Des gendarmes entreprenants
Récit érotique écrit par Micky [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Des gendarmes entreprenants
Ce devait être une soirée érotique comme Marie-Ange les aimait. A la soixantaine et après trois ans de veuvage, elle avait fini par nouer une relation sexuelle avec un homme de dix ans plus jeune, habitant dans un village éloigné d'une dizaine de kilomètres de chez elle. A son étonnement, il avait manifesté son attirance pour elle, louant sa silhouette mince, son visage rond souvent souriant et peu ridé, son nez à la Monica Vitti, sa coiffure brune bouclée, lui assurant qu'elle faisait beaucoup moins que son âge, ce qui l'avait évidemment flattée. Elle pensait avoir rendu les armes avec le sexe. Il lui prouva le contraire en la baisant comme elle ne pensait plus être baisée, crument, virilement, presque sauvagement, au point qu'elle en était devenue presque droguée à sa queue. Elle était partie du principe que tant qu'elle était jugée baisable, il fallait en profiter car le temps ne jouait pas pour elle, évidemment.
Avec lui, elle osait ce qu'elle n'avait jamais osé dans sa vie conjugale, de petites cochonneries en fantaisies burlesques, à l'image de ce coït en pleine nature sur le capot de sa Twingo. Elle en avait perdu ses lunettes qu'elle conservait toujours dans le sexe pour profiter du corps musclé de son amant. Elle avait tâtonné pour les retrouver encore les fesses à l'air. Ils en riaient encore.
Ces lunettes allaient encore jouer un rôle inattendu. Elle venait de rendre visite à son amant et lui avait fait une petite surprise. Sous son imperméable, elle n'était vêtue que d'un porte-jarretelles et de bas noirs. Quand il la découvrit quasi nue, il la bloqua contre la table de son salon et après l'avoir assise, la lécha longuement avant de l'entrainer vers son lit pour un accouplement fougueux et bavard où se bite était le sujet de leurs échanges verbaux. A son contact, Marie-Ange s'était mise à parler cru, ce qui l'excitait autant que lui. Elle avait joui, comme d'habitude, mais souhaitait rentrer chez elle pour ne pas avoir l'air de s'incruster dans une nouvelle vie de couple.
Encore sous l'effet de son coït jouissif, elle en avait oublié ses lunettes, qui étaient tombées quand il l'avait prise en levrette. Elle les avait posées sur la table de nuit, où elles étaient restées. Après quelques kilomètres, elle s'en rendit compte au volant où la route nocturne devenait trouble. Il fallait retourner chez lui pour récupérer "ses yeux".
Arrivée devant la porte, elle sonna. Une fois, deux fois, trois fois, mais rien ne bougeait à l'intérieur. "Pas possible, il dort déjà, je l'ai épuisé", se dit-elle. Elle osa un léger coup de klaxon, mais rien ne se passa, sinon une lumière à la fenêtre de la maison voisine. De peur d'être découverte dans une situation compromettante, elle s'enfuit. Tant pis pour ses lunettes, elle les récupèrerait plus tard.
Mais sa vue était trop diminuée au volant. Dans un virage mal appréhendé, la Twingo mordit sur le bas-côté et se retrouva bloquée sur le flanc après un arrêt brutal qui fit sortir l'airbag du volant. Marie-Ange perdit brièvement connaissance. Elle ne se réveilla qu'au moment où un automobiliste frappa à sa vitre pour s'inquiéter de son état. Les pompiers arrivèrent, puis les gendarmes. Elle fut allongée sur un brancard pour un examen, qui ne révéla heureusement aucune blessure. Mais son imperméable ouvert découvrit sa tenue érotique, à la stupéfaction des pompiers et des deux gendarmes. Rigolards, les deux pandores la raccompagnèrent chez elle, annonçant leur visite le lendemain pour une déposition, intrigués qu'ils étaient par cette sexagénaire (vérification faite de son état-civil) à la tenue digne d'un film érotique. D'où venait-elle et que faisait-elle en pleine cambrousse, en porte-jarretelles et bas noirs, le cul et les seins à l'air, joli cul et jolis seins au demeurant pour son âge ?
