Retour sur des années de lycée

- Par l'auteur HDS Micky -
Récit érotique écrit par Micky [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Retour sur des années de lycée Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-11-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Retour sur des années de lycée
Tout commence dans un club seniors. Patrice y a ses habitudes et il est tout surpris d'y trouver Francis, son ancien prof de gym au temps de ses années lycéennes. Il est plus âgé que lui, mais encore vert car c'est un ancien joueur de rugby de renom, la vedette de la ville au temps de sa splendeur. Leurs retrouvailles sont aussi chaleureuses qu'inattendues. Ils délaissent les activités programmées et se mettent dans un coin pour évoquer "le bon vieux temps".

A l'époque, Francis était la star du lycée. Non seulement auprès des élèves, notamment les filles, mais aussi auprès des collègues profs. On l'interrogeait après les matches, on lui promettait une belle carrière internationale, qui eut en effet lieu. Ce n'était plus d'actualité. Patrice voulait surtout parler avec Francis de la vie du lycée, dans les années post 68 où elle avait complètement changé. Une libération des moeurs avait cours.

- Tu te souviens de madame B. la prof d'anglais, et madame F, la prof d'allemand ? interroge Patrice. Alors qu'elles approchaient de la cinquantaine, elles avaient subitement porté des jupes ou des robes qui leur arrivaient presque à mi-cuisses. Madame B. avait même, je m'en souviens, un cardigan rouge qu'elle déboutonnait assez bas, si bien qu'on pouvait voir la naissance de ses deux seins assez volumineux. Je peux te dire qu'on se rinçait l'oeil quand elles étaient à leur bureau en croisant et décroisant les jambes. Avec madame B, j'étais au premier rang et j'attendais de savoir la couleur de son slip avant de penser en anglais. Pareil avec madame F. en allemand. A croire qu'elles se trouvaient en compétition pour faire se branler leurs élèves...
- Si je m'en souviens ? Tu parles, répond Francis. Solange et Marielle. Je les vois encore, l'une rousse à peau laiteuse, l'autre blonde à lunettes. Mariées toutes les deux mais pas très fidèles, je peux te l'avouer, il y a prescription maintenant.
- Ah bon ? Tu les as baisées ?

- Affirmatif. Ce n'était pas difficile, elles avaient toutes les deux le feu au cul, comme si elles n'avaient attendu que le changement d'ambiance dans la société pour libérer leurs pulsions entravées dans leur mariage. Et justement parce qu'elles n'étaient plus toutes jeunes, comme si elles avaient décidé qu'elles n'avaient plus de temps à perdre. Elles étaient même plus chaudes que des collègues plus jeunes qui se trouvaient encore dans la phase de l'amour conjugal.

- S'il te plait, raconte-moi Solange. Ce qu'elle m'a fait fantasmer, celle-là, à l'époque...
- Notre relation a commencé logiquement dans la salle des profs. Le rugby, elle s'en fichait. Elle voulait échanger sur les élèves. Mais je voyais bien, à la façon de me regarder, qu'elle avait une autre idée en tête. Elle avait négligemment déboutonné son gilet rouge si bien que j'avais une vue plongeante sur son sillon mammaire relevé par son soutif à balconnet. Sur la chaise, sa jupe avait remonté jusqu'au milieu de ses cuisses dodues. Elle ne m'écoutait même plus. Je n'ai pas été surpris de l'entendre me proposer un déjeuner en tête à tête "pour parler boulot plus tranquillement qu'ici".

Ce qu'on a fait dans un petit restau tranquille à l'écart du bahut. On s'est mis à évoquer des choses plus intimes. Elle m'a fait parler de ma vie amoureuse car j'étais célibataire. "Tu es un peu coureur, n'est-ce pas ?" m'a-t-elle dit. Et je lui ai répondu du tac au tac : "et toi, tu es heureuse en ménage ?" Et là, elle me répond tout de go : "en ménage, oui, mais pas au lit". C'était un appel direct à aller au plumard après le repas. Je n'ai pas été surpris de l'entendre à la sortie du restau me dire : "on va chez toi ?" J'ai eu beau lui dire que c'était le bordel, que je n'avais même pas de douche, elle s'en fichait. Elle voulait baiser, point barre. Elle n'était plus à un âge où on fait des circonvolutions pour arriver au même but.

- C'était un bon coup ?
- Un super coup, tu veux dire. Dès qu'elle est entrée dans mon antre, elle n'a fait aucun commentaire pour le désordre, même du lit qui n'était pas fait. Elle a défait son chignon banane, déboutonné son gilet, dégrafé son soutif, libéré deux beaux nichons bien lourds avec de larges aréoles roses, dévoilé en baissant jupe et slip une belle paire de fesses bien joufflues et s'est allongée sur le plumard comme une odalisque de tableau. Je bandais comme un âne devant cette chair opulente, laiteuse et offerte avec ce pubis roux qui me faisait la nique. J'en bande encore en y repensant malgré mon âge.

