A 60 ans, une femme baise
Récit érotique écrit par Micky [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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A 60 ans, une femme baise
Après presque dix ans divorce qui s'étaient traduits par une réticence à renouer une relation masculine, et donc à faire l'amour, considérant qu'il s'agissait d'une histoire ancienne alors qu'elle devenait sexagénaire, Magali se retrouva coincée pour ses vacances d'été rituelles. Elle avait l'habitude de les passer chez sa soeur et son beau-frère dans leur résidence secondaire alpestre. Ce lieu lui permettait de s'adonner à sa passion de la randonnée, activité qui avait contribué à maintenir un corps tonique et sans graisse en même temps que l'aquagym et le vélo. Cette débauche sportive était propice à canaliser une énergie toujours débordante et de compenser l'absence d'activité sexuelle, quoi qu'elle s'en défendît. Menue et de petite taille, à peine ridée et blanchie, on lui aurait facilement donné dix ans de moins mais le fait est qu'elle avait quand même atteint la soixantaine et ça ne la ravissait pas.
Cet été là, sa soeur devait se faire opérer d'un pied et se trouvait empêchée de l'accueillir. Pour la première fois, Magali se résigna à partir en vacances dans un club célèbre au bord de la Méditerranée. L'idée de voyager seule la rebutait et comme elle était plutôt sociable, la compagnie d'autres vacanciers dans un lieu balnéaire romprait sa solitude. Elle ressortit de son armoire un maillot de bain qu'elle n'avait pas porté depuis longtemps, un bikini à sa taille c'est à dire réduit à sa plus simple expression. Après hésitation, elle résista à l'idée de le remplacer par un une pièce, considérant qu'elle ne devait pas avoir honte de son corps malgré son âge. Elle suait assez pour ça.
Il lui fut attribué au club comme à tout le monde une case, mais comme elle était seule, elle devait cohabiter avec une autre femme prénommée Laurence, une quinquagénaire également divorcée, le genre BCBG, bien conservée avec une chevelure à mèches blondes et qui se disait médecin. Magali travaillant dans le para médical, les liens furent vite noués entre les deux femmes, qui ne se quittèrent plus. Elles allaient ensemble au club de tennis, mangeaient à la même table, bronzaient côte à côte à la plage et même en tenue d'Eve dans un enclos naturiste au sein du club et ne tardèrent pas à partager quelques confidences. Magali avait remarqué que le soir sur la piste de danse, Laurence "chassait".
Il arriva que la deuxième nuit, Magali la perdit de vue dans le dancing et supposa qu'elle était partie se coucher avant elle. Quand elle rejoignit sa case, une fois la porte ouverte, elle comprit la situation. A quatre pattes sur un des lits jumeaux, Laurence se faisait prendre en levrette par un mignon petit cul de mec particulièrement actif, suscitant des exclamations de plaisir de la quinquagénaire. Magali se retira discrètement et attendit la fermeture du night club avant de revenir se coucher. Cette fois, Laurence ronflait. Et Magali eut du mal à s'endormir tant la scène de sexe brut à laquelle elle avait assisté avait remué ses instincts enfouis.
- Alors, tu nous a vus, hein ? lui dit Laurence le lendemain.
Magali ne pouvait pas le nier et ne fit pas de commentaire. Sa voisine poursuivit :
- Comme beaucoup d'autres, je suis venue ici pour baiser. Et toi, qu'est-ce que tu vas faire ? Continuer à mater ta voisine ou passer à l'acte toi aussi ? J'imagine que ça doit te manquer, non ?
Magali balbutia quelques dénégations mais Laurence avait touché juste. La chaleur ambiante, la présence de beaux mâles dans le club dont certains avaient manifesté leur intérêt pour elle sur la piste de danse, le petit cul frénétique de l'amant de Laurence et surtout le réveil de ses hormones femelles, trop longtemps en jachère, finirent par lui faire admettre ce qu'elle avait longtemps refoulé : elle avait besoin de baiser. Et pas de faire l'amour. Baiser, oui.