Secouée par cette soirée à rallonge, Marie-Ange se réveilla tard le lendemain. C'est la sonnerie de son entrée qui la sortit de sa torpeur. Après avoir récupéré ses lunettes de rechange, en attendant de retrouver celles chez son amant, elle ouvrit la porte. Les deux gendarmes étaient sur le seuil, l'un grand et moustachu, l'autre trapu et barbu, tous deux entre deux âges. Ce qui frappa Marie-Ange d'emblée est qu'ils ne portaient pas leur uniforme. Il n'y avait pas plus de voiture de gendarmerie devant chez elle mais un véhicule banal. Néanmoins, ils sortirent un carnet pour enregistrer les circonstances de son accident. Ils voulaient savoir pourquoi elle était nue sous son imperméable, ce qui n'était pas tout à fait vrai, mais quand même assez proche de la réalité. Faisait-elle partie d'un réseau de prostitution ?
Marie-Ange nia avec énergie. Elle venait juste de chez un ami où oui, ils avaient fait l'amour, c'était interdit ?
Les deux gendarmes eurent alors une moue sceptique. Comme s'ils ne croyaient pas qu'une femme d'âge mûr puisse se conformer à ce genre de fantaisies. Marie-Ange, il faut le préciser, puisque sortie du lit, n'était vêtue que d'une robe de chambre par dessus sa nudité intégrale. Elle voyait bien que les deux gendarmes lorgnaient l'ouverture qui avait tendance à bailler au niveau de la poitrine.
Comme ils insistaient sur le caractère douteux de ses explications, elle comprit qu'elle ne s'en sortirait qu'en payant de sa personne. Non par espèces sonnantes et trébuchantes, ce qui aggraverait son cas, mais en passant à la casserole et en donnant accès à l'intérieur de son peignoir. Un mauvais moment à passer, certes, mais elle connaissait les hommes. Elle serait ensuite débarrassée des deux pandores. Elle n'était plus, grâce à son amant, la femme conventionnelle de l'âge conjugal. Il lui le lui avait dit : "tu es une femme qui baise". Elle en avait pris acte et c'était peut-être le moyen de sortir de ce guêpier.
Elle leur offrit un café, qu'ils consommèrent sans barguigner. En les servant, elle laissa son peignoir s'ouvrir en bas, découvrant largement ses jolies cuisses dont elle était assez fière et l'un des deux gendarmes glissa une main fureteuse dans son compas. Elle fit mine de protester en fermant le vêtement, mais avec si peu de conviction que l'autre s'y mit aussi, par derrière cette fois, jusqu'à ses fesses rondes et chaudes. En moins de cinq minutes, elle fut nue, assise sur la table, dégustée par le moustachu, assis entre ses cuisses et caressée par le barbu au niveau des seins. Déculotté, celui-ci lui tendit sa queue raidie, qu'elle engloutit avec une conviction ne laissant guère de doute à ses visiteurs. Elle était disposée à baiser pour en finir avec cette procédure d'accident bizarre. Et plus ce serait rapide, mieux ce serait. Tant pis si elle n'avait même pas eu le temps de se laver et s'il restait sans doute du sperme de son amant dans son vagin. Ce serait donc la deuxième fois en moins de 24h qu'elle se ferait prendre sur une table et à la hussarde ce qui, vu la qualité gendarmesque des deux prétendants, relevait d'une certaine logique.
Mais ceux-ci étaient décidés à prendre leur temps. Après avoir mélangé sa moustache brune au barbu brun de Marie-Ange, le plus grand des deux se releva, dégaina pantalon aux chevilles son sceptre tendu, long et fin, et l'introduisit dans la fente bien humidifiée par sa langue de l'ex accidentée. Celle-ci fut alors la proie d'un état d'esprit contradictoire. Certes, elle n'éprouvait pas la moindre attirance pour ces deux militaires libidineux abusant de leur pouvoir parce qu'elle s'était trouvée quasiment à poil dans sa voiture au creux d'un fossé. Ce qui la mettait en situation pénalement incertaine.
Néanmoins, en penchant la tête vers la jonction de son sexe avec celui du gendarme, particulièrement actif, elle ressentit une onde de chaleur provoquée à la fois par la vision de cette bite puissante et l'effet produit par celle-ci dans son antre intime. Elle se trouvait alors depuis plusieurs mois dans une phase d'excitation sexuelle qui la faisait réagir au quart de tour grâce à sa relation torride avec son amant.
Voilà pourquoi, tout en se faisant limer par le moustachu, elle emboucha à nouveau la queue du barbu en tournant la tête sur le côté, confiante sur son adresse buccale pour le faire gicler. L'autre, survolté par cette sexa sexy tellement sexe, cognait dur, si bien que Marie-Ange délaissa la queue du barbu pour manifester son extase d'une exclamation sonore, ses talons rivés sur les reins du pilonneur pour le maintenir. Lequel ne put s'empêcher d'éjaculer en grognant. Et d'un, se dit Marie-Ange, en reprenant ses esprits.
