient par les rejoindre dans leur lit solitaire. Elles conjuguaient ainsi la chaleur de l'accueil et l'assouvissement de leurs pulsions sexuelles.

Véronique n'était ni veuve, ni divorcée. Elle vivait toujours avec Albert, un homme de son âge, qu'elle chérissait toujours en habituée d'un couple de longue date. Il ne lui faisait plus beaucoup l'amour, l'andropause ayant eu raison de sa libido, ce que regrettait parfois Véronique, surtout quand ses collègues de l'association évoquaient les rapports tumultueux avec leurs invités. Mais l'irruption de cet Aristide réveilla chez elle ses hormones endormies, au point qu'elle fit barrage à sa collègue Nicole qui était prête à l'héberger. Elle mit littéralement le grappin sur l'Haïtien en remuant ciel et terre pour lui faire obtenir un visa ainsi qu'un logement afin de lui éviter les affres de l'internement provisoire. Par l'intermédiaire d'une amie bien placé, elle lui trouva un studio dans une résidence, que l'association pris en charge car elle ne pouvait rien refuser à l'ancienne avocate.

Aristide se confondait en remerciements. Cette grande femme à cheveux blancs coupés court, aussi mince que ses collègues étaient en général replètes, engendrait chez lui une empathie telle qu'il se demandait comment il pourrait lui manifester sa reconnaissance. Il la découvrit vraiment le jour où elle lui rendit visite dans son studio pour vérifier son installation. Elle portait un pantalon corsaire en coton moulant étroitement ses longues jambes et ses fesses charnues, un top sans manches sous lequel pointaient deux seins encore hauts, si bien que l'Haïtien ne vit plus l'associative sexagénaire mais la femme. Il n'en avait pas touché depuis des lustres et une bouffée de désir le prit au fil de la visite et de la conversation. Comme il ne portait qu'un caleçon, son érection puissante ne pouvait pas échapper à l'ancienne avocate.

Depuis combien de temps n'avait-elle pas vu une trique pareille ? Une onde de chaleur irradia son bas-ventre. Il faut dire que depuis qu'elle avait rencontré le trentenaire, elle avait pas mal fantasmé sur lui le soir dans son lit, aux côté de son conjoint endormi. Un canon de ce genre, elle n'en avait jamais eu entre ses cuisses, même avant de connaitre Albert. Et si parfois, au cours de plaidoiries la conduisant loin de foyer conjugal, elle avait cédé à ses pulsions irrésistibles avec un confrère également éloigné de chez lui, jamais avec un homme beau comme un dieu comme Aristide. Et voilà que celui-ci bandait pour elle, devenue sexagénaire. C'était incroyable... et peut-être pas une chance à laisser passer. Si elle voulait enfin être baisée, c'était le moment où jamais.

Mais le garçon était à l'évidence en proie à une tension intérieure. Ne risquait-il pas gros en séduisant une personne comme Véronique, vu son statut précaire ? Celle-ci comprit son débat intime et décida de prendre l'initiative. Elle s'assit sur le lit, tapota sur le matelas pour inviter Aristide à la rejoindre et une fois celui-ci à ses côté, elle lui dit :

- Laisse-toi faire, ça va bien se passer.

Elle glissa sa main sous le caleçon et frissonna de tout son corps au contact du pénis dur, long, épais, totalement décalotté, qu'elle emboucha illico en se penchant sur le giron de son propriétaire. Ce contact buccal, à la fois doux et énergique, aurait pu se traduire par une éjaculation rapide et ainsi abréger cette relation sexuelle parfaitement consentie. Mais Aristide voulait rendre à Véronique tous les services qu'elle lui avait rendus. Cette dame avait un besoin évident de sexe. Et lui aussi, ça tombait bien.