Comme par hasard, sur la plage cet après-midi là, le partenaire sexuel de Laurence vint la rejoindre accompagné d'un gars plutôt jeune aux cheveux bouclés, au ventre plat et à la peau bronzée. Pendant que les deux autres se faisaient des mimi mouillés assortis de caresses réciproques, préliminaires à un coït qui n'attendrait pas la nuit, l'autre garçon prénommé Mario baratinait Magali, la complimentant pour son joli corps, ce qui fait toujours plaisir, en particulier pour une sexa. Elle avait évidemment compris qu'il voulait la baiser mais la vision de son boxer de bain bien rempli lui donna chaud. Ensemble dans les vagues, il la pelota sans vergogne, elle s'échappa en riant mais il insista et elle frémit au contact de son corps musclé. Il osa même glisser un doigt à l'arrière de son minuscule bas de maillot, longeant la raie des fesses. C'était la première fois depuis des lustres qu'un homme touchait son cul.
Quand ils revinrent sur le sable, Laurence et son mignon avaient quitté les lieux. Magali remarqua que le sien bandait sur la serviette et une onde de chaleur irradia son bas-ventre.
- Et si on allait maintenant dans ta case ? lui souffla-t-il à l'oreille.
Magali n'était plus en état de résister. Qu'un homme de moitié moins son âge lui propose carrément de faire l'amour aurait pu la révulser, au nom d'on ne sait quelle morale. Que son corps de sexagénaire puisse encore inspirer le désir ne pouvait que satisfaire son ego de femme. Elle ramassa sa serviette et le suivit dans sa case proche de la plage.
Comme elle s'y attendait, l'autre couple était en pleine fornication. Le cul charnu de Laurence virevoltait sur la queue de son chevalier servant couché sous elle. Magali se retrouva poussée sur l'autre lit par Mario qui l'embrassa longuement tout en tirant sur son mini slip et en glissant un doigt fureteur sur sa chatte, d'une humidité qui n'avait rien à voir avec l'eau de mer. Elle-même chercha sa queue et la dégagea du boxer, savourant la raideur de ce contact manuel dont elle avait perdu l'habitude. Sur le lit d'à côté, l'amant de Laurence besognait dur entre ses cuisses, faisant craquer le modeste lit sous ses assauts virulents et suscitant l'exaltation de la quinquagénaire. Une scène qui ne pouvait qu'inciter Magali à écarter elle aussi les cuisses, son sexe réclamant de la visite avec une avidité qui la surprit, comme s'il était indépendant.
Une fois que le jeune homme eut coiffé son pénis d'un préservatif bien venu, Magali fut à son tour fouillée, creusée, labourée et ses cris de plaisir se mélangèrent avec ceux de sa voisine. Elle baisait, sans retenue, retrouvant des attitudes, des initiatives, des automatismes qu'elle croyait oubliés, confirmant son mâle qu'il besognait une vraie cochonne de mature, ce qu'il recherchait d'ailleurs dans le club. La cote des quinquas et des sexas avait monté en flèche chez les jeunes hommes depuis la vogue du féminisme chez les jeunes femmes. Et de fait, Mario eut droit à des gestes d'une crudité devenue rare, en particulier un massage de prostate qui le fit gicler en gémissant après percussions virulentes qui firent jouir en même temps la sexagénaire et la laissèrent anéantie de plaisir. Les cris rauques de Laurence, elle aussi en proie à l'orgasme sous les assauts de son mâle, conclurent cette baise à quatre non programmée.
