Une voisine providentielle 2

- Par l'auteur HDS Micky -
Récit érotique écrit par Micky [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Une voisine providentielle 2 Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-12-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Une voisine providentielle 2

‌Yolande et Joëlle ne se quittaient plus, depuis qu'elles s'étaient dévoilées dans l'intimité d'un trio torride (voir précédent épisode). Elles mangeaient alternativement chez l'une et chez l'autre, sortaient ensemble, faisaient leurs courses ensemble et, puisque l'été se trouvait à son zénith, filaient quand le temps était au beau fixe vers la plage naturiste où Joëlle avait suivi l'exemple de Yolande en dévoilant sa nudité intégrale.

Elle s'y conformait avec une telle aisance que son corps plantureux était devenu couleur pain d'épice de la tête aux pieds. Elle se trouvait belle, comme si cette peau bronzée avait effacé tous ses défauts dus à l'âge. Elle trouvait d'ailleurs que les femmes mûres de la plage devenaient bien plus désirables en exposant leurs seins et leurs fesses sans la couleur originelle. Elle voyait bien que c'était aussi l'opinion des hommes qui les regardaient avec un intérêt supérieur. Elle même était très entourée lorsqu'elle accompagnait Yolande dans le petit groupe naturiste d'habitués pour des discussions sans grand intérêt mais complices. Qu'elle soit liée à Yolande constituait aux yeux des hommes en tenue d'Adam le signal qu'elle était "une femme qui baise", comme sa copine. Bien que le trio avec elle et le dénommé Alex aurait pu confirmer cette assertion, elle n'avait pas encore vraiment franchi le pas du libertinage à l'instar de sa voisine.

Pour autant, l'ambiance de la plage, sa nudité intégrale et valorisée par le soleil, la vision permanente de pénis au repos, le discours stimulant de Yolande et la renaissance récente de son propre sexe avaient fini par mettre Joëlle dans de nouvelles dispositions érotiques. Celle qui le comprit fut son amie.

- J'espère maintenant que tu vas lâcher prise, oublier ton passé pour te concentrer sur le présent, lui dit-elle. Tu es comme moi : tu n'as plus de temps à perdre. Je connais au moins deux mecs ici qui ont envie de te baiser. Je sais, ils me l'ont dit. Laisse-toi séduire, choisis celui qui te plait. Et baise.

C'était le discours qui excitait Joëlle et qu'elle avait un peu envie d'entendre. Son corps, longtemps en jachère, réclamait de la visite. Yolande l'encourageait à franchir le pas et facilitait une transgression qui, sans elle, serait restée virtuelle. Un homme d'une cinquantaine d'années, qui se prénommait Max, visiblement divorcé, tout bronzé et encore mince, s'adressait toujours à elle en priorité. Il lui proposa d'aller se baigner en sa compagnie en délaissant le groupe. Il lui prit la main en direction des vagues et ils jouèrent dans l'eau comme deux gamins, mettant fréquemment leur corps en contact. S'enhardissant, elle glissa sa main sous l'eau en direction de l'entrejambes de Max. Elle rencontra une demi érection qui l'électrisa. Et quand il mit à son tour sa main entre ses cuisses dodues, ils se branlèrent mutuellement sous l'eau. Il lui murmura alors à l'oreille :

- J'ai envie de toi. On va se cacher ?

Elle en avait autant envie que lui. Sortant des vagues, ruisselants, ils escaladèrent la dune derrière la plage après qu'elle eut saisi sa serviette de bain. Ils se glissèrent sous les pins maigrelets qui faisaient une ombre tachetée de soleil. Elle posa sa serviette et s'y allongea, constata l'érection maintenant franche de Max et le laissa la porter à sa bouche. Elle avait un goût de sel dont elle se délecta, le faisant gémir de plaisir.

- Tu suces bien, lui souffla-t-il.

Le compliment la rassura. Allons, elle n'avait pas perdu complètement la main, si on peut dire. Il restait maintenant à lui démontrer qu'elle n'était pas un corps où on se vide juste les couilles. Quand il la pénétra bras tendus, elle lui renvoya la balle pieds au sol et décollant les fesses au rythme de ses coups de boutoir. Il se régala du mouvement de ses seins larges et de ses mains crispées sur ses fesses comme pour bien le maintenir en elle. Sa conviction fut vite faite : cette Joëlle était une vraie et bonne baiseuse et elle allait lui donner beaucoup de plaisir.