Alors, ses réflexes de mâle accoururent en vitesse. Il se dégagea, non sans regret, de la bouche de plus en plus vorace de la sexagénaire, la culbuta sur le lit, l'embrassa tout en tirant sur le pantalon corsaire tandis qu'elle se dégageait elle-même de son top, l'aida à se débarrasser de son soutif, lui offrit de baisser son caleçon, enregistra avec satisfaction son regard illuminé en spectacle de son sceptre dressé, la regarda dans sa nudité complète, nullement complexée, s'avança entre ses longues cuisses bien écartées, tapota sa vulve de son pénis et sentit une forte pression des talons de l'allongée pour qu'elle soit pénétrée et ainsi sceller définitivement leur union.

A sa demande, il y alla doucement, conscient que son volume devait s'adapter à la récipiendaire. Il y alla centimètre par centimètre mais le déchainement hormonal de la sexagénaire trop longtemps sevrée produisit un rapport fougueux, échevelé, bruyant. Puissamment ramonée, Véronique ne dissimula pas son exaltation, par la voix comme par les coups de reins car elle n'avait jamais eu la baise passive. Car oui, elle baisait, sans retenue, décidée à profiter pleinement de mâle superbe. Elle le chevaucha avec passion en matant son corps d'athlète aux muscules bien dessinés, qu'elle pétrissait tout en ondulant, la langue entre les dents. Il allait loin maintenant, très loin, tout aussi loin quand il la prit en levrette, ses puissantes mains collées à ses hanches pour la faire venir sur sa queue.

Quand il la remit en position allongée, elle était radieuse parce qu'elle était redevenue tellement femme, tellement femelle. Elle lui lança cette injonction :

- Vas-y, défonce-moi, je ne suis pas en sucre, fais-moi jouir.

Ainsi validé, l'Haïtien la secoua de sa bite au comble de son excitation, la faisant rugir de plaisir, écartelée par son amant qui avait glissé ses bras sous ses genoux pour aller en profondeur dans un antre désormais parfaitement lubrifié. Elle eut son orgasme et lui son éjaculation, copieuse, en plusieurs giclées. Anéantie, bras et jambes en croix, elle mit du temps à reprendre ses esprits. Elle ne se souvenait pas d'avoir reçu un hommage aussi viril et il fallut attendre la retraite pour le connaitre !

Une relation adultère se noua. Véronique était accro à la queue d'Aristide parce qu'il la baisait et c'est tout ce qu'elle voulait. Elle n'était pas amoureuse mais elle était folle de son corps. Elle eut des initiatives dont elle ne se croyait plus capable. Glisser une main dans son slip pour lui faire comprendre qu'elle avait envie de baiser. Au lit, mettre le doigt et la langue dans les endroits les plus intimes pour le faire bouillir et profiter ensuite de ses assauts de mâle. Balbutier des mots crus dans l'extase, si peu conformes à son style en dehors du sexe. L'inciter à ce qu'il la prenne dans des endroits incongrus comme les toilettes d'un restaurant ou à l'arrière de son SUV, porte arrière ouverte. En la voyant rajeunie, maquillée plus souvent, délaissant son soutien-gorge et troquant ses culottes contre un string, Albert eut un doute sur sa fidélité mais se garda d'approfondir le sujet, d'autant qu'elle lui manifestait toujours son amour conjugal.

Cette liaison torride ne pouvait qu'avoir une fin. Elle eut lieu quand Aristide éprouva le besoin de rejoindre sa communauté dans une autre ville. Véronique connut alors une petite dépression parce qu'elle avait compris que sa parenthèse érotique était terminée. Elle redevenait une sexagénaire retraitée comme une autre. Néanmoins, lorsque de nouveaux arrivants se faisaient inscrire dans son association, elle demeurait en éveil. Qui sait si un nouvel Aristide n'apparaitrait pas un jour ou l'autre ?