Les jours suivants, Magali et Laurence s'affichèrent fièrement avec leurs étalons, s'attirant au passage les regards courroucés de quelques bimbos, écoeurées de ces liaisons interâges manifestes. Bien décidées à profiter au maximum de leurs vacances, les deux matures évitèrent de se disperser dans les activités sportives pour se consacrer exclusivement au sexe, ne résistant pas au plaisir d'échanger leurs partenaires au gré de leurs ébats nocturnes ou diurnes dans leur case. Et quand l'heure de la séparation arriva, Magali s'aperçut qu'à part son prénom et sa bite, elle ne connaissait pas grand chose de celui qui l'avait fait redevenir femme, ou plutôt femelle. Il l'avait baisée, bien baisée même et au fond, c'est tout ce qu'elle demandait : retrouver un vrai corps à corps, comme ce qu'elle avait connu avec son défunt mari, si bon amant. Et elle conclut qu'à la soixantaine, une femme baise encore, même si elle ne fait plus l'amour. En arrivant, elle prendrait son téléphone et appellerait le patient qui lui faisait du gringue sans retour. Elle en souriait d'avance.
****
Elle s'appelle Joëlle, elle a 62 ans, elle est veuve depuis deux ans après la longue maladie de son mari qui lui a fait oublier qu'elle était femme. Mais le temps est venu de rattraper le temps perdu, même si elle n'oublie rien de sa vie passée. Mais elle continue, n'est-ce pas ? C'est ce qui a fait comprendre son amie Yolande, une quinquagénaire divorcée à la chevelure brune coupée très court.
Contrairement à Magali, Joëlle est rondelette. Elle aime bien manger comme elle aime les bonnes choses de la vie. Comme faire l'amour. Grâce à Yolande, elle a réveillé sa libido endormie et elle l'accompagne de temps à autres dans des soirées où elle savent qu'elles vont rencontrer des hommes. Quand elle est maquillée, sa coupe de cheveux courte bond cendrée peignée en arrière pour dégager son front sans rides, ses décolletés bien marqués pour mettre en valeur ses seins lourds, Joëlle attire les regards masculins. Elle ne vient pas dans ces soirées par hasard, tout comme sa brune copine. Elles espèrent revenir accompagnées avec un partenaire sexuel pour une nuit, elles n'en demandent pas plus à leur âge, qu'elles essaient de cacher.
A dire vrai, leurs conquêtes d'un soir s'en fichent un peu, de leur âge. Ils cherchent des femmes encore sexy qui baisent, et c'est justement le cas de Yolande et Joëlle. C'est chez cette dernière que ça se passe. Yolande et son chevalier servant occupent la chambre d'amis, Joëlle ce qui fut le lit conjugal, nue, très ouverte, sa chair opulente étalée sur le drap, curieuse de la bite qui lui est offerte, rassurée par sa raideur et sa longueur.
L'homme, un quinquagénaire à tête rasée et tatoué aux bras, n'est pas du genre romantique. Et ça tombe bien, elle non plus, elle a passé l'âge. Ils vont baiser comme deux vieux cochons, stimulés par les cris de plaisir de Yolande dans la chambre voisine et Joëlle lui répondra par d'autres exclamations sonores, histoire de lui confirmer qu'elle aussi baise. Le tatoué se régale d'être tombé sur ce coup en or et secoue sa chair juteuse de sa queue, fait trembler fesses et nichons, la prend et la reprend, répondant à son appétit traduit par des "encore encore vas y continue..." Joëlle n'a pas 62 ans mais 22 ans quand elle avait découvert le sexe avec un ami de ses parents qui lui avait définitivement inoculé le goût du cul. Feu son mari en avait bien profité et d'ailleurs, elle ne l'avait jamais trompé parce qu'ils s'étaient magnifiquement entendus sur le plan sexuel. Avant qu'il ne tombe malade, ils en étaient venus à s'exciter de mots crus qui la conduisaient irrésistiblement à l'orgasme.
Elle pense à lui quand le tatoué la ramone puissamment, la talons de Joëlle vissés sur ses reins et il éjacule en grognant dans sa capote. Elle le finit à la bouche, elle adore sur sa langue le contact et le goût de la bite.
- Alors, les petits cochons, vous avez fini ?