- Tu me rends dingue à raconter ça. S'il te plait, donne moi des détails.

- Bon, si tu veux, je vais faire appel à ma mémoire car ça commence à dater. Je lui ai tendu ma queue à sucer et elle l'a embouchée avec voracité comme une affamée de sexe. Puis j'ai pénétrée, évidemment sans capote car à l'époque, il n'y avait pas le sida. Un vrai volcan en éruption, la Solange. Heureusement qu'il n'y avait pas grand monde à cette heure là dans l'immeuble car elle bramait comme si on la violait, sauf que c'était "encore encore t'arrête pas" entre deux cris. Sans me vanter, je crois pouvoir dire que je l'ai fait jouir. Je me suis gavé de ses nichons et de son cul que j'ai même fendu de ma queue, quasiment à sa demande. Elle m'a avoué plus tard que c'était la première fois qu'elle se faisait enculer. Je l'ai même rebaisée au bout d'une heure car je rechargeais vite dans mon jeune temps. Et on a fait tout ce qu'on n'avait pas eu le temps de faire avant. Ah Solange, quel pied !

- Et tu l'as revue pour baiser ?
- Pas tout de suite, car son mari était très jaloux et se rendait compte qu'elle avait le feu au derche. On s'est revus deux mois plus tard juste avant la fin des cours. On se donnait rendez-vous à l'extérieur, près d'un bois, pour baiser en plein air, ce qu'elle n'avait jamais fait. Elle arrivait avec sa voiture, moi avec la mienne. On trouvait un coin tranquille, on étalait une couverture et hardi petit. Elle pouvait gueuler, on ne risquait pas de l'entendre. Je l'ai baisée une fois sur le capot de sa voiture, une autre fois dans le hayon de la mienne, elle avait mis ses pieds de chaque côté des montants pour que je la baise en profondeur, tu vois le truc. C'était vraiment un super coup, Solange.

Malheureusement pour elle et pour moi, elle a appris l'été qu'elle était nommée principale dans un collège d'une autre ville. Elle ne pouvait pas refuser cette promotion et de ce fait, on s'est séparés physiquement mais pas téléphoniquement. Elle m'a appris un an après son divorce et son remariage avec, tiens-toi bien, un prof de gym de son collègue, plus jeune de dix ans. "Il me baise, comme toi", m'a-t-elle avoué. Fin de l'histoire.

- Elle est belle. Tu as eu de la chance, mon salaud. Et Marielle, la prof d'allemand, dans tout ça ?

- Ah Marielle... Elle a succédé à Solange. C'était différent parce qu'elle était divorcée et donc plus libre. Physiquement, elles se ressemblaient sauf que Marielle était blonde à coiffure coupée au carré et avec des lunettes, tu t'en souviens ? Je n'étais pas le premier au lycée à l'avoir baisée. Un prof de techno dont j'ai oublié le nom et un lecteur d'allemand tout jeune étaient déjà passés entre ses cuisses charnues. Elle avait décidé qu'elle ne se remettrait pas en couple mais s'enverrait en l'air chaque fois qu'elle en aurait envie. Cela l'amusait d'allumer ses élèves en ouvrant son compas tout en parlant schleu. Tu en étais, non ?

- Oh oui. Elle peut se vanter d'avoir fait bander tout le premier rang. Elle portait souvent un slip noir. Je l'aurais arraché avec les dents.
- Je le vois encore ce slip, je l'ai enlevé souvent mais sans les dents. Quand elle était en manque, elle m'invitait à diner chez elle. On mangeait en pensant à ce qu'on allait se faire ensuite. On se mettait à parler cul au dessert. Elle me provoquait, me disait qu'à moins de vingt centimètres, ce n'était même pas la peine qu'elle se déculotte. Je lui répondais que j'allais la fendre en deux, par la chatte et par le cul. "Vantard", me répondait-elle. En général, on n'avait même pas le temps d'aller au lit. Je faisais le tour de la table, je la relevais et la mettait dessus en poussant les assiettes, je lui arrachais son slip noir, retroussais sa robe et je la prenais à la hussarde, sans préliminaire, debout, enfoncé en elle jusqu'à la garde. Elle poussait un "ouiiiii" strident et je la menais facilement à l'orgasme en me contrôlant pour ne pas gicler car il fallait quand même aller au pieu et baiser à poil.