Il se devait donc de lui en donner aussi en se retenant le plus longtemps possible. Il répondit à son désir de le chevaucher en s'allongeant à son tour, la regarda cavaler sur lui en se prenant les seins à pleines mains, ses lunettes de soleil relevées sur son front, roulant des hanches, se rejetant en arrière le pubis en avant, laissant échapper des jappements de joie. C'est dans cette position qu'elle connut un premier orgasme qui lui mit la chair de poule malgré la chaleur ambiante.

Comme il bandait toujours, il la prit par derrière et fit claquer son ventre sur son cul joufflu. Ils s'aperçurent alors que deux voyeurs se masturbaient un peu en retrait en les regardant baiser sous les pins. Loin de les inhiber, ces présences les stimulèrent. Seins pendants et agités, croupe mouvante, nuque relevée, Joëlle excita son amant par le verbe, "allez allez vas y encore encore jouis jouis" et il gicla en grognant, le museau sur son cou, virulent et bestial. Ils s'aplatirent sur la serviette, repus, comblés. Quand ils se relevèrent, les voyeurs avaient disparu.

Ils retrouvèrent l'eau de mer pour se laver de leurs ébats car ils étaient en sueur. Puis Joëlle retrouva Yolande à leur emplacement. La brune l'accueillit avec un large sourire.

- Alors, c'était bien ?

- Super, répondit Joëlle laconiquement. Avec le léger recul, elle n'en revenait pas d'avoir cédé aussi facilement à une pulsion inédite dans son histoire sexuelle. Jamais elle n'aurait fait ça avec son défunt mari. Ce veuvage était décidément surprenant.

De retour au bercail, Joëlle réfléchit en solo sur la suite à donner à cette transgression balnéaire. Devait-elle revoir Max ? Nouer une relation plus suivie avec lui ? Ou au contraire, imiter Yolande et agir au "coup par coup", si on ose dire ? Une chose était sûre, elle avait pris du plaisir à se faire baiser par un quasi inconnu dans l'odeur de résine sur sa serviette de plage, même sous l'oeil de voyeurs. Beaucoup de plaisir. Elle devait forcément en tenir compte. Elle se sentait rajeunie de dix ans parce qu'elle avait fait bander un homme plus jeune de dix ans qu'elle. De lui, elle ne connaissait que son visage et sa bite et il l'avait pourtant bel et bien fait jouir. Elle se décida à aller voir Yolande pour échanger avec elle sur cette expérience si nouvelle.

- Je crois que tu es mûre pour le libertinage, lui dit-elle. On ne baise pas sur une plage devant des voyeurs sans avoir fait valser tous ses tabous. Ecoute ton corps et moque toi du reste.

De fait, le corps de Joëlle était en ébullition constante, comme celui d'une jeune fille ayant découvert le plaisir sexuel. Lorsqu'elle croisait un homme séduisant dans la rue ou un magasin, qu'il soit ou non accompagné, elle ne pouvait s'empêcher de poser son regard sur sa braguette comme si elle pouvait découvrir ce qu'il y avait derrière. Et si l'homme la devinait, elle lui adressait un regard lourd de sous-entendu, redressant le buste et roulant sa croupe. Ses tenues de plus en plus sexy, très décolletées et ajustées aux fesses pour les mouler, constituaient des appels au sexe. Les autres femmes ne s'y trompaient pas, qui la fusillaient du regard. Cette mature aux cheveux courts, pulpeuse et bronzée, à la sexualité si évidente avec ses obus aux trois quarts découverts, les faisait passer pour des peines à jouir.

Ecoute ton corps, lui avait dit Yolande. Lorsqu'elle conduisit sa voiture au garage pour sa vidange, le regard insistant d'un mécano à la peau légèrement ambrée l'incita à jouer la séductrice. Il aurait pu être son fils, ce garçon si beau gosse. Qu'il ait des mains noircies par son travail ne la gêna guère. Elle noua une conversation avec lui sur sa voiture, dont il s'était occupé. Il la dragua ouvertement, la complimenta sur sa beauté, lui dit qu'il préférait les femmes mûres à celles de son âge "trop coincées". Elle lui répondit qu'il exagérait, qu'elle avait l'âge d'être sa mère. Il lui fit dire qu'elle était veuve et vivait seule. Il lui proposa d'aller faire un tour dans sa voiture de sport "pour lui donner des sensations inhabituelles". Elle accepta pour le soir même après avoir passé l'après-midi avec Yolande à se rôtir les fesses.

- J'espère que tu vas te le faire, ce mécano, dit la brune. Tu en as envie au moins ?