C'est Yolande qui apparait dans l'encadrement de la porte, entièrement nue, visiblement rassasiée. Elle propose de préparer un café. Et c'est autour d'une table que les quatre protagonistes vont se retrouver pour parler de tout et de rien, comme s'ils venaient juste de conclure une partie de belote, à la différence majeure qu'ils sont encore nus. Joëlle voit dans le regard malicieux de Yolande qu'elle est contente d'avoir permis à son amie d'assouvir ses pulsions. Et il n'est pas interdit de penser que la nuit érotique n'est peut-être pas complètement terminée...
Cet été là, sa soeur devait se faire opérer d'un pied et se trouvait empêchée de l'accueillir. Pour la première fois, Magali se résigna à partir en vacances dans un club célèbre au bord de la Méditerranée. L'idée de voyager seule la rebutait et comme elle était plutôt sociable, la compagnie d'autres vacanciers dans un lieu balnéaire romprait sa solitude. Elle ressortit de son armoire un maillot de bain qu'elle n'avait pas porté depuis longtemps, un bikini à sa taille c'est à dire réduit à sa plus simple expression. Après hésitation, elle résista à l'idée de le remplacer par un une pièce, considérant qu'elle ne devait pas avoir honte de son corps malgré son âge. Elle suait assez pour ça.
Il lui fut attribué au club comme à tout le monde une case, mais comme elle était seule, elle devait cohabiter avec une autre femme prénommée Laurence, une quinquagénaire également divorcée, le genre BCBG, bien conservée avec une chevelure à mèches blondes et qui se disait médecin. Magali travaillant dans le para médical, les liens furent vite noués entre les deux femmes, qui ne se quittèrent plus. Elles allaient ensemble au club de tennis, mangeaient à la même table, bronzaient côte à côte à la plage et même en tenue d'Eve dans un enclos naturiste au sein du club et ne tardèrent pas à partager quelques confidences. Magali avait remarqué que le soir sur la piste de danse, Laurence "chassait".
Il arriva que la deuxième nuit, Magali la perdit de vue dans le dancing et supposa qu'elle était partie se coucher avant elle. Quand elle rejoignit sa case, une fois la porte ouverte, elle comprit la situation. A quatre pattes sur un des lits jumeaux, Laurence se faisait prendre en levrette par un mignon petit cul de mec particulièrement actif, suscitant des exclamations de plaisir de la quinquagénaire. Magali se retira discrètement et attendit la fermeture du night club avant de revenir se coucher. Cette fois, Laurence ronflait. Et Magali eut du mal à s'endormir tant la scène de sexe brut à laquelle elle avait assisté avait remué ses instincts enfouis.
- Alors, tu nous a vus, hein ? lui dit Laurence le lendemain.
Magali ne pouvait pas le nier et ne fit pas de commentaire. Sa voisine poursuivit :
- Comme beaucoup d'autres, je suis venue ici pour baiser. Et toi, qu'est-ce que tu vas faire ? Continuer à mater ta voisine ou passer à l'acte toi aussi ? J'imagine que ça doit te manquer, non ?
Magali balbutia quelques dénégations mais Laurence avait touché juste. La chaleur ambiante, la présence de beaux mâles dans le club dont certains avaient manifesté leur intérêt pour elle sur la piste de danse, le petit cul frénétique de l'amant de Laurence et surtout le réveil de ses hormones femelles, trop longtemps en jachère, finirent par lui faire admettre ce qu'elle avait longtemps refoulé : elle avait besoin de baiser. Et pas de faire l'amour. Baiser, oui.
Comme par hasard, sur la plage cet après-midi là, le partenaire sexuel de Laurence vint la rejoindre accompagné d'un gars plutôt jeune aux cheveux bouclés, au ventre plat et à la peau bronzée. Pendant que les deux autres se faisaient des mimi mouillés assortis de caresses réciproques, préliminaires à un coït qui n'attendrait pas la nuit, l'autre garçon prénommé Mario baratinait Magali, la complimentant pour son joli corps, ce qui fait toujours plaisir, en particulier pour une sexa. Elle avait évidemment compris qu'il voulait la baiser mais la vision de son boxer de bain bien rempli lui donna chaud. Ensemble dans les vagues, il la pelota sans vergogne, elle s'échappa en riant mais il insista et elle frémit au contact de son corps musclé. Il osa même glisser un doigt à l'arrière de son minuscule bas de maillot, longeant la raie des fesses. C'était la première fois depuis des lustres qu'un homme touchait son cul.