*******

Martine vouait un culte du soleil à rendre jaloux les adorateurs du dieu Ra. A 62 ans, elle continuait à bronzer nue dans son jardin, à l'abri des regards à l'exception de son mari Roland, qui ne l'imitait pas. Certes, il n'était pas indifférent à la peau intégralement cuivrée de son épouse, notamment quand il lui faisait l'amour environ une fois par mois, mais il ne l'accompagnait pas pour autant quand elle empruntait leur voiture pour se rendre à une plage naturiste à une cinquantaine de kilomètres de leur domicile. Exposer son corps menu aux ultraviolets au bord de la mer pendant plusieurs heures constituait en effet un plaisir constant pour la sexagénaire. Elle avait noué quelques relations sur place, en habituée, presque tous des seniors, mais elle était le plus souvent seule sur sa serviette et sous son parasol quand le soleil tapait trop fort.

Sa solitude bronzée lui avait valu, malgré son âge ou à cause de lui, des tentatives de drague de messieurs solitaires, qu'elle avait vite découragées. Avec le temps, sa libido s'était un peu endormie même si parfois, la vue d'un beau costume trois pièces, généralement accompagné, ne la laissait pas indifférente. L'avantage d'une plage naturiste est qu'on ne peut pas tricher sur son corps, en bien comme en mal. Et c'était plutôt dans le mauvais sens pour ses dragueurs.

Il arriva cependant un jour de vent assez fort où son parasol s'envola et atterrit sur une serviette voisine occupée par un quadragénaire lui aussi isolé que Martine avait à peine remarqué. Il accourut à la poursuite de l'objet qu'il rendit à sa propriétaire, laquelle se confondit en remerciements. Mais avant même de voir sa tête, son regard intercepta des attributs d'un volume à rendre jaloux la plupart des hommes de la plage. La queue recourbée pendait sur des couilles lourdes qui ballotaient au rythme de la marche. A leur vue, Martine ressentit un petit choc intime, de sorte que le sauveteur de son parasol fut considéré d'un oeil nouveau. Une courte conversation s'engagea. Elle lui proposa de poser sa serviette à côté de la sienne pour la poursuivre. Il s'appelait Franck, se disait divorcé, était de passage, adepte du naturisme comme le confirmait son corps sans marques blanches et se révéla originaire de la même région que Martine, ce qui permit d'alimenter la conversation. Il la complimenta sur son bronzage intégral, évita des remarques sur son corps qu'elle savait imparfait, en particulier des seins trop petits, et l'entraina dans l'eau avec lui ce qui les mit brièvement en contact et la fit frissonner.

Ils se donnèrent rendez-vous le lendemain puisque le beau temps continuait. Il bénéficiait encore d'un jour de repos avant de poursuivre sa mission professionnelle dans l'immobilier. Elle omit d'évoquer sa rencontre à son mari, à la fois pour ne pas provoquer sa jalousie (ce dont elle doutait) et surtout pour préserver un jardin secret dont elle percevait encore mal les contours. Elle rêva de Franck la nuit suivante. Il était en train de la baiser. Elle en fut toute moite et se demanda s'il était bien raisonnable de revenir à la plage où fatalement, elle le retrouverait. Mais une force irrésistible lui fit remonter dans sa voiture pour gagner la plage naturiste où, de fait, il l'attendait à son emplacement habituel. Et leur conversation reprit comme s'ils ne s'étaient pas quittés.

Pendant qu'ils parlaient, à plat ventre sur leur serviette, leur regard intercepta au fond de la plage, au ras de la dune, un couple en train de faire l'amour. Ce sont des choses qui arrivent sur les plages naturistes, où la nudité intégrale peut conduire au sexe et à l'exhibitionnisme. La femme, une brune longiligne d'une trentaine d'années, chevauchait un homme plus âgé qu'elle après l'avoir sucé. Martine et Franck s'interrompirent pour regarder le couple. Le spectacle inspira particulièrement Franck puisqu'il se mit à bander sur sa serviette et s'allongea sur le côté pour se masturber.