- Parle-moi de son corps.
- Charnu, je te l'ai dit, pas trop marqué par l'âge car elle venait d'avoir cinquante berges. Des nichons bien larges que je faisais bouger en la pilonnant ou qu'elle prenait en mains quand elle me chevauchait. Un cul très bombé, plus gros que celui de Solange mais bien fendu. Ce n'était pas la première fois qu'elle se faisait enculer, son ex mari avait commencé. Il faut dire qu'elle avait vraiment le cul pour ça. Elle en jouissait facilement.
- Et ça a duré, votre histoire ?
- Oui, jusqu'à ce qu'elle démente ses intentions initiales de vivre en libertine. Partie en Allemagne pour un recyclage linguistique, elle rencontra un gars du coin, de son âge, et décida de rester avec lui, si bien qu'elle démissionna de l'éducation nationale. Contrairement à Solange, je n'ai plus entendu parler d'elle. Un peu vexant mais bon, c'est la vie.

- Mais au fait, je me souviens de l'infirmière du lycée, une quadra plutôt BCBG prénommée Maryse. On disait qu'elle était la maitresse du proviseur. C'est vrai ?
- Oui, c'est vrai. Et je vais te raconter une autre anecdote. Ce proviseur, je le détestais car il me mettait des bâtons dans les roues pour ma carrière de rugbyman, en renâclant pour me libérer quand il fallait que je me déplace avec mon équipe. Je rêvais de le faire cocu. J'ai donc fait le siège de Maryse en prétextant des douleurs dues aux matches afin de me faire soigner.

Donc, je dévoilais mon corps qui était forcément plus attrayant que celui du proviseur. Vu que mes venues se répétaient, elle a fini par se douter de quelque chose. Mais je suis passé outre ses allusions destinées à me décourager. C'était une femme toujours bien coiffée, au physique plus fin que les deux profs, assez jolie, sans attache matrimoniale. Un jour que j'étais en slip sur le lit d'examen à l'intérieur de l'infirmerie, je lui ai pris la main et je l'ai posée sur mon slip. Elle a voulu la retirer comme si elle se brûlait mais je l'ai maintenue de force et je me suis mis à bander.

C'était le moment décisif. Ou elle criait au viol, ou elle me cédait. Et sa main s'est attardée. Elle est même entrée dans mon slip et a commencé à me branler. J'ai mis une main sous sa blouse, remontant le long de sa cuisse nue jusqu'à son sexe et j'ai détecté une humidité prometteuse. Maryse avait bel et bien envie de baiser. Elle a d'ailleurs filé vers la porte de l'infirmerie qu'elle a verrouillée tout en enlevant sa blouse, tandis que j'ôtais mon slip et me retrouvais complètement à poil.

Je l'ai prise dans mes bras, on s'est embrassé, elle m'avait pris la queue d'une main et de l'autre se tortillait pour baisser son slip. Je voulais la voir à poil pour découvrir ce qu'elle offrait au proviseur et elle n'a pas fait de manière. Elle voulait vraiment se faire enfiler. Je l'ai pénétrée en travers du lit d'examen, moi debout, elle écartelée par mes bras et j'ai découvert à mon grand plaisir une vraie dévoreuse qui cachait bien son jeu. Au fond, je n'avais pas eu besoin de beaucoup insister, elle était "open".

Sans me vanter, je crois que je l'ai beaucoup mieux baisée que son amant. Elle me l'a avoué à demi mot plus tard en me disant qu'il y avait longtemps qu'elle n'avait pas pris un pied pareil. Je l'ai même prise par derrière, elle en appui sur le lit mais j'ai résisté à l'envie de l'enculer alors qu'elle avait vraiment un beau cul bien fendu. Il ne fallait pas trop s'attarder. J'ai attendu qu'elle jouisse le museau dans son lit pour éjaculer sur son dos. J'avais réussi à faire cocu le protal...

- Et après ? Vous vous êtes revus ?
- Oui mais chez elle, c'était moins risqué. Elle me confiait qu'elle n'avait jamais voulu se marier pour rester libre mais sa liaison avec le proviseur commençait à la lasser. J'étais arrivé à point nommé. C'était une bonne baiseuse, sans tabous, inventive, assez bavarde au plumard, fais moi ci, fais moi ça. Evidemment, il y a eu une bonne âme pour dénoncer notre liaison car dans une petite ville, tout finit par se savoir. Le proviseur est intervenu à l'académie pour me muter. Cela ne lui a pas porté chance car il a fait un infarctus peu de temps après. Finies les galipettes avec Maryse. Elle a trouvé un autre mec mais on est resté en bons termes. Elle est en retraite elle aussi maintenant.
- Eh ben dis donc, Francis, tu m'en as raconté de belles.
- C'était le bon temps, celui de notre jeunesse. Et tu vois, aujourd'hui, je joue au scrabble dans un club seniors. Mais je sais toujours placer le X. Dans sexe...

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