Quand ils revinrent sur le sable, Laurence et son mignon avaient quitté les lieux. Magali remarqua que le sien bandait sur la serviette et une onde de chaleur irradia son bas-ventre.
- Et si on allait maintenant dans ta case ? lui souffla-t-il à l'oreille.
Magali n'était plus en état de résister. Qu'un homme de moitié moins son âge lui propose carrément de faire l'amour aurait pu la révulser, au nom d'on ne sait quelle morale. Que son corps de sexagénaire puisse encore inspirer le désir ne pouvait que satisfaire son ego de femme. Elle ramassa sa serviette et le suivit dans sa case proche de la plage.
Comme elle s'y attendait, l'autre couple était en pleine fornication. Le cul charnu de Laurence virevoltait sur la queue de son chevalier servant couché sous elle. Magali se retrouva poussée sur l'autre lit par Mario qui l'embrassa longuement tout en tirant sur son mini slip et en glissant un doigt fureteur sur sa chatte, d'une humidité qui n'avait rien à voir avec l'eau de mer. Elle-même chercha sa queue et la dégagea du boxer, savourant la raideur de ce contact manuel dont elle avait perdu l'habitude. Sur le lit d'à côté, l'amant de Laurence besognait dur entre ses cuisses, faisant craquer le modeste lit sous ses assauts virulents et suscitant l'exaltation de la quinquagénaire. Une scène qui ne pouvait qu'inciter Magali à écarter elle aussi les cuisses, son sexe réclamant de la visite avec une avidité qui la surprit, comme s'il était indépendant.
Une fois que le jeune homme eut coiffé son pénis d'un préservatif bien venu, Magali fut à son tour fouillée, creusée, labourée et ses cris de plaisir se mélangèrent avec ceux de sa voisine. Elle baisait, sans retenue, retrouvant des attitudes, des initiatives, des automatismes qu'elle croyait oubliés, confirmant son mâle qu'il besognait une vraie cochonne de mature, ce qu'il recherchait d'ailleurs dans le club. La cote des quinquas et des sexas avait monté en flèche chez les jeunes hommes depuis la vogue du féminisme chez les jeunes femmes. Et de fait, Mario eut droit à des gestes d'une crudité devenue rare, en particulier un massage de prostate qui le fit gicler en gémissant après percussions virulentes qui firent jouir en même temps la sexagénaire et la laissèrent anéantie de plaisir. Les cris rauques de Laurence, elle aussi en proie à l'orgasme sous les assauts de son mâle, conclurent cette baise à quatre non programmée.
Les jours suivants, Magali et Laurence s'affichèrent fièrement avec leurs étalons, s'attirant au passage les regards courroucés de quelques bimbos, écoeurées de ces liaisons interâges manifestes. Bien décidées à profiter au maximum de leurs vacances, les deux matures évitèrent de se disperser dans les activités sportives pour se consacrer exclusivement au sexe, ne résistant pas au plaisir d'échanger leurs partenaires au gré de leurs ébats nocturnes ou diurnes dans leur case. Et quand l'heure de la séparation arriva, Magali s'aperçut qu'à part son prénom et sa bite, elle ne connaissait pas grand chose de celui qui l'avait fait redevenir femme, ou plutôt femelle. Il l'avait baisée, bien baisée même et au fond, c'est tout ce qu'elle demandait : retrouver un vrai corps à corps, comme ce qu'elle avait connu avec son défunt mari, si bon amant. Et elle conclut qu'à la soixantaine, une femme baise encore, même si elle ne fait plus l'amour. En arrivant, elle prendrait son téléphone et appellerait le patient qui lui faisait du gringue sans retour. Elle en souriait d'avance.