Mais le barbu prit place du moustachu au ras de la table. Marie-Ange découvrit une queue épaisse et courte comme la taille du gendarme. Il lui releva les jambes et les logea entre ses bras pour l'écarteler et la pénétrer en plongeant son regard dans le sien. Après la queue longue et fine du moustachu, le braquemard volumineux du barbu provoqua une autre sensation forte chez la récipiendaire. En plus, il lui lécha les seins en même temps, sa principale zone érogène, sans qu'il le sût.
Marie-Ange perdit alors les pédales. Se servant de l'appui des bras musclés du gendarme, elle rua à sa rencontre en piaillant, si bien que la table se déplaça d'un bon mètre. Elle baisait désormais sans réticence aucune, lâchant même des "encore encore continue" qu'elle réservait habituellement à son amant, son remplaçant subjugué par cet enthousiasme envers sa queue. Comme pour vérifier la nature de son plaisir, Marie-Ange pencha à nouveau la tête en avant et devant le spectacle exaltant de ces aller-retours en elle, la rejeta aussitôt en arrière pour exploser son orgasme. Un nouveau flot de sperme entra dans son déduit surmené. Les fesses rougies par la position, elle se releva en titubant et gagna la salle de bains pour se laver de cette double turpitude.
Après s'être longuement douchée, elle retrouva les deux pandores cette fois rhabillés, rayonnants et bienveillants. Le moustachu montra son rapport et le déchira devant Marie-Ange. Et après quelques amabilités peu conformes avec les deux coïts attablés, ils quittèrent les lieux, visiblement satisfaits.
Encore secouée par ce réveil, Marie-Ange se montra néanmoins soulagée de cette issue dont elle ne s'était tirée qu'en écartant les cuisses. L'incroyable de l'affaire est qu'elle y avait pris du plaisir, il fallait bien qu'elle se l'avoue. Elle aimait décidément de plus en plus avec l'âge le sexe sauvage. Elle appela son amant par téléphone, non pour raconter ce qu'elle venait de vivre, ce serait peut-être pour plus tard en pleins ébats afin de les pimenter. Mais pour lui demander de rapporter ses lunettes en lui narrant son accident. Puis elle appela son assurance pour l'informer des dégâts de sa Twingo. Il était temps de revenir aux choses sérieuses.
Avec lui, elle osait ce qu'elle n'avait jamais osé dans sa vie conjugale, de petites cochonneries en fantaisies burlesques, à l'image de ce coït en pleine nature sur le capot de sa Twingo. Elle en avait perdu ses lunettes qu'elle conservait toujours dans le sexe pour profiter du corps musclé de son amant. Elle avait tâtonné pour les retrouver encore les fesses à l'air. Ils en riaient encore.
Ces lunettes allaient encore jouer un rôle inattendu. Elle venait de rendre visite à son amant et lui avait fait une petite surprise. Sous son imperméable, elle n'était vêtue que d'un porte-jarretelles et de bas noirs. Quand il la découvrit quasi nue, il la bloqua contre la table de son salon et après l'avoir assise, la lécha longuement avant de l'entrainer vers son lit pour un accouplement fougueux et bavard où se bite était le sujet de leurs échanges verbaux. A son contact, Marie-Ange s'était mise à parler cru, ce qui l'excitait autant que lui. Elle avait joui, comme d'habitude, mais souhaitait rentrer chez elle pour ne pas avoir l'air de s'incruster dans une nouvelle vie de couple.
Encore sous l'effet de son coït jouissif, elle en avait oublié ses lunettes, qui étaient tombées quand il l'avait prise en levrette. Elle les avait posées sur la table de nuit, où elles étaient restées. Après quelques kilomètres, elle s'en rendit compte au volant où la route nocturne devenait trouble. Il fallait retourner chez lui pour récupérer "ses yeux".
Arrivée devant la porte, elle sonna. Une fois, deux fois, trois fois, mais rien ne bougeait à l'intérieur. "Pas possible, il dort déjà, je l'ai épuisé", se dit-elle. Elle osa un léger coup de klaxon, mais rien ne se passa, sinon une lumière à la fenêtre de la maison voisine. De peur d'être découverte dans une situation compromettante, elle s'enfuit. Tant pis pour ses lunettes, elle les récupèrerait plus tard.