- Bien sûr que j'en ai envie. Reste à savoir s'il sera à la hauteur de cette envie.

C'était une voiture rare, une Porsche décapotable d'un âge vénérable. Débarrassé de se tenue de travail, le garçon prénommé Karim exposa des bras puissants qui firent frémir de désir Joëlle. Il la conduisit d'abord sur une quatre voies, vérifiant d'abord l'absence de contrôle de vitesse puis, au retour, poussa une pointe de vitesse qui transporta d'exaltation la passagère, les cheveux au vent. Puis il emprunta une petite route de campagne et après avoir roulé sur un chemin, s'arrêta à la lisière d'un bois.

Joëlle n'opposa aucune résistance lorsqu'il l'embrassa, découvrant son corps de ses mains abîmées. Alors qu'il était encore au volant, elle se pencha sur sa braguette, libéra un pénis bien décalotté et l'emboucha avec appétit. Mais le jeune homme ne voulait pas se contenter d'une pipe, fût-elle experte. Il se dégagea, sortit de la voiture, ouvrit la porte de la passagère, la prit par la main et la conduisit sur le capot où il l'allongea. Elle portait ce jour là une mini robe découvrant ses cuisses dodues et bronzées et les trois quarts de ses seins. Il fit glisser son slip le long de ses jambes et plongea son museau dans son entrecuisses. Il allait la baiser sur le capot de sa voiture, un vieux fantasme qu'elle n'avait jamais réalisé avec son défunt mari.

Elle se débarrassa elle-même de sa robe en la faisant passer par-dessus sa tête pendant qu'il léchait, dégrafa son soutif à balconnet, et offrit son corps nu et bronzé à son sceptre tendu, lui demandant juste d'être nu à son tour. Il la pénétra avec fougue, penché sur le capot bas, faisant tanguer son coupé sur ses amortisseurs, les jambes de Joëlle calées entre ses bras pour bien l'ouvrir, le regard posé sur ses nichons en mouvement. Elle aussi se régalait de ce corps de mâle fin et musclé qui lui rendait cet hommage si viril. Il s'agissait de ne pas le décevoir et elle célébra sa bite à haute voix pendant qu'il la ramonait tout en se servant de l'appui de ses bras pour lui renvoyer la balle, totalement écartelée. Totalement baisée.

Quand il lui dit, après avoir interrompu brièvement ses va et viens, "j'ai envie de t'enculer, j'adore ton cul", elle ne fit pas de manière. Ce n'était plus de son âge, les atermoiements de pucelle. Elle se laissa glisser du capot avant d'y poser les mains, jambes écartées, fesses hautes, en attente. Il la prépara du doigt et de la langue, ce qui lui mit la chair de poule, et s'enfonça lentement. La sodomie, elle ne l'avait pas pratiquée depuis des lustres, quand son mari était encore bien gaillard. Lorsque Karim fut totalement engagé, elle l'accompagna de la croupe tout en se frottant la chatte de la main. Subjugué par cette adhésion qui obéissait à un fantasme jamais assouvi, le jeune homme fit claquer la peau de son ventre sur les globes joufflus en pétrissant les hanches généreuses avant de libérer son sperme trop longtemps retenu. Joëlle poussa un cri guttural qui se perdit dans la campagne, en proie à un orgasme anal totalement inédit. Ils demeurèrent quelques minutes liés avant de se détacher.

- T'es un coup en or, toi, souffla Karim à Joëlle qui, flattée, lui répondit par un baiser sur la bouche. Puis ce fut le retour vers le garage, cette fois beaucoup plus sage.

Elle s'empressa de retrouver Yolande pour lui raconter son aventure, omettant juste la phase sodomie par un reste de pudeur.

- Baiser sur le capot d'une Porsche, franchement, je n'ai jamais fait ça, lâcha Yolande, épatée. Je crois maintenant que tu peux mettre le turbo dans ta vie sexuelle, conclut-elle en riant.

Joëlle la suivit dans son rire avant de se laisser aller à une phase de culpabilité. Si son mari l'avait vue de là où il était, qu'aurait-il pensé de l'attitude de celle qui fut son épouse ? Mais elle chassa cette pensée morbide. Elle était encore bien vivante. Plus que jamais. Et elle devait vivre.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Micky,
Quel plaisir de retrouver dans cette magnifique suite cette belle quinquagénaire, Joëlle, qui continue donc à retrouver le plaisir de baiser.
Excellent.
Didier



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