****
Elle s'appelle Joëlle, elle a 62 ans, elle est veuve depuis deux ans après la longue maladie de son mari qui lui a fait oublier qu'elle était femme. Mais le temps est venu de rattraper le temps perdu, même si elle n'oublie rien de sa vie passée. Mais elle continue, n'est-ce pas ? C'est ce qui a fait comprendre son amie Yolande, une quinquagénaire divorcée à la chevelure brune coupée très court.
Contrairement à Magali, Joëlle est rondelette. Elle aime bien manger comme elle aime les bonnes choses de la vie. Comme faire l'amour. Grâce à Yolande, elle a réveillé sa libido endormie et elle l'accompagne de temps à autres dans des soirées où elle savent qu'elles vont rencontrer des hommes. Quand elle est maquillée, sa coupe de cheveux courte bond cendrée peignée en arrière pour dégager son front sans rides, ses décolletés bien marqués pour mettre en valeur ses seins lourds, Joëlle attire les regards masculins. Elle ne vient pas dans ces soirées par hasard, tout comme sa brune copine. Elles espèrent revenir accompagnées avec un partenaire sexuel pour une nuit, elles n'en demandent pas plus à leur âge, qu'elles essaient de cacher.
A dire vrai, leurs conquêtes d'un soir s'en fichent un peu, de leur âge. Ils cherchent des femmes encore sexy qui baisent, et c'est justement le cas de Yolande et Joëlle. C'est chez cette dernière que ça se passe. Yolande et son chevalier servant occupent la chambre d'amis, Joëlle ce qui fut le lit conjugal, nue, très ouverte, sa chair opulente étalée sur le drap, curieuse de la bite qui lui est offerte, rassurée par sa raideur et sa longueur.
L'homme, un quinquagénaire à tête rasée et tatoué aux bras, n'est pas du genre romantique. Et ça tombe bien, elle non plus, elle a passé l'âge. Ils vont baiser comme deux vieux cochons, stimulés par les cris de plaisir de Yolande dans la chambre voisine et Joëlle lui répondra par d'autres exclamations sonores, histoire de lui confirmer qu'elle aussi baise. Le tatoué se régale d'être tombé sur ce coup en or et secoue sa chair juteuse de sa queue, fait trembler fesses et nichons, la prend et la reprend, répondant à son appétit traduit par des "encore encore vas y continue..." Joëlle n'a pas 62 ans mais 22 ans quand elle avait découvert le sexe avec un ami de ses parents qui lui avait définitivement inoculé le goût du cul. Feu son mari en avait bien profité et d'ailleurs, elle ne l'avait jamais trompé parce qu'ils s'étaient magnifiquement entendus sur le plan sexuel. Avant qu'il ne tombe malade, ils en étaient venus à s'exciter de mots crus qui la conduisaient irrésistiblement à l'orgasme.
Elle pense à lui quand le tatoué la ramone puissamment, la talons de Joëlle vissés sur ses reins et il éjacule en grognant dans sa capote. Elle le finit à la bouche, elle adore sur sa langue le contact et le goût de la bite.
- Alors, les petits cochons, vous avez fini ?
C'est Yolande qui apparait dans l'encadrement de la porte, entièrement nue, visiblement rassasiée. Elle propose de préparer un café. Et c'est autour d'une table que les quatre protagonistes vont se retrouver pour parler de tout et de rien, comme s'ils venaient juste de conclure une partie de belote, à la différence majeure qu'ils sont encore nus. Joëlle voit dans le regard malicieux de Yolande qu'elle est contente d'avoir permis à son amie d'assouvir ses pulsions. Et il n'est pas interdit de penser que la nuit érotique n'est peut-être pas complètement terminée...
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Micky,
Après l'excellente série sur les cinquantenaires, voici donc celle des sexagénaires, prouvant ainsi qu'il n'y a pas d'âge limite pour baiser.
Magnifique...
Après l'excellente série sur les cinquantenaires, voici donc celle des sexagénaires, prouvant ainsi qu'il n'y a pas d'âge limite pour baiser.
Magnifique...