Mais sa vue était trop diminuée au volant. Dans un virage mal appréhendé, la Twingo mordit sur le bas-côté et se retrouva bloquée sur le flanc après un arrêt brutal qui fit sortir l'airbag du volant. Marie-Ange perdit brièvement connaissance. Elle ne se réveilla qu'au moment où un automobiliste frappa à sa vitre pour s'inquiéter de son état. Les pompiers arrivèrent, puis les gendarmes. Elle fut allongée sur un brancard pour un examen, qui ne révéla heureusement aucune blessure. Mais son imperméable ouvert découvrit sa tenue érotique, à la stupéfaction des pompiers et des deux gendarmes. Rigolards, les deux pandores la raccompagnèrent chez elle, annonçant leur visite le lendemain pour une déposition, intrigués qu'ils étaient par cette sexagénaire (vérification faite de son état-civil) à la tenue digne d'un film érotique. D'où venait-elle et que faisait-elle en pleine cambrousse, en porte-jarretelles et bas noirs, le cul et les seins à l'air, joli cul et jolis seins au demeurant pour son âge ?
Secouée par cette soirée à rallonge, Marie-Ange se réveilla tard le lendemain. C'est la sonnerie de son entrée qui la sortit de sa torpeur. Après avoir récupéré ses lunettes de rechange, en attendant de retrouver celles chez son amant, elle ouvrit la porte. Les deux gendarmes étaient sur le seuil, l'un grand et moustachu, l'autre trapu et barbu, tous deux entre deux âges. Ce qui frappa Marie-Ange d'emblée est qu'ils ne portaient pas leur uniforme. Il n'y avait pas plus de voiture de gendarmerie devant chez elle mais un véhicule banal. Néanmoins, ils sortirent un carnet pour enregistrer les circonstances de son accident. Ils voulaient savoir pourquoi elle était nue sous son imperméable, ce qui n'était pas tout à fait vrai, mais quand même assez proche de la réalité. Faisait-elle partie d'un réseau de prostitution ?
Marie-Ange nia avec énergie. Elle venait juste de chez un ami où oui, ils avaient fait l'amour, c'était interdit ?
Les deux gendarmes eurent alors une moue sceptique. Comme s'ils ne croyaient pas qu'une femme d'âge mûr puisse se conformer à ce genre de fantaisies. Marie-Ange, il faut le préciser, puisque sortie du lit, n'était vêtue que d'une robe de chambre par dessus sa nudité intégrale. Elle voyait bien que les deux gendarmes lorgnaient l'ouverture qui avait tendance à bailler au niveau de la poitrine.
Comme ils insistaient sur le caractère douteux de ses explications, elle comprit qu'elle ne s'en sortirait qu'en payant de sa personne. Non par espèces sonnantes et trébuchantes, ce qui aggraverait son cas, mais en passant à la casserole et en donnant accès à l'intérieur de son peignoir. Un mauvais moment à passer, certes, mais elle connaissait les hommes. Elle serait ensuite débarrassée des deux pandores. Elle n'était plus, grâce à son amant, la femme conventionnelle de l'âge conjugal. Il lui le lui avait dit : "tu es une femme qui baise". Elle en avait pris acte et c'était peut-être le moyen de sortir de ce guêpier.
Elle leur offrit un café, qu'ils consommèrent sans barguigner. En les servant, elle laissa son peignoir s'ouvrir en bas, découvrant largement ses jolies cuisses dont elle était assez fière et l'un des deux gendarmes glissa une main fureteuse dans son compas. Elle fit mine de protester en fermant le vêtement, mais avec si peu de conviction que l'autre s'y mit aussi, par derrière cette fois, jusqu'à ses fesses rondes et chaudes. En moins de cinq minutes, elle fut nue, assise sur la table, dégustée par le moustachu, assis entre ses cuisses et caressée par le barbu au niveau des seins. Déculotté, celui-ci lui tendit sa queue raidie, qu'elle engloutit avec une conviction ne laissant guère de doute à ses visiteurs. Elle était disposée à baiser pour en finir avec cette procédure d'accident bizarre. Et plus ce serait rapide, mieux ce serait. Tant pis si elle n'avait même pas eu le temps de se laver et s'il restait sans doute du sperme de son amant dans son vagin. Ce serait donc la deuxième fois en moins de 24h qu'elle se ferait prendre sur une table et à la hussarde ce qui, vu la qualité gendarmesque des deux prétendants, relevait d'une certaine logique.