Que se passa-t-il alors dans la tête de Martine ? Elle se le demande peut-être encore. Toujours est-il qu'elle tendit la main vers l'homme tout près d'elle, écarta la sienne et se saisit du membre viril pour l'astiquer, sans pour autant quitter les ébats du couple des yeux. Surpris mais ravi, Franck glissa à son tour la main entre les cuisses de Martine toujours à plat ventre et trouva sans difficulté son sexe pour le doigter en même temps qu'il se faisait palucher. Les deux voyeurs involontaires ne disaient pas un mot, trop occupés par le plaisir digital qu'ils procuraient tout en le recevant. Les hanches de Martine bougeaient sous l'effet du doigt fureteur et par une impulsion subite, sa main branleuse fut remplacée par sa bouche suceuse. Elle n'avait pas pu résister à la tentation d'emboucher cette bite majuscule à la densité inédite pour elle tandis que le doigt de Franck s'activait de plus en plus vite dans son vagin trempé.

Et voilà pourquoi, après que la fille brune eut connu son orgasme et accompagné son amant main dans la main pour un bain de mer, Franck ramassa sa serviette, toujours en érection, la pine horizontale, releva Martine qui saisit la sienne, et tous deux franchirent la dune dans l'intention de passer à l'étape suivante, c'est à dire tout simplement de baiser. Et c'est ainsi que Martine, malgré ses 62 ans, put s'envoyer en l'air avec un homme de vingt ans de moins qu'elle, supérieurement membré, pour tromper son mari au soleil sans la moindre culpabilité, son sexe étant aussi brûlant que sa peau et avide d'une introduction massive et prolongée.

Quand elle retrouva le soir le domicile conjugal, elle se demanda si elle n'avait pas rêvé. Mais son sexe surmené lui rappelait qu'elle avait bien été couchée sur une serviette dans les dunes et durement besognée par un quasi inconnu. Evidemment, son mari n'en sut rien et lui trouva même un air bizarre, supposant un gros coup de chaud. Ce qui était en partie vrai... Cet acte d'adultère exceptionnel, elle se le remémora dans le détail le soir dans son lit, lumière éteinte. Tout en se caressant la fente, elle revécut comme elle avait été copieusement et virilement baisée, il n'y avait pas d'autre mot. Sans égard pour son âge et son corps menu, l'homme l'avait secouée de son braquemard, pliée en deux en glissant ses bras sous ses genoux pour atteindre des profondeurs inouïes, tout en la fixant du regard, et elle lui avait crié son plaisir à la figure, des "oui oui encore encore vas-y c'est bon t'arrête pas" dont elle s'étonnait encore venant de sa bouche. Elle n'avait même pas tiqué quand, prise en levrette, elle avait surpris un voyeur en train de se palucher devant le spectacle qu'ils offraient. Elle l'avait même fixé en chevauchant Franck, pas si mécontente qu'à 62 ans, elle faisait triquer un autre mec en agitant son petit cul. Martine était dans un tel état que s'il avait voulu la sodomiser, elle n'aurait pas pu s'y opposer. Mais il éjacula avant en la prenant une nouvelle fois par derrière, face à la mer. Et le cri d'extase de Martine se perdit dans le bruit des vagues. Elle avait assouvi un vieux fantasme depuis son éveil à la sexualité, celui de la grosse bite, que ne lui offrait pas son mari, mais lui avait avoué son fantasme des gros nichons, qu'elle n'avait pas non plus...

Comme l'autre couple qui les avait inspirés, ils se retrouvèrent dans l'eau pour se laver de leurs turpitudes. Elle le branla sous la surface comme un ultime hommage à ce sceptre qui l'avait tant fait se sentir femme. Mais le temps du coït était achevé. Ils s'embrassèrent avant de se quitter. Il devait retourner au travail et le mauvais temps s'annonçait pour le lendemain, différant son retour à la plage naturiste. Dans son lit, elle repensa à la réflexion de Micheline, une des plantureuses seniors habituée des lieux avec laquelle elle avait noué des conversations intimes. "A notre âge, on ne fait plus l'amour. On baise, si on a la chance de pouvoir baiser encore".

Et cette chance, elle l'avait eue, même si elle ne devait plus connaitre de lendemain.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Micky,
C'est encore là une très belle suite, vivement la suite...
Didier



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