Mais ceux-ci étaient décidés à prendre leur temps. Après avoir mélangé sa moustache brune au barbu brun de Marie-Ange, le plus grand des deux se releva, dégaina pantalon aux chevilles son sceptre tendu, long et fin, et l'introduisit dans la fente bien humidifiée par sa langue de l'ex accidentée. Celle-ci fut alors la proie d'un état d'esprit contradictoire. Certes, elle n'éprouvait pas la moindre attirance pour ces deux militaires libidineux abusant de leur pouvoir parce qu'elle s'était trouvée quasiment à poil dans sa voiture au creux d'un fossé. Ce qui la mettait en situation pénalement incertaine.
Néanmoins, en penchant la tête vers la jonction de son sexe avec celui du gendarme, particulièrement actif, elle ressentit une onde de chaleur provoquée à la fois par la vision de cette bite puissante et l'effet produit par celle-ci dans son antre intime. Elle se trouvait alors depuis plusieurs mois dans une phase d'excitation sexuelle qui la faisait réagir au quart de tour grâce à sa relation torride avec son amant.
Voilà pourquoi, tout en se faisant limer par le moustachu, elle emboucha à nouveau la queue du barbu en tournant la tête sur le côté, confiante sur son adresse buccale pour le faire gicler. L'autre, survolté par cette sexa sexy tellement sexe, cognait dur, si bien que Marie-Ange délaissa la queue du barbu pour manifester son extase d'une exclamation sonore, ses talons rivés sur les reins du pilonneur pour le maintenir. Lequel ne put s'empêcher d'éjaculer en grognant. Et d'un, se dit Marie-Ange, en reprenant ses esprits.
Mais le barbu prit place du moustachu au ras de la table. Marie-Ange découvrit une queue épaisse et courte comme la taille du gendarme. Il lui releva les jambes et les logea entre ses bras pour l'écarteler et la pénétrer en plongeant son regard dans le sien. Après la queue longue et fine du moustachu, le braquemard volumineux du barbu provoqua une autre sensation forte chez la récipiendaire. En plus, il lui lécha les seins en même temps, sa principale zone érogène, sans qu'il le sût.
Marie-Ange perdit alors les pédales. Se servant de l'appui des bras musclés du gendarme, elle rua à sa rencontre en piaillant, si bien que la table se déplaça d'un bon mètre. Elle baisait désormais sans réticence aucune, lâchant même des "encore encore continue" qu'elle réservait habituellement à son amant, son remplaçant subjugué par cet enthousiasme envers sa queue. Comme pour vérifier la nature de son plaisir, Marie-Ange pencha à nouveau la tête en avant et devant le spectacle exaltant de ces aller-retours en elle, la rejeta aussitôt en arrière pour exploser son orgasme. Un nouveau flot de sperme entra dans son déduit surmené. Les fesses rougies par la position, elle se releva en titubant et gagna la salle de bains pour se laver de cette double turpitude.
Après s'être longuement douchée, elle retrouva les deux pandores cette fois rhabillés, rayonnants et bienveillants. Le moustachu montra son rapport et le déchira devant Marie-Ange. Et après quelques amabilités peu conformes avec les deux coïts attablés, ils quittèrent les lieux, visiblement satisfaits.
Encore secouée par ce réveil, Marie-Ange se montra néanmoins soulagée de cette issue dont elle ne s'était tirée qu'en écartant les cuisses. L'incroyable de l'affaire est qu'elle y avait pris du plaisir, il fallait bien qu'elle se l'avoue. Elle aimait décidément de plus en plus avec l'âge le sexe sauvage. Elle appela son amant par téléphone, non pour raconter ce qu'elle venait de vivre, ce serait peut-être pour plus tard en pleins ébats afin de les pimenter. Mais pour lui demander de rapporter ses lunettes en lui narrant son accident. Puis elle appela son assurance pour l'informer des dégâts de sa Twingo. Il était temps de revenir aux choses sérieuses.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Les deux gendarmes étaient-ils en service, ce qui ne serait pas très éthique? Une chose est certaine: Marie-Ange a bien fait d'en profiter!
Micky,
Comme quoi donner de sa personne peut permettre de se sortir de toutes situations quelques peu parfois délicates...
Excellent.
Didier
Comme quoi donner de sa personne peut permettre de se sortir de toutes situations quelques peu parfois délicates...
Excellent.
Didier
